Sous la lune, elle dormira.

Seul au beau milieu de la nuit, les nuages envahissait le ciel étoilé. La lune était encore existante, éclairante sous les nombreux prêt du parc de Poudlard. Le parc était calme, aucun oiseaux, aucune bêtes sauvages n’y régnait. Aucun être vivant y abordait existence. La crainte d’être entendu par milieu de tous, la petit Serpentard s’était affaisser sous les rayons de la lune blanche. Ce n’était pas la pleine lune se jour là, car Leya aurait sûrement été à l’intérieur du château dormant ainsi sur ses deux oreilles percé de trois trous sur chaque oreilles pour trois magnifique pairs de boucle d’oreilles au mille diamant, c’était ainsi ce nommait la tiraille cristalline. Un héritage de la famille Kanokota. Son nom ‘Mille Diamant’ venait du fait que la pierre changeait de couleur selon l’humeur de celui qui la portait. Ce bijoux appartenait à Miranda, mais Leya lui avait volé deux jours après qu’elle les ai eue. Elle ne revu plus jamais cette tiraille au mille couleur magique.

Elle s’était aussi sur l’herbe humide, attendant personne. Elle regardait la lune se couché, même si elle entendrait longtemps, elle s’en fichait, il faisait chaud se soir là et Leya était en jean et un pull vert. Son insigne de préfet était rangé dans sa poche délicatement déposa dans un tissu vert.

Les arbres de la forêt interdite bougeait lentement dans un vent qui allait nulle part. Quelques hiboux hurlaient leur douleur de la nuit, d’autre volait pour se dégourdire les ailes. Pensant à toute chose, Leya se mit à penser ce qu’elle ferait si elle avait des ailes. Des ailes pour voler, elle voyagerait partout, voir le monde entier, au plus profond des secrets enfoui sous les terres cultes. Elle pourrait faire toute sorte de chose.

Eva était enfin revenue après un mois sans nouvelle, cela avait inquiéter Leya, car elle se sentait seul dans sa sœur de sang qui avait commencé par être son amie, sa meilleure amie et puis devenue plus que des amies : Des sœurs par alliance sanguin. La préfète regarda son poignet, la ou autrefois les veines avaient été lacéré pour laisser place au sang pure d’Eva. Le sourire vint accroché les lèvres de la préfète lorsqu’elle y repensa.

La lune rayonnait sur le visage de la préfète qui les paupières commençaient à tomber, mais résista à la chaleur de la nuit. Les nuages avaient changé de direction et se dirigea vers le sud. Les yeux couleurs amandes de la préfète regardait le ciel bleu foncé. Elle ne put s’empêcher de se coucher sur la couverture et de s’emmitoufler. Elle ferma les yeux et fini par s’endormir.

Quand Leya se réveilla il y avait quelqu’un devant elle, elle avait la vue brouillé. Il n’avait à peine qu’une heure de passé et la préfète était presque en pleine forme. Que c’était t’il passé à ce moment exacte? Une dose de sommeille intensif? Un rêve? Cela avait l’air pourtant si vrai...

Ce visage si familier et si inconnu à la fois. Celui d'une mère qu'il n'avait jamais connue, et pourtant là, elle était bien en face d'elle, si réelle. Jamais il n'aurait cru un jour ce retrouver dans cette situation. Elle qui jusqu'à aujourd'hui avait été morte pour lui, pour son père et pour le monde entier semblait refaire surface de nulle part. Pourtant c'était bien le son de sa voix qu'il entendait, s'était bien dans son salon, dans son appartement qu'il se trouvait. A présent tout était différent. Et après l'avoir longuement enlacé, elle s'éloigna et le regarda dand les yeux, un sourire radieux sur le visage.

- Je t'aime Lucas. Murmura-t-elle.

Et puis, le sourire affiché sur son visage qui avait l'air si affectueux sembla devenir de plus en plus vicieux, jusqu'à en devenir presque méchant. L'expression toute entière de son visage avait changé, laissant place à une haine profondément encrée. Qu'est-ce qui se passait au juste ? Bonne question, à laquelle le jeune garçon n'avait pas vraiment le temps de réfléchir. Et plus moyen de bouger, son corps refusait obstinément de lui obéir et de s'enfuir, alors que sa mère brandissait sa baguette magique sur lui.

- Endorloris ! Siffla-t-elle, la baguette pointée sur son fils unique.

