~ Musicale

Une jeune fille de l'âge de onze ans venait de franchir les portes de l'immense parc de Poudlard, l'école de Sorcellerie. Elle avait des cheveux blonds attachés en une queue de cheval, des vêtements gris et un jean bleu clair. Son nez en trompette et sa bouche douce lui donnait un air amusé et sa flûte noire et blanche l'accompagnait à la perfection. Ses yeux brillèrent lorsqu'elle aperçut encore ces collines, ce lac, ce paysage incroyable qu'était le parc de Poudlard. Descendant les marches tout en se frottant les bras, elle alla s'asseoir sous un arbre pour se remémorer ce temps avec son meilleur ami qui lui avait appris à jouer de la flûte. Maintenant, elle avait beaucoup de talent et ne cessait d'en jouer pour se faire plaisir.

Elle posa ses doigts sur les trous correspondants et se mit à jouer un air indien, qu'elle aimait beaucoup car cela la faisait rêver, et bougea sa tête au rythme de la musique. Cela lui fit un réel soulagement, de jouer à nouveau son instrument préféré, de pouvoir émettre des sons avec des émotions autre que par les paroles, d'être émotive par la musique... Enfin, elle reposa sa flûte et se coucha dans l'herbe encore humide de la rosée. Pensive, elle poussa un soupir et finit par fredonner une chanson qu'elle connaissait, qu'elle avait un jour entendue dans la rue. Elle avait fait des recherches depuis et c'était une de ses chansons préférées.

~ Assonnances ~

« She want's to go home
But nobody's home
That's where she lyes
Broken Inside
Her feelings she hides,
Her dreams she can't find,
She's losing her mind,
She's falling... »

Mais sa jolie voix fût interrompue par un craquement de branches derrière elle. Se retournant, elle aperçut une silouhette qui s'était assise d'un autre côté du gros arbre arbitrant sous lequel elle s'était couchée.

Une petite mine animait quelque peu le visage indécelable de Daphné, une fois de plus, une journée était passée, aussi vite que l'éclair et elle ne l'avait pas vue défiler. Daphné se sentait comme déboussolé, bien sûr, elle assistait aux cours mais le coeur n'y était pas. La paresse l'hantait avant son arrivée à Poudlard et visiblement, elle ne comptait pas décamper .Daphné, chaque matin, se levait avec difficulté et se dirigeait vers la grande salle, comme sur un masque pour Halloween, on distinguait sur son visage des fosses en dessous de ses yeux rouges de fatigue. Elle ne comprenait pas bien pourquoi elle était de cette humeur, mais elle l'était. La solitude l'envahissait et elle pensait déjà à son futur de solitaire endurcie. Cette vue l'accablait, une petite vieille avec ses 50 chats et un caractère pour le moins dérisoire, accompagné d'une voix glaçante qu'on aime pas entendre crier. Dans une petite bicoque trop petite pour elle est sa multitude de chats, une vraie sorcière. C'est ainsi que la jeune fille se trouvait comme par hasard dans le parc de Poudlard, elle n'avait que onze ans et elle s'imaginait déjà un futur pareil, son humeur devait être monstrueuse, elle marchait telle une exploratrice à la recherche de nouveaux horizons, certes, elle ne trouverait pas de nouveau monde mais une autre vie peut-être, du moins elle espérait. Sa petite tête blonde était penchée vers le sol, elle ne levait pas sa tête, comme si elle espérait trouver sa nouvelle vie auprès de l'herbe, amusant, mais peu prometteur. Elle savait bien qu'en levant la tête, elle verrait une multitude d'élèves qui ne seraient pas tout seul, qui discuteraient, qui s'amuseraient, mais surtout qui s'en foutraient d'une gamine de onze les yeux rivés vers le sol. Elle s'arrêta subitement, sans le voir, elle venait d'heurter un arbre.

#décidément, c’est mon jour, je crois que je suis faites pour ça, quelle…chance, une rencontre pareille, ça ne se refuse pas#

Elle observa l’arbre et n’aperçut pas l’élève qui était de l’autre côté, c’est pourquoi, elle s’assit contre celui-ci. Ainsi adossée à l’arbre, elle ne pouvait pas s’empêcher de gigoter, décidément, elle s’ennuyait terriblement. Une voie mélodieuse chantait dans sa tête, cette fois, elle en était certaine, elle devenait cinglée. Sans y prêter une attention considérable elle fit craquer une branche, puis, au bout de quelques secondes, elle entendit un gigotement de l’autre côté de l’arbre, si bien qu’elle se rendit compte qu’il y avait bel et bien quelqu’un derrière celui-ci. Elle se releva et entreprit une marche vers cette personne, quand elle l’aperçut, elle s’approcha et l’observa pendant quelques instants : La jeune fille devait avoir le même âge que Daphné, des cheveux blonds, de fines lèvres comparé à les siennes, un visage doux, Daphné se rendit compte que la situation était assez ridicule, elle dit à la jeune fille blonde :
« Euh bonjour… »

Elle baissa les yeux et regarda l’uniforme de la jeune fille :

« Gryffondor ? »

#Bien Daphné, une fois de plus, tu fais preuve de beaucoup de perspicacité, tu as l’air une fois de plus d’une idiote, quelle passionnante question, et l’originalité…. Parfaite !!!#

Daphné avait même très envie de se donner une baffe, mais se retint au dernier moment, pour ne pas paraître plus cingler qu’elle l’était déjà. Au moins , maintenant, elle savait que la voix mélodieuse n’était pas dans sa tête.

Un autre craquement se fit entendre. Plus sonore cette fois ci. Décidément, la personne à côté de Laure n'était pas de tout repos. Bien sûr, l'arbre n'était pas si confortable mais tout de même, inutile de gigoter autant. La jeune fille se retourna pour apercevoir la personne derrière elle et la coïncidence fût que cette dernière s'était tournée au même moment. C'était une fille de son âge, aux cheveux blonds, plus formée qu'elle, à la bouche rose qui ressortait légèrement, des yeux bleus ainsi qu'un nez moyen. Son visage ovale exprimait une sagesse infinie. Elle était très jolie. Ne voulant pas la gronder pour l'avoir dérangée, elle ne lui fit qu'un petit sourire et voulut se retourner quand sa voisine de droite l'appela. D'un petit bonjour pas très jovial.

Sans doute cette jeune fille était-elle seule et voulait faire de nouvelles connaissances. Pourquoi pas? Pourtant elle aussi était seule, pour l'instant. Enfin, elle venait d'arriver, mais elle ne connaissait encore personne... Alors, ne voulant pas s'imaginer sous cet arbre toute sa vie, sans amis, elle se rapprocha de son interlocutrice et lui dit du ton le plus jovial qu'elle avait dans son répertoire:

~ Assonances ~ « Bonjour ! Tu gesticules beaucoup. »

Laure lui fit un nouveau sourire. Un peu amusé cette fois là. Elle voulait simplement la taquiner et espérait qu'elle ne le prendrais pas mal. D'habitude, à ce genre de plaisanteries, il y avait toujours un risque, mais cette jeune fille avait l'air compréhensive. Par exemple, chez sa tante, la jeune Gryffondor ne pouvait jamais plaisanter de la sorte car Marie le prenait très mal. Elle espérait que ça ne serait pas le cas. Ensuite, sa voisine reprit la conversation et lui demanda vaguement si elle était à Gryffondor, ses yeux exprimant des pensées incompréhensibles. Comment avait-elle pû deviner? Elle ne portait rien qui le prouvait.

~ Assonances ~ « Oui je suis à Gryffondor... Et toi? Aussi? »

hj: désolé pour le retard.
Daphné, dés qu'elle entendit les salutations de la jeune fille, afficha un large sourire. On l'avait donc entendu, Daphné devait se faire une raison, la discretion et la légeté n'était probablement pas son truc mais bon ça, elle avait déjà pu se faire une opinion lors de son enfance, ce n'était donc pas une déchirure. C'était décidée, espionne ou danseuse ne seraient pas ses professions.Mais bon, peu importait, la jeune fille avait été plus amusante et optimiste que Daphné, elle devait donc se rattraper, elle émit un rire et dit amusée:

"Et bien maintenant je suis basée...Oui désolée.. je ne t'ai pas dérangé au moins?Tu attendais quelqu'un?"

