Fanfic.

Beaucoup d’homme rêve du grand départ, partir loin tout oublier pour se ressourcer. Personne ne le fait vraiment même si au fond de nous, c’est une idée qui est déjà apparut un jour ou l’autre. Un jeune patron qui se prénommait Marc Beleg, où son entreprise vient de faire faillite, une entreprise qui était pourtant fleurissant, il lui rapportait des millions d’euro. Il avait un grand nombre d’employés. Tous licenciés, ce n’était pas de ça faute, c’était juste la concurrence des pays étrangers qui l’avaient remportés. Il ne lui restait plus rien, un compte bancaire blindés d’argent, mais ça ne faisait pas son bonheur. Il se retrouvait chômeurs comme tout ses employés, même si il savait qu’il avait plus de chance qu’eux. Sa vie bascula un beau jour de printemps… Il ne savait pas les ennuies qu’il courait. Il ne sait pas encore que ça va le pousser à faire un tour du monde.

J’avoue que je me suis inspiré de plusieurs film à la fois… ^^



Tout le monde à une vie comme les autres, beaucoup d’entre elles peuvent basculer du jour au lendemain, de façon très divers : professionnel, amoureuse et même amicale. Beaucoup de gens mettent du temps à trouver le bonheur. D’autre ne le cherche pas vraiment, ce que Marc lui cherchait depuis toujours au fond de lui.

Un bruit de réveil retentit, cette fois ci, il ne savait pas pourquoi il se lèverait, il était à peine six heure trente du matin, il tenait à toujours ouvrir son entreprise. Il y était attaché et même si il avait besoin d’argent, il n’oserait pas la céder. Ce jour là, il décida de partir assez loin… Il enfila une simple veste et un jeans et il sortit prendre l’air en plein Paris, l’une des capitales la plus belle du monde. Il traversa les quartiers chics, et passa par le quartier chinois. Une culture qu’il appréciait grâce à ses sports de combat, et à sa cuisine. Lui même pratiquait des sports de combat, c’était une passion qu’il avait en lui.

Il marchait tout droit, il se trouva au bord de la Seine, il s’arrêta et regarda le fleuve, pas loin il y avait la Cathédrale de Notre Dame. Il marcha vers celle ci lorsqu’il entendit des cries, ils étaient répétitifs, il se méfiait toujours, mais la curiosité l’importa sur lui comme à son habitude. Ses cris disaient :

- Lâchez moi ! Je ne veux plus faire ça ! Cette voie ci était féminine.
- T’es qu’une p*te, alors tu fais ce qu’on te dit ! Dit une voie masculine assez roque.

Marc vit soudain deux hommes, une femme qui était assise par terre et qui ne voulait pas se laisser attraper. Un des deux hommes arriva vers Marc, et il lui dit en croisant les bras et en le regardant de haut :

- Dégagez et il n’y aura aucun problème ! On fait juste notre métier.

Marc fit demi tour, il savait que ce qu’il faisait n’était pas bien, mais les cris de la jeune femme qui criaient à l’aide lui étaient insoutenables et les cris qui signalaient qu’elle se prenait des coups de poings ou des claques. Il fit demi tour pour retourner vers l’homme et il souffla un bon coup avant de dire :

- Laissa la… A cet instant ces jambes voulaient courir, mais sa tête voulait du courage. Il savait très bien qu’un des deux hommes pouvaient sortir une arme. Il continua, je ne sais pas combien il faut que je vous paye pour la laisser tranquille…

L’homme rie, se qui énerva Marc, il le regarda avec un regard sombre, il n’avait pas un seul billet sur lui… L’homme appela son collègue de « travail » sans dire un nom, il répéta les paroles de Marc et l’homme qui était en train de s’occuper de la prostituée dit :

- Tu veux acheter cette put* ? Et bien, je dis … Combien tu nous rapporte par mois dis moi ma jolie ? Il lui caressa la tête comme si c’était un vulgaire animal.
- Je sais pas… répondit celle ci à moitié en larme honteuse par elle même.
- Et bien je vous la vends dix mille euro, c’est un bon prix non ? Allez sors tes billets.

