-23%
Le deal à ne pas rater :
(Adhérents Fnac) Kit de démarrage 3 ampoules connectées Philips ...
99.99 € 129.99 €
Voir le deal

 

 Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité
Tell me who you are...
Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] Empty
MessageSujet: Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ]   Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] EmptyMar 26 Juin 2007 - 15:54

"C'est comme ça, c'est la vie, j'vais pas en mourrir, on doit s'attendre au pire"




C’est emmitouflé dans son cafard que Dusk Sheffer pénétra au « Chaudron Baveur », un petit pub de Pré-au-Lard fréquenté par pas mal de gens biens, mais aussi par des élèves de Poudlard. C’était d’ailleurs la raison de sa venue en ces lieux. Il n’y venait que rarement en général, quand la « Tête de Sanglier » était trop animée. Couvert de sa cape sombre, il s’avança, tel un fantôme qui glisserait dans l’air, sans un bruit. Il retira son capuchon, révélant ainsi un visage pâle terni par une chevelure blonde lui cachant un œil azure. Le Mangemort s’assit à une table à l’écart et commanda un hydromel, la spécialité de l’endroit. Il se fichait pas mal de ce qu’il commandait, il n’avait pas soif, mais il fallait bien qu’il se fonde dans la masse pour lever tout soupçon !

Sa mission était simple : obtenir des informations sur Poudlard ou sur l’Ordre et sympathiser avec des membres du camp adverse. Personne ne savait qu’il appartenait aux Mangemorts, certains Aurors le soupçonnaient mais n’avaient aucune preuve de sa culpabilité. Ayant toujours eu un physique agréable bien que ténébreux, le jeune homme avait souvent attiré les jeunes filles, c’était en partie pour ça que le Maître l’avait choisi. Non seulement il était l’un de ses meilleurs éléments, mais en plus sa beauté et son jeune âge attiraient les demoiselles qui avaient souvent la langue bien pendue. Dusk voulait bien séduire les femmes de son âge ou plus vieilles mais le fait de sortir avec des gamines le répugnait. Mais les désirs du Lord étaient des ordres et il s’y soumettait. C’était très certainement la seule autorité qu’il ne discutait pas. Si, il l’avait fait une fois, sa chair cicatrisée s’en souvenait encore !

Rosmerta arriva, l’hydromel à la main et un sourire charmeur aux lèvres, le jeune homme lui rendit en échange un regard indifférent et quelques pièces. Il but une gorgée de ce liquide savoureux et posa son verre sur la table. C’est alors qu’il se perdit dans la contemplation de sa boisson… La dernière fois qu’il avait bu en compagnie de quelqu’un, c’était celle de Dragan, celui qui l’avait sauvé du monde des Moldus et de l’emprise de son paternel, qui l’avait amené à Voldemort et qui lui avait enseigné la magie noire…

Sa dernière victime en date aussi… A cette pensée, il ne se sentit ni coupable ni meurtri, il n’avait eu que ce qu’il méritait, c’était un traître, un faible… Il avait juste honte, honte d’avoir versé une larme en le voyant s’écrouler sur le sol alors que l’éclair vert l’atteignait. Pleurer n’était pas digne d’un Mangemort, non, il devait être au dessus de ça !

Etant donné que le bar n’était qu’à moitié rempli et que personne n’arrivait, la gérante jugea bon de s’accorder une pause et vint s’asseoir face à Dusk qu’elle dévorait des yeux depuis un petit moment déjà. Elle ne dit rien, passant son temps à l’observer. Qu’est ce qu’elle lui voulait celle-là ? Elle devait très certainement attendre qu’il réagisse, chose qu’il ne fit pas. Il prit du plaisir à sentir ce malaise naître, cette exaspération de la part de la serveuse qui sentait qu'elle ne lui plaisait pas. Le serviteur du Seigneur des Ténèbres n’avait que faire de cette bonne femme qui aurait pu être sa mère ! Se lassant d’attendre ainsi, Rosmerta se leva et repartit, horriblement vexée face à cette ignorance totale. Tant mieux, quand les gens ne valaient pas la peine d’être connu, il laissait place à l’indifférence, c’était une arme redoutable !

