Oops… We did it again… (PV: Chris)

03/05/2016

Oops… We did it again…
With Chris Hamilton

« Allez Mister Leviosa ! Il faut vite trouver l’entrée du château afin d’aller détruire le troll qui se trouve à l’intérieur qui à kidnappé Slava. »

Cria la brune au chat qui le suivait sur ses deux pattes arrière, l’épée à la main – à la patte? - et près à se battre à ses côté pour délivrer leur ami Slava, le russe qui avait été kidnappé par un horrible troll. Ils couraient dans un grand champ dons l’herbe était bleu saphir et s’étendait jusqu’à l’horizon. Le château était à porter de vue et bientôt il l’atteindrait. Elle fut soulagée de voir que la porte était directe devant et ne serait pas trop compliquer à trouver. Sans oublier que le pont était abaissé, elle serait donc facile d’accès. Après un moment de course, les deux ce trouvèrent enfin devant la porte. Il était étrange pour un si gros château d’avoir un si petite porte. On pourrait croire à une porte de maison un étage sur un château gigantesque. Finalement, Rebeka arriva pour enfin l’ouvrir et entrer dans ce palais. Lorsqu’elle posa sa main sur la pogné pour la tournée et entrer, elle fut dérangé par un… elle eut mal à la tête?? Puis, le temps qu’elle prit pour constater cette migraine soudaine, elle put commencer à voir le château commença à disparaitre lentement devant ses yeux… Quoi?

**********
1 Mai 1997, probablement vers 8h am ou bien 9h...

Lentement, une lumière qui fit son apparition devant les paupières bien fermées de la Bulgare commença à lui faire reprendre conscience et la sortir de cet étrange rêve. Cela commença par un terrible mal de tête, qui lui fit bien comprendre que cette histoire farfelu n’avait été qu’un rêve et qu’elle devait désormais retourner dans la pénible réalité d’une fille qui avait un terrible lendemain d’ivresse. La seconde chose qu’elle réalisa sur son réveil, était que tous les muscles de son corps la faisaient terriblement souffrir, comme si chacun d’eux était présentement en crampe musculaire. En plus, elle avait la gorge sèche comme un désert et elle avait terriblement soif. Toujours les yeux fermé, Beka amena sa main à son crâne pour tenter de contenir et apaisé la douleur qu’elle vivait et même ce mouvement lui semblait aussi difficile que de transporter un géant sur son dos. Définitivement, elle avait bien trop abusé l’alcool la nuit précédente, même pour un scandinave. Elle laissa alors sortir un grognement avant de se décider à ouvrir les yeux, toujours la main sur le front. La première chose qu’elle vie, fut le soleil, ce qui rapidement lui fit refermer les yeux avant qu’elle ne grogne dans un murmure incompréhensible…

« Eurrrg qui a ouvert les rideaux.»

Ensuite, elle ouvrit lentement les yeux à nouveau les laissant s’habituer à l’éclairage de la pièce. Ce qu’elle put alors constaté était qu’elle ne reconnaissait vraiment pas cet endroit. Le décor était bien trop laid pour que ce soit son appartement. Alors que sa tête la faisait souffrir et qu’elle regardait la pièce, ou plutôt le plafond, qui l’entourait, Beka pu réaliser qu’elle avait l’impression de totalement manquer de sommeil. Chose très désagréable à ressentir au moment même où l’on en sort. Ce fut à ce moment, alors qu’elle fixait le plafond blanc avec des motifs de fleurs du turquoise le plus laid qu’elle ait vue de sa vie, qu’elle laissa retomber son bras qui tomba sur… un corps. Bon elle n’était pas seule dans ce lit, une chance puisqu’il serait troublant de ce réveiller dans un pièce inconnu et seule. Ce n’était pas la première fois qu’elle se réveillait dans le lit de quelqu’un sans vraiment en avoir souvenir. Pour vérifier ce qui venait de lui traverser l’esprit, elle baissa la tête vers son propre corps. Effectivement, elle ne portait aucun vêtement. Il était donc facile de deviner ce qui était arrivé la vieille et qui expliquait pourquoi elle ne reconnaissait pas la chambre dans laquelle elle s’était réveillée.

