Entre deux monde

Aéris n’avait pas mangé ce midi il ne savait pas pourquoi mais un oeud lui serré l’estomac peut etre le fait de voir ses parent tous les soirs dans ces cauchemars. Il avait décider de se reposer plutôt que d’aller en cour de l’histoire de la magie ou il serait sur de s’endormir.
Il monta dans la salle commune prendre son écharpe et se rendit compte qu’il ne l’avait plus il avait oublié de la reprendre a la jeune fille qu’il avait rencontré a Pré au lard. Il prit donc une des ses capes les plus chaudes avec un col relevé. Et s’arma de sa capuche .
Il sortit de la salle des Gryffondor trébuchant au passage sur un vieux livre qui traînait sur le sol. D’un coup de pied rageur il le jeta a l’autre bout de la salle. Il passa le portrait de la grosse dame qui ne manquât pas de lui faire une remarque sarcastique sur sa tenue qu’Aéris ignora.
Il descendit les marche quatre a quatre frôlant au passage miss Teigne qui ne manqua pas de gonfler le poil a son passage.
-Ta pas des souris a chasser toi ? lui dit t’il avec un sourire Des occupation de chat quoi ? Au lieu de scruter les moindre fait et geste des élèves reprit t’il avant de continuer son parcoure.
Il passa la grande porte traversant le parc a grande volée le vent lui fouettait le visage et il trouvait son contact plus vivifiant. Malgré l’heure et le temps de nombreux élèves était réunis dans cette endroit certain avait même réchauffé un coin d’herbe a l’aide de leur baguette ce libérant ainsi un passage contre la neige qui se fessait de plus en plus persistante.
Le vent fessait traînait le long de sa cape derrière lui laissant une signature de son passage sur le tapis blanc. Il arriva a l’orée de la foret par delà les arbres un terrain mystérieux et plein d’aventure mais de plus en plus dangereux surtout pas ce temps.
Aéris jugea bon de ne pas s’y aventurer et s’arrêta donc a l’orée une sorte de frontière entre deux mondes. Il s’adossa a un vielle arbre tordu et se laissa glisser se retrouver ainsi assis le dot arqué contre le tronc . Il n’y avait pas beaucoup de neige a ces endroit mais la terre y’était très présente il ramassa deux cailloux et commença a jouer avec un tic qu’il avait de plus en plus. Il était plonger dans ces pensé les yeux fermé lorsqu’il sentit deux mains se poser sur ses épaules..

Elle sortait de la bibliothèque, plus fatiguée et soulée que jamais. Elle avait passé bien deux heures à faire des recherche pour son cour de botanique, en vain, et en plus l'étagère entière lui était tombée dessus! Elle était donc de mauvais poil. Elle jeta son sac sur son épaule et partit vers la salle commune d'un pas rapide, se frayant un passage dans la foule d'élèves, quand une voix l'interpella:
Hé, Stark! Stark !!!
Elle se retourna et poussa un soupir d'exaspération en reconnaissant Roose Baelish, un jeune élève de Poufsouffle, qui courait derrière elle pour la rattraper. Néanmoins, elle s'arrêta et l'attendit. Celui-ci la rejoint bientôt et dit d'une voix essouflée:
Tu...pourrais...demander...un autographe...à Harry Potter...pour moi s'il te plaît? Puisque...tu es...dans la même...maison que lui...
Elle eut un sourire en coin
Désolée Baelish, je connais Potter que de vue...si tu tiens tant à ton autographe, faudra le lui demander toi-même!
Sur ce elle tourna les talons, et se dirigea vers la salle commune, le plantant là, indécis.
Arrivée, elle se dirigea vers son dortoir et jeta son sac sur son lit. Puis elle jeta un coup d'oeil par la fenêtre et s'aperçu que dehors, il negeait à gros flocons. Mais elle se dit aussi qu'elle avait grand besoin de sortir, de prendre l'air. Elle mit donc ses gants, son bonnet et son écharpe, rouge et ors tous, et passa sa cape en laine autour de ses épaules.
Elle sortit de la salle commune, et dévala les escaliers, puis sortit dehors. Ses pas s'enfonçaient dans la neige, et elle ne voyait pratiquement rien dans tout ce blanc, mais elle se dit que ça serait sûreemnt mieux si elle se dirigeait vers la forêt interdite. Elle y alla, et y fit quelques pas, lorsqu'elle s'arrêta. Elle vit Lionel Bolton, son ennemi juré, poser ses mains sur les épaules d'un première annnée en gueulant un "BOUH !" stupide et puéril, puis éclater d'un grand rire narquois. Elle se dirigea vers eux, et, saisissant sa baguette, la pointa sur Lionel Bolton et dit d'une voix glaciale:
ça te fait marrer Bolton?