La porte du petit pub s’ouvrit sur une flopée d’élèves bruyants. Dusk les observa avec un petit sourire aux lèvres… Sa victime siégeait peut-être parmi ces gais lurons. Quelle insouciance, quelle naïveté pouvait-on avoir à cet âge ! On croyait tout savoir alors qu’on ne connaissait absolument rien de la vie. C’était l’adolescence en gros. Une période que le jeune Hollow avait vécue avec pas mal de rebondissements. Il avait toujours été à part des autres, un peu leader et admiré ainsi qu’envié. Un vrai rebelle…

Il sortit une cigarette de sa poche et l’alluma à l’aide d’un sortilège informulé. Il se mit alors à tirer sur cette sèche qui lui apportait un bien-être artificiel. Quel plaisir de sentir cet air chaud et toxique dans sa gorge, puis dans ses poumons. Jouissance. Mais ce qu’il préférait à ce concentré de cancer était l’odeur, oui, la fumée qui s’en échappait lorsqu’on l’allumait avait une senteur particulière qui lui plaisait. Tout en humant et en recrachant un nuage de fumée blanche devant son visage aux traits fins, il vit quelqu’un s’approcher de sa table…


[HRP : Pour répondre, je souhaite soit : un élève FEMININ de Poudlard qui est en troisième année [ minimum ] ou un Mangemort tout simplement ! Je sais que ce n'est pas terrible mais je ferai mieux à la réponse ! Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] 2869511017 ]
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Tell me who you are...
Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] Empty
MessageSujet: Re: Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ]   Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] EmptyMar 26 Juin 2007 - 17:52

D’un pas lent, cette préfète marchait dans les rues de Pré-Au-Lard, un sourire cruel sur ses lèvres brillante. Son malaise avait passé et même si elle n’allait pas pour le mieux, elle avait décidé de prendre l’air, d’aller au beau milieu de la nuit au Chaudron Baveur, décidé d’attirer l’attention sur elle, façon de parler. Baguette dans sa poche, elle la gardait près d’elle, rien ne lui disait qu’elle ne s’en servirait pas ce soir, même si Leya s’en servait souvent, car elle aimait bien faire du tord aux autres, puisqu’elle était une des deux sœurs Langdon : cruelles et malignes. Eva et Leya étaient comme les deux doigts de la main, jamais elles ne se quitteraient, jamais que personnes ne pourraient faire de mal à une des deux sans que l’autre pointe son bout de baguette sur lui. Jamais personne ne pourrait faire du tord à elles, car elles étaient très proche.

Bien évidemment, Leya n’est pas la véritable sœur de Eva, ce fut grâce à leur sang purs qu’elles le devenaient. Elles avaient coupé leur veine, fait coulé le sang pur sur le poignet et ainsi mélanger celui-ci. Elles durent le réparer, mais toujours une cicatrice paraissait. Comme la marque des ténèbres que Leya portait, puisque elle et Eva s’étaient adhérer aux mangemorts, depuis qu’elle avait 14 ans. Leurs destins étaient déjà dessinés, comme celui de Leya : Ses parents avaient été mangemort, mais tué par leur propre fille, nulle autre que Miranga, faisant son travail d’auror. Elle avait toujours rêvé de les tué car elle les détestait pour ce qu’ils étaient. Miranda avait même osé tuer son propre frère. Mais celui-ci n’était que dans une place étrange d’où il ne pouvait pas sortir.

Leya elle, toujours lentement, elle marchait dans les sombre rues, éclairer que par une lampe. La vue qu’elle avait était presque merveilleuse, elle voyait la lune dessinée dans le ciel par un amas de nuages. Elle la regardait, car elle n’avait rien d’autre à observer, avant d’entrer dans le Chaudron Baveur. La salle était presque pleine, mais encore plein de table y était vide. Et puis Leya y allait seulement pour s’amuser en prenant peut-être un verre de Whiskey Pure-Feu. Elle avait quand même ces 17 ans, alors pourquoi se ferait-elle dire non? Elle pouvait se faire passer pour plus vielle avec son style presque original. Et puis, même si Leya n’était quand sixième année à Poudlard.

