Piéce confortable... (Avec François Ducharme, privé)

Leya était retournée s'asseoir sur la chaise qu'elle occupait, face à François, pour le dîner aux chandelles... Le jeune homme était muet, complètement subjugué par la beauté de la belle Serpentard. Il la regardait, admiratif, amoureux... C'était la première fois qu'il rencontrait quelqu'un qui lui faisait autant d'effet. Il avait bien entendu rencontré plusieurs jeunes filles au cours de sa courte vie, et il s'était souvent amusé à leur faire la cour... s'amusant de les voir rougir sous ses compliments et de voir leurs sourires timides lorsqu'il usait de son charme sur elles... Il n'avait encore jamais perdu ses moyens devant une femme...

Jusqu'à ce qu'il rencontre Leya.

Cette rencontre avait en quelques sortes bouleversé sa vie... Il n'avait jamais éprouvé de sentiments tels que ceux qu'il ressentait pour la belle Verte et Argent et cela lui faisait parfois perdre totalement la maîtrise de lui-même... Il devenait rêveur, se rendant en imagination auprès de sa belle... Imaginant combien il serait bon de pouvoir poser ses lèvres sur celles couleur vermeille de la jeune fille. Parfois, ses amis avaient beau lui parler qu'il ne les entendait plus, trop pris par ses pensées. Depuis cette rencontre dans le parc, le coucher de soleil, la douceur de la main de la belle Leya, le jeune homme n'avait pas arrêté de penser à elle, ne serait-ce que pour une seule seconde. Elle occupait chacune de ses pensées... Il avait été tellement heureux de recevoir cette invitation...

Et puis, sans qu'il ne puisse réellement prendre le temps de croire à ce qui lui arrivait, son rêve avait basculé dans la réalité. Il avait passé un moment fantastique avec la jeune fille... Et avait finalement embrassé ses lèvres si tentantes... Cela avait été encore plus délicieux que ce qu'il imaginait. Il flottait sur un nuage, sa belle était tout près et pour rien au monde il ne la laisserait s'envoler... Il était fou amoureux et intimement convaincu qu'aucune fille au monde n'égalait celle qui se trouvait devant lui à cet instant. Et maintenant qu'il l'avait trouvé, il ferait tout en son possible pour la garder près de lui... Telle une rose que l'on aurait cueillie, une rose frôlant la perfection, qu'on ne voudrait voir faner pour absolument rien au monde.

Il aimait les yeux noisettes de la belle, ses cheveux tombant en cascade sur ses épaules, son sourire magnifique et le goût de ses lèvres... Mais il aimait également son allure un peu rebelle, sa façon de foncer lorsqu'elle désirait quelque chose et sa douceur... il se sentait attiré vers elle comme un papillon vers la lumière...

Le jeune homme fut tiré de sa contemplation lorsque Leya se leva pour mettre une musique d'ambiance... François était d'accord, cela ajoutait une touche intensément romantique... Il sourit à la jeune fille qui s'approchait de lui... elle se pencha pour déposer ses lèvres douces et chaudes sur la joue du jeune homme qui sourit de plus belle.

Il se leva lorsqu'elle l'entraîna à le faire, avant de recevoir un nouveau baiser sur les lèvres. Ce fut encore une fois si intense... Doux... savoureux... qu'il s'abandonna et l'embrassa comme jamais il ne l'avait embrassée... Elle se détacha de lui et le regarda en souriant, le regardant droit dans les yeux. Ses pomettes étaient teintées de rose et cela lui donnait une allure à couper le souffle. Ainsi dans la lumière des chandelles, les cheveux tombant sur ses épaules et dans son dos, les yeux tachetés de malice et le sourire aux lèvres, le jeune homme n'avait qu'une envie... Sceller à nouveau leurs lèvres dans un baiser passionné... Mais il ne le fit pas, préférant attendre encore un peu avant de céder à ce désir...

Le dîner reposait toujours sur la table, mais François n'avait plus faim... Il avait à peine avalé un raisin mais avait décidé que pour ce soir, il se nourrirait de baisers et d'amour... Il ne comptait plus retourner s'asseoir à la table, il ne comptait plus s'éloigner de Leya... Il était trop bien lorsqu'il était près d'elle.

