Suivit à la trace.

Mickaël était partit dans les couloirs, pour faire des recherches à la bibliothèque pour savoir si ses élèves pourraient les faire. Il prenait son temps, cette heure là il n’avait pas de cours, et puis il pouvait bien se le permettre un peu, tout ça lui rappelait de bon souvenir d’élève. Il passa devant des salles de cours, il reconnu des professeur et même des élèves qu’il avait déjà vu lorsqu’ils étaient en première année.

Il continua toujours de marcher tranquillement, les mains dans les poches, lorsqu’il entendit des bruits de verre se casser et un cri, il se retourna, fit un tour sur soit même lentement pour savoir d’où sa provenait, il n’était pas loin de la salle des trophées, et celle ci était remplis de vitres, ça ne pouvait être que là. Il couru vers celle ci, qui sait les élèves auraient peut être eu une envie subite de voler des trophées ou bien de saccager des trophées d’autre maisons…

Une fois arrivait à la porte, il l’ouvrit celle ci avait été refermé pourquoi ? Il la referma et la verrouillé grâce à un puissant sortilège. Il regarda un peu partout dans la salle, il vit une vitres casser avec des éclaboussures de sang, il regarda par terre et il suivit les gouttes de sang qui étaient irrégulières, la personne c’était peut être enfuit, mais ne pouvait pas allé bien loin car il ni avait qu’une seule entré et Mickaël l’avait verrouillé par un sort. Soudain il ni eut plus de trace de sang, il releva la tête et se trouva nez à nez avec …

Brooke était en colère, une douleur affreuse la prenait au niveau du ventre, tous ses membres tremblaient. Elle tentait du mieux qu'elle pouvait de se calmer mais rien à faire, la nouvelle avait été trop forte. Elle avait besoin de solitude, de calme.
Traversant les nombreux couloirs de l'école, elle ne se sentait pas bien, oppressé, elle avait peur. Elle aurait voulu courir mais elle en était incapable, tout ceci était trop dur. Les larmes commençait à inonder ses yeux, mais elle n'avait pas le droit de craquer. Brooke devait être forte, ne pas succombé, elle ne pouvait pas, elle n'en avait pas le droit. Ses pas se fit de plus en plus rapide, sa respiration devenait de plus en plus forte, elle bousculait les gens sur son passage pourtant elle ne supportait plus le contact. Mais tout dans sa tête se bousculait.

Elle entra dans la salle des trophées, pourquoi? elle même ne le savait pas. Elle ferma la porte, elle marchait, faisait les cents pas, tourné autour des trophées, regardant ces pieds, elle avait besoin de marcher, d'avancer, de se vider. Non, Non, il ne pouvait pas, pas encore une fois, il n'avait pas le droit de lui demander ça, il ne pouvait plus diriger sa vie, elle lui avait dis qu'elle ne voulait plus de ses nouvelles, alors pourquoi insistait-il?

"Sort! Sort de ma tête!"

Elle attrapa sa tête entre ses mains fines, enfonçant ses ongles dans son crâne. Elle devenait folle, il fallait que sa rage sorte, mais comment, elle ne savait plus, elle avait peur, oui peur de revivre, ce qu'il lui avait fait subir l'année passé... Elle ferma les yeux, et quand elle les ouvrit, sa main était en sang, des morceaux de verre étaient planté dans sa chair, elle avait mal...
Que venait-elle de faire? des bruit de pas, la porte qui s'ouvre... Elle courut se cacher derrière une armoire, c'était la seule chose qui lui était venu à l'idée, se cacher... Mais avant qu'elle ne réussisse à se calmer, elle croisa le regard d'un jeune homme qu'elle reconnu rapidement comme étant un de ses professeurs.