Habillé d’un veston de cuir noir, le préférer que portait souvent son frère Kendall. Elle avait un jean délavé, moulant sur elle. Une camisole qui s’attacha ou le nombril. Elle portait des talons hauts à aiguille. C’était pour cela qu’à chaque pas qu’elle faisait, on l’attendait venir. Elle était entrée dans le Chaudron Baveur, tous le monde s’étaient retourné vers elle. Son style devait leur faire peur. Mais un sourire s’était accrocher sur les lèvres de la préfète.

De ses yeux couleur amande, elle cherchait une table libre. Car un tas d’élèves venaient d’enter dans le Chaudron Baveur et la table libre qu’elle visait s’était immédiatement rempli. Elle sourit malgré tout, lançant un regard noir à celui qui semblait être le chef de la gang d’élèves qui venaient d’arrivé. Elle repéra des yeux, un garçon, sûrement un adulte, assis à une table. Son regard la troublait, mais c’était ce qu’elle aimait bien, faire de nouvelles connaissances sur des personnes qui avaient un regard troublant! Elle était bizarre cette préfète. Elle avait un style de pensés particulier, mais elle n’y pouvait rien si elle était différente. C’était ce qui la rendait unique.

Elle se dirigea vers l’homme dont le visage ne lui était pas particulièrement familier. Elle lui sourit lorsqu’elle arriva à sa hauteur. Elle ne savait même pas pourquoi elle souriait, mais c’était sûrement un tic qu’elle avait.


- Puis-je m’asseoir?

Demanda-t-elle dans un ton de voix presque doux, ce qui était très rare dans ses habitudes, mais elle s’en fichait guères, car il ne la connaissait pas, enfin, sauf s’il était mangemort il aurait pu la voir dans une des réunions que donnait le Maître. Leya y allait toujours, comparer à certains mangemorts qui avaient trop peur des Aurors. Pourtant le premier auror que Leya eut tué, fut sa sœur, par vengeance, c’était soit-elle, soit Miranda. Et Leya avait décidé que c’était elle la vivante et non cette traîtresse d’auror.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Tell me who you are...
Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] Empty
MessageSujet: Re: Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ]   Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] EmptyMar 26 Juin 2007 - 20:21

« L’amour c’est comme une cigarette »


Dusk leva les yeux vers la jeune fille qui venait d’entrer et de troubler l’ambiance du petit bar. Encore une dingue, pensait-il ! Il faillit lever les yeux au ciel mais se retint, apparemment ce n’était qu’une fausse alerte ! La jeune blonde cherchait une place où s’installer. Qui voudrait s’asseoir avec une telle jeune fille ? Belle certes, mais très jeune… Certainement un tas d’imbéciles de bas plafond, qui voudraient sûrement en profiter plus tard, mais pas notre chère Dusk, non lui il se réservait l’élite, les vraies dames, celles du monde !

- Puis-je m’asseoir?

Dit-elle en s’installant à sa table sans vraiment lui laisser le choix… En ne lui demandant son avis du tout même, mais quand même ! Il la jugea un moment de son regard d’un bleu pur, reprit une bouffée d’air toxique et cracha la fumée sur le visage de l’élève de Poudlard. C’était clair, net, précis, elle n’aurait pas d’autre réponse à cette question inutile. Mais elle ne s’arrêta pas pour autant.

Il faillit lui répondre qu’il attendait quelqu’un, quelqu’un d’intéressant et de plus vieux, mais le sarcasme n’était pas le bienvenu, surtout que cette fille semblait être la bécasse idéale pour mettre ses plans à exécution. Ca allait certainement être la pire chose de sa vie, il aurait encore préféré désosser son propre père plutôt que de devoir ce coltiner cette blonde mais les désirs du Lord étaient des ordres, ses propres envies faisaient désordre dans ce sombre tableau. Il n’avait rien à dire, le Maître en avait décidé ainsi et il en serait ainsi, quitte à y laisser une partie de sa fierté ! Et puis après tout, elle avait le mérite d’être belle, très belle.