Ce fut à ce moment là que son corps se remit enfin à bouger, même si c'était involotaire. La douleur qui lui transpercait la peau, les muscles et chaque partie de son corps tout entier était telle qu'il ne pouvait pas retenir ses cris. Atroce, c'était tout ce qui pouvait définir ce qu'il lui arrivait. Et dire qu'il avait cru à l'amour de sa mère ...

Cette fois-ci encore, la douleur lui semblait avoir été tellement réelle qu'il sentait encore des lancements dans sa poitrine, ses bras, ses jambes et sa tête. Encore une fois il s'était retrouvé entre les griffes de cette femme qu'il n'avait jamais connue. Il n'avait pas la moindre idée de ce que ca voulait dire, mais il n'avait qu'une envie, que ca s'arrête. Il en avait de trop cette fois-ci. Enervé, il attrapa au vol ses vêtements et les enfila, avant de quitter son dortoir. Il avait besoin de prendre l'air.

Après avoir arpenté les couloirs faiblement éclairés par les rayons de la lune sans avoir croisé personne, à son plus grand bonheur, il se retrouva enfin dehors. Il inspira profondément en fermant les yeux un instant, comme pour chasser ce cauchemard stupide. Et il se mit à marcher tranquillement, pour oublier. Au bout de plusieurs minutes, il cru reconnaitre une silhouette humaine allongée. Plutot étrange d'ailleurs ... Il ne voyait pas quelqu'un dormir au sol au clair de lune et à la belle étoile. Une expression aussi interrogative qu'inquiète, il se dirigea vers cette silhouette, qui était effectivement une jeune fille allongée.

- Hey, ca va ? Demanda-t-il dans un murmure, penché au dessus d'elle.

Il fut alors soulagé de la voir ouvrir les yeux. Elle allait bien, c'était déjà ca. De loin, il n'aurait pas su dire si elle était simplement endormie ou si elle avait perdu connaissance. La lune éclairait doucement son visage, lui laissa apercevoir le visage de la jeune fille, entourés de long cheveux bruns. Elle semblait être un peu plus agée qu'elle, mais la couverture dans laquelle elle était emmitouflée l'empêchait de dire à quelle maison elle appartenait. En tout cas, il ne lui semblait pas l'avoir déjà vue à Poufsouffle ...

Poufsouffle. C’était un garçon de Poufsouffle qui s’était posté devant elle, lui empêchant d’observer les rayons de la lune qui disparaissait par les nombreux nuages gris. Elle ne pu voir l’image que procurait se jeune homme, elle voyait l’insigne d’un blaireau jaune au fond noir. Lorsqu’elle se leva, après qu’il lui ai demandé si elle avait bien, elle pu voir le visage du jeune homme. Elle ne l’avait jamais croisé, jamais vue à Poudlard. Elle avait laissé sa couverture sur le sol, laissant voir son pull vierge, ni son insigne de Serpentard, ni son insigne de préfet était à la vue de tous. Cela aurait été un coup bas que de le punir après être sortit de son dortoir en pleine nuit. Et il aurait pu lui poser la question pourquoi elle était à l’extérieur pendant que les préfets faisaient leur ronde. Peut-être pourrait-elle jouer à l’innocente? Ne pas lui dévoilé qu’elle était sa maison et qu’elle était préfète, mais celui-ci finirait par savoir. Pourrait-elle joué la mystérieuse? Elle ne pourrait pas lui dire qu’elle venait de Poufsouffle car cela la mènerait dans un trou perdu.

- Heu si, ça va. Je m’allongeais seulement pour regarder les rayons de la lumière que propage la lune. Et toi? Que fais-tu dehors? Pendant que les préfets font leur ronde?

Demanda t’elle, son sourire narquois aux lèvres. Elle se pencha pour installer la couverture bien étendu sur le sol, et invita le garçon à s’asseoir près d’elle. Elle s’y assit en entendant qu’il accepte son invitation. Le regard inassouvi de la préfète s’était reporté sur la lune qui était maintenant en voix de disparaître, caché par les nuages. Quand elle fut complètement anéanti par les nimbus elle porta son regard sur le Poufsouffle dont elle ne connaissait pas encore son prénom.

- Je suis Leya Kanokota Langdon, sixième année et toi?

