(La vie entre parenthèses)

Sujet: (La vie entre parenthèses) Lun 8 Jan 2007 - 20:32

Mackenzie était a Poudlard depuis 5 ans pourtant personne ne la connaissait: elle était de nature vraiment timide et elle n'allait pas facilement vers les gens. Il fait dire qu'elle a beaucoup d'excuses. A neuf ans elle a commencé la depression pour des raisons inconnues, connues seules d'elle même au plus profond. Après elle est devenue anorexique puis progressivement boulimique a ses heures. Comment allait t'elle s'en sortir? S'était simple à onze ans lorsqu'elle reçu sa lettre sa joie était telle qu'elle se guéri presque toute seule. Elle vécu les plus belles années de sa vie entre onze et quatorze ans. Elle était trop jeune pour savoir les apprécier pleinement. Elle n'a jamais eu d'amis, non pas qu'elle n'en ai jamais ressenti le besoin mais plus qu'elle a toujours eu peur de l'amitié: la vie l'a trop déçue, dégoutée, torturée pour qu'elle ose encore lui accorder un soupçon de confiance! C'est absorbée dans toutes ses réflexions qu'elle atteignit le lac, un beau lac. très étendu et d'un bleu magnifique. La jeune Mackenzie Stefens s'avançaient vers le lac d'une démarche bizarre... Elle avait de longs cheveux noirs essez épais et de jolis yeux noisettes sombres. Elle avait le visage fin pas trop encombré, quelques taches par ci par là mais cela entrait dans le cadre de sa beautée. Elle ne s'en rendait pas compte mais Mackenzie était belle, pas une top-model mais elle était belle. Sauf que ce qui se trouvait en dessous de ses vetements aurait effrayés quiconque aurait vu. Elle était maigres, vraiment maigre. Avec ses vêtements on remarquait qu'elle était mince, étonnament mince pour une fille de quinze ans mais dés qu'elle relevait son Tee-Shirt de quelques centimètres ont apercevait ses côtes... Elle s'assit au bord du lac, de loin elle devait ressembler à une petite boule fragile... Elle laissa couler des larmes de tristesse sur ses joues faiblement maquillée se remémorrant son destin après ses quatorze ans. Son père était mort le jour de son anniversaire: vous parlez d'un cadeau? Traumatisée par le passé, elle fit une rechute et depuis... Impossible de ressortir de cette spirale infernale: elle venait d'avoir une marraine elle esperait que ce serait au moins une amie qui lui redonnerait le sourire. Elle pleurait toujours, son désarroi était profond, déchirant. Une main amicale se posa sur son épaule: elle se retourna esperant croiser un des très rares visages connus mais elle découvrit une toute autre personne qui lui était encore inconnue...

Sujet: Re: (La vie entre parenthèses) Lun 8 Jan 2007 - 21:56

La préfète des Serpentards s’était levé tôt se matin là. Elle s’était levé à l’aurore, espérant croisé quelque élèves sortit de leur dortoir pour les punir. Cela faisait maintenant presque un ans qu’elle était préfète et elle adorait sa. Même si elle avait fait la compétition avec sa meilleure amie qui était parti par la suite, elle avait fini ses années et maintenant, elle était devenue ministre de la régulation de créature magique, ou bien elle était professeur. Elle ne le savait plus. Elle vivait aussi avec sa meilleure amie, dans un manoir éperdument grand. Un héritage de sa grand-mère, lorsque elle aussi mourut. Mais comparer à ses parents, celle-ci avait eue une mort tranquille, car les parents de Leya avaient été tués par Miranda, leur fille aînée, qui s’était vengé parce que Leya lui avait dit, quand elle était jeune, qu’il était mangemort, causant désespérément sa mort. Son frère, lui, tué également par sa sœur, avait disparut lorsqu’il avait 15 ans. Mais hors, Eva, sa meilleure amie, lui avait dit qu’elle l’avait vue. Leya avait donc envoyé des hiboux à sa recherche, mais en vint, les lettres revenaient à son expéditeur, c’était peut-être pas le vrai, c’était peut-être un rêve… une illusion.

Leya, elle, pour se venger de sa sœur, un jour de printemps, elle était allé en Angleterre avec Eva. Elle voulait torturer sa sœur, venger ses parents, la faire souffrir du mieux que possible, du mieux qu’elle pouvait, comme si elle voulait lui montrer ce qu’elle avait à sa vie. Dans la tête à Leya, rien ne pouvait être pire, maintenant que ses parents avaient été tués. Elle était entré dans la maison de sa sœur, un moldu était au pied de la porte, elle se rappelait d’avoir dit à Eva de s’occuper du fiancé de Miranda, il avait pourtant rien fait, mais dans le passé, Leya avait une sale rage contre Miranda, et tout ce qu’elle souhaitait, c’était de la faire souffrir. Elle se rappelait donc des hurlements de sa sœur, lorsque Eva avait lancé un sortilège impardonnable sur son mari, le doloris fut le premier, puis quand Eva ne s’amusait plus, elle le tua avec le sortilège qui tue. Leya, elle, avait reçu un doloris de sa propre sœur, dire que c’était sensé être une auror, les aurors ne devaient pas utilisé les sortilèges impardonnable, mais le destin de Miranda semblait déjà être tracé, elle était sensé devenir une mangemorte, non une auror. Leya avait donc donné fin à la vie de Miranda avec un sortilège impardonnable. C’était soit elle qui survivait, soit sa sœur, tôt ou tard celle-ci serait venue à Poudlard pour essayer de la tuer. Comme elle avait fait avec Kendall. En l’envoyant dans la forêt interdite, en le tuant… Mais pourtant, l’histoire était simple. Elle avait juste fait un doloris, et celui-ci n’avait pas tenue le cou. Alors Miranda pensait que son frère était mort, mais d’après l’histoire qu’elle avait entendu, cela n’était pas voulu de le tuer. Mais elle l’avait fait disparaître dans un endroit ou nul ne sait ou c’était, même Kendall qui s’en était sorti après 5 ans.

Vers les 10 heures du matin, Leya se dirigeait maintenant dans vers le lac, elle allait se reposé, même si cela était le matin, la préfète voulait allé réfléchir auprès du lac. L’expérience du viol qu’elle avait subit un mois plutôt l’avait traumatisé. Par chance qu’Eva était arrivé au bon moment car le violeur aurait probablement allé plus loin. Elle était devenue dépressive depuis ce temps, elle était méfiante lorsqu’elle voyait un homme qu’elle ne connaissait pas. Elle avait peur quand elle marchait seul dans l’Angleterre, car nul sait qui pouvait se trouvé la bas. Depuis quelques temps, le manoir Kanokota/Langdon était excessivement surveillé, fouillé par des aurors, car il voulait Eva, puisqu’elle était une mangemorte, assez dangereuse. Quant à Leya, elle était plus sensible et moins dangereuse, mais quand celle-ci était en danger, elle devait se protéger du mieux qu’elle pouvait.

Elle aperçut, au loin du lac, une jeune fille, dont la silhouette ne semblait pas être si corpulente. Elle se dirigeait vers celle-ci, lorsqu’elle remarqua qu’elle était en larme. Elle la connaissait, c’était sa filleuil, Mackensi. Elle déposa une main sur son épaule, et la gryffondor s’était retournée vers la préfète, elle semblait ne pas la reconnaître, peut-être le fait d’avoir de l’eau dans les yeux embrouillait la vue…

- Est-ce que sa va Mackensie?

Demanda la préfète d’une voix douce.

Sujet: Re: (La vie entre parenthèses) Ven 12 Jan 2007 - 17:25

Les larmes brouillait exactement la vue de Mackenzie en ce moment précis, sa vie aussi minable était-elle défilait devant ses yeux comme un mauvais film d'horreur, même sa marraine ne connaissait pas tout du passé de Mackenzie. Elle releva ses yeux noisettes: assez beau sans qu'elle puisse y changer grand chose et retira sa mêche d'épais cheveux bruns qui lui barraient la vue. Elle s'essuya les yeux et "déplia" sa frêle silouhette, elle sourit a Leya quand elle la reconnut.
"Ha. Salut Leyla! Ca va?"
Elle avait encore la voix légerement tremblante, en dessous de son Tee-shirt elle avait mal, elle ressentait qu'elle avait faim mais ne mangeait pas, son estomac grogna, elle sursauta mais ne fit rien pour manger: elle but juste une gorgée d'eau. Les larmes revenaient, elle les refoulaient: les détestait.

Sujet: Re: (La vie entre parenthèses) Sam 13 Jan 2007 - 20:37

HJ C'est Leya pas Leyla ^^' Lol

Leya regardait Mackensie dans les yeux, celle-ci semblait avoir pleuré puisque ses yeux étaient enflés, qu'avait-elle? Accepterait-elle de lui déballer ce qu'elle avait sur le coeur à l'instant même? La préfète était une bonne confidente, tout le monde pouvait lui parler de ses secrets, car elle les gardait au fin fond d'elle même, c'était rare qu'elle disait les secrets, sauf si celui-ci était extrême et qu'il s'avérait être plus paisible d'en parler à un adulte responsable.

Le lac semblait être chaud, elle ne souhaitait pas se baigner pour ne pas attraper froid. Elle ne voulait pas être malade comme l’autre fois. Mackensie s’essuya les yeux et tassa une mèche de ses cheveux bruns sur le côté.

"Ha. Salut Leyla! Ca va?"

- Mouais sa pourrait allé mieux.

Elle faisait allusion à ce qui s’était produit il y a presque un mois, cela la démoralisait juste le fais d’y penser.

- Et toi, sa n’a pas l’air a filer ? Tu veux m’en parler ?

Dit-elle d’une voix douce et paisible. Elle s’assit à côté d’elle regardant l’horizon du lac.

Sujet: Re: (La vie entre parenthèses) Dim 14 Jan 2007 - 11:02

Hj: Ha ouais Désolé. Et moi c'est Mackenzie, pas Mackensiz =)

Elle écoutait le bruit du lac, agité par le vent qui se levait contre les rochers du bord. Elle se retrouvait en cette eau, elle se prenait toujours tout les rochers sur son passage. C'était déprimant, rien que le fait d'y penser. Leya lui demanda si ça allait, elle avait envie de crier, que non. Que non ça n'allait jamais. Que oui, elle voulait partir. Apparement Leya aussi n'allait pas spécialement bien, elle sourit a Leya gentiment pour bien lui montrer que si elle voulait se confier elle était là. De toute manière elle avait une si grande connaissance du malheur que presque plus rien ne l'étonnait, elle ne croyait plus a la bontée humaine, ni au bonheur. En fait, Mackenzie ne croyait même plus en la vie. Elle avait envie de le dire a Leya, à sa marraine. Les mots lui vinrent, elle les murmura, dans un souffle.
-C'est horrible. Ca revient, depuis un an elle est revenue.
Bien sûr Leya ne savait pas encore le passé de sa filleule, Mackenzie avait toujours peur de la réaction des autres, d'un côté elle avait peur de se confier: peur d'avoir des amies.
La jeune rouge et or sourit tristement a Leya, elle lui dirait: si elle lui demandait...