| | Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies | |
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Tell me who you are... Date d'inscription : 17/09/2016 Parchemins : 13 Points d'activité : 0 Avatar : Taylor Marie Hill Crédits : Mimie Geignarde ... aka moa. Multicomptes : Adrasteia N. Raventhrone Image : Âge : 17 ans Année : Septième année à Poudlard Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 50 - 50 - 50 | Sujet: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 17:08 | |
| | Pansy Aconix Parkinson | Informations civiles Nom : Pour la puissance aristocrate ravageant sans gène à des kilometres à la ronde. Pour cette insatiable narcéine se sacrifiant officieusement en son nom : P A R K I N S O N . Prénom(s) : Douce pensé aux pétales crachant leurs couleurs saturées. Pansy Aconix … si ce n’est que pour l’idéalisme d’une représentation de la beauté du monde, sali par la main de l’homme. Date de naissance : Premier janvier 1980 Age actuel : 17 ans Origines : Sang-pur, sang-bleu, sans contredire du sang s’idéalisant au royautés des vingt-huit famille légendaires. Année : Septième année. | Informations Magiques Bois de baguette : Du bois d’aubépine aux couleurs extrêmement pâle, faisant contraste à sa personnalité explosive. Coeur de baguette : Ventricule de dragon dont le caractère est plus qu’affirmé. Si ces cœurs ont tendance à se faire volage, la sienne s’est rapidement montrée des plus infidèle, ayant passé plus de quarante ans dans la commode de sa gouvernante – cracmol- sans jamais avoir servi. Elle fait bien souvent des siennes en présence de sorcier plus expérimenté que Pansy, démontrant sa puissance dans l’espoir de se faire conquérir pour exploser de tout son potentiel. Longueur & Souplesse : Elle mesure 30 centimètres et est très souple. Patronus : Un cobra royal qui ondulait dans toute sa splendeur, malheureusement, la brune n’arrive plus à n’en produire depuis la bataille. Animal de compagnie : Aurora, une magnifique chatte de race British long hair dont les yeux vert ont inspiré son nom. Elle est très séductrice et cours toujours hors de sa chambre pour obtenir l’attention des autres élèves.
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Descriptions | Caractère de votre personnage
Aimante – Leader – Affectueuse – Pleine de convictions – Impulsive – Audacieuse – Protectrice – Indépendante – Reste fidèle à elle-même – Exubérante – Spontanée - Arrogante – Fourbe – Commère – Facilement manipulable – Nie ses problèmes – Autoritaire – Possessive – Immature – Moralité discutable
Et si ce n’était pas de ses exubérances. Et si par pur hasard, par pure vicissitude, elle n’était pas complètement responsable de ses périclitées ? Parce qu’au final, ce n’était pas seulement ... elle. Ce n’était pas seulement sa présence sur terre qui faisait tourner le monde dans tous les sens, ce n’était seulement sa faute si les jeunes filles de Serpentard avaient mauvaises réputations. Ce n’était pas non plus elle qui avait décidé d’instaurer l’hégémonie qui inoculait les esprits les plus rusés depuis si longtemps déjà. Non, elle n’était pas le problème et non, elle n’était pas responsable de son propre déclin, observant ses pieds subir les contrecoups de tribulations, vacillant d’un équilibre précaire sur un récif aux pierres frangeantes alors que l’océan se fracassait avec force, simplement pour parfaire la scène aux élégies glorifiant la loi du talion. Un cercle vicieux qui l’aspirait depuis sa première année, tournoyant d’une danse macabre aux accusations injustes sur une jeune femme qui se contentait d’observer la fine soierie de sa robe voltiger aux douces mélodies de musiciens prosaïques.
Pansy la chipie, Pansy la furie … Pansy Parkinson, la seule harpie des vingt-huit noblesses de Grande-Bretagne.
