Présentation des prédéfinis

Ils ne la comprennent pas.

Ils ne comprennent pas qu’elle sent un brasier brûler en elle, le poids de la guerre sur ses épaules et sa peur de s’éveiller le lendemain et d’ouvrir le journal pour découvrir que tout a basculé et qu’elle n’a rien pu changer. Car elle apparaît légère aux autre, naïve, mais c’est son seul moyen de survie, sa seule possibilité de ne pas se laisser dévorer par la peur.

Lavande Brown veut s’engager, se battre, et personne ne la prend au sérieux. Tout le monde ne voit que Lavande, la fille un peu bête, qui traîne toujours avec Parvati, raconte des ragots et croit à la Divination. Personne ne sait pourquoi elle s’est retrouvée à Gryffondor, parce que personne ne lui a donné l’occasion de prouver que le Choixpeau ne s’est pas trompé.

Lavande Brown sent l’appel de la guerre battre comme des tambours au creux de son oreille, et personne ne l’en croit capable.

Tant mieux. Ils ne verront rien arriver. Et lorsqu’enfin, ils comprendront, il sera trop tard.

Famille
La famille est libre ! A priori, elle est fille unique.

Le petit détail :
- La baguette est indicative et peut être modifiée.

- Elle aime beaucoup les potins, c’est vrai. Savoir tout sur tout le monde l’intéresse, et c’est une lanceuse de rumeurs. Depuis la révélation du monde magique, pourtant, Lavande a commencé à collecter d’autres types d’informations : celles qui seraient utiles à l’effort de guerre. Elle ne sait pas quoi en faire pour le moment, mais tenter de connaître les sombres secrets des enfants de Mangemorts et des Partisans… Cela sera utile. Forcément. A condition qu’elle ne s’y brûle pas les ailes.

- Lavande a des… facilités en Divination. Oh, elle n’a pas le don de Sybille Trelawney, c’est certain – mais elle sait se servir de sa tête, et repère beaucoup plus de choses que les gens ne veulent bien le croire. Alors, si elle parvient si facilement à lire dans les tasses de thé et les marcs de café, c’est peut-être parce qu’elle a l’esprit ouvert, l’œil attentif et surtout, un très bon sens de l’anticipation. Car à force de savoir tout sur tout le monde, on commence à connaître les gens… Sans qu’ils ne s’en rendent compte.

- Parvati a infiltré les partisans, et recueille des informations précieuses pour Lavande et l’effort de guerre. Ne vous en faites pas pour elles, elles savent être discrètes… Et sont liées par une amitié inébranlable. Non, vraiment, presque rien ne pourrait les arrêter dans leur croisade.

- Les récents évènements l’ont ébranlée. Si elle est toujours sincèrement contre les Mangemorts et fière de ses racines Moldues, les récentes montées d’extrémisme anti-sorcier l’effraient, et la poussent à se demander si elle ne s’est pas trompée d’ennemi.

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Spoiler:

Il n’est pas toujours aisé de se faire une identité propre lorsqu’on a une sœur jumelle ; on parle toujours “des jumelles”, jamais de “Parvati et Padma”, ou seulement de l’une d’entre elles.

C’est sans doute pour cela que Parvati, qui est passée après sa sœur, a supplié le Choixpeau de ne pas l’envoyer à Serdaigle – oh, elle avait une tête bien faite et un esprit qui aurait pu s’épanouir à Serdaigle, c’était certain, même le Choixpeau l’a admis. Mais elle voulait absolument se différencier de sa sœur.

Elevée dans une famille plutôt tolérante quant au statut de Sang, ce n’est pas pour rien que les liens avec Pansy Parkinson, créés durant leur enfance lorsque leurs familles se rencontraient, se sont désagrégés une fois Parvati répartie à Gryffondor.

L’occasion de renouer ces liens s’est révélée à elle lorsque le monde des sorciers a été révélé ; lorsque la peur a commencé à gagner la population sorcière ; lorsque Lavande s’est mis en tête de se battre. Jusqu’à ce que Parvati se rende compte lors du Banquet de Noël qu’elle aussi, elle entendait l’appel des tambours. Profitant de son statut de sang, des évènements qui lui donnaient une excuse en or pour basculer du côté de Voldemort, Parvati s’est mis en tête d’infiltrer les Partisans – qui sait, elle pourra peut-être être utile à l’Armée de Dumbledore ?

Et puis, Pansy a été ravie de retrouver son amie d’enfance, enfin revenue à la raison. Il ne lui reste plus qu’à réussir à infiltrer les Partisans.

Famille
Les Patil sont une famille mineure de Sang-Pur de Grande Bretagne originaire d’Inde, dans le sens où ils sont des « nouveaux » Sang-Pur ; cela ne fait que sept générations qu’il n’y a plus de que des sorciers dans leur arbre généalogique. Ils connaissent les Parkinson, notamment.
Parvati a une sœur jumelle, Padma, répartie à Serdaigle. Relation au choix.

Le petit détail :
- La baguette est indicative et peut être modifiée.

- Parvati souffre d’un Trouble Obsessionnel Compulsif. Elle tente de le dissimuler, de le dompter, mais il semble devenir de plus en plus incontrôlable maintenant que la guerre a réellement débutée. Le TOC est au choix, ainsi que sa cause !