Lui demanda t’elle, son sourire charmeur sur ses lèvres couleur merveille. Des hiboux hululait en provenance de la forêt interdite, rare était les personnes qui s’y aventurait, mais pourtant, beaucoup d’élèves y entrait. Peut-être que certains n’avaient pas retenue la leçon de ne pas y entré?

Un moment de silence parcourait le parc, le Poufsouffle n’avait toujours pas répondu, et Leya se mit à penser à Calvin son petit ami de Gryffondor. Il hantait toujours ses pensés et elle avait déjà hâte de le revoir. Elle l’aimait tellement que jamais personne ne pourrait brisé ce qu’elle ressentait pour lui. Il était tellement celui que Leya cherchait, tellement l’homme parfait. Elle était tellement heureuse de l’avoir rencontrer et d’être amoureuse de lui. Elle espérait que cela ne finisse jamais. Car la peine qu’elle éprouverait après sa perte serait terrible…

Elle se fit réveillé de ses songes par un oiseaux qui fuyait la forêt interdite, les arbres avaient bougé, et quelque chose grouillait dans ses lieux. Ils étaient bien loin de la forêt, mais elle n’était pas si loin d’eux qu’ils auraient pu croire. Ils n’avaient qu’à bouger pour s’en rapprocher. Leya y allait souvent. C’était ce lieu ou elle et Eva venaient souvent, la ou la première fois elle s’étais saouler à cause de Tigurius, car elle savait qu’elle n’avait aucune chance, mais s’il lui avait retournée son baiser. C’était aussi là, que Leya avait voulu finir de ses jours à cause qu’elle ne voulait pas vivre sans François, lui aussi un Gryffondor. C’est dans cette même foret que elle et Eva échangèrent leur sang, devenant ainsi sœur de sang, un duo de choc. Tous sa, près de la souche d’arbre au fin fond de la forêt interdite.

Quand elle se releva, le jeune poufsouffle fut surpris de ne pas voir le moindre blason ou quelconque autre insigne accrochée sur sa poitrine. C'était assez spécial pour quelqu'un qui se promenait ne pleine nuit, mais peut-être pas stupide non plus ... Dans le cas où elle faisait attraper par un préfet qui ne la conaissait pas, cà pouvait toujours être pratique de jouer avec une identité inconnue où innexistante pour ne pas perdre de points ou ne pas avoir à se retrouver en retenue. A moins que elle aussi n'ait été préfète. Ce qui serait assez étonant vu que les préfets faisaient leur ronde à cette heure-ci. Il se trouvait d'ailleurs plutot chanceux de ne pas s'être fait attrapé dans les couloirs ou les escaliers sur le temps qu'il lui avait fallu pour arriver jusqu'au parc et rejoindre la jeune fille qui se tenait face à lui. Et puis, elle lui adressa la parole, et sa voix le fit doucement atterir près d'elle.

- Tant mieux. Dit-il doucement, avant qu'elle ne continue de lui poser des questions. Eh bien moi ... J'étouffais dans le dortoir. Et puis j'ai fait un sale rêve à propos mon passé, un passé qui n'existe même pas.

Et puis il garda le silence un moment. Il se demandait toujours pourquoi il en venait à faire ses rêves si insignifiant, dénudés de toute logique. Il n'avait jamais vu ce visage autrement que sur des photos de mariages, de noces, ou d'enfance. Alors ocmment était-ce possible ? Bonne question à laquelle il aurait voulu trouver une réponse. Peut-être que cela éclairerait les trois années précédentes de sa vie. Dire qu'il avait gaspillé tout ce temps pour rien, à cause de toutes ces personnes qui lui avaient mentis et avaient déformés une réalité déjà suffisament horrible. Quand il revient sur terre, ce fut grace à l'agréable voix de la jeune fille. Il la regarda un instant avant de se présenter à son tour d'une voix douce et calme, arborant lui aussi un petit sourire qui voulait en dire plus long que ce qu'il ne montrait.

- Lucas Parker. 4ème année, et enchanté de te connaitre.

Ses pensées s'étaient suffisament laissées emporter par la légère brise qui soufflait par dessus la cîme des arbres de cette sombre forêt pour ne pas avoir remarquer qu'elle l'avait invité à s'assoeir près d'elle. Ses yeux dans le vague, il ne put retenir un petit sourire en repensant à tous ces moments qu'il avait déjà passés entre ces arbres, la plupart du temps en agréable compagnie ... Même si au début, il s'était déjà fait une belle peur. C'était encore le bon temps, l'époque insouciante où l'on est toujours un enfant. Certains jours, il aurait tout donné pour pouvoir y retourner. Et puis, le battement d'aile précipité de l'oiseau qui s'échappait des épais feuillage brisa le silence qui règnait depuis quelques instants déjà. Il baissa enfin les yeux, et vit qu'elle était assise sur sa couverture, attendant qu'il la rejoigne, ce qu'il fit avec plaisir.

- Alors, tu te plais ici ? Demanda-t-il pour lancer un sujet.

Il était bien d'accord que c'était terriblement banal et pas fantastique, mais les plus belles discussion commencait souvent de peu de choses. Il espérait que ce serait le cas pour celle-ci. Et puis il posa doucement ses yeux sur le visage de Leya, que les rayons de la lune éclairait faiblement, lui donnant des airs presque angéliques ... Mais elle n'avait pas l'air d'être le genre de fille si angélique que ça, il penchait même plutot pour le contraire. Mieux valait ne pas ce mettre cette jeune fille à dos, et il n'en avait pas la moindre intention.

Au plus grand désespoir de la préfète, les rayons de la lune avait totalement disparut. Elle qui aimait les regarder, les regarder à la pleine lune, sachant bien que des loup-garous ornait les lieu, mais Leya avait cessé d’avoir peur de l’avenir et se consacrais plutôt à son présent. Elle, elle ne vivait pas avec son passé, ce n’était pas son passé qui faisait son future mais bien le présent qui faisait l’avenir.

Le vent était calme se soir là, et la Serpentard quoi que fatigué avait fais la connaissance d’une jeune Poufsouffle de quatrième année qui se nommait Lucas Parker. Elle ne le connaissait pas, mais cela se ferait bien entendre. Et puis, s’il voulait savoir d’ou elle venait, il faudrait qu’il lui pose des questions, mais Leya se contentera de jouer la mystérieuse, la ‘’angélique’’. Elle lui sourit d’un sourire mystérieux que seul elle savait ce qu’il signifiait.

- Alors, tu te plais ici ?

- Dans le parc ou à Poudlard ? Oui et non. Disons que j’aime bien me retrouvé avec mes amies.

Son regard se portait sur la forêt interdite, un regard mystérieux. Des hiboux hululaient encore, les feuilles des arbres volaient au vent, le vent sifflait d’une douce mélodie. C’était calme. Elle espérait que aucun préfet ne vienne brisé son plan pourtant si simple. Elle ne portait pas de blason, ni d’insigne de préfet et de Serpentard, laissait la curiosité à Lucas pour qu’il le découvre lui-même. Se maudirait-il en s’apercevant qu’elle venait de Serpentard, elle savait bien que les Serpentard avait une mauvaise réputation, il serait probablement découragé s’il apprenait qu’elle était la préfète des Serpentards, celle qui restait impartial même pour les personnes de sa propre maison.

- Alors tu es de Poufsouffle c’est sa?

Demanda t’elle d’une voix douce. Si elle contait gardé son identité caché, elle ne pouvait pas dire qu’elle venait de Poufsouffle car cela n’aurait aucun sens. Peut-être la prendrait-elle pour une Gryffondor ou une Serdaigle? Pour elle, être appeler Serdaigle ou Gryffondor aurait été une insulte auprès de sa famille digne de Serpentard. Les intrus s’étaient contenté de se faire tué par les nombreux mangemort de la famille Kanokota.

Cela devait faire trois jours que Leya et Eva étaient devenue sœur de sang. Elles avaient échangé leurs sang pour pouvoir être sœur. Elles avaient commencé par être de bonne amies, mais l’amitié était devenue presque comme sœur. Alors, dans la forêt interdite, elles avaient échangé leur sang. Le duo de choc étaient maintenant existant. Et puis, si Eva serait préfète, puisqu’une élection était en cours, elles feraient probablement un duo meurtrier!

Elle se tira de sa rêverie et concentra son regard sur Lucas. Poufsouffle hein? Elle ne le prendrait pas pour un naïf, elle prenait personne pour ça, mais elle aimait bien caché son identité et faire le doute dans les personnes.

Elle mit sa main devant sa poche de jean, regarda si ses deux insignes y étaient toujours, toujours intacte. Son insigne s’était déjà brisé une fois, quand elle avait été projeté au mur par Brandon Stark, et puis sauvé par Shin Aoki, elle savait bien qu’elle le connaissait.