- Mon amour, m’accorderez-vous une danse ?

Le jeune homme sourit... Il reconaissait bien là les tendances fonceuses de Leya, son envie de faire autrement et d'obtenir ce qu'elle désirait contre vents et marées. D'ordinaire, cela aurait été à François de l'inviter, mais elle l'avait fait, comme pour la soirée d'ailleurs... Mais il aimait que cette jeune fille fasse les premiers pas, lui qui avait toujours eu à les faire dans le passer... il trouvait cela différent, nouveau, rafraichissant...

" Avec un immense plaisir..."

Il souriait... Il s'approcha d'elle et enlaça sa taille de sa main droite. Il posa sa main gauche sur l'épaule de la jeune fille et descendit le long de son bras dans une douce caresse, pour finalement lui prendre la main et la déposer sur son torse. Tranquilement, il bougeait sur le rythme lent de la musique, gardant les yeux fixés dans ceux de Leya, n'arrivant toujours pas à croire à son bonheur. Il se pencha alors à son oreille, et rassembla tout le courage qu'il possédait... Pour lui murmurer quelque chose qui venait vraiment du coeur, et qu'il avait envie de lui dire depuis belle lurette...

" Leya... Je... "

Il prit une grande respiration, il avait du mal à le dire... C'était la première fois qu'il disait ces mots à une fille et il voulait qu'elle comprenne que c'était vraiment sincère...

" ...Je t'aime... "

Il déposa un doux baiser sur la joue de la jeune fille, avant de descendre doucement dans son cou... pour retrouver ensuite le chemin de ses lèvres, qu'il embrassa avec toute la passion qu'il éprouvait...

Absorbé par l’idée et le désir d’être avec l’homme de ses rêves, Leya lui sourit quand ce dernier accepta son offre pour danser. Les seules fois qu’elle avait dansé c’était pour le bal d’halloween et elle était accompagnée par son ami. Si elle aurait connu plutôt François, elle ne se serait sûrement pas gêner de l’inviter, elle était du genre à être fonceuse… car pour elle dans la vie, si elle veux quelque chose, ce n’est sûrement pas en faisait rien qu’elle pourrait l’avoir, même cela lui mènerait à l’échec, elle doit essayé, sinon elle ne s’aura jamais si elle avait une chance…

Un frisson parcourut le corps de Leya, ce fut le Rouge et Or, qui plaçait sa main sur son épaule en la descendant ce qui fit une caresse pour prendre sa main et la posa sur son torse. Leya regarda François, toujours dans les yeux, comment ne pas regarder un si bel homme autre part que sur son visage? Ils commencèrent à danser, suivant le rythme de la musique. La Verte et Argent était envoûté par le Gryffondor, ayant de yeux que pour lui, elle lui sourit, d’un ravissant sourire.

Leya n’avait jamais connu l’amour auparavant, elle n’avait jamais eue de petit ami ou quoi que se soit dans le genre. Elle avait aimé des garçons auparavant, mais c’était que des amourettes d’enfant et même la, elle n’avait jamais été une petite amie de qui que se soit… Elle voulait attendre la bonne personne, celui qui serait la faire rougir, celui qui aurait les mots pour la consoler quand elle va mal, celui qui serait de confiance, celui qui serait l’aimé comme elle était… Elle l’avait trouvé, dehors, dans le parc, dans le mois de novembre, seul, assis contre un arbre… elle n’avait pas pu le laisser là, tout seul, elle avait absolument besoin de le connaître. Elle avait sentit des papillons dans le ventre, quelque chose qu’elle n’avait jamais sentit auparavant… l’amour!

Elle fut réveillée de ses songes lorsque François se pencha pour lui murmure à l’oreille quelque chose. Elle le regarda un moment, attendant ce qu’il voulait lui dire.