- Sa passion pour la Divination est la parfaite illustration de son envie de laisser sa créativité et son imagination prendre le dessus sur la rationalité. Malheureusement, la guerre lui a ôté toute envie de rêver : c’est une Parvati plus pragmatique et déterminée qui a pris le dessus. Le seul rêve qu’elle s’autorise, c’est celui d’une paix durable entre Moldus et sorciers.

- Son amitié avec Lavande Brown est inébranlable, depuis toujours. Mais leurs liens se sont encore resserrés lorsqu’elles ont décidé de s’engager contre Lord Voldemort – leur confiance, l’une envers l’autre, est totale. Alors lorsque Lavande lui a fait part de son envie de rassembler des informations sur les enfants de Mangemorts et les partisans, Parvati l’a suivie. Qui se méfierait des deux commères de Gryffondor, franchement ?

- Contrairement à Lavande, les récents évènements n’ont fait que la conforter dans ses idéaux : une paix avec les Moldus ne sera possible que lorsque Lord Voldemort sera mort.

- Sa volonté d’infiltrer les Partisans pourrait lui coûter gros si jamais elle est démasquée, mais elle n’en a pas véritablement conscience. Pour le moment, en tous cas.

- Une fois Parvati infiltrée, vous pouvez tout à fait la faire se laisser convaincre par les Partisans, tant que cela reste cohérent avec l’évolution du contexte/des personnages. Ou alors vous pouvez la rendre plus déterminée encore à tuer cette organisation de l’intérieure, quel qu’en soit le coût… C’est vous qui décidez ! ♥

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Spoiler:

Justin est né-moldu, et ça, personne ne pourra jamais l’oublier.

Car il était censé aller à Eton, s’il n’avait pas reçu sa lettre, suivant la longue lignée de politiciens qui jalonnait sa famille. Car il a été pétrifié, en deuxième année, et seuls les enfants de Moldus l’ont été.

Aujourd’hui, Justin ne sait plus vraiment qui il est ; tiraillé entre une famille Moldue qui accepte de moins en moins les sorciers – « mais nous ne parlons pas de toi, chéri, bien sûr », et des amis sorciers qui ne voyaient que le danger dans ses racines – « ils ont brûlé des enfants, Justin, tu te rends pas compte ! ».

Et lui, au juste, il était quoi, au milieu de tout ça ?

Famille
Moldue, et a priori, plutôt riche voire même la haute société moldue. Sinon, vous êtes totalement libres !

Le petit détail :
- La baguette est indicative et peut être modifiée.

- Justin est à l’aise dans les milieux de pouvoirs et de la haute société, puisqu’il y est né… Du côté moldu.

- Justin ne sait pas véritablement sur quel pied danser. Il ne se sent ni véritablement Moldu, ni véritablement sorcier. Les évènements pourraient le dégoûter d’un camp comme de l’autre ; mais il se sentirait toujours coupable, quelque part, de prendre parti contre ses racines ou contre son monde d’adoption…

- Il a échangé un brillant avenir chez les Moldus contre un statut de moins-que-rien chez les sorciers : de voleur de magie, de Sang-de-bourbe… De parvenu, en quelque sorte. Ce n’est pas quelque chose qui a toujours été facile à accepter pour lui, et cela l’est d’autant moins maintenant que le secret est brisé, et que les deux mondes s’entrechoquent violemment.

- La politique d’apaisement que mène actuellement Jonathan Carwood le fascine, vraiment. Pour lui, il s’agit non seulement de leur seul espoir de survie, mais surtout d’un compromis parfait – un sorcier qui se préoccupe des Moldus. Il souhaite lui prêter main forte, à son niveau, bien entendu : mais c’est presque certain que, même à Poudlard, Carwood saura lui donner des responsabilités une fois qu’il aura décelé son potentiel. Justin en est convaincu, comme il est convaincu du bien-fondé de cette politique.

- Et puis, entre nous… La raciste aristocratie Sang-Pur n’est rien d’autre qu’une forme d’oppression, non ?

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Spoiler:

La vérité, c’est que la maison Serpentard ne correspondait pas tout à fait à Pansy Parkinson. C’est une élève qui a été difficile à répartir ; mais sa panique lorsqu’il a évoqué l’idée de l’envoyer à Gryffondor a convaincu le Choixpeau que non, Serpentard serait la maison où elle se glisserait le plus facilement, à défaut de s’épanouir.

Bien sûr, elle est marquée par les théories puristes, son statut de Sang la rend arrogante et elle n’est jamais la dernière lorsqu’il s’agit de collaborer pour obtenir la place la plus ensoleillée – mais il y a quelque chose au fond d’elle, cette audace qui ressort parfois lorsqu’elle doit prendre position, quitte à ce que ça ne soit pas la bonne, mais cela sera tout de même celle à laquelle elle croit. Cette façon de veiller jalousement sur ses amis, quitte à rejeter les éléments perturbateurs de façon violente. Cette impulsivité qu’elle a du mal à museler…

C’est sans doute pour cela aussi qu’elle a fini par accepter plutôt facilement Parvati, lorsqu’elle est revenue vers elle, sans se douter une seconde que Parvati allait l’utiliser. Car Pansy ne se serait jamais permise de se servir de son amie d’enfance... Elle a trop d’honneur pour cela.

Il n’est pas certain qu’elle soit d’une grande aide, cela dit. Les évènements récents l’ont peu à peu fait dévier de la voie qu’elle semblait avoir prise jusque-là ;
- Le marquage de Drago, d’abord, et toute la souffrance que cela a impliqué pour lui (punition, mission impossible à réussir, souffrances morales)
- La découverte de leur monde par les Moldus, qui l’a terrifiée, et lui a fait prendre conscience que tous ses privilèges pouvaient basculer du jour au lendemain à cause de la guerre
- Le banquet de Noël, où les Mangemorts (car elle est intimement convaincue que cela ne peut qu’être de leur fait) n’ont pas hésité à utiliser des enfants pour en tuer d’autres, prouvant qu’ils n’étaient pas si différent des Moldus, en dépit de tout ce qu’ils pouvaient prétendre.
- A vous ensuite de piocher dans les évènements qui vont régulièrement apparaître dans les brèves pour argumenter la thèse de Pansy.

Aujourd’hui, Pansy est persuadée que les Sang-Pur sont en déclin, que les Mangemorts et le Seigneur des Ténèbres sont fous, que le ministère est incompétent pour les aider – alors, qui reste-t-il ?

Et l’unique réponse à sa question la terrifie. Car elle se découvre peu à peu encline à trahir sa famille et tous ceux qui ont été aveuglés et détruits par les promesses de pouvoir du Seigneur des Ténèbres, et, en dépit de son audace, c’est terrifiant. Car Pansy les abandonnerait. Presque tous. Juste pour faire ce qu’elle croit être juste.

Malheureusement pour elle, la plupart de ses amis ne sont pas du côté de ceux qu’elle estime justes.

Note importante : c’est un changement qui s’est fait sur la longueur (les éléments cités plus haut s’étalent sur 6 mois environ). Vous êtes tout à fait libres de faire débuter Pansy sur une hésitation et de creuser son basculement vers Dumbledore en RP, tout comme vous pouvez vous servir des éléments déjà présents sur le forum pour rédiger son basculement dans sa fiche et la jouer déjà pro-Dumbledore. Elle va cependant mettre un certain temps à admettre sa nouvelle allégeance.

Famille
Pansy vient d’une famille de Sang-Pur, et comme rien n’est dit dans le canon, vous êtes libres !

Le petit détail :
- La baguette est indicative et peut être modifiée.

- Pansy peut souffrir de troubles alimentaires depuis la rupture du secret. Ce serait un moyen pour elle de tenter de reprendre le contrôle sur sa vie via son corps, que la guerre et les pressions familiales qui ont suivies lui avaient retiré. Cela influencerait beaucoup sur son caractère, la conduisant à parfois se renfermer sans que ses proches ne comprennent véritablement pourquoi. Vous pouvez le jouer comme tout à fait ignorer cet aspect de la fiche ; c’est vous qui décidez !

- Pansy ne s’est pas encore engagée dans la guerre. Tout le monde attend d’elle qu’elle rejoigne les partisans, mais… Pansy Parkinson n’est pas de celles qui font quelque chose uniquement parce que c’est ce qu’on attend d’elles. Bien au contraire. Si elle s’engage un jour, cela sera en accord avec ses convictions profondes, sinon rien. Et, malheureusement pour sa famille et ses amis proches, ses convictions s’ancrent de plus en plus du côté de Dumbledore.

- Pansy a longtemps craint pour son rang et ses privilèges, c’est vrai. Aujourd’hui, elle ne peut plus fermer les yeux sur les exactions commises par les deux camps – et, pour elle, ce n’est sûrement pas le Seigneur des Ténèbres qui parviendra à apaiser la situation, à mettre les sorciers à l’abri. A son plus grand désarroi, seul Dumbledore lui en paraît être capable. Et c’est quelque chose qu’elle a encore du mal à accepter…

- Si elle se retrouvait face au miroir du Risèd, elle se verrait entourée de ses proches, une fois une paix stable et protectrice revenue. Pas de marque, pas de Voldemort.

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Spoiler:

Dernière-née de Druella et Cygnus Black, Narcissa a évolué toute sa vie dans les cercles sans pitié de l’aristocratie Sang-Pur. Après Andromeda la rebelle – dont le nom, tabou, n’a plus été évoqué depuis des années – et Bella la passionnée, il ne restait plus que Cissy, délicate et éthérée, battant des cils lorsqu’il le fallait et se taisant lorsqu’elle le devait.

Son mariage avec Lucius fut scellé par leurs parents dans les bureaux de noyers et de bois précieux dans lesquels, en tant que femme, elle n’avait pas le droit d’entrer. Chose rare dans l’aristocratie, cette alliance donna naissance à de véritables sentiments entre les deux époux ; la naissance de Drago, enfant chéri, ne fut qu’une bénédiction de plus.

Elevée avec les valeurs de l’honneur des sorciers et de la pureté du sang, elle s’en est drapées et les a portées avec fierté jusqu’à l’été 1996. Lucius emprisonné suite au fiasco du Ministère, Drago utilisé comme moyen de punir les Malefoy de leur échec, Narcissa s’est retrouvée à devoir supplier Severus Rogue de sauver son fils – ce fut son premier acte de rébellion envers Lord Voldemort, en qui elle ne croyait plus.

L’absence de Lucius, cet empire à gérer seule – bien qu’elle le fasse d’une main de fer, avec une assurance qu’elle avait toujours soigneusement dissimulée derrière sa fragile stature – mais surtout le danger qui planait sur son unique enfant ; tout cela n’a fait que nourrir sa rancœur envers Lucius, mais aussi le Seigneur des Ténèbres. C’est donc presque une chance qu’ils l’ont toujours tous sous-estimée ; elle n’avait ni le talent flamboyant et dangereux de Bellatrix, ni l’audace pernicieuse d’Andromeda. Elle n’était que la plus jolie des sœurs Black.

Mais Narcissa, elle, possède cet acharnement presque obsessionnel à protéger son enfant. Et si l’occasion de faire payer ceux qui l’ont mis en danger se présente, alors elle laissera enfin éclater au grand jour cette violence qui sommeille en elle depuis toutes ces années, avec toute la cruauté dont elle est capable.

- La baguette est indicative et peut être changée.

- Narcissa est une sorcière fière de la pureté de son sang et hautaine ; elle ne s’embarrasse pas des bonnes manières lorsqu’elle juge que son interlocuteur ne les mérite pas, que cela soit à cause de son sang ou de son manque d’utilité.

- Si elle n’a jamais porté la marque, elle a toujours été une alliée convaincue du Seigneur des Ténèbres. Depuis qu’il a décidé de conduire son enfant à la mort en guise de punition pour l’échec de son mari, cette loyauté est révolue. Définitivement.

- Heureusement pour elle, Voldemort ne semble pas juger opportun de vérifier la loyauté d’une faible aristocrate enchaînée à lui via son mari et son enfant.

- Le Sacrifié qui tente de les décimer, Carwood qui semble lancer une chasse aux Sang-Pur, Poudlard qui n’est plus un refuge sûr pour son fils et surtout la disparition de Dumbledore… Le danger qui pèse sur Drago ne fait que s’alourdir, et elle ne peut plus le tolérer. Il est donc temps de briser ses chaînes.

- Les allégeances de Narcissa sont mouvantes, car une seule demeure ferme et définitive : celle envers son fils. Elle serait prête à tout pour lui, y compris à pactiser avec ceux qui pourraient lui offrir la meilleure protection possible, quels qu’ils soient. Et, de toute évidence, ce ne sont plus les Mangemorts…

- Si elle aime encore Lucius, elle lui en veut d’avoir échoué et ébranlé leur empire ; mais, surtout, elle le blâme pour ce qu’il arrive à Drago. Et la rancune est quelque chose qui empoisonne tout, petit à petit, même le plus sincère des amours.


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Spoiler:

Tonks est née d’une mère Sang-Pur et d’un père Né-Moldu. Si elle n’a jamais rencontré ses grands-parents sorciers, elle a vécu grandement influencée par sa famille paternelle, moldue, et est donc très au courant de leurs pratiques et de leur mode de vie. Elle-même mélange ces deux cultures sans véritablement se poser la question ; aller au cinéma lui paraît aussi naturel que voler sur un balai.

Sorcière particulièrement douée bien que maladroite, elle a été une des plus jeunes Aurors formées depuis des années, et excelle dans son travail. Elle a pourtant quelques soucis depuis quelques temps ; d’abord avec son Métamorphomagisme, puisqu’elle se retrouve pour l’instant piégée dans une seule enveloppe charnelle. Ensuite avec sa magie, qu’elle a parfois du mal à dompter.

Tout cela, bien sûr, en partie à cause de Remus, et de cette façon qu’il a de juger à sa place ce qui est le mieux pour elle, mais aussi car de nouveaux problèmes émergent ; si elle demeure certaine que Voldemort doit être combattu, les exactions commis par et envers les Moldus la font douter des fondements même de la société sorcière, allant jusqu’à lui faire se demander si elle se trouve véritablement dans le bon camp.

Car elle ne peut ni s’élever contre les Moldus, ni s’élever pour eux – ils sont une partie de sa culture comme les Sorciers le sont. Et, vraiment, tout cela est encore trop confus pour qu’elle sache véritablement quoi faire ; car si elle désire profondément la paix entre les deux peuples, elle ne sait pas comment faire pour la mettre en place.

- La baguette est indicative et peut être modifiée. Le Patronus est canon, mais comme tous les Patronus, il peut évoluer.

- Si Tonks ne remet pas en question son allégeance à l’Ordre, elle commence à douter de la possibilité d’être de nouveau en paix avec les Moldus étant donné les difficultés que ces deux mondes ont pour coexister.

- Ne portant pas particulièrement les Sang-Pur dans son coeur, la politique de Carwood lui semblait être plutôt appropriée. Elle a néanmoins le sentiment que les choses vont trop loin et dérivent peu à peu vers une forme de racisme et d'exclusion d'une partie de la population sorcière : pour elle, l'heure est au rassemblement entre sorciers et pas aux déchirements internes. Plus Carwood s'enfonce dans sa politique de rupture avec les Sang-Pur, moins elle le soutient.

- Elle ne parvient pas à se positionner car elle pense que Sorciers comme Moldus ont tous les deux leurs raisons ; mais si elle continue à hésiter ainsi, elle finira pas ne plus avoir de place nulle part…

- Farceuse et intrépide, elle a laissé une marqué indélébile dans les souvenirs de ses professeurs ; autant par son talent que par son sens de l’humour. Si elle tente de préserver au maximum cette partie d’elle-même, l’heure n’est pas forcément à l’amusement.

- Tonks se sent responsable de la mort de Sirius, puisqu’elle était celle qui combattait Bellatrix juste avant. Elle ne l’admettra jamais, mais tous s’en doutent et tentent de la convaincre du contraire ; cela ne fait que faire brûler un peu plus encore son envie d’empêcher sa très chère tante Bellatrix de nuire à nouveau. Au diable les liens du sang.

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Spoiler:

Né d’un père sorcier et d’une mère moldue, Remus a été mordu par Fenrir Greyback en guise de punition pour son père, qui l’avait insulté. Le fait qu’Albus Dumbledore accepte de lui faire suivre sa scolarité à Poudlard l’a conduit à lui offrir une reconnaissance éternelle, ainsi qu’une loyauté qui ne peut être remise en question.

Le secret de sa condition fut rapidement éventé, bien sûr ; ses amis ne l’abandonnèrent pas en apprenant la vérité, contrairement à ce qu’il aurait pu croire, mais cette peur presque irrationnelle de l’abandon demeurait. C’est sans doute à cause d’elle qu’il ne s’éleva pas vraiment contre les brimades que firent subir ses camarades à Severus Rogue, aux Serpentard qu’ils pensaient être des graines de Mangemorts – et ce même s’il avait conscience que ce n’était pas aussi simple.

La première guerre, ses morts et trahisons l’affaiblirent énormément, fragilisant l’équilibre précaire qu’il s’était construit jusque-là à l’aide des autres Maraudeurs ; les tentatives de Tonks d’entrer dans sa vie n’ont fait que le renvoyer à ce qu’il savait être mais qu’il avait soigneusement tenté d’oublier pendant des années. Un monstre.

Aujourd’hui, il dévoue sa vie à combattre Voldemort, à tenter de ramener la paix entre sorciers et moldus, quitte à y mourir – parce qu’après tout, qui pleurerait un loup-garou ?

- La baguette et le Patronus sont canon !

- Remus n’accepte pas du tout sa condition de Loup-Garou, qu’il muselle soigneusement chaque mois grâce à une potion Tue-Loup. Il déteste son Patronus, qui a la forme d’un loup, et a peur de ses transformations.

- Le fait qu’il refuse d’accepter sa condition l’empêche de mieux se contrôler, si bien que les instincts du loup refont parfois surface lorsqu’il est en colère ou dans une situation de danger.

- Il considère que Peter a trahit les Maraudeurs et n’en fait donc plus partie ; il a tendance à s’enfermer dans les regrets et à souffrir d’un complexe du survivant.

- Il refuse sa relation avec Tonks (ou avec qui que ce soit d’autre) pour ne pas leur infliger la vie de paria qu’il mène à cause de sa lycanthropie.

Avatar suggéré : Matthias Schoenaerts, négociable.

Spoiler:

Ils sont nés le 1er avril, au beau milieu de leur fratrie, comme s’ils en étaient le pilier. Ils ne savent pas vraiment qui est l’aîné, mais ils ne s’en sont jamais véritablement préoccupés ; ils sont la moitié l’un de l’autre, et c’est bien suffisant.

Bien sûr, Fred a toujours tendance à être celui qui lance les idées, à être déraisonnable et téméraire. George est celui qui pose les limites, canalise leurs actions. Il serait tellement facile de tomber dans la démesure… Et parfois, c’est arrivé. Mais jamais de façon trop grave.

Leur magasin, un des plus fréquentés du Chemin de Traverse désormais presque déserté, leur a offert en un an plus d’argent qu’ils n’en ont jamais eu ; ils sont des entrepreneurs, des commerçants, mais surtout des créateurs doués. C’est ce talent qui est mis à profit pour l’Ordre du Phénix. Ils créent des inventions, des sortilèges pour tenter de combattre plus efficacement Voldemort.

- Les baguettes sont indicatives et peuvent être modifiées.

- Ils n’ont pas véritablement conscience de l’enjeu que peuvent poser les Moldus, pour l’instant. Ils sont surtout préoccupés par la lutte contre Voldemort.

- George, pourtant, commence à percevoir les dangers qui les guettent ; mais Fred ne cesse de répéter qu’ils « auront le temps de voir ça », plus tard, lorsque Voldemort sera mort. C’est leur premier conflit depuis très, très longtemps – si longtemps qu’ils ne se souviennent pas véritablement de la dernière fois où ils ont été en désaccord sur un sujet aussi important.

- Ils sont pour la paix entre les Moldus et les Sorciers, mais… Pas à n’importe quel prix.


Avatar suggéré : Eddie Redmayne, négociable !

Spoiler:

Excellente poursuiveuse pour l’équipe de Gryffondor puis capitaine de son équipe, Angelina aurait pu suivre cette voie qui semblait toute tracée pour elle. L’invitation à rejoindre l’académie d’Haveirson lui a fait changer d’idée ; car si elle était douée en Quidditch, cela demeurait avant tout une passion et non pas un choix de carrière.

L’Armée de Dumbledore, en un sens, lui a fait ouvrir les yeux sur sa vocation : elle désire devenir Auror, chasseuse de mages noirs, être utile à la société sorcière qui l’a élevée et protégée pendant toutes ces années, et ce en dépit du danger.

Le problème, c’est que lorsque Voldemort a marqué Rowan P. Westminbrook en guise de punition pour les erreurs de son père, il savait que la loyauté de Rowan ne lui était pas véritablement acquise. Il s’est donc retrouvé dans le besoin d’avoir une espionne qui pourrait surveiller qu’il se tienne à carreaux, mais surtout qu’il n’influence pas son investissement, Freya Nightingale. Et qui de plus insoupçonnable qu’une ancienne Gryffondor étudiant pour devenir Auror ?

Angelina est donc soumise régulièrement à l’Imperium depuis plusieurs mois, manipulée, utilisée comme une poupée docile par Lord Voldemort afin de surveiller que les Mangemorts d’Haveirson ne commettent pas d’impairs, mais aussi pour dénicher ceux qui pourraient rejoindre leurs rangs…

- La baguette est indicative et peut être changée.

- Angelina est sous contrôle mental constant. Elle ne sait pas véritablement ce qu’elle fait, car les longues séances de lavage de cerveau et d’Imperium à répétition ont peu à peu étranglé sa combattivité. Elle n’est plus que la poupée de Lord Voldemort, son espionne la plus docile.

- Le pire, dans tout ça, est dans doute qu’elle a fini par peu à peu intégrer la volonté de Voldemort comme était la sienne. Elle est pourtant toujours là, au fond, dissimulée derrière les couches d’enchantements que les Mangemorts ont apposées sur elle. Mais pour l’instant, elle est trop faible pour s’en défaire.

- Il n’est pas dit qu’elle ne finisse pas par réussir à briser le contrôle, cela dit. Angelina Johnson est quelqu’un qui a des convictions ; et celles-ci réclament la mort du Seigneur des Ténèbres.


Avatar suggéré : Antonia Thomas, négociable

Spoiler:

Pourquoi le choixpeau magique avait-il envoyé Théodore Nott à Serpentard exactement ? Parce que le choixpeau le voyait très bien à Serdaigle, et Théodore savait qu’il se serait senti à sa place à Serdaigle. Mais l’enfant n’avait pas voulu décevoir son père alors il avait souhaité Serpentard, et le choixpeau accéda à sa requête aussitôt.

Son père. Cet homme à qui il devait la vie. Lorsqu’il était petit, il regardait le vieil homme avec autant d’émerveillement qu’un enfant pouvait avoir devant son héros. Il le regardait aussi avec beaucoup de crainte car il les colères de son père étaient loin d’être tempérée. Il avait toujours eu peur de son père. Rien que le ton de la voix l’intimidait et lui imposait immédiatement le respect.

Pendant un temps, il a eu l’impression d’avoir une sœur. Ses parents ont recueillis la fille d’une de leur connaissance afin de lui inculquée les valeurs de son rang. Il a apprécié le temps passé avec elle, ponctuée par quelques crises de jalousie lorsqu’il voyait sa mère rechercher une autre compagnie que la sienne. Mais en soi, il aimait bien, l’idée d’avoir une grande sœur.

Quant-à sa mère, et bien, elle l’avait choyée comme personne n’avait du être choyé dans ce monde. Il avait tellement aimé la compagnie de cette dame à la tête haute. Si aux yeux des autres, Mrs Nott était une vieille dame aux cheveux gris, affaiblie par un accouchement tardif, pour Théodore, elle était bien plus que ça et ça vie est devenue beaucoup plus terne lorsque sa mère s’est éteinte. Il y a bien le vide qu’elle a laissé qui lui fait mal, mais il y a aussi se traumatisme. Celui de voir le corps de sa mère, inerte, étendue dans le lit conjugal. Ça vie a changé ce jour là.

Théodore est un très bon élève. Discret, solitaire, intelligent. Il préfère la compagnie des livres à ceux des gens dit-on. En réalité, ce n’est pas tout à fait exact. Il ne ressent pas le besoin d’être lié aux autres, ou plutôt, il ne veut pas être lié aux autres. A quoi bon ? Quand on se lie, on s’attache et quand on perds la personne on souffre. Il tenait tellement à sa mère, elle n’est plus là. Il avait eu tant d’espoir en cette « grande-sœur », et elle était partie sans un regard. Quant-à son père, il était maintenant à Azkaban, reconnu mangemort aux yeux de tous après l’affrontement au ministère de la magie avec Potter et sa bande. Alors oui, Théodore a de fortes réticences à l’idée de s’attacher à nouveau.

- La baguette et le cœur de baguette sont choisi par défaut, ils peuvent donc être modifié.

-En ce qui concerne la position de Théodore sur la situation politique est le climat actuel : Théodore est pour le retour au secret. Il n’aime pas les moldus, mais il n’est pas non plus pour une guerre contre eux.