Daphné s'était rendu compte lors de sa réflexion, que oui, elle aurait pu attendre quelqu'un ou alors qu'elle voulait être seule bref, elle n'était peut-être pas la bienvenue. Toutefois, il était vrai que ses réponses avait été chaleureuses et les bienvenues. Peut-être qu'elle ne râlerait pas trop d'avoir pour compagnie pendant un moment, une fille comme Daphnée, peut-être qu'elle n'avait pas été importune, cela Daphnée l'espérait. Elle détestait considérablement apparaître dans un endroit où ellle n'était pas la bienvenue et malheureusement, ça lui arrivait régulièrement.Surtout près de ses parents...Mais bon comme il avait été dit antérieurement, arriverait ce qui devrait arriver, on venait donc de répondre à sa "question" et c'était bien le cas, elle était à Gryffondor, mais Daphnée n'avait pas encore répondu, la jeune fille devait donc se demander si Daphnée allait la laisser comme ça. Daphnée s'empressa donc de répondre telle une tête de linotte:

"Euh...Euh... oui c'est ça Gryffondor, et première année, mais bon ça ce n'est pas difficile de remarquer. C'est cool non?
Ah! Au fait j'ai oublié de me présenter , moi c'est Daphné Greengrass et tu es ?"

Elle lui tendit la main attendant une réponse. Il est rvai qu'il était peut-être intéressant de connâitre le prénom de la personne à qui on s'addressait, c'était toujours mieux...Ca rappelait même une anecdote à Daphnée. Une fois ses parents avaient une discution très amicale avec une personne dont elle ne connaissait pas l'identité. Ils avaient parlé pendant près de deux heures et s'étaient jurés de se recontacter par courrier. Puis une heure après que l'homme soit parti, mes parents se sont demandés quel était le nom de cet homme et l'ignorant ont abandonné leur tentative. Plusieurs mois plus tard, ils reçurent un hiboux de la part d'un étranger, qui les conviait à venir dîner. Son courrier avait évidemment été très amical et après que les parents de Daphnée l'aient lu, il répondirent:

Citation :: Cher inconnu,
nous ne savons pas qui vous êtes et nous ne voulons pas le savoir, ne vous approchez pas de notre famille et surtout pas de notre maison. C'est incroyable! Qui pensez vous être pour nous parler de la sorte? NOus n'avons jamais entendu votre nom. je ne sais pas quel sorte de timbré vous êtes mais allez vous faire soigner à l'hôpital Ste Mangouste. Si nous recevons encore de telles lettres, nous serons dans l'obligeance de porter plainte pour harcelement alors très chèr inconnu ne nous adressez plus aucun courrier
Cordialement
Mr et Mrs Greengrass
et leur fille.

Daphnée avait eu le temps de la lire et n'avait pu s'empêcher déclater de rire à la grande surprise de ses parents, mais elle ne dit rien, elle resta secrète, ses parents n'avaient pas besoin de nouveaux amis , ils en avaient déjà trop, Daphnée se faisait trop pincér la joue et elle détestait ça. de plus, il fallait avouer que la situation étit très amusante.

La nervosité semblait l'emporter sur la jeune fille en face de Laure Delaunay. Ses mains arrachaient quelques brins d'herbe et sa lèvre se tordait. Chaque parole qu'elle disait semblait avoir étée faite d'un effort considérable pour choisir ses mots. Pourtant elle ne parlait qu'à une camarade de classe, pire, de son âge. Si elle faisait cela avec une fille, elle devait avoir énormément de problèmes avec les garçons. Bref, la jeune blonde tenta de la rassurer en prenant un air très décontracté, signe de relaxation, et en fixant ses yeux sur elle d'un air très naturel. Finalement elle lui demanda si elle attendait quelqu'n. Non, elle n'en attendait pas. Pourtant elle aurait bien voulu attendre quelqu'n, peut-être une amie, qui viendrais parler avec elle, sous l'arbre, ou un garçon inconnu avec qui elle aurait pû discuter, mais elle n'avait que seul compagnon son instrument de musique et n'attendait personne. Mais le destin lui avait envoyé quelqu'n et donc elle était avec elle. Laure se décida bien de répondre d'une voix très calme pour encore une fois prouver à son interlocutrice qu'elle n'était pas nerveuse mais normale:

~ Assonances ~ « Non je n'attendais personne, c'est que à vrai dire je ne suis arrivée ici qu'il y a une semaine et donc je ne connais personne. Pourtant j'aurais bien voulu attendre quelqu'n, mais je n'en ai pas encore eu l'occasion. Mais toi tu es arrivée ! Tant mieux, ça me fais un peu de compagnie, car je m'ennuyais un peu avec ma flûte. Si ça continue, il va falloir que je lui trouves un nom. Je n'espère pas. »

Un sourire suivit les phrases de la Gryffondor. Heureusement que quelqu'n était arrivé car c'était vrai qu'elle se sentait un peu seule, déjà une semaine et elle connaissait à peine les filles de son dortoir. Pourtant elle devrait s'y mettre, et la timidité ni la nervosité n'étaient pas dans ses habitudes. Alors, elle prit une résolution dans sa tête, qui fût d'apprendre à connaître les gens. Pour se faire, elle se dit qu'il faudrait aller dans les endroits bondés et aborder quelqu'n, ou encore dans la Salle Commune, si quelqu'n pouvait l'aider pour un devoir, ou encore au coin du feu, simplement comme ça, pour discuter. Oui, il fallait qu'elle se fasse des amis car pour l'instant elle n'avait connu que deux personnes. Encore heureusement ces deux personnes étaient très charmantes et elle sentait qu'elle allait bien s'entendre avec elles.

~ Assonances ~ « Oui j'aime beaucoup cette maison. J'ai entendu dire de ma tante mais aussi de quelques sorciers, enfin des bribes de conversations, que Serpentard était un endroit répugnant ou ne trainaient que des gens arrogants, obsédés de leur sang, euh... Attends j'essaye de trouver des défauts ! » ajouta-elle en rigolant. « Eh bien arrogants et en tout " méchants " si tu vois ce que je veux dire. Je suis contente de deux choses: Je n'y suis pas et deuxièmement je ne connais personne de là. Mais bon, ça finira bien par arriver, bien sûr.

Enfin il fallait se présenter. Mais Laure avait toujours été un peu hésitante à ce sujet car bien que son père fût oublié par le ministère, elle était soucieuse que les gens reconnaissent son nom de famille et s'éloignent d'elle en racontant que c'était la fille d'un mangemort qui non seulement était horrible mais en plus avait vu en cachette une femme pendant plus de deux ans. Ils feraient la moue, la grimace, s'éloignerèrent de la jeune blonde et ne lui adresseraient plus jamais la parole. Du moins elle croyait cela, mais il fallait toujours tenter le coup. Après tout la dénommée Daphné Greengrass ne semblait pas de ce style là, qui croit immédiatement tout ce que les journaux racontent. Enfin, ne perdant pas son ton naturel, qu'elle possédait souvent d'ailleurs, elle ouvrit la bouche et tendit la main.