" Leya... Je... "

Allait-il annoncer qu’il ne l’aimait pas? Qu’il s’était moqué d’elle depuis tout le début? Ou bien que c’était une plaisenterie? Un gros NON sonna dans la tête de Leya, elle ne voulait pas croire à ça, ce n’est pas son genre, elle ne pouvait le savoir, mais elle en était certaine. Elle savait que cela devait être positif, elle avait hâte de connaître la suite de sa phrase… Il semblait hésité pour le dire… elle se demandait pourquoi.

" ...Je t'aime... "

Le coeur de Leya commença à bondir de plus en plus fort, elle le regarda droit dans les yeux, comprenant ce qu’il lui avait dit était sincère. Un soulagement parcourut Leya, elle était sans mot. Jamais personne ne lui avait dit sa, sauf ses parents… quand ses derniers étaient vivant. Elle regarda François, ce dernier lui déposa un baiser la joue, qui descendit dans le cou et pour ensuite suivre le chemin de ses lèvres. Elle sentit une passion dans le baiser, c’était divin. Le baiser dura quelques minutes, puis quand il se mit fin, Leya regarda François droit dans les yeux et lui souria.

- Je t’aime François !

Les mots de la Verte et Argent était remplis d’amour et de satisfaction. Elle lui souriat, toujours en le regardant, puis déposa sur ses lèvres un autre baiser, espérant que ce moment ne finissent jamais, car elle aimait plus que tout être avec lui.

Quand elle était avec lui, elle oubliait tout ses problèmes, et même sa famille, elle savait qu’elle ne pourrait jamais oublié sa famille, mais elle savait qu’elle devait mettre un point sur les i, car maintenant elle n’avait plus de famille. Seul ses amies en faisaient parti. Car pour elle, elle avait deux sœur : Eva et Kassidy. Elle les aimaient, car ses deux filles étaient vraiment sympathique, toujours la pour se protéger contre les danger, toujours là pour consoler une amie quand cette dernière était triste, et Leya adorait ça. Ce fut après tout Eva et Kassidy qui l’aida à se rétablirent après la mort de ses parents. Après la fusillade des moldus dans la ruelle d’Angleterre, un d’eux avaient tiré sur le bras de Leya. Ses amies ne l’avaient pas abandonner la, au froid, au contraire, Eva lui avait mis le pull sur elle pour pas qu’elle ai froid, laissant son amie sans chandail réchauffant. Eva avait trouvé le papier de Leya, inscrivant la maison qu’elle habitait désormais, Parvati Patil, une ex Gryffondor, assez sympathique. Elle restait maintenant dans un appartement moldu, assez sympathique…

Tout le temps que le baiser ce fut, la Verte et Argent pensa à François, elle pensait à la chance qu’elle avait d’être avec lui, aujourd’hui. Elle était contente d’être là. Qu’est-ce qui se serait passé si elle n’aurait pas envoyé la lettre d’invitation à François ? Jamais cette merveilleuse soirée aurait eue lieu et probablement que la Verte et Argent s’en aurait toujours voulu… Une fois le baiser fini elle le regarda encore une fois dans les yeux, lui souria.

- C’est la première fois que je ressens telle passion. Je t’aime tellement François, c’est impossible de voir combien je peux t’aimé, c’est tellement immense que rien ne peux comparé. Même l’univers est petit face à ce que je ressens pour toi …!

Les mots de Leya était sincère, sa se voyait dans ses yeux et sa voix tremblait. Après un moment d’hésitation, elle remit ses lèvres doucement contre celle du Gryffondor.

Les deux amoureux dansaient toujours sur le rythme lent de la musique que Leya avait fait apparaître quelques minutes plus tôt... François appréciait chaque seconde de ce moment, respirant l'odeur si délicieuse de la belle et caressant ses cheveux de sa main droite... Il était tellement heureux... Jamais il n'aurait cru que cela mènerait aussi loin, le jour où il avait vu cette fille absolument magnifique s'approcher de lui dans le parc. Il avait été dès la première seconde éblouis par sa beauté et son assurane, jamais il n'avait eu l'occasion de contempler pareille beauté...