Le jeune homme tira sur sa cigarette et recracha la fumée vers le plafond. Il avait observé l’animal, la traque pouvait donc commencer. Personnage facile à cerner : une fille banale ayant l’air maladroite, pas une Serdaigle. Elle était calme et semblait être atteinte de dépression chronique, donc une Serpentard. De toute manière ça ne changeait rien, qu’elle soit à Gryffondor ou à Serpentard, elle avait toujours l’air aussi niaise ! Après avoir une nouvelle fois inspiré son tabac, un rictus mystérieux naquît sur ses lèvres et Sheffer se décida à prendre la parole de cette voix cristalline et étrange, pas vraiment rassurante en fait :


Dusk – « Bien sur très jeune demoiselle. Mais dites moi, quel âge vous avez ? Dix-huit, dix-neuf ? »

Dusk plongea son regard océan épuré dans les yeux émeraude de son opposante, un regard passionné et apparemment convainquant et sincère. Vous savez, ces yeux qu’ont les hommes éperdument passionnés quand ils sont au restaurant, qu’une femme ne cesse de leur parler et qu’ils ne répondent pas car ils sont perdus dans la contemplation de leur bien aimée. Ajoutant à cette œillade un petit sourire charmeur et mystérieux il était tout ce qu’il y avait de plus craquant. Il savait pertinemment que ce genre de chose fonctionnait avec les adolescentes, il n’adapterait jamais ce comportement puéril avec Narcissa Malefoy par exemple. Narcissa… La beauté à l’état brut, cette femme qui l’attirait irrésistiblement mais qui lui semblait inaccessible… C’était bien la seule d’ailleurs !

Dusk- « Vous désirez quelque chose à boire ? Je pense que c’est pour cette raison que vous vous trouvez ici, non ? »

En plus d’être généreux de compliments, le serviteur du Seigneur des Ténèbres était également un gentleman. Il détestait ce qu’il était en train de faire, non parce que c’était dégoûtant pour la fillette pour qu’il il n’avait ni intérêt ni compassion mais car il se rendait ridicule et donnait l’impression d’être vraiment sous le charme. Personne ici n’aurait pu dire qu’il jouait à un jeu malsaint afin d’obtenir des informations pour sa patrie, il avait l’air si honnête !

L’ex vert et argent se tourna vers Rosmerta qui passait par là et lui demanda deux autres hydromels. Elle le regarda, interloquée de le voir boire en compagnie d’une jeunette alors qu’il n’avait même pas daigné lever un œil sur elle et apporta froidement les boissons. Dusk régla la note et porta très doucement le verre à ses lèvres, les yeux rivés sur la collégienne. Il la regardait, sans jamais ciller, c’était quelque chose qui fonctionnait à merveille.


Dusk- « Je me permets de te tutoyer, puis-je ? Alors dis-moi, tu es à Poudlard je suppose ? Et comment t’appelles tu ? »

Il éteignit sa cigarette pour mieux en rallumer une nouvelle, s’imprégna une nouvelle fois de cette odeur de tabac brûlé et attendit que sa « victime » réponde.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Tell me who you are...
Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] Empty
MessageSujet: Re: Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ]   Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] EmptyMar 26 Juin 2007 - 20:53

Un regard troublant que l’homme avait, cela plaisait bien à la préfète. Néanmoins, celui-ci semblait être quelqu’un de mystérieux, tout comme la préfète, même si parfois, son mystère se résumait à tuer, pour ne pas se dévoiler. Cette fille à l’allure angélique était une vraie démone. La confiance y régnait, mais aussi l’infidélité, et ce, par malchance lorsqu’elle sortait avec un garçon. Elle relisait sans cesse le même livre et le même chapitre, chaque fois dans sa vie, elle faisait les mêmes erreurs. Comme avec François et avec Calvin. Le monde lui faisait confiance, mais elle, naïve comme elle l’était, elle les brisait, comme un vase tombant sur le sol froid et humide.