~ Assonances ~ « Enchantée Daphné. Je suis Laure, Laure Delaunay. »

Enfin son interlocutrice approuva d'un signe de tête et Laure aperçut ses yeux scintiller. Cela exprimait, comme sa tante Marie le lui avait appris, que l'être replongeait dans ses souvenirs heureux. Lorsque il baissait les yeux toutefois, ce n'était pas des souvenirs heureux. Ces évènements et trucs marchaient souvent et alors la jeune lion pouvait connaître les pensées des autres par leurs yeux. Bien sûr, pas à quel souvenir ils pensaient, mais elle savait qu'ils se remémoraient quelque chose. Enfin elle plongea la tête dans ses genoux pour laisser le temps à Daphné de se rappeler de tout et puis enfin elle releva la tête. L'étincelle avait disparu. Un sourire s'afficha sur le visage de Laure et elle lui demanda, en espérant de pas trop être indiscrète envers sa nouvelle connaissance, sinon ça serait une grosse gaffe:

~ Assonances ~ « À quoi pensait-tu? Tu souriais. »

hj:
Bon c'est prouuuuumis j'arrête le nimporte quoi.......zuré et craché

dj:
Le stress de Daphnée lui était très peu favorable, il devenait d'ailleurs énervant, ce n'était vraiment pas la peine de paraître pour une idiote mais comme à chaque fois, le petit stress l'incruste rendait une visite à Daphnée et lui faisait monter l'adrénaline.Enfin heureusement, la jeune gryffondor à qui Daphnée parlait était compréhensive et tentait de la calmer, tentative fructueuse puisque visiblement Daphnée déposait ses mains doucement sur l'herbe, elle était donc appaisée.Visiblement la jeune fille allait répondre, Daphné pensait tout en attendant que si jamais elle attendait vraiment quelqu'un, elle allait devoir s'en aller, ce qui serait dommage car, au moment où elle allait faire une rencontre, elle soit obligée de s'en aller. Et puisque Daphnée ne connaissait personne à Poudlard, elle en resterait au même niveau. Celui de petite fille seule et désespérée. Une vue qui répgnait Daphnée, elle n'aimait pas paraître plaintive.Ainsi, elle serait comme chassée alors qu'elle n'avait rien fait de mal mais bon, ça n'arriverait peut-être pas, à son grand plaisir.La jeune rouge et or répondit que , non, elle n'attendait personne, Daphnée aurait voulu crier un petit cri de contentement mais au dernier moment, pensa que ce n'était pas très symDaphnée regarda la flûte noire qu'elle avait désigné et répondit cette fois calmement devant une personne qui elle n'était visiblement pas nerveuse:

"Ah! tu es arrivée ici il y a une semaine , et bien question soiale nous sommes deux, je ne connais personne et fatalement je n'attends personne, mais bon ça tu l'avais déjà compris...dit elle amusée.C'est même bizarre que tu n'attendes personne pour moi, à côté de moi, tu as l'air tellement sociable que j'ai du mal à croire que tu ne connaisses encore personne, même si ça fait à peine 1 semaine que tu es arrivée.Ta flûte, bien qu'elle ne doit pas être très bavarde est superbe mais c'est vrai que d'un point de vue social , elle en doit pas être au point...
J'ai entendu une voix, c'était peut-être dans ma tête mais je crois comprendre que c'était toi qui chantait, enfin je peux me tromper... Mais si c'est le cas, je veux te dire que ta voix est extremement mélodieuse, j'aimais beaucoup.

Daphnée , elle aussi , souriait, ça faisait longtemps qu'elle n'avait plus eu l'occasion de rire par contentement , généralement, les dernières fois qu'elle avait sourit , c'était pour ne pas blesser, elle s'était sentie forcée et elle avait fait "semblant". Elle n'était pourtant pas hypocrite.La jeune fille d'en face, souriait elle aussi et Daphnée espérait bien que c'était naturel. Elle pensait même que si elle jouait la comédie et bien, elle était très forte et qu'elle ferait même bien d'entamer une carrière. Puis, Leure puisque c'éétait son nom, parla de Gryffondor, leur maison, ainsi que de Serpentard. Serpentard... à vrai dire, Daphnée ne poivait pas en dire autant que Laure sur Serpentard ainsi que sur Gryffondor. Car bien qu'elle soit d'origine sorcière, elle ne connaissait vraiment que très peu Poudlard, ses professeurs et ses maisons. Elle avait entendu pour la première fois les noms des maisons à la répartition, ce qui tait plutôt tard, elle ne savait donc pas quelles étaient les caractéristiques de la maison, n'ayant que très peu écouté le choipeau.Pourtant elle répondit avec le peu d'idée qu'elle pouvait s'en faire:

"Oui je crois comme toi que Gryffondor est une bonne maison, d'après le peu de gens de gryffondor que je connais, c'est à dire toi,je me suis faite une opinion, Gryffondor doit vraiment être une maison chaleureuse. Pour ce qui est de Serpentard, je ne peu même pas en dire une phrase, mes connaissances sur cette maison se limite au nom, ce qui je te l'accorde n'est rvaiment pas grand chose, toutefois, j'espère en apprendre beaucoup plus sur les caractéristiques de la maison . Si comme le dit ta famille les serpentards sont méchants et arrrogant et bien j'espère qu'il y a des exceptions parce qu'à vrai dire, je n'ai pas très envie de me faire de fausses idées. Et comme dans toutes règles , il y a une ou plusieurs exceptions et bien j'aimerais beaucoup connaître une de ces exceptions...Et puis , oui comme tu le dis, il y aura une confrontation et peut-être que nous tomberons bien, en tout cas, je te souhaite une bonne chance!"

Daphnée avait senti une certaine hésitation de la part de Laure, peut-être qu'elle était nerveuse mais , elle n'était pas stupide, de plus, elle n'était plus tellement nerveuse, elle pouvait donc se "concentrer".Toutefois, comme elle était sympathique, elle répondit à Daphnée, et ce prénom, c'était Laure, c'était un prénom doux et joli et Daphnée l'apprécait beaucoup mais bon, elle s'était fait une opinion de Laure , qui était bonne, sans même connaître son nom et elle s'avérait être exacte, Daphnée répondit un simple:

"Moi de même Laure"

Daphnée voyait bien que Laure s'était posée des questions sur le petit instant de silence de Daphnée et c'était assez compréhensible,elle avait probablement sourit, comme elle en avait son habitude avec une certaine audace et avait bien sûr eut un regard rêveur mais pe importait. Elle se doutait bien que Laure lui poserait une question sur cet instant, ce qui la fit sourire et en effet, elle posa une question, Daphnée ne fut pas du tout choquée par cette question, cette pensée n'était pas un secret mais plutôt une anecdote amusante si bien que Daphnée émit une petit rire habituel visiblement ces temp-ci, elle repensa un instant à ce petit souvenir et prenant une inspiration comme si elle était contente de ne plus y être, elle n'avait aps trop aimé ces années là mais c'était vrai qu'il y avait certaine chose drôle à raconter sur ses parents et leurs idées, des idées de fou certainement pour certaines personnes. Ils n'étaient pas tellement originaux que ça, ses parents, ils avaient d'ailleurs été souvent ennuyeux et barbant.Elle répondit:

"En effet , oui je souriais, il se trouve que je repensais à un épisode de ma "tendre" et "belle" enfance, une petite histoire qui dit tout à fait quels gens j'ai pour parents.Une situation où une fois de plus, mes parents font preuve de peu de tacte , je crois que si tu les voyais tu éclaterais de rire. Mes parents sont réellement les rois de l'incompris et des situations ridicules. Il n'y avait qu'à regarde rcomment il m'habillait quand j'étais petite , une vraie catastrophe!"
EDIT DAPHNEE: J'ADORE TON NOUVEAU KIT,IL EST SUPERBE.

[ Lol mais tu fais pas nimporte quoi ! Et merci pour le kit, je suis contente que mon heure de travail réussise à quelque chose XD ]

Eh bien, cette promenade sous l'arbre n'était pas si triste finalement ! Voilà, c'était comme ça que maintenant, on rencontrais des gens. Simplement en s'installant pour jouer une petite mélodie de flûte et replonger dans ses malheureux souvenirs en chantant, Laure avait connu une jeune fille de son âge qui lui ressemblait bien. Ses cheveux avait le même style que ceux de cette dernière, elle avait à peu près les mêmes pensées mais une timidité nerveuse l'envahissait, ce qui était bien le contraire de la jeune Delaunay. Bref, au moins elle s'était faite une nouvelle amie, si on pouvait le dire comme ça, et elle s'en contentait bien pour l'instant.

Au loin, elle aperçut un jeune homme de peut-être quatrième année entourée de filles aux cheveux blonds, roux, bruns, toute une variété ! En plus, elles étaient toutes très jolies. Décidément, il y avait beaucoup de mannequins, à Poudlard ! Et ce garçon semblait s'en régaler. C'était sans doute un de ces bad boys populaires qui collecte les fille comme des jetons de Poker. Le poker? Oui, un jeu moldu, un jeu de chance. Assez amusant, à essayer. Une fois, sa tante Marie avait commencé à s'amuser à ce loisir avec sa meilleure amie, pour tester les passe temps moldus, et elles s'étaient bien éclatées ! Laure les avaient regardées et avait pouffé de rire si souvent qu'elle en avait eu mal au ventre.