Ils échangèrent un baiser après que François lui eut dit qu'il l'aimait... Un baiser rempli de passion, d'émotion et de douceur... Il était tellement bien en sa compagnie qu'il souhaitait que ce moment ne se termine jamais. Il n'avait aucune idée du temps qui avait passé depuis qu'il avait franchi la porte de la salle sur demande, car il avait totalement perdu la notion du temps, trop plongé dans ce moment qu'il passait avec la fille de ses rêves...

Lorsqu'elle lui dit qu'elle l'aimait aussi, François n'en cru pas ses oreilles. Elle l'aimait aussi! Il avait tellement de chance...! La jeune fille était là, devant lui, souriante et ravissante. Il n'osait croire à son rêve...

- C’est la première fois que je ressens telle passion. Je t’aime tellement François, c’est impossible de voir combien je peux t’aimé, c’est tellement immense que rien ne peux comparé. Même l’univers est petit face à ce que je ressens pour toi …!

" Oh... Leya... Douce et belle Leya... " dit-il en s'approchant d'elle à nouveau pour l'embrasser, cette fois passionnément et intensément...

Il se laissa emporter par le baiser, totalement impregné par l'émotion du moment. Il avait cessé de danser et avait ramené sa main gauche, celle qui tenait la main de Leya, vers elle... Tout en caressant son bras au passage... Jusque dans son dos... De sa main droite, il caressa sa nuque avant de descendre doucement vers le bas de son dos... dangereusement bas... Son autre main caressait la taille de la jeune fille, descendant sur le côté de sa cuisse... en remontant la main il passa sans le vouloir ( ) sous le chandail de la jeune fille... caressant son ventre et son dos... Il goutait à la douceur de sa peau comme on aurait gouté au plus exquis des desserts. C'était tellement intense... Il l'embrassait toujours, descendant dans le cou et sur l'épaule droite de sa belle...

Brusquement il se recula, se demandant s'il était allé trop loin...

" Pardon euh... Je... "

Il n'était pas un expert de ces choses là... Comme il n'avait jamais été avec une fille il ne savait pas trop comment se comporter et il avait peur de s'être laissé emporté par ses émotions...

" Je me suis peut-être... laissé allé... "

Il regardait par terre mais finit par lever ses yeux vers elle, plongeant son regard vert pâle dans celui couleur noisette de la jeune fille. Et il esquissa un sourire en coin qu'il avait parfois, lorsqu'il ne savait s'il devait être gêné ou à l'aise...

" Leya tu... Tu... M'ensorcèle... quand je suis avec toi... Plus rien ne compte que nous deux... Plus rien sinon le moment que nous vivons ensemble... Je... Je n'ai jamais rien ressenti de tel... "

Il disait cela très sincèrement et aussi pour expliquer son comportement fougueux et passionné...

* Pourvus qu'elle ne m'en veuille pas... * pensa-t-il, soucieux...

Le rythme de la musique conduisait les deux jeunes amoureux à danser lentement… suivant la cadence de la douce mélodie… La jeune Leya se sentait étonnamment bien, elle souhaitait que ce moment s’éternise… Elle adorait être avec François, elle aimait le contact du jeune garçon, elle aimait posé doucement ses lèvres contre les siennes… c’était tellement exquis… Comment Leya pourrait se passer de lui? Elle n’osait même pas croire qu’elle avait vécu sans lui jusqu’à aujourd’hui… Elle n’arrivait toujours pas à croire à son bonheur, elle pensait qu’elle était dans un rêve, un rêve dont elle allait bientôt se réveiller, ce qu’elle ne souhaitait pas… Mais elle savait que c’était la réalité. Car même en rêve, elle ne pouvait imaginé les douceur des baiser que lui offrait François…

Ils dansèrent toujours quand le Rouge et Or répondit à ce qu’avait dit la Verte et Argent. Les mots dont elle avait employé étaient sincères, surprenant qu’elle ait dit une phrase si poétique… Était-ce l’effet que le Gryffondor lui faisait qui la rendait si délicate? Ce qui était sur c’était que Leya adorait l’ambiance que donnait la pièce, c’était à la fois confortable et romantique…

" Oh... Leya... Douce et belle Leya... "