La jeune femme ne méritait sûrement pas ça, elle était plutôt mignonne, mais elle était dans un piteuse état. Marc se demanda comment elle avait pu tomber dans se genre de métier. Il fallait croire qu’ils étaient têtus. Il ne pouvait pas faire grand chose. Il dit d’une voie honnête :

- Ce n’est pas dans mes habitudes de me promener avec une somme pareil…
- Tu vois, t’aurais mieux fais de te barrer d’ici, c’est tu qui ont est vraiment ?
- Non, et je ne tiens pas à le savoir à vrai dire…
- Je pense que c’est plus raisonnable pour toi.
- Ce qui est sur c’est que vous êtes des abrutis… A peine avait il terminait sa phrase qu’il la regrettait déjà.

Un des deux hommes eu un petit sourire sadique, il plongea sa main dans sa veste et sortit un canif, Marc était inquiet même si ça pouvait être plus grave que ça. Il entendit deux nouvelles voies qui disaient :

- Stop !

Tout le monde leva la tête pour voir qui avait dit ça, et c’était forts heureusement deux hommes en uniforme de police, ils avaient tout les deux un pistolet entre les mains et les brandissaient en face des quatre personnes. L’homme au canif essaya un acte désespéré, il prit la fille par les cheveux et lui passa le couteau sous la gorge, il recula vers le fleuve en prenant la fille comme un bouclier humain. L’autre homme quand à lui n’avait rien pour se protéger, il passa une main derrière son dos et commença à sortir une arme à feu, un coup de feu retentit… Et le l’homme qui venait de saisir son révolver tomba à terre et une marre de sang se forma autour de son corps. Tendit que l’autre se contenta de jeter la femme à l’eau et il réussit à s’échapper sous les coups de feu des policiers. Il y avait beaucoup de courant et Marc, coura en longea la Seine pour essayer de rattraper la fille, il savait que c’était débile de sauter lui aussi à l’eau, ça aurait fais un bon acte de courage mais avec le courant qu’il y avait c’était la mort assuré. Il descendit des marches et réussi à rattraper la fille par le bout des doigts, et il réussit à la sortir de l’eau. Les policiers n’étaient pas encore là et la fille murmura :

- Pas eux… Elle ferma les yeux, et une goutte de larme coula le long de sa joue.

Marc comprit qu’elle parlait de la police, il la porta, et pris le premier taxi, les policiers tentèrent d’arrêter le taxi, mais il proposa une grosse offre au chauffeur. Une fois devant son appartement, il monta sans la fille pour prouver au chauffeur la dut. Il lui offrit deux cents heureux ce qui rendit le sourire au chauffeur, Marc prit la fille et la porta à l’intérieur de son appartement ou il l’allongea sur le canapé et il la couvrit, il alla dans la salle de loisir qu’il avait aménagé lui même et qui était isolé pour que personne n’entendent. Il jeta tout se qui lui passa par la main, il se rendit compte de se qu’il venait de faire…

Je préfère quand même le deuxième chapitre comparé au premier après c’est une question de goùt



Ca faisait maintenant plus de quatre heures qu’une jeune prostitué était dans l’appartement de Marc, il était fatigué et voulait qu’elle se réveil. Il avait prit le soin de faire monter le médecin de l’immeuble et il avait une grande confiance en lui, il savait qu’il fermerait les yeux sur la fille qu’il avait ausculté. Il eut un soupir, pis la jeune femme se réveilla brusquement, elle enleva la couette, Marc arriva vers elle et il lui dit :

- Calmez vous… Chut !

La jeune femme se recoucha et des larmes coulèrent à nouveaux sur ses joues, elle semblait effrayée elle dit par la suite en sanglotant:

- Ne me faite pas de mal, s’il vous plait…
- Après ce que je viens de faire pour vous…
- Vous auriez du ne rien faire.
- Et bien c’est trop tard, excusez moi d’avoir entendu vos cris d’alerte !

Il se leva et fit un rapide tour de la pièce, la jeune femme se leva Marc lui dit d’un ton assez sec :

- Vous vous reposez !
- J’ai l’habitude de ne pas dormir vous savez…
- Après ce que vous venez de subir c’est préférable estimez vous heureuse que je vous ai amené ici !
- Je peux partir si je vous dérange, dit elle d’une voie assez particulière dont c’était assez difficile de décrire le ton c’était de l’arrogance mélangé avec une certaine pointe de regret.
- Je veux d’abord je veux savoir…
- Savoir quoi ? Dit elle bêtement.
- Dans quel genre d’ennuie je suis ! Dit il sur un ton un peu plus énervé
- Et bien franchement ?
- Oui ! Dite vite avant que je m’énerve ! S’il vous plait
- Et bien assez gros je dirais, on va dire qu’il contrôle l’une des plus grosse partie du réseau… Et aussi ils ont assez de drogue c’est même effrayant des fois…
- J’aurais du ne rien faire ! Je suis con !

Par la suite de ses paroles, il partit dans la cuisine, il sortit une casserole qu’il remplit d’eau et sortit un paquet de pâte, il ne voulait pas la lâcher dans la nature comme ça. Elle le suivit et elle dit :

- Vous n’êtes pas Marc Beleg, le gars qui tient cette entreprise qui a fait faillite là, il n’y a pas longtemps… Je m’en souviens plus du nom…
- Il y a des choses qui ne se disent pas vous savez…
- Je suis navrée pour vous, enfin il doit vous restez un paquet de fric en poche non ?
- Ca ne regarde que moi !

La fille retourna dans le salon, Marc la suivit, on ne savait jamais il avait beaucoup d’objet de valeur. Il lui demanda :

- Vous avez un nom peut être ?
- Vous voulez lequel ?
- Votre vraie identité !
- Je ne la donne jamais d’habitude…
- Ce n’est pas comme d’habitude arrêtez de jouer avec mes questions !
- Je m’appelle Ally Clarison je suis originaire de …
- Juste votre nom suffit !

Il partit dans la cuisine, l’eau était bouillante, par dehors on entendit des bruits de voitures avec des coups de frein assez violent, pis la jeune femme dit :

- Des voitures de luxe, pas bon signe j’espère que vous avez une sortie de secours…
- QUOI ? Comment ils savent où j’habite ?
- Être populaire… Ce n’est pas si bon que ça… Partez vite un conseil que je vous donne.
- Je fais mes valises vite !

Dit il en courant vers sa chambre et en prenant la première valise qui lui était à porté la jeune femme coura derrière lui et lui dit d’un ton apeurée :

- NON ! Partez de suite, prenez juste de l’argent votre carte de crédit, vous croyez qu’ils vont sonner à la porte et attendre gentiment que vous ouvrez ? Il fallait bien avouer qu’elle parlait très vite.

Marc prit son porte-monnaie et pis quelque affaire, il prit la jeune femme par la main et dit :

- Vous aurez de dettes envers moi !
- Je sais payer que en nature, désolée… Dit elle sur une pointe d’ironie même si ce n’était pas vraiment le cas de rigoler.

Il couru vers la sortie, il entendit des coups de feu, il n’aimait pas vraiment la concierge, mais elle ne méritait pas ça, il prit un escabeau et il ouvrit une trappe qui menait vers les toits, il fit monter la jeune femme et il monta à son tour. Il avait une chance qu’il habitait au dernier étage. Ils arrivèrent tout les deux vers les toits, Marc dit :

- Qu’est ce qui faut que je fasse pour les arrêter ?
- Et bien tuer les tous, vous leur avez fais perdre un homme et un objet de travail comme il pourrait m’appeler … Alors l’argent n’a plus d’importance. Elle finit sa phrase essoufflée car tout deux couraient le mieux qu’ils pouvaient où bien faite vous oubliez pendant un ou deux ans.

Marc se retourna et vit les deux hommes qui les suivaient par les toits, pour l’instant ils avaient beaucoup de marge et ils ne voulaient pas tirer de suite. Il ne voulait pas répondre à Ally, il voulait garder son souffle pour courir. Ally s’arrêta net pour enlever ses talons qui l’empêchaient de courir convenablement et ils reprirent leurs courses. Ils descendirent part l’escalier de secours, sous les bruits de balle qui tintèrent sous les bruits de métal. Marc appela un taxi, un arriva assez vite, il prit un couteau et creva rapidement un pneu aux trois voitures noires stationnées devant chez lui. Il coura dans le taxi et cria :

- L’aéroport de Roissy vite !

Marc vit dans la voiture des Bob Marley un peu partout, et vit un homme au rasta qui fallait bien l’avouer un style assez bien fait Marc appréciait chaque culture, la chauffeur dit :

- Pas si vite mec … Dit il d’un ton calme.

Marc tendit un billet de deux cents euros qu’il sortit de son porte feuille et il les montra, le chauffeur eu un sourire et il dit :

- La je suis plus Boby, là je vais aller aussi vite que dans le film taxi, je sais pas si vous …
- VITE !

La voiture démarra en trombe, dans la capitale, c’était un chauffeur rapide et avec beaucoup d’expérience, il les amena à Roissy en peu de temps. Marc descendit de la voiture en direction de l’aéroport, il dit au chauffeur :

- Vous m’attendez une demie heure ! S’il vous plait je vous paierais encore plus !

Il lui donna un billet de cent euros, le chauffeur cria « j’aime bien faire des courses comme ça». Les deux personnes arrivèrent au premier guichet et Marc dit :

- Un avion pour n’importe quel pays peu importe.

L’homme au guichet consulta son ordinateur assez rapidement et il dit :

- Désolé… Il faudra patienter pendant deux heures….
- Vous n’avez pas d’autre avion ? S’il vous plait !
- Bon… Faut que je regarde ça va prendre du temps…

Marc tendit un billet de cinquante euros et la personne qui était devant son ordinateur alla soudainement plus vite. Il dit par la suite :

- Orly, en direction de Berlin, dans 30 min…

Marc et Ally partirent en courant et ils rentrèrent dans le taxi qui avait attendu. Marc dit :

- Orly ! Vite !

Le chauffeur démarra aussi vite que la dernière fois, les deux personnes guettèrent au cas où des voitures suspicieuses les suivraient. Ally ajouta :

- Qui vous dit que je veux vous suivre en fait ?
- Qui vous dit que je vais vous prendre ? Dit il d’un ton énervé…
- Je ne sais pas… Vous laissez déjà un cadavre derrière vous…
- Mais bien sur que je vous prends, merde, je vous lâche à Berlin… Vos continuerez votre travail !
- Heureusement que vous m’avez sauvé la vie, sinon je vous aurez collé une belle pare de baffe…

Une fois arrivait à Orly, Marc donna une belle prime au chauffeur en le remerciant pleinement. Ils prirent les deux derniers billets en première classe, ils eurent beaucoup de chance… Ils montèrent dans l’avion à temps. Aucun homme ne les suivit, fort heureusement.

Moi j'adore! C'est vraiment super bien écrit!
Je veux la suite Mickey! & vite!

Ps: J'aime pas leurs prénoms XD

Roo <3 merci vous deux =)
Pour les prénoms Megan >< j'en ai chié << alors après premier truc qui me passait sous la main jlai mit pask je réfléchissait depuis longtemps déjà xD



Marc souffla, il était très nerveux, il mettait ses mains entre sa tête… Pourquoi avait il fais ça, en une journée il avait risqué sa vie. Pourquoi ça lui arrivait à lui, il sentit une main douce sur sa cuisse, celle ci remontait en direction de ses parties, Marc fit les gros yeux et il dit à Ally :

- Vous faites quoi là ?
- Je sais détendre vous savez, il y a une cabine là bas…
- Non, mais vous êtes barjot, au cas où vous l’auriez remarqué, je ne suis pas un client, je suis peut être une proie pour vous comme je suis bourré de fric… Mais non…
- Dommage.

Marc regarda la jeune fille, elle était mignonne, il la trouvée tout à son goût, mais il était vraiment dégoûté. Elle avait les yeux verts, elle était mi brune mi blonde, une couleur qui allait à peu de personne. Il était d’une taille assez grande… Et Marc n’aurait jamais cru que c’était une prostituée. Il savait qu’elle était gênait, remarque, elle n’avait plus de chaussure, elle avait des collants qui étaient émaillées, une mini jupe vraiment très courte, et elle avait un long décolleté ainsi qu’une veste en cuire rose délavé. Elle enleva d’ailleurs sa veste pour la cacher, beaucoup de personne la regardait vraiment bizarrement. Une des hôtesses passa pour demander si ils voulaient quelque chose Marc dit :