Mickaël reconnut vite Brooke, il n’aurait jamais cru que c’était elle, Mickaël la croyait pourtant calme et digne de confiance. Peut être que Mickaël jugeait trop vite elle avait peut être eut un accident, en tout cas elle ne se sentait vraiment pas bien, Mickaël sortit sa baguette, regardant sa main, il la prit et il regarda la plaie ou il y avait divers morceaux de verre, il devait les enlever et amener Brooke à l’infirmerie, ou alors trouver un sortilège. Avant de l’amener, il voulait savoir pourquoi elle avait fais ça il lui dit d’un ton assez doux :

- Miss Ferguson ? Pourquoi avez vous fais ça ? Ca va aller ?

Il ne voulait pas qu’elle s’évanouisse, il enleva les morceaux de verre en la fixant dans les yeux pour ne pas qu’elle regarde, il fit ensuite un sort qui fit un bandage autour de sa main, il lui dit par la suite :

- Je vais vous amenez à l’infirmerie, ça devrait vous protégez un peu.

Mickaël lui sourit, avant de la punir, il voulait être sur que se sot volontaire car il n’aimait pas punir les élèves qui n’avaient rien fais même si ça avait du lui arriver des fois. Des fois il était en colère quand les têtes revenaient souvent c’était eux qu’on accusés, et là c’était différent à sa connaissance il ne l’avait jamais vu faire des mauvaises chose, ou alors elle était discrète. Il lui fit signe de la suivre pour ne pas qu’elle reste derrière l’armoire, elle semblait apeuré, quelqu’un aurait voulu lui faire du mal ?

Il s’approcha de la vitre cassée et il ramassa tous les morceaux de verres qui étaient par terre, enfin les plus gros. Ca éviterait que des élèves se coupent, il fit un sort pour enlever le reste et il regarda les éclaboussures de sang qu’il enleva avec un mouchoir, le concierge allait réparer cette vitre.

Mickaël Leto était le nom de son professeur, il lui parla doucement, la jeune fille tremblait encore, elle n'ausait pas le regarder, son regard restait fixé sur sa main. Elle avait mal, son sang coulait, ses petits morceau de verre encrée dans sa paume.

Son professeur, lui prit la main, elle tenta de se défaire de son emprise, mais elle n'avait pas assez de force. Il lui parlait doucement, elle entendait ce qui lui disait, mais elle ne savait pas quoi lui répondre.

Pourquoi elle avait fais ça? Elle ne le savait, elle ne se souvenait même pas qu'elle avait brisé cette vitre. Si les choses allaient aller? Elle n'en était pas sur, tout devait s'arranger, mais comment? Toutes ces questions se bousculaient dans sa tête alors que Mickaël lui soignait sa main. Elle ne voulait pas aller à l'infirmerie, elle ne voulait pas qu'on la regarde dans cette état, même si c'était une professionnel, elle avait toujours été terrifié par les hopitaux, infirmerie ou autre.

Je ne veux pas aller à l'infirmerie...

furent les seuls mots qu'elle réussi à dire, Mickaël fit sortir Brooke de derrière son armoire, puis il la laissa afin de ramasser les morceau de vitre qui était sur le sol, il nettoya aussi les taches de sang. Brooke, elle tenait son bras contre elle, des larmes toujours plein les yeux. Elle se sentait mal.

Je suis désolé Professeur... Je ne voulais pas... Je vous jure

Elle ne semblait vraiment pas bien et lorsqu’elle lui annonça qu’elle ne voulait pas aller à l’infirmerie, il fut assez étonné, il devait l’amener au cas ou ça s’infecte, se serait vraiment dommage, et la magie ne pourrait peut être rien faire. Il voulait savoir se qui avait mit la jeune fille dans un état pareil, il lui dit par la suite :

- Vous irez à l’infirmerie, une fois que vous irez un peu mieux…

Une fois les dégâts réparés, il se retourna vers Brooke, elle tenait fermement sa main, elle c’était sûrement ouverte profondément, se que Mickaël n’espérait pas bien évidement. Elle s’excusa par la suite après ces quelques mots, Mickaël ne pouvait pas la punir, elle semblait sincèrement désolé et on aurait dit qu’elle n’était pas consciente de ses actes, Mickaël apporta une chaise en la faisant léviter et il la mit derrière Brooke pour que celle ci puisse s’assoire. Mickaël lui s’adossa contre une vitrine et il demanda à Brooke :

- Essayez de vous calmer et dîtes moi se qui c’est passé. Personne n’entreras dans la pièce je l’ai verrouillé en entrant.

