Première Tâche ~

Avec les trois autres Champions, vous vous trouvez dans le parc de Poudlard. C'est ici que se situe le départ pour cette première tâche du Tournoi des 4 Sorciers. Albus Dumbledore, le directeur, vous explique rapidement : pour cette première épreuve, un indice vous est donné, qui vous mènera vers un endroit où vous trouverez un autre indice, et ainsi de suite jusqu'à ce que vous arriviez à l'endroit où aura lieu la Deuxième Tâche. Dumbledore vous donne votre premier indice, désignant par une énigme le lieu où se trouve le deuxième indice : « Le calmar géant y a élu domicile. » (Décrivez les actions de votre personnage jusqu'au moment où il trouve son prochain indice et s'apprête à le lire.)

[ Vous avez 4 jours pour faire votre post, c'est à dire du 26 décembre au 30 décembre à minuit. ]

Mickaël se trouvait dans le parc, il se trouvaient avec les trois champions, il savait donc qui avait été choisi par la coupe et il s’aperçu qu’il les connaissait déjà tous. Lorsque Dumbledor leur dit le premier indice, Mickaël comprit assez vite où il voulait en venir. Un calamar vit dans l’eau et le seul point d’eau qu’il connaissait c’était le lac. Une fois que Dumbledor parti, Mickaël s’approcha du lac, il regarda l’eau, au dessus il y avait un peu de brouillard et rien que de voir l’eau ça donnait la chair de poule à Mickaël, elle devait être glacée. Il savait que le lac était profond et qu’il y avait des créatures au fond alors il fallait qu’il s’organise. Il rentra au château, il ne voulait pas perdre une minute, il prenait se tournoi à cœur. Il alla dans son dortoir et sorti des habits, ceux ci tenaient chauds, il prit sa baguette et il prononça sur chacun le sort « impervius » se sortilège servait à rendre les vêtements imperméables et dans l’eau il n’aurait pas froid. La deuxième chose qu’il fit, il alla à la bibliothèque, il prit un livre sur la respiration sous marine et il regarda plusieurs façon différentes de respirer sous l’eau, il y avait la métamorphose par exemple se faire pousser des bronches ou alors la botanique avec une plante rare, pour cette solution, Mickaël laissa tomber, il se pencha donc plus sur la métamorphose. Mais il lui fallait beaucoup d’entraînement et il n’en avait pas assez, donc il ne prenait pas ça comme plan A . Et pour les créatures il savait déjà comment leur échapper si il tombait sur l’une d’elle.

Il fallait qu’il trouve au plus vite quelque chose qui pourrait le faire respirer sous l’eau, il eu soudain une idée qui le fit bondir de joie, il fallait simplement qu’il se face une bulle magique autour de sa tête, ça lui ferait comme une sorte de scaphandre. Il arriva sur le bord du lac avec ses vêtements imperméables et sa baguette, c’était le matin et il faisait encore un peu sombre. Il prit sa baguette et fit le sortilège pour avoir une bulle. Il plongea dans l’eau, il fois dedans il alluma sa baguette magique pour améliorer sa vue au cas où une créature quelconque viendrait sur lui. Il nagea vers le fond, il resta une dizaine de minute, et il ne voyait toujours rien, il avait une impression d’étouffer et il désespéré petit à petit. Mais il continuait sans savoir pourquoi, soudain, il aperçu un objet qui attira son attention, il nagea vers l’objet en question, c’était une sorte de tube argenté qui était attaché à quelque chose, une barre de fer. Il s’approcha quand il vu un strangulot, bien entendu ça aurait été trop simple, il regarda un peu partout mais rien n’était apparemment il était seul, ce qui était très bien comme ça. Mickaël était caché derrière un rocher et il attendit que le strangulot se retourne, il serra un peu plus sa baguette et nagea le plus discrétement possible dans le dos du strangulot et il prononça une fois derrière lui :

- Kanarpalmus !

Celui ci se transforma en vulgaire canard en plastique et commença à monter vers la surface, la seule chose que Mickaël ne s’attendit pas, ce fut lorsqu’il se prit un coup dans le dos, il ne savait pas trop se que c’était, mais sa faisait mal, lorsqu’il se retourna il vu un strangulot, celui ci avait du le taper avec sa main comme il n’avait pas d’arme se qui surpris Mickaël, il n’avait plus sa baguette en main. Il commença à nager vers elle mais le strangulot le retint et lui redonna un coup mais cette fois ci dans ma bulle et celle ci se perça et éclata il eut à peine le temps de prendre sa respiration. Il donna un coup de pied dans la tête du strangulot et prit sa baguette dans le sable et planta sa baguette dans l’œil du strangulot, il ne pouvait prononcer aucun sortilège, il ne réfléchis pas et arracha l’objet argenté. Heureusement la ficelle n’était pas épaisse et elle se cassa sans difficulté. Il nagea pour remonter à la surface. Il n’avait plus de souffle et commençait à boire la tasse il vu enfin une lueur brillante a travers l'eau c’était la lune, qui était déjà là. Il remonta et prit la plus grande bouffée d’air de sa vie. Il nagea jusqu’à la surface recracha de l’eau, il vérifia qu'il avait bien sa baguette et le tube. Il s'allongea sur llh'erbe et sans attendre, il devisa le bouchon du tube et prit le morceau de parchemin qu’il y avait dedans et il lu …

Vous lisez l'indice. Il est écrit : « Les porteurs de lettres y dorment. » Décrivez comment votre personnage se rend dans l'endroit susdit, attaqué entre-temps par un Détraqueur au détour d'un couloir. Vous vous arrêterez au moment où votre personnage arrive dans le lieu (il ne voit pas encore le troisième indice).

[ Vous avez 3 jours pour faire votre post, c'est à dire du 28 décembre au 31 décembre à minuit dernier délai. ]

Mickaël lu l’indice, il le relu plusieurs fois avant de trouver c’était évident, mais il n’avait pas trouvé de suite, il fallait dire qu’il avait faillit se noyer, il se releva sans trop de difficulté, ses jambes tremblés il avait eu l’une de ses plus grosse frayeur. Il marcha un peu dans l’herbe puis s’arrêta quelques instant pour reprendre son souffle puis reparti, il marcha en direction du château, il prit sa baguette et prononça le sortilège « lumos » pour qu’il voie un peu mieux. Il marchait au ralenti, il avait froid mêmede l’eau c’était infiltré dans ses vêtements, mais eux étaient secs. Le vent ne l’aidé pas, il était glacé et soufflait assez fort. Il avait les lèvres qui étaient devenus bleu et il claquait des dents, il était sur que si quelqu’un le voyait il aurait peur de croire que c’était un mort-vivant . Il marchait toujours, il zigzagait un peu, mais il puovait tenire, il savait que si il s'arrêtait maintenant, il n'arriverait pas à se relever à cause du froid, on était en hiver et ça se senté.

Il arriva devant le château, des lumières étaient allumés et la porte en chêne était fermé, il l’ouvrit et entra dedans, l’air était chaud et il le senti instantanément. Il se senti sauvé, il s’assit par terre deux ou trois minutes juste pour reprendre des forces puis se releva et commença à monter les escaliers. Tous les tableaux le regardaient bizarrement, il se senti un peu honteux, il n’aimait pas trop qu’on le regarde lorsqu’il était comme ça même si il savait que c’était pour le tournoi et qu’il devrait en être fier. Quelques tableaux lui gueulé dessus et d’autre l’encouragé. Ceux qui l’encourageait devait être au courant qu’il était champion, et les autres ne devaient même pas savoir alors qu’il faisait souvent des rondes la nuits et qu’il était préfets, ils auraient du faire qu’une chose, c’était de se taire, car sa commençait à énervé un peu Mickaël, même si il était faible à cause de l’énigme d’avant.