Dit le Rouge et Or en s’approchant pour un nouveau baiser, cette fois si, c’était si intense, si tendre et si passionné que Leya ne pu en rajouté d’avantage. Elle se laissait elle aussi emporter par le baiser. Elle remarqua qu’ils avaient arrêté de danser, mais elle n’en fit pas un drame ! Un frisson parcourut le corps de la Serpentarde... Elle avait sentit que François la caressa, elle aimait le contact de sa peau, elle était si douce. Elle sentit que le Rouge et Or descendait sa main vers sa cuisse… et la remonta sous son gilet, mais elle ne bougea pas, elle savait qu’il n’irait pas plus haut… Il caressait sa peau, les frissons se parcoururent les uns après les autres… elle n’était pas très chatouilleuse, mais François lui faisait de l’effet et il avait le don… Il l’embrassait toujours, elle y mettait toujours de l’intensité dans le baiser, ce qui le rendait si exceptionnel… Mais ce dernier se recula, brusquement.

" Pardon euh... Je... "

Leya le regardait toujours, sourire aux lèvres. Elle ne lui en voulait pas, elle ne voulait pas qu’il s’en aille. Elle voulait qu’il reste avec elle. Le baiser qu’il avait échangé était tellement bon que Leya ne pu s’empêcher de s’avancer vers lui, elle en redemandait d’avantage… !

" Je me suis peut-être... laissé allé... "

Elle vit son regard pointé le sol et il le ramena vers elle. Elle le regarda intensément dans les yeux, voulant lui faire comprendre qu’elle ne lui en voulait pas. Elle s’avança vers lui, encore plus pour arriver prêt de lui, très proche encore une fois…

" Leya tu... Tu... M'ensorcèle... quand je suis avec toi... Plus rien ne compte que nous deux... Plus rien sinon le moment que nous vivons ensemble... Je... Je n'ai jamais rien ressenti de tel... "

" Ce n’est pas grave mon amour, je t’aime autant. Moi aussi je suis ensorcelé par toi. Comment ne pas l’être face à toi. Tu as raison, moi aussi plus rien ne conte si ce n’est que le moment que nous vivions ensemble… C’est tellement unique, exceptionnel… Je t’aime François et c’est réciproque…"

Elle le regarda dans les yeux, voulant lui faire comprendre que ce qu’elle avait dit était sincère. Puis doucement, elle posa sa main délicatement sur la joue du Rouge et Or, elle avait chaud et sa se voyait dans sa main, elle était si chaude… Elle plaça son autre main sur son torse, et mit ses lèvres contre les siennes… Elle pensa à lui, elle ne pouvait pensé à autre chose en un moment comme celui si. Elle était avec l’homme de ses rêve, et elle avait rêvé de se moment depuis sa rencontre au parc… Elle se rappelait de ses amies qui essayaient de la réveiller de ses pensés, mais cela ne marchait pas. Car Leya était tellement émerveiller par sa rencontre avec son prince charment… Elle revivait sans cesse le même moment, les mots si doux que le Rouge et Or lui avait dit. Elle avait été tellement touché, ému… Avait-elle eue le coup de foudre dés sa rencontre ? C’était fort probable. Mais elle ne croyait pas au coup de foudre jusqu’à ce qu’elle rencontre François ! Ce dernier avait-il eu le même effet qu’elle ? À leur première rencontre… ?

Elle l’embrassait toujours, se laissant emporter par son prince. Rien au monde ne pourrait briser ce moment si délicieux, si exceptionnel… si superbe… ! Elle était heureuse, elle se dit qu’elle était sûrement la plus chanceuse de l’univers. Car quelqu’un comme François était unique, il en existait qu’un seul sur Terre et elle l’avait trouvé ! Quelle chance pour quelqu’un comme elle ! Personne ne pourrait briser ce qu’elle éprouvait pour le Rouge et Or, un sentiment sincère et réciproque… Elle espérait jusque que cela soit aussi de son côté, la réciprocité…

Elle ne voulu pas briser le lien qui unissait leurs lèvres, elle aimait tellement l’embrassé qu’elle ajouta de l’intensité… Peut-être un peu trop ? Sa main qui était placé sur la joue de François la caressait délicatement, passant dans ses cheveux pour revenir sur la pommette du Rouge et Or… L’autre main caressait doucement le torse… Elle fermis les yeux, pensant à son bonheur… Elle se demanda ce que François pensait…

[ Je suis vraiment désolé pour le temps que j'ai mis... je suis impardonnable mais j'ai été très occupé par le boulot et tout... enfin bon voila ma réponse j'espere qu'elle te plait et j'essayerai de faire plus vite la prochaine fois!]