Il espérait qu’elle ne prenne pas peur lorsqu’il lui dit qu’il avait verrouillé la porte, il espérait pouvoir l’aider, il avait tout pour avoir un minimum de pouvoir, il était adulte, auror, et professeur, il pouvait régler les problème aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’école. Il s’approcha d’elle et il ajouta pour la rassurer :

- Je suis Auror, je pourrais résoudre tous vos problèmes.

Il était certain qu’elle n’avait pas de petit ennuis, genre qu’on lui avait piqué quelque chose, ça semblait être beaucoup plus grave…

Une chaise venait de se poster derrière la jeune fille, sans réfléchir elle s'assit. Elle tentait de reprendre ses esprits, elle ne devait pas se laisser envahir ainsi par ses sentiments. Son professeur était adorable, doux et rassurant, pourtant elle n'arrivait pas à se calmer. Elle était tellement dans son monde, qu'elle ne releva même pas quand Mickaël lui avoua qu'il avait verrouillé la porte. Un long silence se mit en place, jusqu'à ce que Brooke se décide à le rompre.

Je ne suis pas sur que votre rang d'Auror puisse résoudre les problèmes familiaux...

Brooke releva son regard, elle fixait à présent son professeur, dans son regard, il n'y avait plus de la Brooke tremblante, de la jeune fille apeuré qu'il venait de voir. Son regard semblait rempli de haine et de mépris.
Le bandage de Brooke était imbibé de sang, la jeune fille venait de resserrer son poing avec tellement de violence que ces petites blessures c'était ouverte plus profondément.

Je ne veux pas vous déranger avec cela Professeur Leto... Dites moi seulement comment je peux faire pour payer les dégâts que j'ai causé, et promettait moi que cette histoire restera entre nous...

Alors comme ça c’était des problèmes familiaux, c’était quelque peu gênant, Mickaël voulait encore en savoir plus, mais se serait difficile de la faire parler, il continua de la regarder, réfléchissant à des mots qui pourraient lui donner confiance, il finit par lui dire :

- Et bien, vous savez les problèmes familiaux aussi peuvent se résoudrent …

De qui s’agissait il ? De son père ? Sa mère ou bien ses frères ou sœur, ça pouvait être tout, même un oncle, mais comment lui faire sortir ça de la tête, Mickaël fut assez stupéfait de la haine qu’éprouvait la jeune fille rien qu’en regardant ses yeux, c’était horrible. Elle lui demanda comment payer les dégâts, Mickaël dit :

- Se sera au frais de l’école, je dirais que c’était accidentel … Que si vous me dîtes se qu’il y a, je ne peux pas vous laissez dans cet état ! Faites moi confiance …

Il était curieux, même trop et des fois ça avait tendance à lui attirer des ennuis. Il finit par se retourner vers les vitrines, pour laisser réfléchir Brooke.
Il regarda les trophées, et il attendit patiemment, il regarda Brooke car il la voyait dans un reflet d’une vitre comme ça elle ne pourrait pas s’en aller en douce.

Malheureusement les miens sont arrivé à un point de nom retour...

Brooke était toujours assise sur sa chaise, mais elle sentit son coeur repartir dans une course folle. Son professeur avait tourné le dos, il regardait les vitrines, il voulait savoir ce qui arrivé à Brooke. Mais la jeune fille ne savait pas si elle était prête à en parler. Dans un mouvement brusque, elle se leva et se dirigea vers l'une des fenêtres de la salle des trophées.
Elle s'installa sur le rebord et contempla les magnifiques paysages que lui offrait la vu de Poudlard. Durant quelques seconde elle ferma les yeux.

A qui peut-on encore faire confiance? Regardez... Dehors un paysage idyllique, le soleil, l'herbe verte, les élèves qui s'amusent, certain sont amoureux, d'autres s'entendent si bien qu'on les pourrait croire qu'un lien fraternelle les relient.

Elle marqua un temps d'arrêt, non elle ne tentait pas de changer de sujet, elle était simplement trop chamboulé encore pour être directe. Elle inclina doucement la tête, et sa voix, pris un aspect plus sombre, elle parlait presque dans un murmure.

Mais quand on regarde bien, derrière tout cela se cache la jalousie des autres, l'amour sera remplacé par la haine quand il ne s'entendront plus. Et le Soleil n'est jamais éternelle... les nuages, la pluie et l'orage... arrivent toujours peu de temps après...

Brooke était là, assise sur cette fenêtre, elle avait besoin qu'on la protège à cette instant. Oh biensur, elle n'était pas la plus à plaindre. Bien des gens étaient plus malheureux qu'elle, aujourd'hui elle avait retrouvé une partie de son bonheur. Poudlard, ces amis, lui* et tout le reste, mais elle ne pouvait se défaire de se passé encore trop présent.

Professeur, avez-vous déjà aimé à vous priver de votre bonheur, afin de protéger celle pour qui votre coeur battra jusqu'à l'éternité?

Brooke attrapa un petit pendentif qui pendait autour de son cou. elle l'ouvrit et contempla la photo à l'intérieur, Sa mère la regardant, souriant.

Mickaël ne réagit pas lorsque Brooke se leva brusquement pour se mettre sur le bord de la fenêtre elle paraissait vraiment bizarre. Il se retourna et il l’écouta, en fait tous ses mots étaient touchants, et Mickaël ne disait rien de plus, il écoutait et attendait qu’elle finisse une fois que cette chose fut faite, il lui dit :

- Et bien vous avez tout à fais raison, il faut bien le dire. Il faut faire confiance à personne, mais parler fait souvent du bien.

Elle continua son récit et Mickaël n’ajouta plus un mot, ses phrases lui revenaient en tête. Lorsqu’elle lui posa la question, il repensa à sa dernière aventure avec Jessica qui maintenant le faisait rire, elle l’avait lâché comme un moins que rien, ne voulant même plus la voir, maintenant c’était sur, il ne croyait plus en l’amour, et depuis assez longtemps tout ça n’était que des sottises, il y avait bru mais c’est justement ça qui lui avait ouvert les yeux. Il lui dit :

- Non, je ne crois plus en l’amour fou, certaine personne peuvent se sentir mal juste à cause de ça, je trouve ça stupide ! Alors je vais vous donnez un petit conseil, ne t’accroches jamais à une personne, car qui sait se qui peut arriver.

Il laissa un miment de pause, ce n’était pas de la haine qu’il éprouvait, ce n’était rien, un sentiment inscriptible, le vide, l’incompréhension total dont il ne voulait plus parler. Mickaël lui dit sur un ton redevenu normal :

- & vous ?

Il la vit regarder un pendentif, il se demandait qui était la personne qui était dedans …

Malheureusement, je ne pensais pas que cette amour pourrait être dangereux. Et normalement elle n'a pas à l'être. Une fille doit aimer sa mère sans compter, comme un père doit aimer sa fille sans rien lui demander.

Brooke resserra ses jambes un peu plus contre son corps. Bizarrement alors que son physique se refermait sur elle même, son cœur s'ouvrait à son professeur. N'était-ce pas dangereux? Elle tourna son visage vers Mickaël, elle le fixait. Brooke était tellement perdu, qu'elle ne se rendait même plus compte qu'elle parlait à un de ses professeurs. Et elle passa à un tout autre discours.