Au fur et a fur qu’il avançait en direction de la volière, il sentit un drôle d’effet, il se réchauffait petit à petit, mais pas comme avant il fiasiat de plus en plus froid, Mickaël pensa que c'était un courant d'air. Lorsqu’il arriva au pied de la tour nord, tout devint sombre sa baguette c’était éteinte, il essai de la rallumer, mais c’était sombre plus rien autour de lui, il sentit le malheur et se souvint d’un des ses plus mauvais souvenir. Il revit une personne mourir, mais il ne l’a connaissait pas, il savait d’où provenait tout ça. Mickaël ne pensa pas tout de suite un Détraqueur se ne fut que quand il senti quelque chose le frôler qu’il se rendit compte de ça. Il n’était pas prés à faire un patronus, il ne trouvait rien, il commença à partir en courant le temps de se remettre de ses émotions, mais tout était obscur, il ne voyait rien, il ne pouvait as partir, non il devait faire fasse, il avait eu un esprit un peu trouillard, il fit demi tour et retourna vers le détraqueru même si il n'était pas partis bien loin. Il fallait qu’il trouve quelque chose de joyeu, il se souvint alors de la nuit avec Jessica celle qu’il ne voulait pas oublier, mais c’était assez dur d’oublier l’autre mauvais souvenir, il se concentra encore plus de temps. Puis lorsqu’il se sentit assez fort pour le faire, il se redressa serra sa baguette et il lui prononça fort en clairement :

- Spero Patronum !

Un petit jet argenté sorti de sa baguette -_-", à cet instant il méprisait sa baguette. Le détraqueur s’approchait de lui, il se sentait de plus en plus mal il avait envie de tomber et de ne plus se relever, il fallait qu’il réussisse, il en était capable, il le savait. C’était la première fois qu’il se mesurait à un détraqueur, et il se sentait capable de le vaincre. Quand on veut on peut et se qu’il compté faire. Il se remémora son premier baisé avec Jessica, ses pensées n’étaient que pour elle. Il prit une profonde inspiration et prononça en hurlant de toutes ses forces :

- SPERO PATRONUM !

Enfin quelque chose sorti de sa baguette, mais pas assez pour créer un patronus, sa ne fit que reculer le Détraqueur, et Mickaël fut soulagé une seconde avant de reculer un peu et de brandir bien droit sa baguette et de visé le Détraqueur comme si il tenait une épée, maintenant c’était lui qui avait le contrôle en lui et personne d'autre, tout bon souvenir étaient de son coté il revu la scène de son premier baisé avec sa bien aimée, le jour ou il avait fais le premier pas à Poudlard et le moment ou il avait vu son nom sortir de la coupe de quatre sorcier. Il sentait une chaleur chaude dans son corps, preuve qu’il pouvait y arriver, il prononça encre une nouvelle fois le sortilège, un patronus en forme de lion sortit de sa baguette, il ne l’avait encore jamais vu il était fier de lui, son premier patronus, il le regarda quelques instants d’un air admiratif et il ordonna à son patronus de charger le Détraqueur, celui ci obéit il fonça droit sur le Détraqueur, celui ci était plutôt coriace, Mickaël n’avait jamais vu ça, le lion mordit au cou le détraqueur comme ci c’était une proie, et il lui renfonça dessus. Puis tout s’éclaircit, Mickaël ferma les yeux, et lorsqu’il les ouvrit il y avait plus rien. Tout était redevenu comme avant comme si il ne c’était rien passait. Il avait envie de rester là mais il savait très bien qu’il devait se lever sans savoir vraiment pourquoi. Les lumières étaient encore éteintes, mais une fenêtre montré que c’était finit, la lune n’était pas de se coté, mais on y voyait quand même un peu dans les couloirs, il prit sa baguette, il n’avait pas envie de la rallumer. Il ne savait pas depuis combien de temps le soleil c’était couché mais ça devait faire depuis un bon moment. Il aurait bien voulu savoir combien de temps il avait battu le détraqueur, car il n’avait aucune notion du temps et il n’avait pas de montre, et dans les couloirs il ni avait aucune pendule ou autre objet pouvant indiquer l’heure.