Sur son récif elle patientait, elle avait toujours patienté. Non sans s’en fendre les ongles de devoir toujours attendre dans l’optique où le sang-bleu n’était pas toujours synonyme de traitements royaux. Avec le temps, la jeune femme avait comprit que si les jeunes femmes au sang-pur avaient tendances à récolter l’admiration au creux des prunelles de jeunes sorcières, si elle semblait incontestablement infecter le monde d’une amnistie qui prenait naissance de sourires émerillonnés, lorsqu’il était question de ses regards éthérés, la plupart des étudiantes se contentaient de froncer les sourcils dans un dédains frôlant l’imprécation. Elle était paradoxale, elle était hétéroclite. Et si sa langue se faisait tout aussi fourbe que celle des autres, ses mots semblaient foudroyer davantage, bouleverser autrement, transpercer plus naturellement de ce qu’elle avait toujours perçut comme étant une implacable facétieuse parcelle d’elle-même. Alors elle avait essuyé les réactions tout aussi tumultueuses que son irascibilité. Sur son récif elle se laissait écraser par la mortification de son âme, répondant malgré elle à ses arrogances spontanée, à son impulsivité qui ne faisait qu’aggraver son immaturité conflictuelle à ses ambitions. Elle avait patienté si longtemps, qu’elle s’était vêtue d’une doctrine aux audaces rocambolesques.
Pansy Parkinson. Deux ‘’P’’ parce qu’elle est doublement p**asse.
Au fil des ans, elle s’était mithridatisée face aux désobligeances de ses confrères dans ce qui semblait maintenant être une routine. S’ils avaient cru pouvoir la changer, ils s’étaient bien trompés. Toujours et encore sur son récif, elle se faisait forte et indépendante. S’autoproclamant reine d’un océan qui ne lui faisait plus frayeur de par sa puissance. Elle ne combattait plus les marées, elle ne fuyait plus des vagues poussées par le vent. Elle n’avait plus peur. L’odieuse petite Parkinson déversait elle aussi l’amnistie mais de façon égoïste, inversant inévitablement cette infortune qui l’avait longtemps suivit. Elle savait qui aimer, elle savait qui l’aimait et le reste pouvait bien brûler en enfer qu’elle n’en n’aurait rien à faire. Et si certains avaient sut regarder un peu plus loin au creux de ses iris voilés par ses tendances autoritaire, ils avaient également pu percevoir cette faible luminosité qui ne demandait qu’à être protégée. Ce n’était pas tant son impulsivité ou son arrogance dont elle faisait preuve, mais bien une question de méfiance profonde aux affronts sociaux qui constituent un réel danger pour tout ce qu’elle avait réussit à construire depuis son premier souffle.
| Informations importantes
Pansy a toujours été une jeune femme qui prenait soins de son apparence. Il semble seulement que les choses ont empirées avec le temps, sa présence aux repas se faisant de plus en plus rares. La pression parentale est une chose relativement saine et facile à vivre, seulement, pour ce qui est de Mme Parkinson, il semblerait que les contrecoups d’un mariage forcé et la naissance de sa seule et unique fille aient accentué son caractère déjà atrabilaire, déchaînant ses reproches déluré sur Pansy. Pas assez jolie, pas assez gracieuse, pas assez respectueuse, pas assez mince. Au fil du temps, la jeune femme avait fini par comprendre que son poids était la seule et unique chose qu’elle pouvait contrôler et ça … c’était une sensation jouissive qu’elle avait bien rarement ressentit. Au cours de l’été 1997, les choses ont bien dégénéré, et si elle passe son temps à décrire et valoriser les beautés dont elle fut choyée tout au long de l’été dans les rues de Milan, la jeune femme dévie bien largement de la réalité. Si certains avaient remarqués une perte de poids importante au cours de sa sixième année, suite à sa rupture avec Malefoy, son retour à la maison fut des plus chaotiques. Après une année aussi importante et imposante en émotion, ses parents avaient décidés que son confinement perpétuel dans sa chambre était des plus normales. Toutefois, lorsque le mois de juillet tirait à sa fin, sa gouvernante exprima ses inquiétudes au couple Parkinson, décrivant la jeune femme comme étant souffrante de maux bien plus importants qu’une simple mélancolie. Elle fut déclaré anorexique et admise dans un centre réputé pour ses traitements contrant la maladie. Ses parents l’ont accompagné jusqu’à Milan, pour ne revenir qu’à quelques jours près du début des cours, traînant honteusement une fillette au corps faible et maigrichon.