Le jeune homme était maintenant mal à l'aise de s'être laissé emporter par ses émotions... Il avait peur d'être allé trop loin en caressant la peau de la jeune et jolie Leya... Mais s'il se sentait mal, il ne regrettait pourtant rien... Rien que de penser à la douceur de la peau de la jeune fille le faisait frémir d'envie de la toucher à nouveau...

Mais sa douce le regardait avec un sourire rassurant sur ses jolies lèvres couleur vermeille, ce qui eut pour effet de détendre le Gryffondor qui put sourire à son tour... Elle se rapprocha de lui et le regarda droit dans les yeux. François se sentit complètement fondre dans ce regard... Il était amoureux, que dire de plus! '

" Ce n’est pas grave mon amour, je t’aime autant. Moi aussi je suis ensorcelé par toi. Comment ne pas l’être face à toi. Tu as raison, moi aussi plus rien ne conte si ce n’est que le moment que nous vivions ensemble… C’est tellement unique, exceptionnel… Je t’aime François et c’est réciproque…"

La jeune fille le regarda longuement pour lui prouver que ce qu'elle disait était sincère. François eut un nouveau sourire... Resplendissant cette fois... Qu'avait-il fait pour avoir cette chance? Pour avoir l'immense chance de rencontrer cette fille, belle, douce, charmante, amusante, drôle, fonceuse, intelligente... Et surtout, qu'avait-il fait pour avoir la chance d'être aimée par cette magnifique déesse...? Il ne saurait probablement jamais la réponse à cette question...

La jeune fille s'approcha de nouveau et posa ses levres sur celles du Rouge et Or... Celui-ci enlaça la fine taille de sa belle et se laissa à nouveau emporter par la vague, cette fois-ci il était plus à l'aise... Mais il ne voulait pas la brusquer, aussi frêna-t-il tout de suite son envie d'aller plus loin. Leur baiser fut à nouveau exquis, intense... doux, savoureux... François ne pensait qu'à une seule chose, à ce moment... et c'était à Leya... a ses yeux couleur noisette, à son sourire si joli... à ses pomettes rougies par la chaleur et les compliments... à ses cheveux soyeux... à sa main qui passait dans les cheveux du jeune homme, déclanchant une série de frissons... Il vivait un moment hors de l'ordinaire, il s'en souviendrait forcément toute sa vie...

Il détacha ses lèvres de celles de Leya pour bien la regarder dans les yeux... Avant d'aller doucement frotter son nez contre celui de la jeune fille...

" Leya... La vie sans toi était comparable à une fleur au beau milieu du désert... Tu es ma source, mon oasis, l'eau qui m'abreuve d'amour et de baisers... "

Il retourna vers la table, au milieu de laquelle il y avait un vase avec trois roses rouges.. Il en prit une et la tendit à sa belle après en avoir humé le parfum.

" Le parfum de cette rose n'égale pas le tiens... Sa beauté n'est même pas digne de la tienne... et la douceur de ses pétales ne vaut surtout pas la douceur de ta peau... Mais cette rose ne pleure pas sa défaite, car elle sait qu'aucune autre fleur ne se compare à toi... Tu es ma fleur Leya... Et cette rose est simplement la pour te rappeler combien je t'aime... "

Il avait dit tout ca en fixant la rose, qu'il tenait délicatement devant lui... Il leva donc les yeux en souriant, et tendis la fleur pour que la jeune fille la prenne...

" Je suis heureux d'avoir fait ta connaissance... "

Le jeune homme avait envie qu'elle lui parle d'elle-même, il voulait la connaître un peu plus... Mais il ne dit rien, attendant simplement la réaction de la jeune fille.