Il aurait bien voulu encore profiter de son pratronum, car se n’était pas tout les jours qu’on avait l’occasion d’en voir un, surtout le sien. Il s’adossa contre le mur, il était en sueur, ses cheveux qui avaient été sec quelques instants étaient redevenus humide, c’était la première fois qu’il était comme ça il n’avait jamais du transpirer autant. Il avait complètement oublié le tournoi pendant quelques secondes. Il avait oublié qu’il était le champion de Gryffondor et pensait qu’il était là pour faire sa ronde, il devait prévenir le directeur. Puis lorsqu’il sentit un objet métallique dans sa poche, il le prit en il s’aperçu que c’était le tube de l’énigme. Un large sourire s’afficha sur son visage, comment avait il pu oublier ça, il rigola un peu, mais il n’avait rien d’un rire de joie même lui ne savait pas pourquoi il avait rie. Il ferma les yeux une dernière fois et il se releva pour prendre les escaliers, il prit une longue bouffé d’aire avant de monter les marches de la tour nord, c’était une épreuve très dur à cause de se qu’il venait de surmonter. Il arriva devant la porte de la volière, il avait le souffle court mais il ne voulait plus s‘arrêter. Le pire dans tout ça c’est qu’il en avait un peu bavé, mais il ne regrettait vraiment pas d’avoir participer à se tournoi, il en était même heureux, il ne savait même pas pourquoi il se sentait important. Il ouvrit la porte et entra dans la volière, les hiboux étaient tous réveillés normal c'était des animaux nocturnes il ni en avait pas beaucoup, ils avaient du parti chasser ou apporter des lettres. Enfin Mickaël s’en foutait un peu de ça, il commença à fouiller à la recherche de l’énigme …

Vous venez d'entrer dans la volière. Tous les hiboux sont de couleur marron foncé, sauf une chouette blanche perchée tout en haut de la volière, hors de portée, détenant l'indice entre ses serres. Vous essayez un sortilège d'Attraction ; non seulement celui-ci est ne fonctionne pas sur l'indice, mais en plus tous les hiboux marron se jettent sur vous pour vous attaquer de leurs becs acérés. Décrivez comment votre personnage parvient finalement à s'en sortir vivant, et à récupérer l'indice (sans faire usage du sortilège d'Attraction.) (Vous vous arrêterez au moment où votre personnage sort de la volière et se retrouve dans les couloirs, l'indice à la main, et s'apprête à le lire.)

[ Vous avez trois jours pour écrire votre post, autrement dit du 30 décembre 2007 au 2 janvier 2008 à minuit dernier délai. ]

Mickaël regarda un peu partout, il ne mit pas longtemps à remarquer une chose qui à vrai dire était flagrante. La plupart des hiboux étaient marrons et se ressemblé, sauf un qui était blanc neige, un hiboux qui état plutôt beau et qui tenait quelque chose entre ses serres, et se quelque chose intéressé vraiment Mickaël, puisqu’il s’agissait de l’énigme. Mickaël eu un sourire, c’était très simple, même trop simple, il prit sa baguette, la pointa sur le hibou blanc puis fit un sort d’attraction, car le hibou était perché tout en haut de la volière et c’était difficile d’atteindre cette hauteur. Lorsqu’il prononça le sortilège celui ci ne marcha pas, et pourtant il avait été fais correctement, une seconde après, tous les hiboux sauf le hibou blanc se jetèrent sur Mickaël, il essaya de se protéger, mais ceux ci faisait très mal, au point de le pincer jusqu’au sang, c’était une énigme très … particulière, mais pas plus difficile que la préédente, Mickaël plongea par terre pour que les hiboux le lâche un peu. Mais ceux ci ne lâchés pas l’affaire, on aurait pu croire que Mickaël était une souris et il n’apprécia guère.

Il saisit sa baguette et la pointa sur le premier hiboux qui lui plongea dessus et il prononça fort et clairement pour que le sortilège fonctionne bien :

- Petrificus Totalus !

Mais lorsqu’il s’aperçu que les hiboux étaient en un trop grand nombre et que le sortilège de pétrification marchait que sur un hibou, il prononça le sortilège « protego », le temps de se reposer, et de réfléchir à un sortilège qui marcherait mieux que le précédent et qui marcherait en masse. Il releva ses manches et rien que de voir l’état de ses bras qui était remplis de pinçon et quelque fois sa peau n’avait été arraché, il comprit qu’il ne laisserait aucune chance à ces ridicules volatiles. Mickaël fut assez stupéfié par la férocité des hiboux qui continuait de s’acharner sur le bouclier magique de Mickaël. Ils avaient réussi à énerver Mickaël. Il eu une idée, le bouclier s’arrêta quelques instant et Mickaël prononça :

- Verdimilious !

Des étincelles vertes jaillirent de sa baguette et fonça droit vers les hiboux ceux qui les arrêta un peu, et il se releva vite fais, se mit de l’autre coté de la pièce et il brandit de nouveau sa baguette regarda l’environnement qui l’entouré et il prononça :

- Rongifors !

Plusieurs morceaux de paille se transformèrent en souries et les hiboux foncèrent sur elles, ça occupa la plupart des hiboux, il eu un petit sourire en coin, son plan marchait avec du succès, il fallait réfléchir, pour chaque épreuve il y avait des solutions, et Mickaël était quasiment sur de l’avoir trouvé. Mickaël avait pensait tout d’abord a faire un sort qui pourrait le faire fondre dans le paysage, mais sa n’aurait pas marché, les hiboux était tellement féroces qu’il l’aurait trouvé grâce à son odeur, ce n’était peut être pas comme les chiens, mais le risque n’était pas à prendre. Il brandit une nouvelle fois et la dernière fois pour tout ses rapaces sa baguette et il prononça :

- Lumus Solem !

Un fuseau de lumière puissant jaillit de la baguette de Mickaël, tous les hiboux furent affolés, c’était des animaux nocturnes donc ils n’aimaient pas trop la lumière, sa les aveugla pendant un moment, ça laissa du temps à Mickaël. Lorsuq'il avait vu l'état de ses bras, Mickaël voulait les cramer, mais ça les tuerait tous, et puis sa aurait fais des victimes pour rien, même si il aurait bien voulu les égorger un par un, il ne pouvait pas faire ça. Mais l’attaque de Mickaël n’était pas encore fini ces hiboux avaient été sans pitié avec lui il en ferait de même, il brandit encore une fois sa baguette avant de dire :

- Avis !

Plusieurs oiseaux sortirent de sa baguette, ils foncèrent droit sur les hiboux, et il les pincèrent sans pitié, pendant se temps, il voulait en finir avec cette énigme. Il ne restait plus que le hibou blanc qui était encore en état de faire quelque chose et Mickaël avait la solution. Celui la … Il ne tiendrait pas plus de temps, il prit sa baguette, il la brandit sur un caillou d’une taille assez gros et il prononça :

- Waddiwasi !

La pierre toucha en plein fouet le hibou qui tomba, il n’était peut être pas mort, Mickaël lui arracha l’indice des pattes et il vu qu’il bougeait encore, il se senti soudain gêné, et coupable. Il le regarda soit il abrégé ses souffrances [ ], soit il le guérissait, il hésita un petit moment avant de reprendre sa baguette encore une fois et de le guérir il lui faisait trop pitié et puis Mickaël aurait eu des remords aprés, il regarda le hibou qui était pétrifié, il le regarda, dans quelque minutes, il pourrait re-bouger, celui la avait eu de la chance, car il n’avait rien eu d’autre. Il ne perdit aucune autre minute. Car chaque minutes étaient précieuses et il sorti de la volière, il souffla un peu regarda vite fais ses blessures et il commença à regarder l’énigme et à lire se qu’il y avait marqué dessus...