~ Assonances ~« Eh ouais, on est seules, mais tu sais, j'ai mis au point une petite tactique pour essayer de connaître plus de monde. Pas que je ne suis pas sociable mais c'est plutôt les gens ici qui ne le sont pas trop ! Enfin, ceux que j'ai côtoyé, à part toi, car en cinq minutes on s'entend déjà très bien ! Alors voilà mon idée: On peut aller dans les endroits bondés aux heures de pointes par exemple la bibliothèque ou euh... La Grande Salle et on propose aux gens de s'asseoir avec nous ! Nous ne pouvons pas rester éternelles solitaires... »

Puis, la jeune fille laissa échapper un rire cristallin pointé d'une teinte d'humour inpénétrable et entendit sa compagne lui dire comment elle l'avais rencontrée, en quelques sortes, c'était que elle avait entendu sa voix et l'avait trouvé mélodieuse, mais Laure au contraire avait simplement trouvé que la personne à côté d'elle gesticulait beaucoup. En remarquant bien, c'était le genre de rencontre qui pouvait forger des véritables amitiés, aussi ridicule soit-elle. Depuis quelques minutes, la Gryffondor n'avait pas arrêté de sourire depuis qu'elle avait rencontré Daphné et cela la réjouissait car au moins, elle avait une amie rigolote et enjouée.

~ Assonances ~ « Oh, merci... Eh bien je chante souvent et je joue de la flûte, j'ai appris de moi même et c'est un de mes passe temps ! Justement, cette journée est idéale pour sortir prendre l'air alors je les ai apporté tous les deux. »

Surprise pour la jeune blonde, Daphné ne connaissait pas beaucoup la maison Serpentard. Pourtant, d'après les sorciers passants ou les élèves de sa maison, on pouvait raconter partout que Serpentard avait une affreuse réputation et que d'effroyables légendes couraient à propos de son héritier. C'était que au début, quatre fondateurs avaient créé Poudlard, deux hommes et deux femmes, et avaient légué leur nom à chacune des maisons. Serpentard n'avait pas voulu que des moldus entrent à Poudlard et s'en fût, disputé avec les trois autres, jurant la vengeance. Enfin, la légende horrible racontait que un monstre était caché dans l'école et que seul l'héritier de la maison pouvait lui parler.

Sottises qu'était cela ! Laure n'avait jamais cru au légendes, bien qu'elle fût dans un monde magique. Alors, bien que le monstre des Serpents hante les élèves chaque nuit en cauchemar, elle rêvait de pleines et de montagnes, et ne faisait presque jamais de cauchemars. Si ceux ci arrivaient, ils étaient à propos de ses parents. Alors elle se réveillait en sueur et enfouissait sa tête dans son oreiller moelleux. Mais pour l'instant, depuis qu'elle était au château, rien de tout cela ne s'était passé.

~ Assonances ~ « Ah bon? Pourtant c'est étrange, tout le monde connait les maisons et leur caractère. Si tu veux, voici un résumé: Gryffondor, notre maison, est celle des courageux et des hardis. Ensuite Serdaigle est celle des sages et réfléchis. Poufsouffle, c'est les travailleurs acharnés et Serpentard les rusés... Mais bon le choixpeau dit ça pour faire bonne impression, tout le monde sait que les Serpentards sont méchants. Toutefois j'ai toujours eu cette idée que les gens vont vers le mal pour se secourir, sans se rendre compte que c'est la mauvaise voie. Comme mon père. »

Aie. C'était sorti. Christophe Delaunay, ou du moins son fantôme, avait enfin surgi des douces lèvres de sa fille. Elle en avait parlé. Pourtant, elle n'en parlais presque jamais. Elle détestait parler de son histoire, car à Poudlard, nombre des élèves avaient passé une bonne enfance entourés de leur parents, et bien qu'elle eût rencontré également quelques personnes à l'histoire difficile, elle essayait constamment d'éloigner le sujet de ses conversations. Mais là c'était malgré elle. Alors, elle se mit à arracher l'herbe elle aussi, nerveusement. Se rendant compte de ce qu'elle faisait, elle arrêta et soupira, comme pour exprimer son ennui, et finit par resourire, cette fois un peu en se forçant. Finalement, elle croisa les doigts derrière son dos pour ne pas que Daphné ne lui pose de question. Mais non, elle ne fit que répondre à l'ancienne question de Laure. Enfin, ses doigts se dilatèrent et elle se calma comme à son habitude.

~ Assonances ~« Ah bon ! » fit-elle simplement.

[ :luuv: Admettons, en tout cas, je te félicite ton kit est très bien réussi. Pour ce qui est de ton poste, il est époustouflant, je suis bien obligée de m’incliner après ça.C'est un vrai plaisir de faire un poste avec toi! ]

Daphné ne regrettait vraiment pas de s’être rendue dans le parc, elle était si contente qu’elle devait se retenir pour ne pas montrer plus sa joie qu’elle ne l’avait déjà fait. Laure était vraiment sympa, c’était une amie qui se présentait devant elle, elle s’entendait bien, elles se ressemblaient sur certains points, et malgré qu’elles se connaissaient depuis quelques minutes, on pouvait sentir une harmonie. Laure avait réussi à rassurer Daphné, elle était plus aisée qu’elle est avec une certaine tact l’avait calmé , ce qui pourtant n’était pas facile. Les gens avaient plutôt tendance à plus énerver Daphné qu’à la calmer, elle avait ainsi une vie assez turbulente et décevante et bien sûr pleine de stress et à la fin. Daphné, se sentait beaucoup plus à l’aise, elle souriait même sans s’en rendre compte. Elle allait peut-être avoir enfin une amie, sa première à Poudlard, elle pourrait sans doute compter sur elle et pourrait la consulter. Bien sûr Daphné en ferait autant de tous les efforts qu’elle pourrait. Elle ne regrettait vraiment pas cette rencontre.
Pendant cet instant de silence où Daphné regardait Laure, elle vit que Laure regardait quelque chose non loin avec un sourire. Daphné suivit celle-ci du regard et trouva sans difficulté ce que devait regarder Laure. Un garçon, entourée de sa troupe était en pleine discussion ou plutôt en pleine frime. Cette vue amusa bien sûr Daphné mais il fallait avouer, que sur le point social et physique , ce garçon distançait considérablement bien Daphnée. On sentait en lui une telle aisance et une telle facilité de vie, il jouait tout simplement avec ses beaux airs. Daphné avait véritablement de quoi l’envier, il ne lui restait plus qu’à espérer qu’il soit stupide. Puis, sans que Daphné y attende, Laure prit la parole et parla à Daphné d’un plan, tout de suite, celle-ci s’y intéressa, son plan était véritablement intelligent et amusant, elle avait visiblement préparer ça depuis longtemps, si on voulait. Elle recommença à la regarder et dit :

" Oui, oui… c’est génial ton idée, il faudrait mettre ça à ton idée. Je te suis en tout cas, marre d’être solitaire, c’est un statut qui ne me va pas. Faisons des rencontres et donnons à ce garçon, une raison de nous envier.Et puis on fera peut-être ou plutôt sûrement des rencontres intéressantes…"

Daphné éclata littéralement de rire, mais elle y croyait, elle reprit un sourire et pensa que véritablement, ce qu’elle avait dit était vrai, elle n‘aimait pas être seule, elle ne pouvait rester solitaire, ce n’était pas bon pour elle et visiblement c’était le même cas pour Laure, sauf qu’elle avait déjà mis un plan en place. Puis Laure fit allusion à sa flute, elle était comme elle avait dit antérieurement, réellement belle, habilement taillée dans un morceau de bois, elle reflétait la sérénité d’âme de Laure. Sa voix aussi, si mélodieuse, reflétait également sa grandeur, elle chantait très bien et avec des l’émotion, sa chanson n’était pas vide, elle avait un sens bien à elle et Daphné aimait ça.

