Mélancolie

Sujet: Mélancolie Lun 4 Sep 2006 - 10:59

Rayley se leva avec dificulté de son lit. Enocre une fois, elle était naze, exténuée... Et encore une fois, c'était parce qu'elle avait arrêté de respirer en dormant, et à chaque fois, elle se réveillait aussi fatiguée que le veille. Elle regarda la fenêtre, mélancoliquement. Elle allait descendre, pour prendre un peu l'air, enfin, si elle arrivait à se lever de son lit... Elle s'extirpa des bras de Morphée, comme si elle essayait de sortir d'un filet du diable, alors qu'elle était paniquée, et alla s'habiller.
Elle descendit dans la grande salle, pour prendre son déjeuner, qu'elle bouda. Elle avala àla va-vite un croissant, et partit direct pour le parc. Elle descendit au bord du lac, enleva ses chaussures, et s'assit, faisant tremper les pieds dans l'eau. Elle regarda au loin, les mains jointes, le regard toujours aussi mélancolique que ce matin, et se mit à chantonner:

[...]
Je sais que ce qui ne tue pas nous rend plus fort
Mais moi, mais moi je suis déjà mort
Et ça fait mal, crois moi, une lame enfoncée loin dans mon âme
Regarde en toi, même pas l’ombre d’une larme
Et je saigne encore, je souris à la mort, tout ce rouge sur mon corps
Je te blesse dans un dernier effort

Mais je saigne encore, je souris à la mort
Mais je saigne encore, tout ce rouge sur mon corps

De légêres larmes coulaient sur ses joues, mais son regard était toujours aussi vagues, comme si les larmes étaient de trop... Elle laissait ses pieds valser dans l'eau, même si elle était glacée...

Sujet: Re: Mélancolie Lun 4 Sep 2006 - 15:22

Eliza se réveilla tôt ce matin-là. Elle avait fait des cauchemars cette nuit, et se réveillait aussi fatiguée qu'en se couchant la veille. C'était une journée sans soleil, nuageuse. La jeune fille se leva avec peine, repoussant toutes ses couvertures et poussa d'un geste de main les lourds rideaux du baldaquin. Le dortoir qu'elle partageait avec deux autres filles étaient désert. Habituée à la solitude, elle s'habille en vitesse et descendit à la Grande Salle, la mine un peu sombre. Elle n'était pas de très bonne humeur ce matin-là. Après un maigre petit déjeuner de céréales, elle se dirigea vers le Lac. Il n'y avait presque personne dans le Parc en cette heure matinale. Le sol était glacé, le mois de Mars commençant seulement dans quelques jours. La neige avait complètement fondue, mais on sentait tout de même que l'hiver n'était pas terminée. Eliza errait dans le Parc, ne sachant pas trop quoi faire. Elle était près des berges du Lac Noir, et l'eau glacée venait presque rejoindre ses pas. Elle vit alors une silhouette au loin. Près du bord de l'eau, elle était seule. La Serdaigle décidé de s'approcher. C'était Rayley, une de ses anciennes amies. Elle s'assit à ses côtés, sur le sol rocheux.

"Salut...Je ne te dérange pas ?"

lui demanda-t'elle doucement. Elle regarda un instant les vagues déferler à l'horizon, et son regard se perdit dans l'eau grise du lac.

Sujet: Re: Mélancolie Lun 4 Sep 2006 - 15:40

Sa voix se suspendit dans l'air lourd. Elle entendit quelqu'un s'approcher, et s'asseoir. Elle épongea ses joues humides avec sa manche, et tourna la tête vers l'inconnu: Eliza! Quel joie quand elle le vit! Cela faisait longtemps qu'elles ne s'étaient pas vues! Elle sourit, malgrés les larmes. Eliza n'avait pas changé, peut-être un peu plus grande, comme elle. Elle passa la main sur ses jambes glacées et passa aussi un peu d'eau sur son visage et ses cheveux.

"Eliza! Quelle joie de te voir! Cela faisait longtemps! Bien sûr, des fois, on se croise, mais jamais on ne prends le temps de se parler! Comment vas-tu?"

La présence d'Eliza faisait beaucoup de bien à Rayley. C'était quelqu'un de confiance, qui n'était pas corrompu, quelqu'un de simple... Elle replaça une mêche rebelle, et se mit à comtempler ses pieds dans l'eau sombre du lac.

Sujet: Re: Mélancolie Sam 16 Sep 2006 - 10:41

Ce matin là, il faisait bon, même chaud . Une journée dons tous les éléves de Poudlard aimaient . En ce moment, ils n'avaient pas euent la chance d'avoir un beau soleil qui réchauffé tous le monde .

Ce matin là, Ruby était réveillée de bonne heure . Elle n'arrivait plus à dormir, peut être à cause de la faible lumiére qui persistait à éclairer la petite chambre de Ruby et ses colocatrices . Ces derniéres dormaient encore à point férmées . Sauf Ruby, qui se leva de son lit en ésseyant, sans succé, de ne pas le faire craquer . Son lit n'était pourtant pas le pire, mais quand celui-ci craqué, il réveillait tous le monde . Là, il n'avait pas grincé trop fort . Un grand soulagemment pour Ruby . Une fois elle l'avait fait craquer, et cela avait réveillé tous le monde !

Elle parti en direction de la salle de bain ou elle prit un bon bain chaud plein de mousse qui sentait agréablement bon . Aprés c'être lavée, elle arracha une jupe blanche froissé - elle avait la même mais en noir - puis un débardeur noir . Elle prit la direction de sa salle commune ou elle prit un bon petit déjeuner .

Le soleil n'avait pas disparu, et la chaleur ne s'était pas évaporée . Elle sortit de sa salle commune puis prit la direction du lac . Elle n'y était pas allée depuis longtemps, et pour l'instant elle ne s'y était encore jamais baignée . Là, elle n'avait pas oubliée de prendre son maillot de bain et une serviette dans sa salle commune . Elle marcha jusqu'au lac, à pas déterminés, puis arriva enfin en face de celui-ci . Elle posa sa serviette par terre, puis pénétra dans l'eau à vitesse moyenne . Elle était bonne, et plein d'éléves étaient déjà en train d'apprecier la douceur de l'eau .

Enfin la tête sous l'eau, elle ressorti puis fit une grosse bombe qui éclaboussa tous le monde se le passage . Elle n'avait malheureusement pas fait attention aux deux jeunes filles qui discutaient sur le bord de l'eau . Ruby ressorti le tête, puis regarda d'un aire gênée les deux jeunes filles qui râlaient .

"Oh, excusait moi ! Je ne pensait pas arroser autant ! "
s'excusa t-elle en affichant un léger sourire pour atténuer les choses .

Ses cheveux bruns mouillés dégoulinés sur son dos et son ventre, tandis que les jeunes filles devant elle, étaient entieremment mouillées . . .