La brune ramena son bras à elle et décida de tenter de se lever discrètement pour prendre ses vêtements et quitter. Elle ne voyait vraiment pas l’intérêt de rester sur place avec cet inconnu. Elle était relevée sur ses coudes afin de pouvoir repérer ses vêtements à travers la pièce, lorsque la réalisation la frappa en plein visage tel un cognard lors d’un match de quidditch. Elle se trouvait dans un lit avec… ark… Chris. Hamilton. Ark! Le président des Sinistros de l’université. Certainement l’un des personnes qui la répugnait le plus dans le monde entier. Sans oublier que ce n’était pas la première fois que la Bulgare terminait une soirée bien arrosé dans un lit avec ce loser d’ancien Poufsouffle. Un évènement semblable s’était produit au tout début de l’année scolaire, alors que les deux ne se connaissaient pas encore. Par la suite, ils avaient bien compris qu’ils n’avaient pas des caractères compatible et s’était rapidement mis à ce détester mutuellement.

Il était donc simple de comprendre que par la suite, leur aventure d’un soir était rapidement devenue un sujet de regret et qu’il n’était pas question pour l’un ou pour l’entrer d’en réentendre parlé ou d’en parler. S’était devenu un sujet tabou. Pourtant, voilà que l’alcool les avait – encore une fois – fait finir la nuit dans le même lit. Ce qui restait à se demander pourquoi… Beka était allé prendre un verre avec Slava. Comment avait-elle pu partir avec Slave dans l’intention de terminer la soirée avec lui et finalement se réveiller avec le garçon qu’elle détestait? Quand est-ce que Slava avait décidé de quitter et pourquoi ne l’avait-elle pas suivi? Là, elle ce retrouvais sujet a une belle « Walkofshame » qui allait suivre bientôt et une autre nuit gravé comme étant une nuit de regret qu’il fallait oublier et enterrer. Bref, sur ses coudes, encore dans le lit déshabillé, mais caché sous la couverture, la réaction de Rebeka, lorsqu’elle reconnut le corps muscler à ses côtés ne se fit pas attendre d’une seconde. Son visage devint blême, son corps se tendit au grand complet et elle s’exclama…

« C’est une vrai blague! »

Puis, elle se pencha le plus possible pour prendre le premier vêtement qu’elle aperçut au sol. Un chandail qu’elle enfila rapidement. Pas question de rester nue plus longtemps avec ce raté à ses côtés. Elle réalisa rapidement que ce haut n’était pas le sien, à la grandeur que cela faisait sur son dos, ça ne pouvait pas être le chandail d’une fille de un mètre soixante-dix. Or, mieux valais un chandail trop grand de ce loser que rester nue. Puis, ce mouvement rapide lui redonnant immédiatement mal à la tête, elle reprit position assise dans le lit, mis sa tête entre ses mains et grogna d'un ton de colère.

« Arrrrg non… pas encore le tocard. »

27/37/47

「Oops… We did it again」

Chris & Rebeka

1 Mai 1997, probablement entre 8h et 9h...

De la lumière. Trop vive, trop agressive. Ses yeux sont clos mais il peut deviner la clarté du soleil se posant sur son visage, comme pour l’accueillir pour ce jour nouveau et l’encourager à se lever. Fichu soleil, le garçon n’avait rien demandé sinon dormir encore un peu. Juste quelques heures. Le reste de la journée, pas plus. Pourquoi les volets n’étaient pas fermés, comme c’était habituellement le cas ? Au moins les rideaux, bon sang ! Law avait-il encore décidé de se lever tôt pour partir chanter dieu sait où et confondu leur chambre avec Versailles ? Non. Si c’était Law, il aurait certainement veillé à ne pas déranger son colocataire. Il savait que le portugais avait prévu une soirée la veille et qu’il n’aurait qu’une envie : se remettre de sa gueule de bois. Soirée. Le mot raisonna dans l’esprit confus du garçon. Il ne se souvenait pas bien de la soirée en elle-même mais il se souvenait être sorti, c’était déjà une bonne chose. Avec qui, cette fois ? Isolde ? Non, elle était trop occupée en ce moment. Lana ? Non, ils auraient certainement passé la soirée dans une de leur chambre si c’était le cas. Ben ? Possible. Il était l’une des personnes avec qui il aurait pu ingérer autant d’alcool. Car oui, c’est bien d’alcool qu’il s’agit là. Une quantité monstrueuse, vu l’état des méninges de Chris qui était pourtant habitué à boire. Cependant, il n’avait pas souvenir d’avoir prévu une sortie en sa compagnie. Qui alors ? Si seulement les rayons de soleil voulaient bien le lâcher deux minutes, il était sûr de pouvoir remettre un nom sur son compagnon, on sa compagne, de beuverie. Son cerveau lui indique que se retourner pour enfouir son visage dans l’oreiller serait le mieux à faire, son corps l’en empêche, sachant que l’idée est mauvaise. L’esprit n’est clairement pas en état de fonctionner efficacement, les données sont corrompues. Redémarrage en cours. Morphée, accepte de l’accueillir de nouveau dans tes bras !