" Ca doit être tout de même un bon compagnon de voyage, enfin surtout quand comme toi on sait chanter et en jouer "

Elle prit un petit sourire malicieux, elle pensait également toujours ce qu’elle disait. Visiblement, elle était plus vraie, elle mentait de moins en moins quand elle était à l’aise, en y réfléchissant, lors de cette conversation, elle pouvait réellement se vanter d’avoir été honnête. Visiblement, me fait d’être à l’aise et en bonne compagnie l’incitait à être vraie. Mais quand comme autrefois et en mauvaise compagnie,elle était stressée, elle se sentait obligée de mentir pour un certain nombre de chose, elle n’aimait pourtant pas ça, mais la peur l’envahissait et la paralysait. Mais il n’était pas nécessaire de se remémorer ces évènements passés. Laure parut étonnée par le fait que Daphné ne connaisse que très peu de chose de l’histoire de Poudlard, c’était visiblement évident pour elle, mais bon heureusement pour elle, ce n’était pas si grave. C’est pourquoi, Laure entreprit de lui raconter la caractéristique de chaque maison. Et cette fois, Daphné écoutait, contrairement à la répartition au cours de laquelle Daphné n’avait strictement rien écouté. Ainsi, elle était dans la maison du courage, à son grand étonnement, jusqu’à présent, son courage n’avait pourtant pas été très présent. Enfin peut-être qu’il apparaîtrait plus tard, elle pouvait également l’espérer. Laure, elle avait l’air de représenter ces caractéristiques, mais bon peut-être que plus tard… Elle répondit en riant :

" Oui tu as peut-être raison, c’est sûrement pour donner une bonne impression, mais j’ai la conviction que nous ne sommes pas en mesure de faire une généralité. Merci pour l’information, en tout cas, comme ça, si je suis questionnée, je pourrais dire au moins quelque chose, ce sera déjà ça. "

Puis Daphné regarda le visage de Laure, il s’était crispé, Daphné ne savait pas si c’était de sa faute, mais elle s’était crispée, avait-elle dit quelque chose de mal. Elle était soucieuse, Laure arrachai de l’herbe nerveusement comme Daphné l’avait fait antérieurement, mais elle ne comprenait pas ce qui la gênait. Mais Daphné savait bien qu’il n’était pas nécessaire de la mettre plus mal à l’aise qu’elle ne l’était déjà, c’est pourquoi, elle fit mine de ne se rendre compte de rien, elle faisait bien sûr de son mieux, mais elle ne saurait peut-être pas empêcher d’éveiller les soupçons. La chose devait être troublante pour qu’elle perde son calme, peut-être fallait il mieux ne pas l’aborder à ce moment, où elle paraissait moins à son aise.Elle émit un simple :

" Oui, c’est ça, la simple et ennuyeuse enfance de Daphnée Greengrass avec ses chers
parents. "

Elle afficha un pâle sourire.

[ Désolée pour le court retard ]

C'était fou, pendant un instant, la rencontre idéale avec une jeune fille de son âge semblait se dissiper et prendre position derrière les souvenirs de l'enfance difficile de Laure Delaunay. Pourtant, il n'y avait que cinq minutes de cela, elle était joyeuse et ne faisait que rire, mais pour l'instant elle semblait encore nerveuse bien qu'elle eût essayé de regagner son calme en pensant à diverses choses tel que les cours de la semaine prochaine ou encore sa nouvelle amie. Était-elle amoureuse? Mais l'image de ses parents sur la photographie de sa tante était encore présente dans sa tête, comme une image qu'on aurait affiché directement devant ses yeux, lui bloquant la vue même si elle essayait de l'écarter. Sa mère en prison, les yeux fous de douleur, ses cheveux blonds poisseux de crasse... Pourquoi? Pourquoi lorsque le bien et le mal peuvent s'entendre, il faut absolument que la guerre gâche tout? Affreux, détestable, dégoutant qu'était le combat. Depuis ce temps, la fille de l'auror réputée et du mangemort fidèle ne cessait de vouloir faire la paix à chaque fois qu'elle se disputait. C'était comme une nécessité. Elle voulait que tout le monde l'apprécie, et c'était un de ses défauts. Car, pour elle, le combat ne servait à rien.

Une voix fluette la ramena enfin sur terre et l'image pointée devant son nez sauta. Daphné. L'arbre. Le parc. C'était comme si pendant un instant, on lui avait ôté la mémoire pour la lui replacer quelques secondes plus tard. Un sentiment étrange. Mais enfin, elle arrêta d'arracher l'herbe douce et sourit de nouveau. Mais ce sourire n'était pas forcé, loin de là il était plutôt rassuré, que tout ceci n'était pas qu'illusions et que son amie était bien là, à côté d'elle, avec les mêmes cheveux blonds, avec les mêmes cils noirs foncés. Enfin, la jeune Gryffondor s'accôta de nouveau contre l'arbre et écouta sa camarade parler. Au bout de quelques mots elle réussit à la faire éclater de rire avec sa remarque sur le garçon quelques mètres plus loin. Enfin, en biais avec sa propre personnalité, Laure leva le petit doigt et fit un clin d'oeuil à son amie , signe de se taire une seconde. Enfin, elle essaya de capter le regard du jeune homme et lui envoya la main avec un sourire exagéré.

~ Assonances ~ « Regarde moi cette face idiote. Non mais vraiment, t'as vu comment il me regarde? Comme si j'étais un extraterrestre ! Oh mais tu as raison Daphné, bientôt ça sera lui, l'extraterrestre ! Grâce à notre plan, on pourra lui faire la fête, à ce seductor ! Euh attends, j'ai une idée, on devrait donner un nom à notre plan, un truc du genre professionnel, comme des agents... »

Quelles idées fofolles qu'avait Laure ces derniers temps? Cela lui rappela une de ses amies, une moldue, prénommée Rose. Elle était adorable, et, tout comme elle, elle voulait toujours organiser des trucs, aussi incroyables étaient-ils. Par exemple, dès qu'il y avait une fête, elle devait toujours tout mettre en place, sans même laisser le temps aux autres de dire ouf. C'était une amie géniale qui tenait beaucoup à ses proches et la jeune Delaunay l'avait toujours beaucoup appréciée. Même qu'elle avait arraché un peu de son caractère pour le transmettre dans sa personnalité. Enfin, prenant une mine légèrement pensive, elle réfléchit à un nom idiot mais professionnel qu'aurait pû avoir leur plan. Finalement, une idée lui vint en tête, et un sourire accrocha son visage.

~ Assonances ~ « Pourquoi pas... Opération Dolls Solitaires? »

Puis elle enfouit sa tête dans ses genoux, ses cheveux blonds dépassants de son jean. C'était idiot mais amusant, bête mais attachant, et c'était sans doute son caractère. Enfin son amie, après avoir approuvé tout en riant, lui parla à nouveau de sa flûte, lui racontant que ça devait être un bon compagnon. Oui, elle avait raison. Une flûte, ce n'était pas comme un piano, ça pouvait se trimballer partout, on pouvait en jouer à tout moment... Génial, le top instrument quoi. Et bien que Laure ne soit pas une fille très fashion elle aimait bien ce genre de petit jouet portable mélodieux et sage à la fois. D'ailleurs, si elle n'avait pas été à Gryffondor, sans doute aurait-elle été répartie à Serdaigle. La flûte, l'aigle, ses yeux. La sagesse et le calme. Tout pour une bleue et argent ! Mais le destin, ce fameux père qui décide tout, avait choisi autre. Et il fallait l'accepter. Dans son cas, Assonnances l'acceptait avec joie !

~ Assonances ~ « Tu as raison. C'est quelque chose que j'apporte partout ou je vais, même dans les endroits sombres. En fait c'est que je trouve qu'une mélodie peut toujours tout changer, une mélodie d'amour, ça attendrit et ça allonge le moment présent, aussi souffrant soit-il. Voilà. J'adore cela, j'ai appris tout de moi même et j'en suis assez fière pour être franche... »

Nouveau sourire. Décidément, ça n'arrêtais pas ! Daphné était vraiment la compagne dont on pouvait rêver, et le hasard avait voulu qu'elles se rencontrent, comme cela, sous un arbre, par un samedi estival. Joyeusement... D'après elle, c'était tellement plus beau que d'être entouré de filles séduisantes, et se les disputer les unes les autres. C'était une amitié, quelqu'n de bien, c'était être avec une personne de confiance, une personne avec le même caractère que vous, gentille et attachante. C'était tellement plus joyeux. Serein et calme. Et cela relatait encore une fois le destin de Laure Delaunay. Enfin, lorsqu'elle s'était crispée, Daphné avait dit autre chose qui l'avait surprise tendrement. C'était une voix douce, suivie d'un maigre sourire, et c'était cette phrase qui l'avait sortie de ses pensées affreuses.