-En ce qui concerne les nés-moldus, vous avez le choix entre une haine envers eux, ou une indifférence. Mais je ne pense pas que Théodore les déteste vraiment. Il se moque des né-moldus lorsqu’il est entouré d’autres sang-purs plus pour sauver les apparences que par véritable intérêt.

-Théodore lit beaucoup. Il se passionne pour les potions. Contrairement aux apparences, il n’est pas spécialement fan de Quidditch, il n’y connaissait pas grand-chose arrivé à Poudlard, et pour combler ses lacunes, il a emprunté le livre « Quidditch a travers les âges » à la Bibliothèque.

-Théodore n’aime pas les conflits. Il les évitera comme il le peut surtout si ça dégénère, quitte à faire profil bas et fuir au moment opportun.

-Théodore est promis à un mariage arrangé avec Lilianor Zyskowski, depuis qu’il a seize ans et Lilianor dix-sept.


Avatar suggéré : Logan Lerman

Megan est cette « sœur » qui a marqué l’enfance de Théodore. Malgré la jalousie qu’il a d’abord éprouvé lorsque Megan est entrée dans sa vie, Théodore a fini par apprécier sa présence. Le jeune garçon avait quelqu’un avec qui jouer en fin de journée. Malgré le départ pour Poudlard de la jeune fille, Théodore est resté proche d’elle, jusqu’à ce qu’il rentre lui-même à Poudlard. Megan ayant trahi sa famille et s’étant détourner du destin qui l’attendait, Théodore n’avait plus le droit de rentrer en contact avec elle. Il a bien tenté de lui lancer quelques regards appuyés et quelques piques pour attiré son attention, en vain. L’indifférence qui règne depuis entre eux n’est que plus douloureux pour le jeune homme.

Je n'ai rien contre Theodore, mais je ne le porte pas non plus dans mon coeur. Il ne fait certainement pas partie de ma petite bande pour qui je pourrai, éventuellement, me battre.
Non, avec Theodore c'est autre chose. Quelque chose de plus... intellectuel. Pas de complot, pas de médisance, pas de méchanceté calculée. C'est la culture, la philosophie, les livres... Il m'inspire, et c'est un plaisir d'enfin trouver une oreille attentive aux véritables arts de la vie. Nous avons nos petits habitudes, le vendredi après les cours, nous nous retrouvons dans la bibliothèque et nous échangeons.

Alors qu'ils n'étaient qu'enfant, la tante de Lilianor et le père de Theodore en sont venus à un arranchement concernant un éventuel mariage entre deux descendants d'une lignée Sang-Pure, Lilianor descendant d'une grande famille pure de l'Océanie
et Theodore, de l'Angleterre. Arianna Zyskowski a toujours eu de bons liens avec Theodore Nott Sr., les deux étant Mangemort par ce fait même.
Lilianor et Theodore Jr. ont appris, sur leur mariage, lors de l'été de l'an 1995 alors qu'une rencontre entre les deux familles eut lieue, surtout que Lilianor n'avait jamais cherché à approcher Theodore avant cette année-là alors que les deuxfréquentaient la même maison en ayant qu'une seule année d'écart.
Le défunt grand-père de Lilianor, Arkadiusz Zyskowski, a également connu Theodore Nott Sr. aux côtés des Mangemorts mais est désormais décédé suite à son refus de se rendre face aux Aurors, en 1980.

Hope et Théodore se connaissent depuis de nombreuses années. Tous deux issus de l'Aristocratie, ils ont l'habitude de se côtoyer. Malgré les trois années qui les séparent, ils se ressemblent cependant beaucoup sur plusieurs points. Sans être nécessairement très proches, ils entretiennent une confiance mutuelle, grâce à leurs caractères. Réservés, ils agissent de la même façon, préférant souvent s'éloigner des autres plutôt que trop se confier à leurs semblables. Ils ont tous deux compris que s'attacher voulait dire souffrir, alors paraître froid et distant leur permettait de ne pas trop se lier et surtout de se préserver. Ainsi, ils se comprennent, et de ce fait, Hope est la seule personne qui comprend et surtout qui sait, pourquoi Théodore est aussi distant envers les autres. Avec elle, son secret sera bien gardé..

Pourquoi le choixpeau magique avait-il envoyé Théodore Nott   à Serpentard exactement ? Parce que le choixpeau le voyait très bien à Serdaigle, et Théodore savait qu’il se serait senti à sa place à Serdaigle. Mais l’enfant n’avait pas voulu décevoir son père alors il avait souhaité Serpentard, et le choixpeau accéda à sa requête aussitôt.

Son père. Cet homme à qui il devait la vie. Lorsqu’il était petit, il  regardait le vieil homme avec autant d’émerveillement qu’un enfant pouvait avoir devant son héros. Il le regardait aussi avec beaucoup de crainte car il les colères de son père étaient  loin d’être tempérée. Il avait toujours eu peur de son père. Rien que le ton de la voix l’intimidait et lui imposait immédiatement le respect.

Pendant un temps, il a eu l’impression d’avoir une sœur. Ses parents ont recueillis la fille d’une de leur connaissance afin de lui inculquée les valeurs de son rang.  Il a apprécié le temps passé avec elle, ponctuée par quelques crises de jalousie lorsqu’il voyait sa mère rechercher une autre compagnie que la sienne. Mais en soi, il aimait bien, l’idée d’avoir une grande sœur.