Quand il émergea pour la seconde fois de son sommeil, son esprit était plus clair. A peine, mais tout de même. Soif. Ce fut le mot qui s’imposa en premier à lui. Il voulait boire, des litres d’eau. Mais ça impliquait d’ouvrir les yeux, ce qui était encore bien trop difficile pour le jeune homme. Le besoin suivant, qui avait sûrement une incidence directe sur sa soif, était un besoin de fraîcheur. Dieu qu’il faisait chaud, dans ce lit. D’accord le soleil s’acharnait à s’abattre directement sur lui depuis son perchoir et à travers le fenêtre, mais tout de même ! Pourquoi la couette était si chaude alors que son lit n’était habituellement recouvert que d’un simple drap ? Dans un mouvement rageur et mécontent, il battit des pieds pour dégager la couverture qui l’étouffait. Très mauvaise idée. Dans la famille Hamilton et plus précisément sur le sujet ici présent, la gueule de bois avait 3 effets majeurs. Premier symptôme, une confusion et une forte fatigue causant de grandes difficultés de concentration. Ça, il avait déjà, n’étant même pas capable de se souvenir de sa soirée de la veille. Deuxième dans la liste, une soif intarissable. Là aussi, le critère était rempli. Ultime mais non des moindre, une migraine atroce, du genre de celles qui vrillent les tempes à chaque son trop fort ou au moindre mouvement brusque. Bravo champion, c’est un sans faute, tous les symptômes sont là. Garder les yeux bien fermés et attendre que quelqu’un vienne le sortir de cette centrifugeuse. Voilà l’objectif qu’il s’était lui-même fixé, et ça aurait pu être efficace, si ce n’était pas juste un effet secondaire de l’alcool. Heureusement la sensation se dissipa bien vite et s’il prenait garde, il pourrait l’éviter. Du moins le croyait-il jusqu’à ce que quelqu’un lui hurle dans les oreilles. Pourquoi tant de haine envers quelqu’un à l’agonie ? Il connaissait cette fois, il en était certain, mais impossible de se souvenir à qui elle appartenait.

Dans tous les cas, la personne à qui elle appartenait venait de se lever du lit pour ensuite s’y rasseoir, le tout sans ménagement. Qui pouvait bien se trouver dans son lit avec lui après une soirée alcoolisée et crier de si bon matin ? Sa curiosité piquée à vif malgré la douleur, il ouvrit timidement un œil pour éviter de se brûler la rétine à cause de l’astre solaire pour voir des fleurs bleues. D’accord, soit il s’était tapé le plus gros bad trip de sa vie et avait repeint son plafond avec des motifs ignobles, soit il n’était pas chez lui. Relevant un peu la tête, son regard se porta sur son propre corps. Nu, totalement découvert. Cela prit quelques secondes au Sinistros pour comprendre. C’était donc à ça que servait l’épaisse couverture qui le recouvrait un peu plus tôt et qu’il avait envoyé valser à l’autre bout du lit. La ramenant jusqu’à lui pour s’en draper à nouveau, il reporta enfin son attention sur la personne lui ayant tenu compagnie une bonne partie de la nuit, de toute évidence. Elle était de dos mais c’était clairement une fille, ce qui était assurément une bonne chose. Cette petite taille, ces cheveux longs et bruns, cette silhouette fine… Qu’elle ne fut pas l’horreur qui l’envahi quand il comprit enfin de qui il s’agissait. D’un seul coup, l’idée d’avoir fini la soirée avec un garçon n’était plus si dérangeante, finalement.

