William T. Sharen [Finie]

William est un jeune homme plutôt commun : taille moyenne, une musculature ni inexistante ni surdéveloppée. Il observe le monde de ses yeux dont la couleur se situe entre le bleu et le vert et qui se retrouvent parfois cachés derrière quelques mèches de se chevelure miel ébouriffée. Il garde une légère barbe qu'il entretient néanmoins, et il possède un piercing à l'arcade plutôt discret. Il semble avoir, lorsqu'il ne porte pas l'uniforme de Poudlard, avoir une préférence pour les habits dans les tons sobres et à la coupe décontractée.

Dans un premier temps on peut penser William comme un gros rêveur. L'air d'être toujours ailleurs, il ne prête attention qu'à peu de choses autour de lui, ce qui peut parfois rendre la communication difficile au départ. Il s'avère cependant qu'il sait être d'une humeur joviale et taquine une fois le mur franchi. Relativement peu sérieux, il se débrouille cela dit toujours pour avoir des notes correctes aux devoirs, qu'il effectue avec une nonchalance tendant vers une attitude blasée.

De père moldu et de mère sorcière, William à toujours vécu dans un environnement féminin, devenant très tôt l'homme de la maison après la mort e son père. Décédé dans un incendie, il laisse derrière lui sa femme, son fils et ses trois filles, tous sorciers. Travaillant au Chemin de Traverse dans une boutique d'animaux, la mère des quatre enfants à un peu de mal à gérer seule sa petite famille, et se fait aider par son fils alors âgé de huit ans. Cette situation s'allège au fur et a mesure que ses sœurs grandissent, et quand la lettre de Poudlard arrive pour William, ce dernier sait qu'il peut être tranquille en songeant que sa fratrie a assez grandit pour prendre le relais.
Ses trois sœurs se trouvent aujourd'hui aussi à Poudlard, et chacune se trouve dans une maison différente, preuve de leurs caractères bien différents. Sa mère quand à elle, à reprit récemment un compagnon, et ne reste donc pas seule à la maison.
En cours, William se fait remarquer relativement peu de fois, et si c'est le cas c'est souvent parce qu'il a l'air ailleurs. Son habitude de rêver ne l'a pas quitté depuis la mort de son père, et il refuse de la perdre.