L’odeur de la cigarette semblait être tentante, ce n’était pas une fumeuse, mais l’odeur familière vint à ses narines. Elle n’était pas une de ses fumeuses compulsives ou alcooliques, elle ne fumait jamais mais elle prenait souvent de cet alcool jusqu’au temps qu’elle en soit ivre. Mais comparer à certaines personnes qu’elle connaissait, elle, elle ne se retrouvait pas dans un lit d’un autre le matin de la fiesta. Même si Leya pouvait être très aguichante lorsqu’elle était sous l’effet de la pure alcool. Une genre de drogue à ne jamais lui donner.

Elle sourit à celui qu’elle venait d’abordé. Son visage était loin de lui être familier et probablement que jamais, elle le reverrait après ce soir. Sauf si celui-ci s’avérait être un mangemort, même si Leya trouvait qu’il avait trop l’air gentil pour en être un. Mais souvent l’apparence peut être trompeuse : tout comme la préfète.


Dusk – « Bien sur très jeune demoiselle. Mais dites moi, quel âge vous avez ? Dix-huit, dix-neuf ? »

Son âge. Devait-elle lui dire la vérité ? Quoi que Leya n’était pas la plus bonne des menteuses, souvent elle donnait une fausse âge et cela se passait bien. Mais pourquoi mentir, après tout, l’homme devait avoir environ dans la vingtaine. Même si Leya n’était pas une très bonne menteuse, elle voyait lorsque l’autre mentait. C’était un don qu’elle avait acquis de sa famille. Souvent elle ne le voyait pas, lorsque c’était des inconnues ou des adultes, mais lorsqu’elle faisait sa ronde des préfets, elle savait souvent défier leur mensonge, puisqu’il bougeait et regardait ailleurs lorsqu’il mentait. Quelque chose que tout le monde sait lorsque quelqu’un ment.

- Ni un ni l’autre, j’ai dix-sept ans, mais l’âge ne conte pas, n’est-ce pas ? Et vous ? Vingt ans ? Vingt un ?

Demanda-t-elle sur une voix presque sympathique, ce qui serait une première chez elle. Elle lui sourit même si elle doutait que s’il était un de ses types qu’elle avait rencontré quelque temps auparavant, voudrait soit abusé d’elle, soit la virer de bord. Mais à chaque fois, la Langdon se défendait de ses moyens radicaux. Elle s’était assis sur le banc, observant cette Rosmerta qui semblait être jalouse de Leya car l’homme devant elle lui avait adressé la parole. Elle eut un petit rire.

Dusk- « Vous désirez quelque chose à boire ? Je pense que c’est pour cette raison que vous vous trouvez ici, non ? »

Elle n’eut pas le temps de répondre qu’il commanda de l’hydromel. La boisson qu’elle préférait, elle n’en buvait que très rarement, car elle n’avait pas toujours l’occasion d’avoir du temps de libre avec les réunions de préfets, ceux de son amie Jessica et les mangemorts. Elle sourit à l’homme qui semblait être un de ces gentlemans. Mais elle avait une impression de l’avoir déjà vue, mais elle ignorait ou.

- Pas nécessairement, j’aurais pu attendre quelqu’un pour faire un mauvais coup. Ou bien retrouver un amoureux ou là pour tout simplement boire.

Elle eut un sourire, même si elle se doutait que celui-ci la trouverait assez idiote d’avoir dit cela.

Dusk- « Je me permets de te tutoyer, puis-je ? Alors dis-moi, tu es à Poudlard je suppose ? Et comment t’appelles tu ? »

- Évidemment cher. Oui je suis à Poudlard, en sixième année de la meilleur des maisons : Serpentard et pour couronner le tout, j’ai l’honneur d’être une préfète. Je m’appelle Leya Langdon. Et vous ?

Leya lui sourit en prenant une gorgée de l’hydromel que l’homme lui avait offert. Était-ce une bonne idée de boire ce qu’il lui offrait ?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Tell me who you are...
Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] Empty
MessageSujet: Re: Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ]   Faut-il aimer la mort ou la jeter au feu ? [ Libre ] Empty

Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1

MMHP :: Boîte à Souvenirs-
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser