Promenade matinale

Sujet: Promenade matinale Jeu 24 Jan 2008 - 1:47

Méduza, qui avait eu envie de sortir au dehors pour prendre l'air car elle avait eu soudainement très chaud, alla se promener dans le parc. Il faisait encore jour mais il faisait quand même froid. Elle mit ses mains dans ses poches et continua à marcher. Elle avait hâte de trouver un abris du vent pour pouvoir s'y asseoir sans avoir froid. Elle trouva enfin un banc ou il n'y avait pas de neige. Elle s'assied dessus et eu la sensation qu'elle buvait un chocolat chaud tellement que le banc était chaud.

*C'est incroyable, il fait tellement froid dehors et ce banc est tellement chaud*penca-t-elle.

Puis elle vit quelque chose qui la frappa de plein fouet. Il y avait quelqu'un qui l'observait dans les buissons. Elle fit semblant de rien et se concentra de toute ses forces pour pouvoir voir qui c'était. Elle avait eu ce don lorsqu'elle était jeune.

-Ah, c'est toi mon minet,dit-elle.

Son chat sortit des buissons et vint la voir. Il était tout petit et gris. Il avait de gros yeux globuleux et lorsqu'il vous regardait, son regard vous transpercait. Elle le caressa et le serra contre elle pour se réchauffer. Ensuite elle se leva et pratiqua un sort qu'elle avait apprise lorsqu'elle était encore une enfant lorsque ses parents était encore vivant car il avait été tout deux tuer par des loup-garou.

-Accio bois.dit-elle. Alors du bois vint à elle.
- INCENDIO.cria-t-elle. Et le bois s'alluma comme par magie(rires).

Elle se rapprocha du feu, se réchauffa les mains, l'éteignit et commenca à se diriger lorsque quelque chose attira son attention. Il y avait un médaillon d'ouvert à droite du banc. Elle le prit dans ses mains, et tout de suite, elle se sentit prise dans un glacon. Elle était frigorifier. Elle essaya de lancer le médaillon mais il ne se décollait pas de ses mains. Alors, une voix qui sortait d'elle dit:

-Je vais prendre possession de ton corp et détruire ce chateau.

Méduza paniqua et essaya de concentrer son énergie sur le peu de force qu'elle avait pour éloigner ce mal autrut. Elle se sentit libérer. Elle lanca alors le médaillon au bout de ses bras et courrût vers le chauteau, mais elle rentra dans quelqu'un. Elle ne s'appercût pas tout de suite qui c'était car elle était occuper à se prendre le pied à deux main. On lui avait marcher dessus.

-Aille. Bon sang de bonsoir. Faite attention ou vous marcher s'il vous plait.dit-elle au bord du désespoir.

Puis elle regarda qui c'était. Elle fût d'abord étoner, d'abord surprise puis l'étonement et la surprise firent place à la joie de voir quelqu'un en ce matin car elle détestait atrocement rester seule.

Sujet: Re: Promenade matinale Jeu 24 Jan 2008 - 22:45

Marissa n’avait pas eu une journée réellement chargée, les cours avaient étaient plutôt sympathique malgré qu’elle avait eu un retard, ce qu’elle ne recommencerait plus.
Il faisait assez beau dehors et la neige avait presque complètement disparue, c’était une occasion rêvée d’aller un peu dans le parc, un endroit magique.
Elle sortit par la grande porte, et tout de suite une bouffée d’air frais l’envahit... C’était très agréable, quelques pas sur ce sol et tout devenaient joyeux pour elle.
Puis, elle se dit qu’elle allait se diriger vers les bancs cachés derrière les buissons, ce serait agréable de regarder le lac scintiller sous ce petit soleil.
Elle avait enfilé des jolies bottes en fausse fourrure, et un gros manteau assortis, à la pointe de la mode, chez les moldus. Avec le sourire, elle s’avança vers l’endroit qu’elle aimait beaucoup, mais elle eu l’impression d’entendre une voix, comme parlant dans le corps de quelqu’un d’autre. Une impression très étrange pour dire vrai. Elle s’avança encore un peu plus et tout à coup quelqu’un la percuta de plein fouet, venue un peu trop rapidement sans regarder ou elle allait, et encore elle osait se plaindre, mais bon ce n’était pas sur un ton vraiment méchant que la jeune fille, car s’en était une, avait prononcé cette phrase, peut-être était-elle seulement perturbée par ce qui venait de lui arriver...En tout cas elle faisait une tête étrange, elle avait sûrement besoin de parler, mais Marissa ne se sentait pas vraiment assez proche de celle-ci pour lui conseillé de parler avec elle. Alors avec toujours un sourire, elle s’excusa à la demoiselle, espérant peut-être une conversation...

»Excuse moi, je ne regardais pas vraiment ou j’allais. Toi aussi tu aimes ce coin ? Il est magnifique... »

Sujet: Re: Promenade matinale Jeu 24 Jan 2008 - 23:19

Méduza lui sourrit, gêner.

-Oh, désoler Marissa. C'est ma faute. Il m'est arriver quelque chose d'imaginable. J'ai besoin de me confier. Tu veux bien m'écouter?

La jeune gryffondor acquiessa de la tête. Méduza commenca alors son récit:

-Bah voila. Ce matin, je voulais prendre l'air alors je suis venu ici car j'adore ce coin moi aussi, c'est tellement beau. Je suis venu m'asseoir et j'ai sentit de la chaleur alorws que tout est glaciale. J'ai trouver ca extrêmement bizzare. Ensuite, j'ai vu mon chat qui était cacher dans un buisson. J'ai été le chercher et je suis revenu m'asseoir sur la banc. J'ai ensuite laisser mon chat filer puis je me suis lever. Et c'est la que j'ai vu ce médaillon. Lorsque je l'ai prit dans mes mains, c'est comme si c'était quelqu'un d'autre qui prenait possession de mon corp. Je dois t'avouer que j'ai été surprise et très troubler. J'ai donc combattu avec cet inconnu et il a finit par sortir de mon corp. J'ai lancer le médaillon à bout de bras puis j'ai été le chercher.

Méduza reprit son souffle et continua:

-Ensuite, comme j'était très perturber, je me suis dépêcher de me diriger vers le chateau et c'est la que je suis tomber sur toi. Je ne voulais pas être impoli tout à l'heure, j'étais seulement surprise et aussi appeurer de revoir celui qui avait prit possession de mon corp.

Elle souffla un peu puis elle commenca à trembler. Elle tremblait si violement qu'on entendait ses genou s'entrechoquer. Elle regarda Marissa, apeurer.

-Je suis vraiment désoler, vraiment.

Sujet: Re: Promenade matinale Ven 25 Jan 2008 - 18:35

Le récit de la jeune Serdaigle était un peu compliqué à suivre, mais Marissa avait souvent était une confidente pour bien des jeunes filles, ce rôle, elle l’endossais à la perfection.
A un moment, elle en vint à parler d’une voix qui n’était pas la sienne sortir de son corps, lorsqu’elle avait touché un médaillon, posé sur un des bancs. Une histoire bien étrange, mais qu’elles allaient essayer d’éclaircir, ensembles.
Marissa avait tout d’abord penser que peut-être la jeune fille avait des dons de voyance, comme le professeur Trelawner, mais elle avait ajouté ensuite qu’elle connaissait la personne qui avait prit sa voix...Ou alors la Gryffondor n’avait rien saisit de l’histoire.

»Ecoute, je ne comprend pas très bien ce qui t’es arrivée. Peux-tu m’en dire plus peut-être ? Me dire qui est la personne que tu as entendu ? Je suis prête à t’écoutée ! »

Marrisa avait maintenant bien envie d’entendre le fin mot de l’histoire.
C’était quand même étrange ! Est-ce que quelqu’un avait mis ce médaillon ici justement pour que ce soit Méduza qui le trouve ! C’était très imprudent, n’importe qui aurait pu le toucher !
D’ailleurs...qu’avait dit ce médaillon ?

"Ce n'est pas grave que tu m'ais foncée dedant, moi non plus je ne regardais pas vraiment ou j'allais car dès que j'ai entendu la voix je me suis approchée..."

Sujet: Re: Promenade matinale Ven 25 Jan 2008 - 22:51

Méduza lui sourrit puis dit:

-Je vais essayer de revenir vers le passer, car c'est un don héréditaire mais je ne garrantie rien par contre.

Elle lui sourrit puis se concentra. Tout à coup, elle sentit son corp se lever du sol. Elle avait réussie. Elle revint en avance cette journée là et regarda qui était la personne ayant laisser le médaillon par terre. Elle n'en revenait pas, c'était... Méduza revint à elle par un sanglot.

-Je...non c'est...impossible...non...je ne peut...y croire.

Enfin elle dit:

-Je n'en revient pas, c'est ma mère qui la déposer la en disant ceci:

-J'espère que Méduza trouvera ce médaillon et qu'elle le prendra. Elle aura alors la malédiction de mon ancètre, l'ancien serviteur de voldemort, aujourd'hui vaincu par cette escroquerestre de fille. Je dois lui faire payer son crime au plus vite.

Puis elle fondit en larme.

-Je n'en revien toujours pas. C'est vraiment incroyable. Ma propre mère, vouloir ma mort. NON.... Puis elle se laissa tomber par terre te fondit en larme, elle n'en puvait plus de tout ce qu'elle venait de subir.

Sujet: Re: Promenade matinale Dim 27 Jan 2008 - 16:27

Des choses vraiment étranges et plus qu’incompréhensible était en train de se produire. Etant d’origine moldue, Marissa n’avait pas vraiment l’habitude d’entendre des histoires pareilles. Et la première chose qui lui vint à l’esprit était que cette jeune demoiselle était une échappée de Sainte Mangouste, l’hôpital. Apparemment, de ce que Marissa avait comprit, la mère décédée de cette fille de Serdaigle était venue poser un médaillon sur un banc, dans l’espoir que sa fille le trouve, et qu’elle soit sous l’emprise d’une malédiction. C’était totalement insensé. Mais bon...après tout pourquoi elle mentirait ? D’ailleurs elle avait l’air d’avoir beaucoup de don pour une fille qui n’était qu’en première année. Elle remonté le temps et pouvait voir des choses qui s’étaient déroulées l’instant d’avant. Dans ce cas pourquoi ne l’avait elle pas fait avant de prendre le médaillon en main...
Marissa fronca un sourcil en regardant Meduza :

« Peut-être que tu devrais aller te reposer dans tes dortoirs...Un peu de sommeil ne te ferais pas de mal... »

Ce n’était pas méchamment qu’elle avait dit ça mais justement, si cette jeune fille ne mentait pas, et bien c’était une rude aventure qu’elle venait de passer, elle avait sûrement besoin de se reposée. De plus, elle pleurait, de grosses larmes coulaient sur son visage. Marissa mit une main qui se voulait pleine de compassion sur l’épaule de la jeune fille, elle ne pouvait rien faire d’autre qu’être une sorte de confidente pour elle, elle ne pouvait pas l’aider...

Sujet: Re: Promenade matinale Dim 27 Jan 2008 - 22:29

Méduza lui sourit tristement.

-Je vois bien que tu ne me crois pas, pas besoin de me mentir.

Elle lui sourrit tristement puis lui di, d'une voix enrouer:

-J'espère simplement que quelqu'un d'autre va me croire sinon je suis perdu. Et je c'est ce que tu te demande. Pourquoi je ne suis pas revenue dans le temps avant de le prendre. Et bien c'est simple, je ne pouvais pas. Il faut qu'il m'arrive quelque chose pour que je puisse aller voir ce que c'est ou c'était qui la personne qui l'avait déposer la. Ca n'est pas aussi simple que tu crois, crois moi.

Elle lui sourrit amèrement.

-Je crois que tu as raison. Un peu de sommeil me ferais le plus grand bien. À bientôt.

Puis elle partit vers le chateau. Entre temps, Marissa était rester planter la sans rien dire. Elle la regarda tristement avant de repartir, elle aussi.

Sujet: Re: Promenade matinale Mar 29 Jan 2008 - 15:30

Apparemment, Méduza avait mal prit les paroles de Marissa, mais la demoiselle n’avait pas du tout voulu qu’elle la croit contre elle, au contraire elle aurait voulu l’aidée, mais elle ne le pouvait pas. La Serdaigle était en train de dire que la jeune rousse ne la croyait pas et avait un petit air triste...Pourtant Marissa ne demandait qu’à la croire, c’était juste qu’elle n’avait encore jamais vu de choses pareille. Toujours avec un visage triste, la jeune fille avait prit la route du château, laissant Marissa plantée là, seule avec ses pensées. Puis, lorsqu’elle allait repartir, elle se dit qu’elle ne pouvait pas laissé cette jeune fille comme ça, il était possible qu’elle fasse une bêtise ! Non, Marissa allait rester avec elle, elle serait solidaire et l’aiderai comme elle le pourrait ! Il n’empêche qu’elle pensait vraiment que la jeune fille devait aller se coucher, toute ces émotions fortes n’était sûrement pas très bonne à vivre.
Elle couru vers l’autre fille, et l’attrapa doucement par l’épaule... Avec un seul regard, elle cru tout d’abord que celle-ci pleurait, mais ses yeux étaient seulement humide du fait qu’elle pensait que personne ne la croirait jamais...

»Ce n’est pas que je ne te crois pas Méduza, au contraire, je ne demande qu’à te croire ! Mais essaye de comprendre, c’est tout de même quelque chose de très étrange ! »

Elle se mit bien en face de la jeune fille, puis lui fit un petit sourire.

« Si tu sais comment je peux t’aider, ou si tu as quelques chose à me demander. Je suis là ! »

Sujet: Re: Promenade matinale Mar 29 Jan 2008 - 15:46

Méduza lui sourrit tristement. Elle ne savait que trop quoi répondre. Elle lui fût reconnaissante de l'avoir rattrapper ainsi.Elle lui était reconnaissante aussi de la croire car elle était certaine que personne au monde ne la croirait. Puis elle la regarda et lui fit un sourrire amicale, mieux que celui de tantôt ou elle avait les larmes au yeux. Puis, elle la regarda avec un minuscule sourrire et dit, d'une voix enrouer par le chagrin.

-Je te remercie de me le proposer Marissa, mais appart me consoler et rester à mes côter, il n'y à rien que tu puisse faire pour moi. Je suis seulement triste quand je repence à cette événement et je ne comprend plus rien car, si c'était vraiment ma mère, alors je me suis tromper à son sujet. Je croyais qu'elle m'aimait moi.

Puis elle la regarda tristement et des larmes commencèrent à couler le long de ses joues. Elle les essuya, frustrer de pleurer en ce moment puis la regarda droit dans les yeux:

-Tu me crois vraiment, dit? Car tantôt, j'était certaine que personne au monde ne me croyait.

Elle s'assied par terre, ou c'était sec et non humide, puis regarda Marissa. Elle la trouvait sympathique pour une gryffondor. Elle n'aurais jamais voulu lui faire du mal. Alors elle lui sourrit amicalement puis demanda, d'une voix solenelle:

-J'espère que je vais pouvoir oublier cette incident. Tu crois que je vais pouvoir le faire?

Sujet: Re: Promenade matinale Mar 29 Jan 2008 - 22:13

Marissa, après avoir pu constater le triste sourire de sa désormais amie, n’avait pu que prendre conscience trop tard de ce que la jeune fille devait être en train d’endurer. Elle vivait des choses que peu de gens avait le malheur de vivre, et se devait être terrible, de découvrir un jour ou l’on ne s’y attend pas, que votre mère ne vous aime pas. D’ailleurs, la jeune Gryffondor n’aurait même pas pensé cela possible qu’une mère n’aime pas son enfant, tant la sienne la couvrait d’amour ! Méduza disait que la seule chose qu’elle pouvait faire pour elle, s’était rester souvent à ses cotés, et c’est avec un immense sourire que Marissa accepta, pourquoi refuser ? Elle avait enfin une amie avec qui papoter ! Et même si cette amie n’avait pas la vie la plus simple du monde, elle serait toujours là pour la consolée, être à ses cotés dans les moments difficiles, comme dans les plus durs. Puis, la petite Serdaigle se mit à pleurer, ce moment était d’une grande tristesse, elle pensait que personne n’allait la croire, c’est vrai que cette histoire était compliqué mais personne n’oserait la traitée de menteuse de la sorte, appart surement des Serpentard ! En tout cas, elle, ne se le permettrait pas !
Elle s’avanca vers la jeune fille et lui posa une main amicale sur l’épaule, tout en séchant ses larmes de sa main libre :

»Evidemment que je te crois Méduza ! Je n’ai aucune raison de faire le contraire ! »

La jeune fille s’assit par terre, à un endroit qui par miracle, n’avait pas était touché par la pluie, alors Marissa fit de même, le sourire de la jeune Serdaigle revenait peu à peu. Jamais elle n’aurait pensé qu’elle avait un tel pouvoir de confidente, ni qu’elle pourrait si vite se faire une amie, mais le destin en avait voulu ainsi, et c’était tant mieux.
Méduza voulait oublier cet incident, mais pour Marissa, c’était incontestablement impossible :

»Je crois que non, tu ne l’oublieras pas... Mais tu devras t’efforcée de passer outre... »

Elle lui fit un petit sourire et l’attira dans ses bras...Sa première amie au château, elle ne regrettait pas que ce soit elle... et pas une autre.

Sujet: Re: Promenade matinale Mar 29 Jan 2008 - 23:30

Méduza lui fit un sourrire radieux. Elle était contente de s'être faite une amie aussi gentille, confiente et peu ortodoxe, comme elle. Elle la regarda en sourriant puis se demanda si elle savais ce que Méduza endurait. Elle savait, certe, que ca mère ne l'aimait pas, mais les autres tournants de sa vie, elle ne les connaissaient pas. Elle la regarda en essuyant ses larmes, puis dit, d'une voix enrouer:

-Tu sais Marissa, ce n'est pas la pire chose qui m'es arriver.

Marissa la regardait, bouche bée, car elle ne pouvait croire cela. Méduza lui sourrit puis dit, d'une voix amicale:

-Et oui, tu as bien entendu,il m'est arriver bien pire. J'ai perdu mon père. Il est mort devant mes yeux. Et peu après, ma mère est disparu elle aussi. Ensuite, c'est ma tante qui est disparu. Puis mon chat favboris. Je me sens bizzare depuis ce jour la, comme si c'était de ma faute s'il était tous disparu et que mon père était mort. Je n'ai rien pu faire pour le sauver. Je n'ai même pas lancer de sortilège de bouclier même si j'en connaissait un. J'était comme stupéfixer sur place, incapable de bouger. Je ne pouvais pas parler non plus, plus de peur qu'autre chose. Lorsque les silhouette en capuchonner sont partie, je suis accouru vers mon père, je l'ai serrer dans mes bras et il ma dit, d'une voix triste et souffrante:

-Méduza, ne t'en fait pas pour moi. Je t'assure que je vais survivre, je ne partirai pas sans toi, je te le promet. Je t'aime ma chérie.

Puis Méduza se mit à pleurer à chaude larme mais elle continua pareille.

