I - Etat Civil
Nom: Milo
Prénom(s): Méduza Autumn(tous ses amis l'appele Autumn mais elle préfère Méduza mais elle a quand même mit Autumn plus bas pour leur faire plaisir).
Date de naissance : 1983
Origine :sang mêler
Année souhaitée : 1er année
II - Description
Physique : Méduza c'est teindu les cheveux il y a environ 1 semaines. En plus, vue qu'elle porte des verres de contact, c'est yeux sont bleu au lieu d'être brun.Elle est d’une constitution très fine, paraissant presque frêle, légère. Un simple coup de vent pourrait l’emporter comme une feuille morte en Automne. Ainsi, elle n’a que peu de formes, n’ayant encore pas vraiment encore finie sa croissance, malgré ses 12 ans, ce qui, loin de la complexer la rend totalement indifférente, car peu lui importe d’être belle ou non aux yeux des autres, et ce n’est sans doute pas une jeune fille très très jolie. Elle a la peau presque anormalement blanche et son horreur des expositions au soleil n’est sans doute pas favorable à un bronzage.
Elle a un visage plutôt fin, ovale, le plus souvent légèrement rosé lors d’un effort physique ou d’une gêne quelconque qu’il est néanmoins difficile de provoquer. Elle possède un nez bien dessiné mais des lèvres très fines, la plupart du temps fermées car la parole n’est pas son fort. Cette jeune fille possède par contre des yeux très noirs, ressortant sur sa peau laiteuse qui reflètent son caractère ou son humeur du moment, sans qu’elle ne puisse rien dissimuler, passant de la tristesse à un semblant de joie en quelques secondes, bien que cette dernière ne soit quasiment jamais présente, car la mélancolie est l’expression qui domine largement sur son visage.
Ce dernier est encadré par une cascade de cheveux noirs lisses, souvent détachés, ce qui lui sert en quelque sorte à se dissimuler, toujours bien coiffés, lui donnant un air faussement sage que viennent contredire ses vêtements, pourtant jamais portés à l’occasion de provoquer. Sans la connaître et de loin, on pourrait sûrement qualifier Méduza de « gothique », appellation qu’elle déteste avec raison car ce n’est en fait certainement pas son style. Certes, le sien aussi cherche à dissuader toute personne de l’ « emmerder », comme elle le dit si bien dans ses rares moments de colère, puisque seuls ces derniers peuvent la pousser à user d’un vocabulaire si familier à son goût.
Cette jeune fille est donc généralement habillée de noir, de blanc ou de gris, mais il est rare de la voir porter de la couleur, aussi l’uniforme de Poudlard lui convient-il à peu près. Quels que soit les vêtements qu’elle choisit, elle sera toujours un minimum élégante, bien qu’elle ne cherche pas particulièrement à l’être, telles de longues jupes dans un genre que l’on pourrait qualifier de « romantique », de chemises étroites ou de bustiers. Jamais elle ne portera de pantalons, hormis quelques jeans en hiver et sauf cas de force majeur, et leur préférera robes et jupes plutôt amples, même en été, puisque bronzer au soleil n’est pas une de ses activités favorites.
Quant aux accessoires et maquillage, très peu pour elle, elle a déjà donné et ne sortira sans doute jamais plus avec du mascara, du rouge à lèvres ou un autre de ces « trucs » que portent diverses jeunes imbéciles, qualifiées de « pintades » de sa part. Elle est donc plutôt sobre et ne fait pas dans l’extravagance mais plutôt dans la discrétion et le rêve.
Autre signe particulier de Méduza : elle déteste la gent masculine en tant qu’amours, car elle trouve relativement stupide de s’éprendre de quelqu’un à cet âge. Inutile donc de préciser qu’un éventuel dragueur se retrouverait de suite avec un œil au beurre noir si elle ne le jugeait pas correct. Elle pourrait pourtant s’entendre relativement bien avec certain garçons, si ces derniers arrivaient à la cerner, briser sa carapace et à ne pas la fâcher, puisqu’elle les préfère comme amis aux filles de son âge, avec qui elle se montrera toute aussi froide. Autant dire tout de suite que la demoiselle n’est jamais « sortie » avec qui que ce soit, garçon ou fille (mais sait qu’elle pourrait « tomber amoureuse » de l’un comme de l’autre), et cela n’a sans doute rien à voir avec sa beauté presque inexistante à son goût, mais rien ne lui manque moins que ça.
On ne remarque donc pas vraiment cette jeune fille pour sa beauté en elle-même mais parfois par l’aura de mystère qui plane sur elle et que seulement de rares personnes pourraient réussir à apercevoir. Elle ne recherche pas l’amitié ni l’amour mais ne la refuserait certainement pas si elle s’y trouvait confrontée et « obligée » de l’accepter, bien qu’elle n’en ait peut-être pas conscience.
Je vais mettre ces quatres dans caractères(j'espère que ca ne dérange pas).
Qualités :
Défauts :
Ce qu'elle aime :
Ce qu'elle n'aime pas :
Caractère(assemblement des 4 au dessus): Le moins que l’on puisse dire sur le caractère d’Autumn, c’est qu’il n’est pas simple, et difficile à cerner. Quelques discussions par-ci par-là ne suffiraient pas à la comprendre entièrement et elle ne laisserait certainement pas aller aux confidences et à être un peu plus chaleureuse après un si court laps de temps. Car, sans être naturellement froide, elle est tout de même très distante, que ce soit avec ses proches ou avec des inconnus et n’inspire pas l’amitié au premier abord, si bien qu’il est déjà extraordinaire de la faire parler.
Observer et se taire sont ses spécialités, puisqu’elle sait se faire quasiment transparente tout en remarquant le moindre détail, durant un temps indéterminé, sans se lasser, avec une patience infinie, car dévisager et étudier les passants sont une de ses activités favorites, si bien qu’à force, elle se révèle infaillible pour deviner leur humeur. Journaliste est peut-être son futur métier ?
Autumn est particulièrement sensible au bruit et à la foule, deux choses qu’elle ne supporte absolument pas. Agoraphobe, dit-on. En fait, cela n’a rien d’étonnant, puisque son oreille est habituée à de la « bonne musique », très organisée et ses nombreuses années de violon l’on rendue allergique aux fausses notes ainsi qu’à tout ce qui n’est pas relativement correct. Se trouver au beau milieu d’une foule « en délire » a souvent pour effet de la faire paniquer totalement ou alors simplement de faire un malaise, chose peu commode à Poudlard car l’école n’est pas réputée pour un petit nombre d’élèves et elle évite le Hall ou la Grande Salle aux heures d’affluence. C’est certainement cela qui la pousse aussi à s’isoler régulièrement dans divers endroits du château, la plupart du temps sans donner d’explications, mais vue sa quasi absence d’amis, cela ne dérange personne.
La seule compagnie que tolère en effet la demoiselle est celle des livres. Presque avide de savoir, sa curiosité maladive la pousse à vouloir apprendre le plus de choses possibles, concret ou non, dans n’importe quel domaine, qu’il soit moldu ou sorcier. Elle ne prétend pas tout connaître mais ce qu’elle a déjà acquit occuperait de nombreuses pages. Cependant, elle n’est pas du genre à étaler sa science en cours, se forçant à répondre à certaines questions pour rapporter quelques points à sa maison, mais la Coupe ne l’intéresse guère.
Il n’est pas rare -voir même très fréquent- de la voir plongée dans un épais volume, roman ou non, se nourrissant presque de ce qu’elle peut y puiser à toute heure du jour ou de la nuit, dans n’importe quel endroit : le monde peut s’écrouler, tant qu’elle a un livre, elle est sauvée. Leur compagnie lui suffit amplement, jugeant qu’ils sont bien plus intéressants que ses camarades, avec qui elle n’a donc que peu de relations.
