Quand la pleine lune se lève ...

Sujet: Quand la pleine lune se lève ... Ven 7 Mar 2008 - 13:40

Mickaël était dans son bureau, c’était un dimanche, ce n’était peut être pas un jour pour travailler, mais bon il devait le faire. Il avait du mentir à Jessica qui elle n’était pas au courant de son métier d’Auror. Il avait du lui dire qu’il avait dû aller à la bibliothèque de Poudlard pour faire une recherche de livre. Il n’en était vraiment pas fier, mais bon il devait le faire. Il cherchait toujours une trace de Voldemort, mais ça semblait impossible. Il avait réussi trois personnes dans son bureau, une femme qui semblait halluciner et qui semblait devenir folle, et deux hommes, il y en avait un qui semblait dire vrai, mais c’était la fin qui n’allait pas, soit disait qu’il c’était battu contre lui et qu’il avait réussi à gagner le duel … Mickaël n’avait rien dit, il avait dit qu’il enverrait un rapport, mais bien sur il n’en avait pas l’intention. Mickaël regarda encore des morceaux de journaux, et tout d’un coup, il s’endormit.

Il se réveilla, il faisait sombre, il était pourtant cinq heures du soir lorsqu’il avait regardé l’heure. Il regarda l’horloge. Il était minuit une, elle avait du sonner, c’était sûrement se qui avait du réveiller Mickaël. Il trouvait que pour cette heure là, la pièce était trop éclairée. Il regarda par la fenêtre et fut éclairé par des rayons de la lune, mais pas n’importe laquelle, celle ci était ronde … Mickaël n’eut pas le temps de dire un mot, il tomba par terre, se transformant avec beaucoup de douleur. Une fois que le loup garou fut transformé, il enfonça la porte du bureau et passa dans le couloir. Il était à la recherche de chaire fraîche. Il enfonça plusieurs portes, faisant un carnage …

29/06/2006

Peut-être était-ce l'effet de la pleine lune. Mais Morgane était toujours bel et bien là, dans son bureau. Bien qu'elle n'ait guère le choix. Ce dossier, il fallait qu'elle en ait décousu avec pour le lendemain. A savoir l'avoir lu, compléter le rapport et rempli tous les papiers s'y rapportant. Et ce n'était guère un petit morceau. Mais ça, histoire privée du Ministère.
Les douzes coups de minuits retentirent au clocher de la rue d'à coté. Relevant la tête, la jeune femme réalisa alors seulement l'heure qu'il était déjà. Quatre heures déjà qu'elle travaillait sur ce dossier. Et dire qu'elle aurait déjà du partir depuis belle lurette. Elle devait vraiment avoir un problème. Cependant, elle n'eut guère le temps de s'interroger plus longtemps quant à sa santé mentale qu'une vacarme énorme se fit entendre au niveau inférieur. Cela venait sans conteste du bureau des Aurors. Elle connaissait désormais suffisament bien le Ministère pour pouvoir localiser précisément un tel boucan. Refermant au vol le dossier, elle se précipita hors de son bureau. Il lui semblait étrangement qu'il s'agissait là de bruit provoqué par une quelconque destruction. A cette heure-ci, elle pensait pourtant être la seule encore présente dans les lieux ...
Sa baguette serrée dans la paume de sa main, elle se dirigeait d'un pas croissant vers le niveau deux, d'où provenait tout ce bruit. Elle s'arrêta alors stupéfaite. Un loup-garou, ici ? Visiblement, toutes les portes défoncées était de sa responsabilité. Elle resta un instant immobile, dans l'ombre. Non, elle ne se cachait pas. Elle réfléchissait. Car elle savait qu'une fois repérée, elle n'aurait plus l'occasion de prendre le temps, elle devrait agir.

Sujet: Re: Quand la pleine lune se lève ... Sam 8 Mar 2008 - 9:45

Mickaël continuait d’enfoncer les portes, une par une à la recherche de trace humaine. Il renifla un bon coup, et il sentit de la chaire humaine, il entra dans lu bureau où il venait d’enfoncer la porte. Il fit le tour de la pièce, regardant sous le bureau, derrière les rideaux etc... Il ne vit rien, mais alors ça voulait dire que la personne était autre part. Il était pourtant sur d’avoir renifler quelque chose. Il sortit de la pièce délicatement, sur ses deux pattes arrière, scrutant les environs en plissant légèrement les yeux. Il s’avança dans un coin ou l’ombre était à son avantage. Puis soudain dans un autre bureau, il entendit à nouveau du bruit, un vase était tombé, sûrement, il couru en sa direction, enfonça encore plus les murs. Il rentra dans la salle, il ne vu qu’un chat, il lui donna un violent coup de patte, mécontent de lui avoir fait perdre du temps. Il sortit a nouveau, lâchant un grognement, il s’avança dans l’ombre, l’odeur se faisant plus forte …