Quant-à sa mère, et bien, elle l’avait choyée comme personne n’avait du être choyé dans ce monde. Il avait tellement aimé la compagnie de cette dame à la tête haute. Si aux yeux des autres, Mrs Nott était une vieille dame aux cheveux gris, affaiblie par un accouchement tardif, pour Théodore, elle était bien plus que ça et ça vie est devenue beaucoup plus terne lorsque sa mère s’est éteinte.  Il y a bien le vide qu’elle a laissé qui lui fait mal, mais il y a aussi se traumatisme. Celui de voir le corps de sa mère, inerte, étendue dans le lit conjugal. Ça vie a changé ce jour là.

Théodore est un très bon élève. Discret, solitaire, intelligent. Il préfère la compagnie des livres à ceux des gens dit-on. En réalité, ce n’est pas tout à fait exact. Il ne ressent pas le besoin d’être lié aux autres, ou plutôt, il ne veut pas être lié aux autres. A quoi bon ? Quand on se lie, on s’attache et quand on perds la personne on souffre.  Il tenait tellement à sa mère, elle n’est plus là. Il avait eu tant d’espoir en cette « grande-sœur », et elle était partie sans un regard.  Quant-à son père, il était maintenant à Azkaban, reconnu mangemort aux yeux de tous après l’affrontement au ministère de la magie avec Potter et sa bande. Alors oui, Théodore a de fortes réticences à l’idée de s’attacher à nouveau.

- La baguette et le cœur de baguette sont choisi par défaut, ils peuvent donc être modifié.

-En ce qui concerne la position de Théodore sur la situation politique est le climat actuel : Théodore est pour le retour au secret. Il n’aime pas les moldus, mais il n’est pas non plus pour une guerre contre eux.

-En ce qui concerne les nés-moldus, vous avez le choix entre une haine envers eux, ou une indifférence. Mais je ne pense pas que Théodore les déteste vraiment. Il se moque des né-moldus lorsqu’il est entouré d’autres sang-purs plus pour sauver les apparences que par véritable intérêt.

-Théodore lit beaucoup. Il se passionne pour les potions. Contrairement aux apparences, il n’est pas spécialement fan de Quidditch, il n’y connaissait pas grand-chose arrivé à Poudlard, et pour combler ses lacunes, il a emprunté le livre « Quidditch a travers les âges » à la Bibliothèque.

-Théodore n’aime pas les conflits. Il les évitera comme il le peut surtout si ça dégénère, quitte à faire profil bas et fuir au moment opportun.

-Théodore est promis à un mariage arrangé avec Lilianor  Zyskowski, depuis qu’il a seize ans et Lilianor dix-sept.


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Megan est cette « sœur » qui a marqué l’enfance de Théodore. Malgré la jalousie qu’il a d’abord éprouvé lorsque Megan est entrée dans sa vie, Théodore a fini par apprécier sa présence. Le jeune garçon avait quelqu’un avec qui jouer en fin de journée. Malgré le départ pour Poudlard de la jeune fille, Théodore est resté proche d’elle, jusqu’à ce qu’il rentre lui-même à Poudlard.  Megan ayant trahi sa famille et s’étant détourner du destin qui l’attendait, Théodore n’avait plus le droit de rentrer en contact avec elle. Il a bien tenté de lui lancer quelques regards appuyés et quelques piques pour attiré son attention, en vain. L’indifférence qui règne depuis entre eux n’est que plus douloureux pour le jeune homme.

Je n'ai rien contre Theodore, mais je ne le porte pas non plus dans mon coeur. Il ne fait certainement pas partie de ma petite bande pour qui je pourrai, éventuellement, me battre.
Non, avec Theodore c'est autre chose. Quelque chose de plus... intellectuel. Pas de complot, pas de médisance, pas de méchanceté calculée. C'est la culture, la philosophie, les livres... Il m'inspire, et c'est un plaisir d'enfin trouver une oreille attentive aux véritables arts de la vie. Nous avons nos petits habitudes, le vendredi après les cours, nous nous retrouvons dans la bibliothèque et nous échangeons.

Alors qu'ils n'étaient qu'enfant, la tante de Lilianor et le père de Theodore en sont venus à un arranchement concernant un éventuel mariage entre deux descendants d'une lignée Sang-Pure, Lilianor descendant d'une grande famille pure de l'Océanie
et Theodore, de l'Angleterre. Arianna Zyskowski a toujours eu de bons liens avec Theodore Nott Sr., les deux étant Mangemort par ce fait même.
Lilianor et Theodore Jr. ont appris, sur leur mariage, lors de l'été de l'an 1995 alors qu'une rencontre entre les deux familles eut lieue, surtout que Lilianor n'avait jamais cherché à approcher Theodore avant cette année-là alors que les deuxfréquentaient la même maison en ayant qu'une seule année d'écart.
Le défunt grand-père de Lilianor, Arkadiusz Zyskowski, a également connu Theodore Nott Sr. aux côtés des Mangemorts mais est désormais décédé suite à son refus de se rendre face aux Aurors, en 1980.