Autumn vit un peu dans un autre univers qui n’appartient qu’à elle, voyageant à travers le monde et le temps grâce à ses nombreux ouvrages, paraissant souvent distraite, mélancolique, puisque les yeux dans le vague, elle rêve totalement, ne vivant presque que de ça, refusant en quelque sorte la réalité. Elle peut d’ailleurs en être franchement inquiétante et surprend souvent par ses attitudes, mais surtout par son parler. En effet, son adulation pour les mots et le langage la pousse à s’exprimer le mieux possible, utilisant de belles tournures de phrases, parfois reprises d’un quelconque livre, vouvoyant tout le monde, même ceux qui, à ses yeux ne le méritent pas et a pour règle de ne jamais pousser de jurons ou de s’énerver : elle fait toutes ces choses presque inconsciemment …
Avec elle, il faut deviner, ou plutôt sentir ses paroles, plutôt que les entendre car elle s’est quasiment enfermée dans un mutisme dont elle ne sort que rarement, et certainement pas pour quelque banale discussion. Somme toute, c’est une fille aux attitudes et au caractère un peu « bourgeois », dirait-on, un rien élitiste et intolérante, mais très respectueuse et vive d’esprit : elle ne ferait pas de mal à une mouche et se met rarement en colère. Du moment qu’on la laisse en paix, elle n’est pas difficile, même s’il ne faut pas la chercher ou profiter se don apparente faiblesse, bien qu’elle n’apprécie pas particulièrement la vengeance.
Une fois qu’on la connait vraiment -et ce n’est pas donné à tout le monde-, soit on l’apprécie, soit on la déteste. Mais Autumn n’accorde que peu d’importance au regard des autres, qu’ils soient de sang-pur ou non, de sa maison ou d’une autre, et au jugement qu’ils peuvent porter sur elle, au point de paraître parfois un peu méprisante, mais simplement de l’indifférence, nullement hautaine, sentiment qu’elle éprouve souvent.
Cette jeune demoiselle peut agir indifféremment comme une fille ou un garçon, car peu lui importent les genres et elle se montre souvent contradictoire dans ses paroles comme dans ses actes, capable de dire le contraire de ce qu’elle avait dit l’instant d’avant. Rêveuse, curieuse, indifférente, mélancolique et artiste : voici les mots qui la décriraient sans doute le mieux, mais après tout, l’Automne n’est-elle pas la saison des poètes ?
Cependant, pas de soucis à se faire, une fois l’amour ou l’amitié naissant, on peut compter sur elle pour se « lâcher un peu », et surtout pour ne pas abandonner la partie ni trahir qui que ce soit : plus tenace, tu meurs, mais il faut déjà arriver à cette complicité pour que sa langue se délie.
Elle déteste avant tout qu’on lui manque de respect ou qu’on s’acharne à l’embêter et tient le sport -surtout le Quidditch- en horreur, trouvant ce jeu absolument barbare. Elle apprécie tout de même le a course à pieds et il lui arrive régulièrement se de lever aux aurores pour aller courir près du Lac, du Parc ou encore à la lisière de la Forêt Interdite, activité qui lui sert à se défouler …
Son rêve et ses ambitions :Devenir aurore
III - Informations complémentaires
Options choisies en 3e année :
Options poursuivies en 6e année
Notes aux BUSEs :
Baguette
Sa baguette mesure 25 cm, elle est en chêne, et contient une plume de phoenix. Elle est assez souple et décorer de gravure dessinant des branches de lierres et est biens sur faite pour une droitière.