| Goûts
Si la jeune femme se fait bien souvent reprocher d’avoir une personnalité méphitique, elle semble vouloir compenser de par ses goûts esthétiques, abordant toujours des tenues s’inspirant des modes actuelles, ne négligeant aucun aspect. Son goût pour la beauté extérieur devient bien rapidement un problème, tant l’importance de la superficialité devient ostensible. Et c’est donc ainsi que la jeune femme inspire et aspire au bonheur, le cou débordant de pierres précieuses accentuant la couleur de ses yeux insatiables. L’art étant d’une importance primordiale, la jeune femme tente d’ouvrir son esprit pour en comprendre toute les nuances, ce qui est parfois difficile tant sa moralité est souffrante. Elle ne baisse toutefois pas les bras, sachant parfaitement qu’elle peut trouver ses propres interprétations des œuvres qui affecteront ses croquis.
| Rêves & Ambitions
Pour le moment, la jeune femme voue une admiration bien importante pour tout ce qui touche à la mode en tout genre, tentant de chercher le plus d’expérience en débutant une carrière en mannequina, ce qui ne vient en rien à aider son problème de poids. Et pourtant, elle s’accroche aux compliments des photographes ou des couturiers quant à sa corpulence. Elle sait pourtant que ce type de carrière est éphémère et elle souhaite démarrer sa propre marque de vêtements haute-couture par la suite.
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Histoire de votre personnage | Ceci sera l'histoire de votre personnage. Origines familiales, enfance, scolarité, soyez le plus précis possible ! Conseil aux nouveaux joueurs : une histoire très travaillée donnera un personnage plus intéressant pour les autres joueurs, mais aussi pour vous ! Réfléchissez-y bien.
Protéger.
Protéger ses paires pour assurer le bon vouloir des choses. Protéger sa famille pour assurer la suprématie d’une dynastie future. Protéger, se protéger soi-même parce qu’au fond, il n’y a que soi, toujours et encore soi. Sous les yeux avertis d’une mère qui rejette toujours le blâme d’une jeunesse gâchée par sa propre chaire, d’un corps qui vieillit avec le temps pour observer celui d’une version plus gracieuse qu’autrement, plus jolie qu’autrement, plus forte qu’elle autrefois. Que des ‘’ Il était une fois ‘’ que des regrets et des lamentations, que des sourires fanés aux épines aussi acerbes que la langue d’une Parkinson. Protéger, parce qu’il n’y a rien d’autre à faire lorsque la haine remplace l’amour maternel. Parce qu’il n’y a rien d’autre à faire lorsque la jalousie se confond avec la rancune aussi scintillante que les pierres qui ornaient l’annulaire d’une mère aux tendances adultères.
Protéger.
Elle glissa le bout de ses doigts contre la fenêtre du Poudlard express, dessinant grossièrement les lettres de son nom, ses yeux lorgnant sur cette bague qui ornait sa main gauche dans toute sa splendeur. Elle ne la méritait pas, elle, cette femme aux sourires ravageurs qui n’omettait jamais de lui rappeler lorsqu’elle faisait un faux pas, lorsqu’elle disait un mot de trop, lorsqu’elle prenait un peu de poids, lorsqu’elle perdait un ou deux kilo, elle était toujours là … pour la « protéger ». Elle ne la méritait pas, cette bague enjolivée de diamants et de promesses éternelles, qu’elle avait dérobée à coup de « oui je le veux » sous les yeux émerveillés d’invités aux habits décadents. Tout comme elle ne méritait pas son nom, lorsqu’elle avait soupiré des sorts aux conséquences désastreuses devant les murs de l’école qui s’écroulaient aussi brutalement que les corps des sorciers aussi jeunes qu’elle ne l’était. Protéger, c’est ce qu’elle avait tenté du mieux qu’elle pouvait et pourtant, à quoi tout ça avait rimé ? Elle était rentrée chez elle, la mort dans l’âme et le cœur lourd de souvenirs pour retrouver sa famille, frémissante à la suite des évènements. La haine n’apportait que la haine, la peur n’apportait que la peur et pourtant, elle n’arrivait pas … à se départir de cette amertume qui grondait rageusement pour venir imprégner la plus candide de ses pensées. Elle leurs en voulait tous, tous et chacun. À eux, ces mages qui avaient louangé un homme qui n’était pas un homme, qui n’était pas un roi, qui n’était plus, emportant avec lui des promesses qu’il avait hurlé à ses partisans. À eux, ces anarchistes qui avaient combattu pour une cause qu’ils avaient clamés être juste, être bonne … que de se battre les uns contre les autres était la chose à faire, pour obtenir la justice qu’ils méritaient, la place qu’ils avaient toujours mérités. Elle les blâmait, d’avoir jugé convenable la possible perte d’enfants pour cette cause qu’ils avaient lorgnés, elle les pointait du doigt, de pleurer ces enfants qui n’avaient rien demandé, si ce n’était qu’un diplôme d’une école aux ruines fumantes d’une guerre aussi puérile. Ils n’avaient pas le droit de verser des larmes pour ce qu’ils avaient enclenché, pour ce qu’ils avaient souhaité.