Citation :: " Oui, c’est ça, la simple et ennuyeuse enfance de Daphnée Greengrass avec ses chers
parents. "

Alors elle aussi avait sans doute vécu quelque chose de dûr. Mais on aurait dit que ses parents étaient encore vivants. Mais si on y réfléchissait bien, en fait, elle n'avait rien vécu de fort. Elle disait son enfance banale, simple, ennuyeuse. N'était-il pas? Laure s'était précipitée sur ces mots, sans en comprendre le sens. Sans doute un nouveau défaut. Enfin, lorsqu'elle se rendit compte de leur vraie signification, elle regarda une dernière fois le garçon et tourna ses yeux miel dans ceux de son amie.

~ Assonances ~ « Oui, c'est ça, la dûre et mauvaise enfance de Laure Delaunay avec sa chère tante. »

[C’est ça que tu appelles un retard ? ~ Musicale 3906497052

]
Daphné était devenue à son tour mal à l’aise, enfin, elle avait peur d’avoir fait quelque chose de travers, si bien qu’elle pointait les yeux vers le sol, arrachant à son tour un peu d’herbe. Le hasard avait voulu qu’elle s’appelle Herbe verte en Français, de Greengrass et on se demandait bien pourquoi, vu comment elle traitait cette même herbes. Mais bon, difficile de baser ses pensées sur de l’herbe alors qu’on sen qu’il y a quelque chose qui cloche. Mais Daphné se taisait, c’était certain, elle était très sympathique mais elle n’avait rien à apprendre à Laure sur l’aisance, c’était elle qui rassurait. Daphné ne cessait de lui jeter de petits coups d’œil, mais rien. Décidément, Daphné ne ferait jamais psy à l’hôpital Ste Mangouste mais peu importait. Elle aurait bien voulu réagir , dire quelque chose mais rien, non seulement, elle n’aurait pas sûr quoi dire mais en plus, elle savait qu’il était trop tôt pour remuer les choses difficiles, c’est pourquoi elle restait muette.
Toujours est il qu’à un moment, où Daphné le souhaitait le plus, Laure leva la tête et regarda l petit groupe avec le fameux garçons, c’était rassurant pour Daphné et certainement pour Laure. Elle ne savait pas quoi dire, elle était très nulle pour le social mais une simple phrase amicale avait eut l’air de la réveiller, ça faisait plaisir à voir. Elle était très contente d’avoir Laure, tout en étant aisée, elle était gentille et elle avait des idées supers, Daphné en était certaine, avec elle, elle ne risquait pas de s’ennuyer. Puis Laure s’adossa à l’arbre, tout en regardant la scène du garçon, Daphné continuait à parler, mais alors que Daphné avait jeté un regard à Laure, celle-là l’arrêta d’un signe en levant le doigt pour lui faire mine de se taire. Puis, elle capta le regard du garçon pour lui faire un signe plutôt exubérant. Daphné éclata littéralement de rire, il ne lui en fallait peut-être pas beaucoup mais cette scène avait été exceptionnelle. Puis, Laure prit la parole, attentivement, Daphné écouta ce qu’elle disait, elle ne pouvait pas cesser de rire tout en affirmant puis elle finit par dire :

" Mais, c’est clair ! Regarde ce frimeur, il se croit au 7eme ciel ou quoi celui-là, le petit roi avec sa cour et au bout deux extraterrestres, c’est ça ? Et bien, voyons, oui, oui, qu’ils attendent, je ne crois pas qu’il rira encore quand il sera à la place de ces filles. Il sera à peine bon à te supplier Laure. En tout cas, l’idée du nom j’adore, les lunettes noires aussi…Ca le fera bien…les agents secrets façon remake, c’est que du plaisir… "

Daphné ne connaissait personne d’aussi imaginatif que Laure, bien sûr il était vrai, que durant son enfance, elle avait été plutôt isolée qu’autre chose, mais toutes les filles qu’elle avait rencontrées étaient blasées. Ce qui était embêtant quand on voulait s’amuser. La fabrication de plan c’était son truc, des plans intéressants… Daphné regardait Laure réfléchir mais elle s’y mit aussi, Laure ne devait pas être la seule à travailler. Puis au bout de quelques temps de réflexions, Laure émit son idée, pour toute réponse Daphné éclata de rire et dit:

"Oh yeah !!!!Ca c’est un plan qui sonne juste, je crois qu’on va tout déchirer, le nom, j’adore tout simplement !!!! "

Elle riait encore de cette idée qui devait absolument être mise à exécution. Puis elle regarda Laure enfouir sa tête dans ses genoux, bien que Daphné trouvait ça plutôt amusant, elle se contenta d’afficher un sourire amusé. Décidément, dans l’originalité, elle était la meilleure. Puis Daphné avait parlé de sa flûte, cette petite flûte noire, sujet de grande conversation, elle était décidément chérie à souhait. Laure répondit à sa phrase et tout en l’écoutant, Daphné voyait combien Laure devait apprécier cette chose qui n’était pourtant pas plus qu’un objet mais qui valait toutes les belles paroles du monde. Elle répondit simplement avec un sourire:

" Je comprends… "

Laure avait semblé porter une certaine attention sur une des phrases de Daphné, celle où elle arrivait plus ou moins à résumer sa vie. En une phrase, elle avait réussi à décrire son enfance, ce n’était pas normale pour une enfant de raconter sa vie comme ça, un enfant devait toujours ajouter plein de détails, d’anecdotes, d’aventure toutes plus amusante les unes que les autres, mais Daphné, n’était visiblement pas en mesure d’en faire autant que les autres. Mais après tout, de quoi se plaignait-elle ? Elle s’était peut-être ennuyée mais contrairement à certain durant son enfance, elle avait eut tout ce dont elle avait besoin, peut-être pas avec autant d’amour que certain, mais on l’avait élevé, certaine personne n’avait pas eu la chance de connaître leurs parents alors que elle, elle avait été scotchée à eux, tellement qu’elle avait voulu partir plusieurs fois. Mais tout le monde connaissait les fugues de petites filles, c’était toujours amusant à voir et il revenait toujours. C’était pendant ces instants, que les petites filles et les petits garçons, avaient l’impression de prendre le plus de place possible dans les yeux de leurs parents. En effet, à tord il s’inquiétaient, les enfants, étaient trop craintifs du monde extérieurs pour traverser le jardin alors sortir de la propriété… Cependant, elle entendit Laure modifier sa phrase avec une tournure beaucoup plus malheureuse, une vie sans parents, avait-elle dit, avec sa tante. Une vie dure et malheureuse, quand elle pensait de quoi elle s’était plainte, Daphné avait envie de se frapper la tête contre l’arbre. Pourtant, elle ne fit rien, enfin elle regardait Laure avec une certaine attention, elle semblait avoir vécu des épreuves difficiles et dire qu’elle s’était plaint…Daphné avait compris ou plus ou moins commençait à comprendre, pourquoi, il y avait eu un silence fragile lors d’une discussion antérieur. Daphné répondit à la phrase de son amie:

" Les histoires comme ça ne sont pas faites pour durer, après une vie si malheureuse, nous allons reprendre notre vengeance et assouvir notre soif de bonheur, et ne compte pas sur moi pour abandonner Laure…Reprenons notre vengeance sur la vie et rattrapons notre retard "

Pour une fois, elle était assez fière de ce qu’elle avait dit, elle le pensait réellement et elle avait bien décidée de ne pas se laisser abattre ni de laisser s’apitoyer Laure. Le passé était fini, elle devait vivre au présent et en plus dans une super école, à savoir Poudlard.