Vous lisez le dernier indice. « A Poudlard c'est là qu'est votre foyer. » Vous n'avez aucun mal à comprendre qu'il s'agit de la salle commune et vous vous y rendez, mais quand vous vous trouvez devant le portrait de la Grosse Dame, celle-ci a disparu. Décrivez comment votre personnage la retrouve quelque part. Vous devez ensuite rédiger un dialogue entre votre personnage et la Grosse Dame, dans lequel on découvre pourquoi elle n'était pas à son poste. Vous vous arrêterez au moment où votre personnage arrive à convaincre la Grosse Dame de rentrer dans son tableau, puis entre dans la salle commune.

[ Vous avez trois jours pour écrire votre post, c'est à dire du 3 Janvier 2008 au 6 Janvier 2008. Après cela, la première tâche sera terminée. ]

[Les paroles de la grosse dame sont en rouge foncé ]

Lorsque Mickaël lu l’indice, il souffla un bon coup, il trouva vite qu’il parlait de la salle commune, il pensa tout d’abord que l’épreuve était finis et qu’il avait méritait une bonne nuit de repos. Il eu un sourire et il descendit d’un étage de la tour pour aller dans la salle commune. Il ne regarda même pas le tableau, et il prononça le mot de passe, toujours tête baissé, il commença à vouloir entrer, mais sa tête heurta doucement la voile. Il commença à relever la tête en disant :

- J’ai dit …

Il s’aperçu que la grosse dame n’était plus là, il écarquilla les yeux qu’est ce qu’il c’était bien passé. Mickaël souffla et alla voir le tableau juste à coté, celui ci l’engueula car il dormait, et Mickaël l'avait réveillé mais il parvint à lui demander où la grosse dame était bien passée. Ce tableau la, Mickaël l’aurait bien déchirer, car il avait du s’excuser plusieurs fois avant que celui lui dise enfin dans quelle direction la grosse dame était partit. Mickaël se précipita vers la direction et le tableau l’engueula encore une fois de plus car il n’avait pas dit merci, mais maintenant, Mickaël s’en fichait un peu. Il demanda à plusieurs tableaux la direction et ceux ci étaient plus coopératifs que le premier. Il y avait deux tableaux qui c’étaient trompé et Mickaël avait du revenir sur ses pas. Ca faisait une demi heure qu’il marchait à suivre les indications des tableaux. Il avait du descendre au sous sol puis remonter au deuxième étage et passer dans la bibliothèque. Un tableau commença à lui donnait une indication lorsqu’il entendit des bruit de pas et une lumière assez forte il vu deux petites billes dorées dans le noir, c’était miss Teigne enfin ses yeux et Rusard, Mickaël couru sans vraiment savoir pourquoi comme il était préfet, il fit le tour de l’étage pour retourner vers le tableau, celui ci lui dit qu’elle était pas très loin d’ici, et il lui montra le tableau exact.

Mickaël alla vers la direction qu’il devait suivre, il regarda, Rusard était dans les parages, il alla voir le tableau et devant celui ci il prononça le sortilège « lumos » pour mieux voir, le tableau était beau, il avait était peints avec finesse et précision. Celui ci représenté une forêt assez dense il y avait beaucoup de végétation, il y avait quelques animaux qui n’était pas dangereux, il vu soudain une branche bouger. Mickaël regarda un peu mieux et il vu du rose. Sûrement l’habit de la grosse dame Mickaël la regarda et il dit d‘une voie douce :

- Excusez moi, est ce que vous pourrez retourner au tableau s’il vous plait pour que je puisse entrer.

Il avait était un peu direct, mais bon … C’était peu être la meilleure façon, celle ci ne répondit pas de suite, Mickaël souffla et l dit :

- On vois votre robe à travers les feuillage alors sortait je sais que vous êtes là !

Soudain une tête sortit des feuillage elle avait l’air assez effrayé, qu’est ce qui avait pu la faire fuir à se point ? Il la regarda et il voulu commencer une nouvelle phrase mais elle lui coupa la parole pour dire :

- Ils sont là je les ai vu !

Mickaël la regarda elle avait du devenir folle, Mickaël lui dit d’une voie intrigué :

- Mais qui ?

La grosse dame le regarda et lui dit comme si c’était évident :

- Mais eux les mangemorts, ils ont voulu me tuer avec leur baguette.

Mickaël ne comprenait rien ça lui faisait pensé à l’année précédente et ça lui rappellerait de très mauvais souvenir il lui dit d’une voie rassurante et un peu énervé à la fois :

- Mais non ils ne sont pas là, sa va faire une demie heure que je vous chercher je n’ai vu personne.

- Mais si ils vienne prendre le château, ils sont discrets ils vont vous attaquez !

- Ne vous inquiétez pas, ils ne sont plus là, tout ça ces du passé.

Mickaël pensa qu’on avait du lui faire un sort pour qu’elle se croie un an plus tôt, mais qui aurait bien pu faire ça ? Il la regarda, il ne savait pas qu’on pouvait lancé des sorts au personnes du tableau, il essaya encore une fois de la convaincre. Soudain la Grosse Dame pointa Mickaël du doigt enfin plutôt derrière lui, et elle laissa partir un long cris strident, Mickaël se retourna et vu une silhouette il ne réfléchit pas il avait sa baguette en main et il la pointa pour dire :

- Petrificus Totalus !

La personne ne bougea pas, il ralluma sa baguette et découvrit avec horreur que c’était Rusard, Mickaël avait eu la plus grosse peur de sa vie, maintenant il aurait de très gros ennuie, il le regarda d’un aire désolé et le bougea le mieux qu’il pouvait un peu plus loin et essaya de lui lancer un sort d’oubliette il ne savait pas si ça avait marché ou pas mais bon. C’était compréhensible car c’était le tournoi. Il se retourna vers la grosse dame et il lui dit avec fureur :

- Non mais je rêve je viens de pétrifier Rusard et c’est votre faute ! Levez vous de suite, si on vous fais garder le tableau se n’est pas pour rien, vous retournez immédiatement au tableau et il ni a pas de mangemorts c’est du PASSE. Dit il en criant presque en finissant sa phrase.

Il la regarda qui se levait, elle se sentait un peu bennait et c’état normal, elle lui dit d’une voie qui n’était toujours pas rassurante :

- Promettez le moi que les mangemorts ne reprenne pas le château !

Mickaël la regarda avec un regard sombre et il lui dit :

- Je vous le promets maintenant on va tout les deux remontez et vous allez garder cette porte.

Mickaêl sentit soudain quelque chose lui mordre le molet il regarda et vu Miss teigne il dit :

- Mais c'est pas vrai !

Il prit sa baguette et l'expulsa un peu plus, il avait eu de la chance, il ne saiganit pas, mais ça lui faisait mal. Peu de temps aprés ils commencèrent à partir tout les deux, elle était toujours aussi inquiète Mickaël lui dit des mots doux pour qu’elle soit encore plus rassurée et au grand désespoir de Mickaël elle voulu lui chanter quelque chose, Mickaël refusa il lui dit qu’il avait très mal à la tête. Du coup elle lui raconta toute sa vie, une fois arrivé devant la salle commune, elle se mit en place et elle le regarda et elle lui dit :

- Vous ne m’avez pas mentis n’est ce pas ?

- Non je ne vous ai pas mentis ! Dit il sur un ton de énervé.

Mickaël prononça le mot de passe, et elle le laissa entrer, il en fut rassuré lorsqu’il commença en entrer dans la salle commune …