(( Pas grave, je te pardonne, le boulot avant tout! Et j'ai bien aimé
ta réponse, c'était toute cute^^ Alors voici la mienne...!))

Leya essayait de rassurer son prince charment, sur son comportement. Elle ne voulait pas qu’il s’en aille. Et cela ne lui dérangeait absolument pas qu’il la caresse, car Leya adorait le contact que François lui donnait. Elle le regarda, sourire aux lèvres, ce qui détendit le Gryffondor.

Quand François lui rendit son sourire, Leya fut émerveillé, c’était tellement beau…. Si adorable… Elle ne pu s’empêcher de s’approcher de lui, ses lèvres contre les siennes pour lui déposer un doux baiser qui dura quelques secondes. Il l’entoura de la taille et Leya eue un petit sourire en coin, elle était tellement bien avec son amoureux, qu’elle ne voulait se détacher de lui. Quel chance d’être avec lui, et que ce ne soit personne d’autre…

Elle se demandait ce que François pouvait bien pensé à cet instant, à ce si délicieux moment qu’ils passèrent ensemble. La réponse de Leya était déjà toute faite, elle, elle pensait au Rouge et Or, qui était son prince charment! Il se détacha doucement d’elle, et Leya en fut déçu, elle ne voulait pas donner fin à ce baiser si délicieux… si réel! Mais toute chose à une fin… comme ce baiser, mais Leya savait bien qu’elle en aurait d’autre, donc elle ne perdit pas patience et sourit à François d’un ravissant sourire. Le Rouge et Or plongea son regard dans celui de la Verte et Argent. Leya aimerait se perdre dans ses yeux, c’était si magnifique… comme si elle était dans la mer en train de se noyer, mais ne voulant pas trouver la terre car elle aimait la douce chaleur de l’eau… Ce fut la voix de son prince qui la réveilla de ses songes, car ce dernier lui adressait la parole.

" Leya... La vie sans toi était comparable à une fleur au beau milieu du désert... Tu es ma source, mon oasis, l'eau qui m'abreuve d'amour et de baisers... "

Le cœur de Leya fit un bond de trop, s’il avait fini sa phrase, Leya lui aurait doucement sauté au cou pour lui donner un nouveau baiser. Ça lui manquait déjà. Elle vit que François se retourna vers la table ou se tenait un vase avec trois magnifiques roses rouge. Il en prit une et huma le parfum et la tendit par la suite à la Verte et Argent, elle fut terriblement touché. Jamais personne ne lui avait offert de fleur auparavant… c’était tellement romantique…

"
Le parfum de cette rose n'égale pas le tiens... Sa beauté n'est même pas digne de la tienne... et la douceur de ses pétales ne vaut surtout pas la douceur de ta peau... Mais cette rose ne pleure pas sa défaite, car elle sait qu'aucune autre fleur ne se compare à toi... Tu es ma fleur Leya... Et cette rose est simplement la pour te rappeler combien je t'aime... "

Leya fut émue, elle en avait les larmes aux yeux, ses paroles étaient si douce, si belle, si sublime… qu’elle ne pu se retenir de verser une larme de joie. Quel chance qu’elle avait rencontrer ce charment jeune homme… quel chance, que ce soit elle et non quelqu’un d’autre… qui l’ai fait avant… François tendit toujours la
rose et Leya s’avança vers lui et la prit aussi délicatement.

" Je suis heureux d'avoir fait ta connaissance... "

- Moi aussi François, je suis tellement heureuse, je t’aime…

Dit-elle en mettant un doigt sur ses lèvres pour l’empêcher d’en dire d’avantage… elle s’approcha doucement son visage du sien pour un baiser qui sortait de l’ordinaire, un baiser auquel, le jeune couple n’avaient encore jamais goûté… La Verte et Argent voulait montré à François que cela ne lui dérangeait pas qu’il caresse sa peau. Elle prit doucement sa main, toujours en l’embrassant, et la guida sur ses hanches… puis à l’endroit ou il s’était arrêté auparavant… sur son ventre… elle aimait bien avoir des frissons, cela la faisait rire. Elle continuait toujours d’embrasser son prince, ne voulant se défaire de lui. Elle posa une main sur son torse, le caressant ainsi. Elle mit une main délicatement sur la joue de François et la caressa, pour ensuite suivre un chemin déjà tout tracé. Elle passa la main dans les cheveux d’un magnifique blond très doux et soyeux qui appartenait à François pour revenir ensuite sur la joue et descendre sur le bras de son prince… et pour remonter sur la joue… et ensuite dans les cheveux… ainsi de suite…