Oui. Elle avait raison. Et même elle même semblait fière de ce qu'elle venait de dire. Reprendre la vie en main, s'aider mutuellement en créant des choses tout droites sorties de notre imagination, en essayant de côtoyer plusieurs autres personnes, ensemble. Ensuite, à la fin de la journée, venir se retrouver sous l'arbre et se raconter ce qu'on avait fait. N'était-ce pas une belle preuve d'amitié? N'était-ce pas quelque chose de bien? Au moins, ceci était quelque chose de sincère, de vrai. Un club amical et ouvert à tout le monde, contrairement à ce garçon qui continuait a s'agiter avec sa bande au fond du parc, près d'une souche de la Fôret Interdite. Laure s'était trouvé une amie. Une vraie, pas une espèce de fille qui ne pense qu'à la mode et aux hommes. Non, quelqu'n de sincère qui, elle en avait bien l'impression, appréciait sa compagnie autant que c'était réciproque. Et ce en quelques minutes. De rigolade.

~ Assonnances ~ « Merci Daphné. J'apprécie vraiment ta compagnie. J'espère qu'on deviendras de bonnes amies. D'ailleurs, je t'en considère déjà comme une. Avec notre opération spéciale, nous volerons la vedette, et, encore mieux, sans être bêtes. J'ai bien hâte. Seulement il faut le mettre en pratique... Alors... Attends moi deux petites minutes, je reviens. »

L'espace d'un moment, la jeune Gryffondor s'était souvenue d'un livre qu'elle avait lu il y avait quelques années, bien que ce fût un roman moldu pour adolescentes. C'était un club, un peu comme celui des " Dolls Solitaires ". Seulement il tournait autour d'un pantalon magique, et c'était quatre filles qui se le passaient. Ce jean changeait leur vie. Bref, c'était une histoire touchante. Enfin, elle avait eu l'idée, comme dans le bouquin, de faire une liste de choses à respecter dans ce petit club. Comme des règles, le plus amusantes étaient-elles. Mais comme elle n'avait que sa flûte, sans faire part de sa pensée à Daphné, elle courrut vers l'intérieur du château pour traverser le hall, ayant pour but d'aller trouver un morceau de parchemin et une plume. Elle avait laissé son sac dans la Grande Salle.

Ne pouvant s'empêcher de s'arrêter pour regarder le magnifique plafond du hall et sa grandeur, ses yeux miels le parcoururent à la vitesse de l'éclair et l'image de la jeune brune rencontrée le jour de son arrivée la frappa. Depuis, elle ne l'avais plus jamais revue et on lui avait raconté qu'elle avait finalement quitté Poudlard. Laure s'était posé des questions. Était-elle partie à cause de sa rencontre avec la fille de deux hors la loi? Elle espérait que non.

Enfin, ne voulant faire attendre plus son amie, la jeune fille se précipita vers la droite et poussa le plus fort qu'elle le pouvait les deux immenses portes gravées or avec les balsons des quatre maisons. La pièce garguentuesque était vide à cette heure ci mais quelques sacs étaient posés par ci par là sur les différentes tables des maisons. Lorsque la Delaunay se précipita pour empoigner son sac, elle courrut le plus vite possible jusqu'à l'objet pour se retourner aussi vite que deux secondes plus tôt et heurta quelqu'n. Le jeune homme de dehors. Bredouillant quelques excuses, elle sortit de la Grande Salle à la quatrième vitesse et dévala les escaliers de pierre du Hall, n'ayant même pas le temps de jeter un coup d'oeuil à l'endroit.

~

Règles du club des Dolls Solitaires:

~ Le club ne peut accepter que des filles vu que le titre est " Dolls " ce qui veut dire " Poupées " en anglais. Alors même si les garçons étaient acceptés, sûrement, ils n'aimeraient pas trop le titre.
~ Les deux fondatrices sont Daphné Greengrass et Laure Delaunay.
~ Aucune des deux fondatrices ni les membres du club ne peuvent renier leur solidarité.
~ Le club forme une famille
~ Enfin, à chaque fois que on a rencontré quelqu'n, il faut le signaler à ses amies.

[et si on faisait vraiment une annonceuuuuh?? ~ Musicale 4021931481

enfin je suppose que tuny avais pensé en totu acs l'idée est génialeuuuh, super poste :Loose: ]
Daphné rendit un sourire à la réponse de son amie. Elle également presque certaine qu'elles deviendraient de très bonnes amies, a preuve, elles avaient déjà créer un groupe. Mais tout d’un coup, Laure ordonna à Daphné de rester là et de l’attendre. Daphné à la fois amusée et intriguée par la situation accepta sans broncher. La regardant partir avec le sourire, Daphné se réjouissait de savoir ce que voulait bien faire son amie. En tout cas, elle se dépêchait, c’était à peine si elle ne courrait pas. Ainsi, Daphné restait quelques instants seuls contre le fameux arbre. Un arbre chanceux d’après elle, il avait déjà du servir un certain nombre de fois… Daphné se mit à genou et regarda son écorce. Puis intriguée, comme toujours, elle déchiffra quelques petites lettres inscrite négligemment sur l’écorce. Un sourire malicieux s’affichait sur son visage, il avait été écrit :

Citation :: C+T= forever.

Daphné laissa échappé, c’était à la fois amusant et mignon, ces inscriptions devaient dater de quelques années. Sûrement des élèves de première ou de deuxième année. Maintenant, ceux-ci devaient être soit en dernière année ou alors être déjà en train de travailler. Daphné s’imaginait des personnes très sérieuses tel qu’ils devaient être maintenant en train d’écrire leur nom sur un arbre, un bête arbre. Mais un bête arbre où à jamais, avait été tracée une bonne centaine d’année d’amitié, d’amour, de serment, de peine, bref, de relation. Daphné avait du mal à s’imaginer que cent ans plus tôt des élèves étaient assis exactement au même endroit qu’elle en train de bavarder avec une autre personne, c’était assez bizarre pour elle, déjà qu’elle se l’imaginait en noir et blanc comme dans les articles de la gazette mais en beaucoup plus lent que la gazette, une reproduction amusante et caricaturale de la vie d’autrefois.

Elle s’écarta de celui-là, elle regarda vers là haut, l’arbre ne devait pas avoir 100 ans, il devait avoir beaucoup plus que ça, alors c’était encore plus difficile à se l’imaginer. Puis elle détourna son regard sur le fameux groupe, justement, le garçon s’en allait, la troupe suivait bien sûr quelques mètre derrière. Avec un sourire amusé, Daphné les regarda partir, il était vrai que la situation était amusant, au devant le plus populaire marchant adroitement avec une certaine aisance, derrière ses fans le suivant comme stressée s’arrêtant à chaque pas pour se poser des questions. Elles étaient vraiment stupides, ces filles-là, le garçon leur aurait demander de se jeter par la plus haute tour, qu’elles l’auraient fait, certes au moins leur esprit de fidélité et dévouement étaient très présents, c’étaient peut-être un peu excessif mais Daphné pensait que ce genre de file ferait de très bonne cireuse de chaussure avec tout l’énergie qu’elles y mettaient. Maintenant, il ne restait plus qu’à attendre Laure, elle ‘était pas partie depuis longtemps mais c’était tout comme, elle n’avait rien à faire, c’est pourquoi, elle commença à regarder le château. C’était vraiment un superbe château, très grand et déboussolant mais superbe.

Daphné aimait beaucoup le château, ainsi que els gens qu’on y rencontrait, bien qu’elle en connaissait pas encore bien l’ambiance à Gryffondor, elle avait l’air d’être bonne, du moins c’est ce qu’en disait tout le membres. Elle était contente d’être à Gryffondor, maintenant qu’elle savait ce que cela signifiait, ça ne voulait pas dire grand-chose avant pour elle mais maintenant, elle savait que malgré sa maladresse et sa timidité habituelle, il y avait un soupçon de courage chez elle et elle approuvait ce côté opportun. Elle regardait la tour est, la sienne, ou plutôt celle des Gryffondors, c’était une des plu hautes et grosses tour du château, mais la plus haute restait celle de la tour d’astronomie, celle où on pouvait bien observer les étoiles. En y réfléchissant, appart Gringotts , elle n’avait jamais vu un endroit avec autant d’étage et si vaste.