-Ensuite, environ 2 minutes après, lorsque ma mère est arriver de je ne c'est ou, il est mort dans mes bras. J'était complètement finis. J'avais perdu l'être qui m'était le plus chère au monde. Je croyais que je ne pourrais plus survivre sur terre. Puis ma mère à disparu à son tour et on ma placer dans une famille moldu. Il appele ca une famille d'accueil. Voila, maintenant tu sais tout de mon passer sauf une chose. Voila ce que c'est:

Elle sortit un objet de sa poche. C'était un jolie pendentif qu'elle avait eu en héritage de ses parents. Elle le lui montra.

-Ca, c,est l'héritage que j'ai eu. La seule chose qui me reste de mes parents. Puis une photo que j'ai dans mon dortoir. C'est tout ce qui me reste d'eux.

Marissa était contente de voir enfin un sourire apparaître sur le visage si triste de la jeune fille, et c’était d’autant plus important pour elle, parce que c’était elle qui l’avait fait apparaître. Simplement en étant elle-même, en étant gentille, et sincère.
En ayant était à l’écoute. Comme une amie. Et il fallait dire qu’ici, elle n’avait encore personne appart Méduza. Mais il ne fallait pas croire que leur conversation allait se terminée ainsi, la jeune fille avait encore des choses a raconté, et seulement lui rendrait sûrement le cœur plus léger, alors Marissa l’écouta, toujours avec le sourire, mais ce qu’elle venait de dire l’avait laissée sans voix, alors Méduza avait déjà vécu des choses pires que celle-ci ? Marissa se sentait toute petite à coté d’elle alors qu’elle était en 4ème année et que la jeune Serdaigle n’était qu’en première, pourtant elle avait déjà vécu tant de chose... Tout en l’écoutant, elle essayer de reconstituer sa vie : Ses deux parents étaient morts, déjà cela devait être une rude épreuve, mais Marissa n’en savait rien, elle avait encore ses deux parents, et ils l’aimaient toujours aussi fort, même s’ils ne croyaient pas vraiment en ses dons. Ensuite, elle avait vécu des disparitions, peut-être cela était-ce moins dur à vivre qu’une mort, Marissa n’en savait rien, elle avait était gatée par la vie, elle n’avait pas à se plaindre.
La jeune fille s’était mise à pleurée pendant son récit, mais Marissa savait que cela lui faisait du bien de se décharger de tout ses lourds secret, et elle l’écoutait donc attentivement, même si elle ne pouvait rien faire pour elle. Elle pouvait seulement, être son amie. Donc, elle lui mit une main attentive sur l’épaule...
Ensuite, la jeune fille sortit un petit objet de sa poche, apparemment la seule chose encore en bon état que ses parents lui avaient laissée, c’était très peu, et n’avait de valeur qu’aux yeux de Méduza... Ce devait être terrible de vivre tout ce qu’elle avait vécu.

»Je suis désolée pour toi. A coter de toi je n’ai rien vécu, presque aucune mort appart ma grand-mère, ce qui arrive à tout le monde. Mes parents m’envoie des lettres tout les jours, je n’arrive pas m’imaginer ce que cela peut être de vivre la vie que tu mènes... »

Elle lui fit un petit sourire, puis la serra à nouveau dans ses bras, c’était tout ce qu’elle pouvait faire pour la consolée...

Méduza lui sourrit tristement. Elle était persuader que Marissa faisait ca pour l'aider, qu'elle la laisser pleurer pour se soulager, mais cela ne faisait qu'empirer les choses. Elle la regarda désoler, puis demanda, d'une toute petite voix:

-Je sais bien que c'est inimaginable, c,est pour ca que je suis si bouleverser c'est jour si. Je me demande encore pourquoi je me lève à chaque matin et pourquoi je suis encore vivante alors qu'eux non.

Elle se remit à pleurer mais les essuya d'un revers de manche.

-Pardonne moi de pleurer devant toi mais c'est si dur.