Le moment que Leya passait avec François était sublime, si extraordinaire, que jamais de sa vie, elle ne l’oubliera jamais. Elle était tellement heureuse d’être avec lui ce moment même. Que dire de plus ?

Mais une crainte submergeait la Verte et Argent, un jour ou l’autre, elle devra lui dire ce qui s’est passé avec ses parents… ses derniers furent mort… tuer par leur propre fille… Miranda… Leya la détestait… elle avait une bonne raison, il fallait l’avoué. Et puis la sœur de Leya, Miranda avait tué son frère par jalousie… mais Leya vivait dans une histoire de fou… maintenant elle restait chez Parvati Patil, une Ex-Gryffondor, assez sympathique…

Quand le baiser fut fini, Leya en fut déçu, elle appréciait le moment. Elle se détacha de François, ayant toujours la magnifique rose à la main que lui avait offert François. Elle prit la main de François, le guidant ainsi jusqu’à un fauteuil double assez confortable d’une couleur beige rosé. Leya sourit à François, avant de poser doucement ses lèvres contre les siennes. Ce qui dura quelque instant.

Elle se détacha de lui, trouvant le courage pour lui parler de sa famille. Elle ne le souhaitait pas vraiment, mais elle devait lui dire… elle ne voulait pas voir la réaction du jeune homme… mais après tout, elle devait le faire… que sesoit aujourd’hui ou la semaine prochaine. Elle le ferait un jour. Elle lui sourit en prenant sa main, ayant l’autre occupé par la rose.

- François…

Dit-elle avec une voix pleine de mélancolie.

- Je dois te parler de moi… de ma famille plutôt…

Elle l’observa un moment, avant de s’approcher de lui, pour qu’elle soit collée contre son prince. Elle commençait à grelotter.

- Mes parents… comme tu le sais… je te les déjà dit… à notre première rencontre…

Cefut ce moment que Leya se remémora toute la scène, du début jusqu’à la fin. Elle se revoyait reprendre la main si douce de François pour l’amener dans un endroit si magnifique… si romantique… elle espérait revenir à cette endroit avec son prince.

- C’est assez dure à croire, mais ils ont été assassiné par ma sœur… ma propre sœur… elle les détestait… elle les haïssait… Elle m’haïssait aussi…

Elle se rappela la dernière fois qu’elle vit Miranda, cette dernière avait pointé sa baguette sur elle et contait finir son œuvre.

- Elle… elle… à meme tuer son propre frère… par jalousie… et elle…

La Verte et Argent était sur le bord des larmes, mais elle les retint, ne voulant montrer sa faiblesse à François.

- Elle… elle a voulu finir son œuvre… me tuer…

Leya baissa le regard, ne voulant pas lui montrer qu’elle était sur le point de pleurer.

- Elle prenait des médicaments… elle était dépressive…

Elle espèrait que François ne la repousse pas. Car elle ne le sur porterait pas. C’était la première personne qu’elle lui rencontrait cette histoire, à part Parvati et Eva.

- Tu es la seule personne qui le sait… à part Eva et Parvati, la personne qui m’héberge… je… je suis… orpheline…

Elle remonta son regard vers François, elle lui parlait sérieusement…

- J’espère que tu ne me rejetteras pas… pour cette histoire…

Dit-elle, dans une voix remplie de mélancolie. Elle était en train de penser à sa vie sans François et c’était trop terrible, elle n’osait à peine y penser, car cela lui faisait trop mal.

- Je t’aime François et je ne souhaite que rien ne puisse nous séparer…

Dit-elle sincèrement.