Mais Daphné se doutait bien que le château était encore plus grand que Gringotts, elle , elle avait vécu dans un beau manoir avec plusieurs étages mais strictement rien à voir avec cette merveille, ce château tout simplement gigantesque. Elle était tout simplement émerveillée, et la nuit… La nuit… ça devait être encore plus beau avec des petites lumières venant des fenêtres, ça devait être splendide. Daphné n’avait pas encore fait de sortie nocturne mais ça viendrait certainement. Elle ne manquerait pas de saisir cette occasion, mais c’était peut-être un peu tôt pour tenter une escapade alors qu’elle venait tout juste de rentrer en première année. Mais elle n’oublierait pas d’aussi tôt cette idée. Puis elle vit Laure revenir vers elle toujours en courrant, Daphné lui adressa un sourire, elle ne savait pas si elle le verrait mais peu importait et tout en la regardant arriver, elle gardait un regard interrogatif. Qu’avait elle donc fait, elle voulait absolument le savoir.

~ Assonnances ~ « Et voi-là ! »

La plume d'aigle de Laure Delaunay se leva du parchemin en un geste gracieux, telle une balerine qui avait fini son spectacle. La charte du club des Dolls Solitaires était close. Maintenant, il s'agissait de faire une annonce, quelque chose d'intelligent pour que les gens sachent qu'il existait une organisation à Poudlard pour les jeunes nouveaux qui étaient un peu perdus. Essayant de se souvenir, elle finit par se rappeler qu'elle avait vu un panneau d'affichage près de l'escalier de marbre. Il était caché légèrement mais si on connaissait bien le château on ne pouvait pas le manquer. Quoique cette association, justement, était pour ceux qui ne connaissaient pas le château. Elle décida donc de demander la permission à quelqu'n de le déplacer pour permettre aux élèves de le voir plus facilement.

Exaltant un nouveau sourire à son amie, elle lui tendit le parchemin sans effacer sa marque de fierté. Attendant quelques secondes, elle suivit ses yeux qui allaient de ligne en ligne, bien qu'il n'en ait plus beaucoup. Cela lui rappela une nouvelle fois ses amies qui s'amusaient à la traiter d'hypnotiseuse car elle ne cessait de suivre leurs iris lorsqu'elles lisaient. Elles avaient eu de nombreux délires avec cette petite habitude de la jeune fille et un nouveau sourire vint à ses lèvres. Finalement, Daphné reposa le morceau jauni et accorda avec elle. Mais, ne voulant pas s'imposer, Laure lui dit d'un ton rassurant:

~ Assonnances ~ « Mais tu sais, si tu as envie de rajouter quelque chose, pour l'étoffer, rien ne t'en empêche, après tout, nous travaillons en équipe ! »

Maintenant, il fallait trouver une devise. Quelque chose d'original, de drôle et de créatif en même temps. Créer des associations n'était pas aussi facile que ça ! Toujours penser à tout, aux noms, aux pseudonymes secrets ou encore a plein d'autres choses, la charte, les règles, les membres... Que ça soit rigolade ou non ! Et pour deux jeunes filles de onze ans, ce n'était pas si facile que ça. Mais si elles persévéraient, ça risquais de fonctionner. Bien entendu, Laure ne s'attendait pas à des centaines de personnes mais quelques unes lui suffiraient. De toutes façons, il faudrait mettre une limite.

~ Assonnances ~ « Euh, voilà, il nous reste encore à faire l'annonce, enfin ça, je veux dire, ce n'est que la charte, il faudra trouver un beau morceau de parchemin sur lequel on écrira la description ainsi que de bons arguments valables. Et pour finir, il nous faudra une devise. »

Laure fouilla de nouveau dans son sac et en sortit une plume beaucoup plus jolie, avec une pointe fine et des couleurs noires et grises. Élégante et de style royal, ça conviendrais parfaitement à cela. Enfin elle sortit un nouveau morceau de parchemin, plus long cette fois ci, avec les bords intacts. Un nouveau pot d'encre et tout fonctionnait. Voilà, elles étaient prêtes. Sauf que écrire sous un arbre, ce n'était pas l'idéal. Elles devraient rentrer dans la Salle Commune pour faire cela. Mais avant de monter, elles devraient juste se trouver une devise. Après elles pourraient écrire l'annonce et la poster sur le Panneau D'affichage.

~ Assonnances ~ « Je propose qu'on monte le matériel dans la Salle Commune et qu'on écrive notre annonce là bas. En attendant nous pouvons toujours trouver une devise. Tu as une idée? J'ai conçu le nom, à toi de créer quelque chose ! »

[ Ok, on la posteras au panneau d'affichage Juste après que tu aie répondu avec la devise Je m'en chargerais ^_^ Désolée du petit Rp ']

Sujet: Re: ~ Musicale Mar 5 Sep 2006 - 11:00

[ésolée du retard!!! en espérant que tu ne m'en voudras pas de ne pas t'avoir répondu plus tôt, au fait, c'est un très beau kit que t'as fait ayumi^^]

Daphné avec un petit sourire malicieux prit le parchemin que Laure lui tendait. Il avait été écrit bien distinctement avec une écriture fine longe et agréable. Déjà ça semblait parfait. Elle parcourut le parchemin avec beaucoup d’attention, c’était évidemment parfait. Elle échangea un regard amusé avec Laure et dit après qu’elle lui ait proposé d’ajouter quelque chose si l‘envie lui disait :

-A vrai dire, après tout ce que tu as mis, je pense qu’il n’y a rien à rajouter, c’est par-fait !

Elle rendit le parchemin et comme le voulait Laure, commença à réfléchir à une devise. Elle devait être plus ou moins courte, elle devait attirer l’œil sans être vulgaire ou trop opportuniste. Elle n’était pas aussi imaginative que Laure mais elle faisait de son mieux. Il aurait déjà été triste de ne pas se pousser un peu pour trouver quelque chose. Elle se frotta quelque peu les mains et laissant échapper de petits cris de désespérance, elle pensait qu’elle devait vraiment avoir l’air folle. Mais bon, ces petits gestes lui étaient obligatoires pour réfléchir intelligemment. Elle réfléchissait, donnant tout ce qu’elle pouvait sans trouver, décidément, l’inspiration lui manquait. Pas de chance, c’était toujours quand on en avait besoin qu’elle se défilait. Daphné avait toujours été inspirée pour les bêtises mais dés qu’il s’agissait de répondre intelligemment, l’inspiration n’y était pas, faisant preuve de paresse, elle faisait un petit signe pour s’enfuir. Mais cette fois, ça ne se passerait pas comme ça, elle était résignée à faire de son mieux et à donner tout pour que ça se passe au mieux. Et puis, de plus, Laure, elle avait trouvé plein de chose et avait beaucoup donné, mais Daphné, rien. Ca ne se passerait pas comme ça, elle réfléchissait, réfléchissait et enfin réfléchissait. Elle finit par émettre ses idées :

-Alors… Euh… Mieux vaut régner que s’isoler, les dolls solitaires s’imposent…un autre…Une revanche sur la vie avec un maximum d’amies…autre chose…Amour , gloire et beauté, des mots qui font rêver( je devais la mettre celle-là ) non ça c’est déjà pris…Franchement t’en penses quoi ?

Elle paraissait mal à l’aise sans être gênée, mais c’est vrai que ses idées n’avaient rien à voir avec les idées lumineuses de Laure. Elle posa son menton dans la paume de sa main et attendit une réponse de la part de Laure. En espérant que les idées ne seraient pas trop mal prises. Mais plus els choses avançaient et plus Daphné pensait qu’elle pouvait avoir confiance en Laure qui ne se moquait visiblement pas d’elle. Elle regarda ses gestes et attendit une petite réaction, le ridicule ne tuait pas après tout… Et si les deux jeunes filles créaient cette opération, ce n’était pas pour rien, elle voulait quand même arrêter de s’isoler. Daphné croyait en ce projet et elle espérait bien qu’il aboutirait à quelque chose, si jamais son idée n’était pas bonne, elle n’avait plus qu’à espérer une touchée céleste. Elle espérait qu’elles pourraient toujours réaliser ça et monter dans la salle commune pour exécuter le projet, elle savait qu’elle ne serait pas la seule à être seule à Poudlard. Alors, si en plus ça pouvait en aider des autres, c’était tant mieux.

[oh mon dieux, j'ai honte, mon poste est ridicule , désolée et ej comrpendrai que tu ne veuilles plus répondre pour mon retard, désolée vraiment... :oops: ]