Un long soupire s’échappa de ses lèvres, ses yeux s’obstinant à regarder les décors qui défilait à toute allure de l’autre côté de la fenêtre, écoutant distraitement les paroles de ses amies qui déblatéraient sur des ragots aussi vide de contenu que ne l’était leurs vies. N’avaient-elles rien apprit de cette histoire ? Non, parce qu’elles avaient simplement prit la fuite dès la première occasion. « Pansy ? C’est une bien jolie bague! » Elle avait sursauté, observant ses amies les yeux ronds empli de questionnement, s’efforçant de trouver dans son esprit les paroles qu’elles venaient de lui dire. Elle avait finalement levé sa main, fronçant les sourcils alors que les rayons du soleil lui perçaient les yeux de par les reflets des joyaux qui y figuraient. Un sourire fier étira ses lèvres, ondulant ses épaules sous les flatteries de ses comparses « C’est un cadeau de mon père, pour ma dernière année. Elle vient d’Italie, nous y avons passé tout l’été … Milan est une si jolie ville … » Avait-elle finalement dit avant de se faire couper la parole, « Avec de si joli garçons » - Des rires, des gloussements d’écolières qui avaient oublié, qui avaient repoussé l’idée de reparler d’évènements aussi disgracieux que les corps entassés qui hantaient l’intérieur de son crâne. « N’est-ce pas Pansy? » - Elle hocha la tête, ses lèvres s’entrouvrant alors qu’elle observait une jeune femme passer devant sa cabine, la tête aussi haute que son prénom céleste. Elle se redressa brusquement, bousculant au passage les jeunes femmes qui comblaient l’espace ridiculement petit de la pièce, ouvrant la porte avec hâte. Ses pas résonnaient d’un bruit sourd dû au tapis du train, sa main agrippant celle de la jeune femme aux cheveux teintés d’un rouge qui complémentait les couleurs de sa maison, traîtresse à son nom, traîtresse à son sang. « Astoria, attend ! » Avait-elle demandé d’une voix désespéré qui l’avait elle-même surpris, pressant ses lèvres l’une contre l’autre alors que les mots se faisait silence, peinant à savoir ce qu’elle voulait dire. Elle soupira faiblement, ses yeux délivrant des propos que sa langue ne semblait pas apte à faire. Des discours qui pendaient au bout de ses lèvres, au bout des ses songes. Elle resserra ses petits doigts contre la paume de sa main, redressant ses épaules avec toute la fierté du monde. « Je … » - Elle coupa ses mots, pouvant sentir le sang quitter son visage sous la nervosité. Qu’y avait-il a dire finalement ? Qu’y avait-il à demander … vraiment ? Elle haussa ses épaules, ses doigts glissant contre sa paume pour laisser tomber sa main contre sa propre hanche. Que tout irait bien ? Que la vie reprendrait son cours sans trop de conséquences ? Un faible sourire étira ses lèvres, haussant les épaules. « C’est un peu tôt mais en fait, je voulais savoir … Comme tu sais c’est ma dernière année et j’avais envie de faire quelque chose de spécial pour Halloween cette année et hum … Peut-être tu pourrais m’aider ? Enfin, avec des gens sympa et puis … ça pourrait être … sympa.» Avait-elle marmonnée, haussant un sourcil pour elle-même, regrettant amèrement la stupidité de ses propres paroles. Une fête pour Halloween ? Vraiment ? C’était si simple finalement, comment va ta sœur? Comment vas-tu ? Comment était ton été ? Comment va ta vie et as-tu beaucoup pleuré ? As-tu mal, comme moi ? La rouge afficha un grand sourire qui venait faire hommage à ses excentricités, à ses caprices légendaire qui faisaient voltiger les regards aussi scandaleusement que les couteaux qui volaient bas sous son passage. Elle n’était qu’esclandre, elle n’était qu’infamie … et dieu savait qu’elle admirait le scintillement de ses prunelles d’une simple gamine portant le fardeau d’un déshonneur si honorable. « Désolé Pansy, je dois vraiment y aller … Mais oui ! Oui ce serait vraiment sympa … Nous verrons cette semaine d’accord ? » avait-elle dit d’une voix résonant de ses diableries. La verte hocha la tête, souriant à son tours alors qu’elle l’observait reprendre la route. « Friandises ? » Avait grinché d’un ton monotone la vieille femme à chariot, faisant sursauter la brune qui reprenait aussitôt sa quiétude, balayant l’offre d’un revers de main, d’un battement de cil aussi gracieux qu’ingrat, pivotant sur elle-même pour retourner elle aussi à sa cabine dont elle pouvait entendre une myriade de rire emplir la pièce. Elle s’excusa mollement aux jeunes femmes présentes, s’asseyant avec élégance, le dos droit, les épaules droites, le menton droit. Parce qu’il n’y avait que la droiture pour représenter la noblesse d’une aristocratie aussi voûtée. Parce qu’il n’y avait pas assez de droiture en ce monde pour réclamer la rédemption que tous lorgnaient avec velléité, les yeux emplis d’aversion, à genoux devant la fatalité qu’ils blâmaient à l’unisson d’un cœur composé de haine. Elle accepta silencieusement le thé qui lui était offert, fronçant les sourcils alors que cette bague faisait encore des siennes, l’aveuglant quelques secondes d’une nitescence qui miroitait le soleil d’automne. Une bague pour la gloire, une bague pour l’amour. Une bague pour les promesses, une bague pour la honte. Elle soupira longuement, se demandant combien de temps sa mère prendrait avant de comprendre qu’elle lui avait dérobée sa bague de fiançailles, parce qu’au moins elle avait assez de cœur pour l’enlever avant de batifoler avec ses jeunes amants. Avait-elle seulement remarqué ?
Le train s’immobilisa finalement, laissant la jeune femme pantoise alors qu’elle regardait avec insistance la gare de Pré-au-Lard, pinçant les lèvres avec force. Les jeunes femmes se levaient pour sortir avec nonchalance, se mêlant aux étudiants débordant d’une joie qui lui faisait défaut, ne sachant que trop si elle avait réellement envie de poser son pied sur le pavé de pierre qu’elle avait foulée les six dernières années, souriant avec fierté alors qu’elle s’impatientait de prendre place à la table de Serpentard, s’esclaffant aux paroles d’un petit roi blond. Elle se releva brusquement, ouvrant la porte de sa cabine pour s’arrêter quelques secondes, ses prunelles cherchant désespérément sa présence, sa prestance, le prestige d’un mauvais présage voilant ces iris aux teintes d’un acier fêlé. Elle traversa la foule sans trop se préoccuper d’avoir laisser ses bonnes manières péricliter dans cette cabine qu’ils avaient toujours partagée. Son corps se percutait d’élève en élève, de déception en déception alors que les visages s’apparentaient soudainement à une réalité ostensible. La persévérance avait toujours été un point d’honneur, une manière détournée d’être mauvaise perdante et d’en récolter le respect de ses paires. Et pourtant, alors qu’elle gravissait les escaliers rouges de la passerelle de la gare, la jeune Parkinson apprenait amèrement les similitudes entre la persévérance, l’obstination et l’ingénuité face à cette relation aux émotions désormais proscrites. Elle posa ses mains contre la rampe de fonte vermeille, ses longs cheveux qu’elle avait soigneusement bouclés pendant des heures avant de prendre ce maudit train virevoltaient devant ses yeux déjà voilés par la