IV - Histoire
Méduza est née à Londres un beau matin de juin d'un père anglais sorcier et d'une mère française qui était née de parents Moldus mais qui avait tout de même étudié la magie à Beauxbatons la plus grande école de sorcellerie française. Quelques années avant sa naissance, son père Uchrène qui habitait en Angleterre dut aller faire un stage en France où il tomba amoureux d'une belle jeune femme française prénommée Destinée. Après environ une année de fréquentation, la mère de Méduza (elle ne l'étais pas encore mais allais le devenir quelques années après) était devenue très amoureuse de celui qui est aujourd'hui son mari. Ils émigrèrent donc en Angleterre afin de vivre une vie de couple tout les deux. Le père de Méduza travaillais depuis sa sortie de Poudlard en Hollande et sa mère fraîchement sortie de Beauxbatons après avoir eu son diplôme de fin d'études était alors femme au foyer mais elle comptait vite se remettre à travailler afin de subvenir aux besoin de la petite famille. C'est donc un 29 juin que notre chère Méduza avait choisi pour pointer le bout de son petit nez sur la planète Terre. Tout ce passa très bien pendant toute sa vie. Elle finit bien entendu fille unique, ses parents aillant des soucis qui ne permettaient pas au couple d'avoir un autre enfant. Aux environs de ses 4 ans et demi, Méduza pris la mauvaise habitude d' "emprunter" la baguette magique de sa chère mère afin de jouer à la sorcière. Elle aimait beaucoup cette baguette qui était très impressionnante pour une petite fille de son âge et elle jouait longuement dans sa chambre en silence se parlant intérieurement à elle même car elle était déja très calme malgrès son âge tandis que sa mère fouillait la maison de fond en comble pour retrouver sa baguette. Le moment que Méduza redoutait le plus était quand sa mère venait à bout de souffle dans sa chambre, s'arrettait sur le pas de la porte et commençait à rire. La petite fille se demandait toujours si sa mère allait la punir. Sa mère ne le fit jamais. Jamais elle n'aurais permis à sa fille de douter de son amour. Mais la mère n'allais jamais voir sa fille qui était toujours seule. La petite fille disait toujours à sa mère avant d'aller se coucher "Maman, tu viendras me lire une histoire ?" et la mère répondait toujours oui. Mais jamais elle n'est allée lire d'histoire à sa fille. A l'école, tout le monde se moquait de la petite parce que celle-ci avait un teint légèrement pâle comme toute la famille du côté de sa mère. Ils tournaient autour d'elle en faisant un cercle chacuns les mains dans les mains la petite fille au centre. Et il y avait également cette chanson que Méduza détestais tant et qui créait une véritable crise d'angoisse chez elle:"Petit fantôme aux mains de marbre
Petite fille perdue près des arbres
Va te cacher, va te cacher
Et laisses nous jouer"
A partir de ce jour, Méduza ne voulut plus aller à l'école et sa mère ne l'y forçat pas. Elle prit donc des cours par correspondance. Les années passèrent, tout se passa comme avant à quelques exeptions près, Méduza eu 15 ans, elle avait déja pris l'habitude d'être silencieuse et de rester plusieurs heures allongée sur son lit sans rien faire à part penser à son monde imaginaire. Le jour de son anniversaire, elle n'invita personne et le soir à table avec sa mère, personne ne parlait. Le silence commença à devenir pesant lorsque sa mère lui dit avec un sourire "Tu sais, depuis que tu es née, ton père t'as inscrite à Poudlard, une école très réputée pour la qualité des cours donnés aux élèves. En septembre, tu rentreras dans cette école pour les sorciers. Demain nous irons acheter tes fournitures scolaires sur le chemin de traverse" à partir de ce moment il n'y eu plus un mot. Méduza et sa mère allèrent acheter les fournitures, rentrèrent... Au mois de septembre, la rentrée arriva et elle fut alors en première année. Puis la deuxième année passa, puis la troisième ainsi que la quatrième. A l'heure qu'il est, Méduza s'apprète à passer en 1ème année... Mais que lui réserve l'avenir ? On peut dire que Méduza à eu une enfance facile, elle était très gâtée par son père qui ne rentrait que les week-end.
V - Hors-Jeu
Votre âge: 15 ans
Comment avez-vous trouvé le forum ? je l'ai trouver très bien.
P.S.si pour les qualité, défaut, aime et aime pas c'est pas correct dans caractère, dite le moi et je vais tout changer ça.
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