Comment avait-il fait pour se retrouver dans le même lit que Rebeka, la personne qu’il appréciait le moins dans tout Haveirson ? Encore une fois ! La première fois il avait une excuse, il ne la connaissait pas encore et ne savait rien de son caractère narcissique qu’il jugeait parfaitement exécrable. Puis la boisson l’avait convaincu de ne pas chercher plus loin avant de passer la nuit avec elle. Mais maintenant qu’il connaissait tout ça, qu’elle était son excuse ? Il avait vu sa façon de se sentir supérieure aux autres, son comportement avec les gens et sa façon d’enchainer les garçons. Comment sa soirée avait si mal tourné ? Voulant savoir pourquoi, il se força à se remémorer la veille. Il avait passé le début de soirée avec une blonde, ça il en était certain. Lana ? Non, toujours pas, idiot. Mia. Oui c’était bien elle, il était accompagné de Mia ! Comme lui elle avait une forte résistance à l’alcool, ce qui pouvait expliquer le taux ingurgité. Mais comment était-il passé d’une soirée avec son ex copine de Poudlard à la chambre d’une Phénix ? Non, il n’était d’ailleurs pas dans sa chambre à elle. Même son statut de président ne lui permettait pas d’entrer dans les autres confréries. La chaumière ? Aucune chance, il l’aurait reconnue… Voilà un nouveau mystère qui s’ajoutait à la liste. Elle l’entendit le qualifier de tocard. Aucun doute, c’était bien elle. Comme si de par ce simple geste il pouvait révoquer la réalité qui s’offrait à lui et tel un enfant il attrapa sa couette et se réfugia en dessous, tournant le dos à Rebeka. Car oui, Chris avait des réactions assez gamines quand la gueule de bois frappait. C’était un cauchemar, il allait se réveiller.

- Pas la peste. Pas encore, je suis pas d’accord.

Il ferma les yeux et serra fort ses paupières l’une contre l’autre, priant pour, paradoxalement, se réveiller en fermant les yeux. Mais ça n’arriva pas, évidemment. Toujours sous sa couette et voyant qu’elle n’était pas décidée à bouger ou partir, commençant à légèrement mourir de chaud, il sortit la tête de son refuge. Elle ne devait pas être dans un meilleur état que lui si elle avait fini ici en sa compagnie, car elle aussi le détestait ouvertement.

- Je n’ai aucun souvenir ou presque, mais je suis sûr que c’est de ta faute.

J’avais prévenu, une vraie réaction de gamin.

J'aime shaker du booty pas toi ?

03/05/2016

Oops… We did it again…
With Chris Hamilton

Beka avait l’impression de pouvoir entendre son cœur dans sa tête et croyez-le ou non, s’était très douloureux comme son. Elle savait pertinemment à ce moment qu’elle y était probablement allez un peu trop fort la nuit précédente sur l’abus de boisson alcoolisé si les sons et la sensation lui était désormais rendu douloureux. Le monde autour d’elle lui paraissait légèrement au ralentie. Sans oublier que la pire chose qui pouvait arriver dans sa journée, venais de lui arriver. Alors qu’elle se réveillait lentement pour avoir déjà la désagréable surprise de se retrouver dans une chambre avec des rideaux ouvert, mauvaise chose pour un lendemain de veille, elle avait également pu constater qu’il y avait un corps à ses côtés. Cependant, il faut expliquer qu’elle avait vite réalisé… bah non pas vite vue son était, mais vous comprenez – que ce corps était en fait Chris Hamilton de la confrérie des Sinistros.