colère qu’elle avait remarquablement refoulée depuis des mois déjà. Et du haut de sa passerelle elle vérifiait ses théories sur les visages conviviaux d’étudiants qui déambulaient pour rejoindre les barques. N’avait-il donc pas la moindre notion du courage, de cran ou même de ce stoïcisme qu’il laissait supposer ? Elle avait patienté longuement tout au long du trajet, chassant ses rêveries qui avaient fait palpiter son cœur alors qu’elle l’imaginait, marché lentement devant la porte vitrée de sa cabine, lui jetant un regard furtif qui aurait apaisé ses angoisses. Était-il seulement présent, serait-il seulement là ? Ses doigts se resserraient avec force, relevant son menton avec hardiesse face à ses résolutions inédites qui se propageaient silencieusement au gré d’un vent d’automne prématuré. Et si les uns avaient le droit d’oublier et si les autres avaient le droit d’avancer … et si les eux avaient le droit de s’exiler, elle, elle aurait le droit de simuler. Prétendre dans une prétention qui lui était légendairement reprochée, qui lui était exagérément attribuée. UC
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Répartition à Poudlard | Année souhaitée : Septième année. Options choisies en 3ème année : Art & Étude des Moldus.
Notes obtenues aux B.U.S.E.S A remplir seulement si vous êtes en 6e/7e Année. ATTENTION : Les notes en dessous de A montreront les matières que vous ne poursuivez pas en 6ème et 7ème année. N'oubliez pas de renseigner les noms de vos options dans la liste. | Sortilèges - O Métamorphose - O Potions - O Défense contre les Forces du Mal - A Histoire de la Magie - E | Botanique - A Astronomie - E Art - O Étude des Moldus - E |
| Qui êtes-vous hors du jeu ? Prénom ou pseudo : Age : toujours 25 ans Célébrité sur votre avatar : Taylor Marie Hill Comment avez-vous trouvé le forum ? Y'A PAS MEILLEUR Avez-vous lu le topic dédié aux nouveaux joueurs (ici) ? 100 fois |
Signature du règlement Pour connaître les règles du forum, pour les respecter et ainsi pour vous garantir une bonne expérience de jeu avec nous, nous vous demandons de lire le règlement en suivant ce lien et d'inscrire ici votre engagement à le suivre. Je m'engage à suivre le règlement de MMHP et à accepter les conséquences qui résulteront du non-respect de ce dernier, s'il y a lieu. J'inscrirai ici mon pseudo pour prouver cet engagement : Pansy A. Parkinson, Queen P ... pour pansy pas pour pétasse hein. |
Dernière édition par Pansy A. Parkinson le Mar 4 Oct 2016 - 21:54, édité 17 fois |
| | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 04/03/2016 Parchemins : 650 Points d'activité : 172 Avatar : Virginia Gardner Crédits : Hope Westminbrook, première du nom et reine de la Scandinavie Multicomptes : Zahara J. Elmandjra / Marina Y. Tsvetnova Image : Âge : Née le 28 Novembre, 1980 - 16 ans Année : 6iem Métier : Élève de Poudlard Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 35 - 45 - 55 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 17:33 | |
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| | | | Tell me who you are...
| Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 17:40 | |
| Ma douce et tendre Pansy |
| | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 10/01/2016 Parchemins : 276 Points d'activité : 0 Avatar : Felix bujo Crédits : Adras' Multicomptes : Ambrose Malia Image : Âge : 16 ans Année : 6ème Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 50 - 50 - 50 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 18:18 | |
| Rebienvenue parmis nous |
| | | | Tell me who you are...
| | | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 17/09/2016 Parchemins : 13 Points d'activité : 0 Avatar : Taylor Marie Hill Crédits : Mimie Geignarde ... aka moa. Multicomptes : Adrasteia N. Raventhrone Image : Âge : 17 ans Année : Septième année à Poudlard Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 50 - 50 - 50 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 18:32 | |
| Merci à vouuuus *____* vous êtes trop gentils. J'espère pas décevoiiir |
| | | | Tell me who you are...
| Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 18:48 | |
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| | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 04/03/2016 Parchemins : 650 Points d'activité : 172 Avatar : Virginia Gardner Crédits : Hope Westminbrook, première du nom et reine de la Scandinavie Multicomptes : Zahara J. Elmandjra / Marina Y. Tsvetnova Image : Âge : Née le 28 Novembre, 1980 - 16 ans Année : 6iem Métier : Élève de Poudlard Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 35 - 45 - 55 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 18:55 | |
| Jamais, vilaine |
| | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 01/07/2016 Parchemins : 162 Points d'activité : 13 Avatar : Niclas Gillis Crédits : Avatar Hopie & gifs Popgun, Sign Solosand Multicomptes : Féliks Karkaroff Image : Âge : 18 ans depuis le 25 Janvier 1979. Premier né de la famille Sharen sous le signe du Verseau. Année : 1ère année à Haveirson Cursus : Après avoir été recalé au cursus Quidditch, il s'est tout naturellement retranché sur de la Botanique. Métier : Travaille, avec beaucoup trop d'application, au chemin de traverse durant l'été, à l'animalerie magique de sa mère. Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 36 - 46 - 56 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 18:58 | |
| Rebienvenue à toé BoT ! Ça va envoyer du pâté tout ça encore !! Du looooove sur tes petites fesses ! |
| | | | Tell me who you are...
| Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 20:24 | |
| Rebienvenue à toi avec cette magnifique fiche |
| | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 30/08/2016 Parchemins : 59 Points d'activité : 0 Avatar : Mackenzie Foy Âge : 15 ans Année : 5eme Cursus : Même si elle est pas encore à Haveirson, elle compte suivre un cursus pour devenir Auror Métier : Elle veut devenir Auror
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 40 - 50 - 60 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 20:40 | |
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| | | | Tell me who you are...
Date d'inscription : 19/12/2015 Parchemins : 792 Points d'activité : 8 Avatar : Emilia Clarke Crédits : Will & JX ♥ (Gif) Multicomptes : Léonor Wooden Image : Âge : 24 ans. Année : 2ème année à Haveirson. Cursus : Fabrication de Baguettes Magiques, mais elle n'est plus très sûre de ses choix. Métier : Aspire à devenir boulangère - pâtissière magique. Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 34 - 44 - 54 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 21:34 | |
| C'est ma folle ça, non ? Rebienvenue ♥ |
| | | | Tell me who you are...
| Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 22:43 | |
| Rebienvenue la belle Adra |
| | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 11/09/2016 Parchemins : 37 Points d'activité : 29 Avatar : Alex Pettyfer Âge : 18 yo Cursus : Mêtiers du sport Métier : Coach, enseignant ou joueur, il hésite encore.. Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 50 - 50 - 50 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Sam 17 Sep 2016 - 22:52 | |
| Je suis sûr que tu vas faire de grandes choses avec elle. Hâte de voir ce que ça va donner |
| | | | Tell me who you are... Date d'inscription : 07/02/2016 Parchemins : 387 Points d'activité : 116 Avatar : Stephen Amell Crédits : Hazel ** Multicomptes : Alexandre Wojcinska Âge : 21 ans Année : 2ème année à Haveirson Cursus : Journalisme Métier : Call me Mister Fahrenheit Situation financière :
Fiche de duelliste Seuils de réussite: 27/37/47 | Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies Dim 18 Sep 2016 - 8:29 | |
| Rebienvenue à toi *prend Pansy sur ses genoux et la laisse manger des tartes tout en la sécurisant pour éviter qu'elle ne tombe* Comme les autres l'ont dit, tu vas faire des merveilles |
| | | | Tell me who you are...
| Sujet: Re: Pansy A. Parkinson x cause we don't need your policies, we have no apologies | |
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