29/06/2006

De plus en plus, le loup-garou semblait se rapprocher. Il continuait cependant à forcer les différents bureaux, enfoncant porte après porte. Sans succès, visiblement. Alors qu'il s'occupait du chat particulièrement malchanceux qui s'était trouvé dans une pièce proche, Morgane profita de l'occasion pou sortir sa baguette silencieusement, et d'un sortilège informulé, se désillusionna. Sentant cette sensation de liquide froid se répandre le long de son échine, elle frissona. Peut-être était-ce aussi parce que la créature venait de sortir du bureau adjacent. Elle était désormais invisible ou à peu de chose près. Du moins elle l'espérait, elle n'avait pas la moindre idée de l'acuité visuelle des yeux d'un lupus ni de leur perception par rapport au sortilège tel que celui de désillusion. Même si elle savait qu'elle n'était pas non plus tout à fait invisible par l'emprunte olfactive qu'elle déposait. Elle en eu la claire confirmation alors qu'elle distinguait la mimique mêlé au bruit de reniflement du loup-garou. Probablement devait-il sentir à présent l'appréhension qui s'était ajoutée aux reste. Non, pas de la peur, aussi impressionnant celà pouvait-il être de se retrouver en telle position. Un inquiétude, oui, il fallait bien qu'elle se l'avoue. Mais elle n'avait pas le temps de penser à ça.

* Homomorphus *

Le sortilège résonna dans son esprit, tandis qu'elle avait sa baguette pointée en direction de la créature qu'était devenue Mickael. Elle n'avait pas d'idée exace des effets du sortilège, ils était presque inconnus à vrai dire. Elle en demanderait un peu plus à Kenji, à l'occasion. Toujours à l'abri de son sortilège, un éclair jaillit de sa baguette. De l'extérieur, il semblait presque sortir de nul part.

Sujet: Re: Quand la pleine lune se lève ... Dim 23 Mar 2008 - 23:10

[Désolé du retard ><]

Mickaël sentit une odeur humaine, ses sens étaient plus évolués, et pouvaient prévoir beaucoup de chose. Il sentit les pulsations de la jeune femme s'augmenter, pis il sentit une pulsation de courage en elle. Allait elle lancer un sort ? Le préssage de Mickaël fut exellent une demie fraction de seconde plus tard, Mickaël vit un éclair jallirt de la baguette de la personne. Il ne pouvait pas dire se que se sort était, même en étant expert en la matière. C'était un sortilège informulé et cette lueure lui était inconnue. Le sort le foueta en plein fouet, pourquoi n'avait il pas réussi à se déplacer ? C'était peut être trop rapide pour lui. Il se fit projeter à plusieurs mètres de là. Il attérit au fond du couloir, il sentit une forte douleure au niveau de sa poitrine et il se sentit redevenir humain. Se secret la il voulait le garder et à tout prix. Il plongea dans une pièce, ses vêtements étaient déchirés, il avait des difficultés à respirer suite au choc du sort. Il se cacha sous un bureau, esseyant de calmer le mieux possible sa respiration si haletante. Il ni avait que deux personnes qui connaissaient son secret, deux personnes dont il faisait entièrement confiance, sa bien aimée Jessica et la Ministre Morgane qui était aussi son amie avant tout.
Il fallait qu'il trouve un échapatoir, si cette personne était indiscrète et qu'elle dirait à tout le monde ? Il se saisit de sa baguette, il se dirigea vers le couloir, il fallait qu'il jete un sort d'oubliette et qu'il répare les dégats se serait très difficile, il fallait l'avouer. Il dit à voie haute :

- Qui est là ?

Il était presque menaçant, il ne voulait pas que out le monde le sache, il le faisait pour sa réputation, car il savait qu'après il serait une bête aux regards des autres, ca voulait dire aussi plus de travail. Et il ne voulait pas faire objet de distraction. Il regarda l'obscurité il dit par hasard d'une voie plus douce :

- Morgane ?

Qu'avait il à perdre après tout ?