Un rêve... Une promenade... La Peur? (Pv Hugo

Sujet: Un rêve... Une promenade... La Peur? (Pv Hugo Ven 15 Sep 2006 - 2:57

« Elle marchait dans les sombres rue d’Angleterre. La nuit avait été torturante. Des cadavres tuer par un sortilège impardonnable traînait sur le sol des rues de la ville de Londre. Des maisons en feu, des édifices en ruine. Du sans sur le sol, des corps décapité sur des bouts de bois. C’était une crise, tout le monde fuyait, mais elle continuait de marcher, doucement, prudemment dans un endroit si calme, si effrayant, si mort. Elle regardait les maisons en ruine, elle entendait les cris des personnes en détresse, elle pouvait sentir l’odeur du sang lui venir aux narines. Malgré cela, quelque chose l’attirait vers la fin de l’avenue. Quelque chose d’inhumain, d’étrange… Elle continuait d’avancer, ne sachant pas ce qui l’attendait. Mais elle était prête à l’affronter… Qui que se soit. Elle examinait chaque détail autour d’elle, le sang était partout, sur les portes, sur les murs, sur les maisons, sur les personnes… Elle était inquiète, elle avait peur, mais quelque chose lui disait de poursuivre son chemin.

Elle finit par arriver, dans un endroit étrange, elle était toujours à Londre, c’était ce qu’elle pensait. Mais elle apparut devant une forêt. Elle n’avait jamais vue cette forêt à Londre. Elle ressemblait étrangement à celui de Poudlard. Elle attendit du bruit, des pas… Des hululements des hiboux. C’était une nuit glacial se soir là. Elle se demandait ce qu’elle faisait à cet endroit, elle l’ignorait… Mais pourtant, elle avançait. Elle s’aventurait dans la vaste forêt noire. Aucune lumière n’éclairait cet endroit pourtant si lugubre. Elle ignorait pourquoi avait-elle été guidé ici. Elle regardait l’endroit, examinant chaque détail de plus prêt. Elle attendit un bruit. Quelque chose s’approchait d’elle. Elle se retourna pour apercevoir… »

Ce fut une nuit, ou la Poufsouffle fit un étrange rêve. Elle se leva de son lit, elle s’assit pendant un moment, regardant par la fenêtre de sa chambre le ciel étoilé. Ce n’était pas un soir de pleine lune se soir là. Quelque chose poussait Catherina à aller se promener dans les couloirs le soir. Était-ce le fais de son rêve qui rendait se moment si réel? Elle s’habilla d’un joli manteau de fausse fourrure, elle garda son bas de pyjama. Ne voulant pas se changer. Elle avait une chambre pour elle tout seul, ce qui la plaisait. Personne ne pouvait la déranger. Elle se vêtit de chaussure, avant de franchir la porte du dortoir. Elle marcha à pas de lièvre pour ne réveiller aucun préfet endormi. Elle contait faire une petite balade le soir. Elle prit soin de prendre sa baguette délicatement avant de partir de la salle commune. Elle marcha silencieusement dans les couloirs avant de se dire d’aller dehors, prendre un peu d’air.

Elle marcha dans le parc, regardant chaque élément au passage. C’était si beau, le soir à Poudlard, la nuit tombant sur les plantes en manque de soleil. Le matin sera levé et les plantes pourront profité de se moment pendant au moins douze heures. Catherina se dirigea vers le lac, l’observant. Son attention fut dirigée vers la forêt interdite. Elle s’était promit d’y entré au moins une fois, au moins pour voir à quoi il s’agissait Elle aurait aimé être accompagné de Hugo, mais ce dernier devait sûrement roupillé dans la salle commune des serpentards. Elle aurait aimé être accompagné, se soir là. Elle se dirigea vers l’Orée de la forêt. L’immense forêt devant elle. Elle était dans un de ses dilemmes. Devait-elle y entré, ou attendre la présence de quelqu’un?

Ce fut dans ses pensés qu’elle attendit des bruits de pas. Elle devenait de plus en plus inquiète. Elle ne savait pas très bien se défendre. Elle restait là, pied cloué au sol, pétrifié par la peur. Ne sachant pas quoi pensé, quoi faire. Elle espérait juste que la personne qui venait ne lui ferait aucun mal. Elle se retourna, vers la silhouette. Essayant de le distinguer de loin, mais elle n’y arrivait pas. Elle pourrait s’essayé de lui demander qui c’était, mais rien ne disait qu’il répondrait. L’inquiétude laissait place à la peur. Son cœur commençait à battre à la charade. Elle vit la silhouette s’approché. Le premier réflexe fut de sortir sa baguette et de lancer un « Lumos ». De la distance qu’elle était, elle pouvait à peine voir la silhouette, mais ce n’était point celle d’une femme, mais plutôt celui d’un homme, assez battis… Elle devait parlé, mais aucun mot en sorti. Elle restait là, inerte, inconsciente, endormi par la fatigue qui venait à l’instant de lui tomber…

Ce fut à quelque distance d’elle, qu’elle pu répondre à la silhouette…

- Qui est la?

La Poufsouffle était inquiet, elle avait peur. Elle n’aurait peut-être pas du sortir le soir. Après tout, s’il lui arrivait quelque chose, ce serait sûrement de sa faute…

Le cours de potion venait de commencer. Hugo était arrivé quelques peu en retard. Au programme, le professeur leur présentait les différentes potions interdites par le ministère de la magie. C'était un cours assez interressant bien que rébarbatif, un cours théorique. Hugo était affalé sur sa table, plutôt somnolent. Il écoutait d'une oreille distraite et surveillait du coin de l'oeil certains élèves de Serpentard qui préparaient une mauvaise blague au professeur. En effet, un des élèves avait apporté en classe une bombabouse ainsi que différents produits de la marque Weasley, des produits que Hugo ne connaissaient pas du tout.
Tout péta. Une odeur immonde se répandit dans la salle tandis qu'un bruit cacophonique emplissait la petite salle de cours. Les élèves affolés, poussaient des cris terrorisés tandis que le professeur ne savait plus où donner de la tête. Cet évènement réveilla Hugo qui glissa son parchemin, son encrier et sa plume et discrètement, quoi que il ne se serait certainement pas fait remarquer s'il ne s'était pas caché à cause de toute la rumeur, Hugo quitta la salle de cours.

Le jeune garçon, son sac sur son épaule, se faufila dans les longs corridors de Poudlard, échappant à la figilance de Valentin le concierge et quitta le château. Il avait dans l'idée d'emprunter le chemin de la forêt interdite et d'y passer le reste de la journée ainsi que la soirée. Il n'appréciait guère la fin des cours et se retrouver entouré de nombreux élèves chahuteurs aussi, en comparaison de cela, la forêt interdite était un endroit paisible et reposant.
Le jeune garçon traversa le parc de Poudlard et se glissa dans la forêt, s'engloutissant dans la pénombre la plus épaisse. Hugo avait repéré au paravant un arbre à la forme étrange qui l'intriguait, un arbre où il aurait fait bon grimper et se reposer.

"Trois...Deux...Un..."

Hugo atterit sur le sol. Il faisait encore plus sombre dans la forêt que précédement et à l'extèrieur, la nuit était également tombée. Hugo s'était trop attardé et désormais, il lui fallait rentrer.
Le jeune garçon se trouvait à l'orée de la forêt lorsqu'il s'arrêta soudainement. Une silhouette, celle d'une jeune fille se trouvait à quelque pas de lui. Elle venait de sortir sa baguette et de lancer l'incantation Lumos. Hugo mit instinctivement sa main devant ses yeux pour se protéger et sortit sa baguette à son tour.

"Qui es là ?"

Le regard d'Hugo s'aggrandit. Il venait de econnaitre la voix de Catherina l'élève de poufsouffle dont il avait fait la conaissance quelques jours plus tôt au parc. Une légère rougeur prit place sur le visage du jeune garçon. Il se souvenait de leur rencontre qui s'était plutôt mal passée à la fin...De plus, il avait honte de ce q'il avait fait. Se redressant, le jeune serpentard enfouit ses mains dans ses poches et avança dans la lumière blanche.

"Bonsoir Catherina..."

Après avoir remarqué la silhouette de l’homme et la voix si mélodieuse qu’elle reconnaissait aussitôt celui de Hugo. Il s’avança vers elle. La Poufsouffle baissa sa baguette, voyant bien que cela donnait mal aux yeux aux Serpentard. Le visage de Catherina s’assombrit, repensant à leur première rencontre et aux trois Serpentards qui s’étaient mêlé des affaires qui ne regardaient que elle et Hugo. Mais certaine personne semblait se sentir concerné par le drame passé. Elle resta de marbre sur le sol, ne bougeant pas. Les traits de son visage semblaient s’être reforgé. Elle remarqua les joues du Serpentard quand il fut plus proche d’elle. Il devait avoir froid, mais Catherina ne semblait pas avoir froid, même si elle était déjà en pyjama. Elle se semblait gêné par l’accoutrement qu’elle avait sur elle. Elle détourna son regard de celui du Serpentard. Elle ouvra la bouche, mais c’était mieux pour elle de se taire.

Elle était timide, elle n’arrivait plus à dire un seul mot. C’était comme si son organisme ne voulait plus qu’elle adresse une seule parole, elle ne voulait pas le vexer, encore moins le mettre en colère. Il fallait avoué, sur les commentaires déplacé, c’était Catherina la meilleure! La Poufsouffle se contenta d’observer Hugo. Il lui prit l’envie de lui adresser la parole.

- Bonsoir…

Le ton de sa voix était neutre, elle avait toujours la tête baisser vers le sol. Elle la releva aussitôt, car c’était maintenant pour elle, le temps de s’expliquer. Mais s’expliquer sur quoi? Sur les paroles dites aux Serpentards? Ce ne serait sûrement pas la première fois qu’elle lançait des commentaires aux autres, des autres maisons. Elle était pourtant sympathique avec ceux qu’elle aimait bien. Et Hugo, en faisait parti. Elle ne voulait pas le perdre, car il était quelqu’un de bien…

- Je… Pour l’autre jour… Désolé… Si… Je t’ai vexé…

Elle finit par dire des mots, en balbutiant quelque uns d’entre eux. Elle était timide, face à Hugo. Ce qui était étrange, c’était qu’habituellement elle se dégênait à un certain temps, mais avec Hugo, c’était différent. Tout était différent avec lui. Elle ignorait toujours s’il était heureux ou triste. Il était mystérieux, et c’était cela qui plaisait à la Poufsouffle ; le mystère. Elle pu enfin se rapprocher de Hugo, son sourire maintenant revenue.

- Je n’ai pas envie de te perdre comme ami Hugo… Tu es trop génial, et je n’ai pas envie de te perdre.

Ses yeux de couleur vert pâle plongea dans ceux couleur azur de Hugo. Elle plongeait dans son regard, elle aimait se noyer dans la couleur de ses yeux, si magnifique…