Je me suis toujours interdite d'aimer quelqu'un aussi fort que je pouvais aimer les miens, c'est d'ailleurs pour cela que lors de mon dernier passage à Poudlard, j'enchaînais conquête sur conquête. Draguant, Flirtant, parfois même plus avec tout être du sexe masculin que je pouvais rencontrer.

Brooke retint un petit rire, puis elle se redressa. Elle descendit du rebord de la fenêtre, et avança ensuite lentement vers son professeur.

D'ailleurs à une autre époque, c'était souvent moi qui enfermais les gens dans les salles vide. Je ne sais pas si vous avez de la chance ou pas que je ne sois plus la Brooke de cette époque. Mais peut être que moi, je serai bien mieux...

Le regard de la jeune fille changea à nouveau, elle cherchait par tout les moyens une façon de fuir ses problèmes. Et à cet instant, elle se demanda si un retour à l'ancienne Brooke n'était pas la solution.
Où voulait-elle en venir? qu'est ce qu'elle allait faire? Elle ne savait plus.

En quoi était ce dangereux d'aimer une mère ? Mickaël suivait les phrases de Brooke, c'était une vraie énigme que Mickaël voulait résoudre, elle s'ouvrait à lui, c'était peut être une preuve de confiance, Mickaël était jeune et savait parler aux élèves, peut être ça qui donnait envie à Brooke de parler. Mickaël ne connaissait pas Brooke de son époque, il l’entendit, on aurait dire qu’elle regrettait son enfance, la chose qu’il faut profiter le plus dans une vie, Mickaël lui dit pour la rassurer :

- Mais tout ça est finis maintenant non ? Changez vous les idées.

Mickaël eut un petit sourire, lorsqu’elle lui avoua qu’elle enfermait les gens, il aurait du s’inquiéter, mais rien de tout ça ne lui faisait penser que Brooke aller tenter quelque chose. Il savait qu’il ne risquait rien, il lui dit par la suite :

- Pourquoi ne pas vous créez une personnalité que vous aimez, un mélange entre l’ancienne et la nouvelle ?

Se serait tout à fais possible, enfin un peu dur tout de même, elle avait fais quelque chose de très dure, changer. Peu de personne y arrivaient, c’était très dur, on gardé toujours quelque chose qui nous changez pas dans le fond, Mickaël reprit ses pensées, il lui dit avec un sourire :

- Vous ferez mieux d’aller à l’infirmerie maintenant, tout ça risque de s’infecter.

Il regarda son bandage remplis de sang, il se dirigea vers la porte, il lui dit avec toujours se même sourire :

- Si vous voulez continuer à parler, vous viendrez dans mon bureau. Avec un peu de chance vous m’y trouverez.

Brooke sourit, son professeur venait d'esquiver joliment la jeune Poufsouffle. Elle s'arrêta d'avancer et regarda sa main. C'est vrai que la douleur la lançait, mais elle ne comptait pas se rendre à l'infirmerie. Elle se débrouillerai autrement, il devait bien avoir quelques choses dans la pharmacie des Poufsouffles. Elle se connaissait, elle n'irait à l'infirmerie que si on l'y amenait de force, et bon courage à qui tenterai la chose.

Je prends le risque de voir cela s'infecter, mais je n'irai pas à l'infirmerie, désolé professeur!

Alors que Brooke terminait sa phrase, Mickaël s'avança vers la porte, il ne l'avait pas encore ouverte. Le jeune professeur de sortilège était entrain d'inviter Brooke à aller le voir dans son bureau si elle souhaitait discutait d'avantage, mais ce n'était pas du gout de la jeune fille. Elle retourna donc s'assoir sur le rebord de la fenêtre.

Merci pour l'invitation, mais je n'aime pas le côté officiel des bureaux. Je suis très bien ici...