Pourquoi était-ce la pire chose qui aurait pu lui arriver dans la soirée précédente? Par ce qu’elle se réveillait avec quelqu’un dans son lit et ne se rappelait plus trop tous ce qu’ils avaient fait? Non pas du tout, ça sa arrivait régulièrement et ne la stressait pas le moins du monde. Si elle avait été un garçon, elle serait traitée comme étant une championne et voir même un hero pour ce genre d’action tous les soirs. En tant que fille, elle portait le belle étiquette de ‘’Salope’’ ou de fille facile. Pourtant, la brune ne s’en dérangeait pas le moins du monde. Elle était jeune, elle était belle et elle le savait. Ses deux choses ne durait pas une vie entière alors il fallait en profiter pendant qu’il était temps.

Non! La pire chose qui pouvait arriver était réellement Chris Hamilton. Dans son lit. Ce garçon était tout simplement une abomination de la vie. Physiquement, bien sûr qu’il était beau. Beka en était dégoûter, mais ce n’était pas parce qu’il était repoussant. Quoi que… elle avait toujours trouvé qu’il dégageait quelque chose de mal propre. Comme son odeur par exemple. Il fallait avouer aussi que Beka se plaisait à lui inventer des défauts, mais ça elle ne le savait même pas elle-même. Cependant, malgré son physique attirant qui avait causé qu’elle avait rapidement fini dans son lit l’année précédente, le garçon était stupide, narcissique, imbu de sa personne et agissait comme si il était le roi du monde et s’était exactement cela qui venait tomber sur le système de Beka.

C’est donc ainsi que la journée des deux amants de deux nuits ce débuta. Elle lui lança une insulte et il finit par prendre conscience de ce qui arrivait à son tour. Sans oublier que lorsqu’elle finit par reconnaitre Chris, elle était peut-être dans une couverture, mais elle put constater rapidement que lui, ne l’était plus. Il était là, nu, sur le lit dans toute sa gloire et sa splendeur. Pendant ce temps, la brune avait rapidement pris le premier vêtement trouvé pour finir dans le grand t-shirt du garçon, qui n’était pas question qu’elle lui rende. Elle avait l’impression qu’ils auraient droit à une belle ‘’walk of shame’’ aujourd’hui… Après l’avoir insulté et que le garçon ai enfin réalisé à qui il faisait face, elle pu le voir se mettre sous sa couverture et dire…

- Pas la peste. Pas encore, je suis pas d’accord.

Beka laissa aller un rire sec et lui lança…

« Ouais, ben moi non plus tu sauras. »

Puis, elle prit un moment pour regarder autour. Elle put voir que qu’il y avait un vase de fleur brisé au sol, une peinture avec désormais un trou en plein milieu et un sofa, dans le dossier de chaise en faisait désormais une chaise longue puisqu’il avait également été endommagé. Soudainement, elle réalisa que si cela n’était pas arranger au plus vite, les deux pourraient se retrouver dans le trouble avec l’hôtel ou motel dans lequel il se trouvait. Puisque la brune avait décidée d’insinuer qu’ils étaient dans un hotel. Le temps de regarder tout cela, que la brun sortait de sous sa cachette pour ajouter…

- Je n’ai aucun souvenir ou presque, mais je suis sûr que c’est de ta faute.

Ce fut la goute de trop pour Rebeka, car s’il agissait en gamin, il fallait souligner que l’Abraxan n’était pas vraiment mieux côté réaction. Rapidement, son visage s’empourpra de colère et elle répondre, d’un ton trop fort même pour sa propre tête qui souffrait déjà…

« Ma faute !? Je me retrouve dans un endroit inconnu, avec un imbécile sans aucun souvenir. Aucun juge sein d’esprit ne pourrait croire que c’est ma faute. Surtout pas en voyant ta tronche de troll attardé mental qui s’est fait frapper par un train. » Puis elle pointa l’été de la chambre avant d’ajouté, toujours sur le même ton colérique… « Puis tu voie ce que tu as fait à la chambre!? C’est certainement pas moi qui ai brisé tout cela, je ne pèse pas 400lbs comme toi, t’as-de-gras. La va falloir tout réparer. »

Puis, elle finit sa phrase, se mettant la main sur la tête ayant ranimé vivement sa migraine et laissant sortir un grognement de douleur.