- Des vêtements c’est possible ? Et aussi un petit remontant s’il vous plait…
- Bien sur…

Ally suivit l’hôtesse qui semblait être sympathique, les gens fixaient encore Marc qui lui faisait semblant de ne rien voir. Une hôtesse arriva avec un verre de cognac, Marc bu une gorgée pour le goûter et bu le reste cul sec. Il y avait divers hommes d’affaires, souvent avec des ordinateurs portables, d’autre parlait entre eux. Certain le regardaient d’un air connaisseur. Enfin il y avait un peu de tout. Une demie heure plus tard, une femme s’assit à côté de lui, il ne la reconnue pas de suite, il la regarda avec des yeux rond et elle fit un léger :

- Tadam ! Légèrement gênée ou timide.
- Effectivement c’est bien mieux comme ça…

Elle avait un pantalon noir, une chemise blanche ainsi qu’une veste noir, elle avait des talons mais pas les même qu’elle avait lancée sur le toit de l’immeuble. Enfin elle était très classe. Elle avait refais son maquillage et c’était coiffé convenablement, Marc dit :

- Vous avez payé comment ?
- J’avais quelques billets… Ils n’ont pas pensé à regarder dans ma petite …
- J’ai compris… Vous avez tout payé ?
- Bien sur que non ! Le reste je l’ai mis à votre compte…
- Il y en avait pour combien ?
- J’ai payé deux cents euro, et vous, vous en paierez six cent, dit elle en rougissant.
- QUOI ?
- Je vais rechercher mes anciennes affaires si vous voulez…
- Reste comme ça c’est préférable.

La jeune femme ne dis plus un mot pendant quelque instant, puis elle dit :

- C’est bien, t’as réussi à me tutoyer…
- C’était inconscient…
- Si on doit se supporter encore plusieurs heures, c’est préférable qu’on se tutoie…
- Tu as peut être raison… Affirma-t-il.

Ils parlèrent jusqu’à la fin du trajet. Marc apprit qu’elle était originaire d’Espagne, elle avait postulée pour un job de danseuse, enfin le truc habituel qui trompait beaucoup de fille. Et pis elle apprit plus sur Marc, qui avait été marié, mais lorsqu’il avait trouvé son ex femme avec un autre homme… Ca avait été dérangeant… Ils racontèrent ensuite des histoires de quand ils étaient gosse… Pis le sujet retomba sur ce qu’il c’était passé il y avait peu de ça, Marc lui dit :

- Je ne vais pas m’en sortir si ?
- Mais si, fait toi oublier 1 ans… Au pire, tu crois que tu pourras le faire ?
- Je sais pas, c’est dur tu sais, je paris que je n’ai plus d’appartement… Si ? dit il avec un brin d’espoir…
- Si mais fais venir les démineurs avant même d’ouvrir ta porte, ils aiment bien ne pas attirer l’attention et puis faire leur boulot convenablement. Pour le moment ils doivent chercher dans Paris, après se sera les gares, et après…
- Les aéroports, continua Marc.

Ils ne parlèrent plus jusqu’à la fin du trajet. Une fois les pieds à terre à Berlin, un homme prit un téléphone et dit :

- Ils sont à Berlin…
- Ne les perds pas de vue, quelque soit le prix, je tiens à ce que mes mains puissent goûter au sang de cet homme et de cette pute. Dit la voie au téléphone avant de raccrocher.

Marc retira de l’argent qu’il donna à Ally, elle lui dit d’un ton assez triste :

- Alors c’est fini ? T’es sur que tu veux pas une compensation ?
- Non, non et non, ne me propose plus ça…

Elle lui donna un petit baiser sur la bouche suivit d’un petit « merci ». Elle commença à quitter l’aéroport. Marc coura après et il lui dit :

- Un tour du monde ?
- Et bien bon tour alors… Amuse toi bien…
- Je veux pas le faire tout seul.

Un sourire s’afficha sur les lèvres de la jeune fille, et elle dit :

- Je ne peux pas accepter, tu comprends non ?
- Non, c’est une obligation…

Elle dit en chuchotent presque :

- Merci…
- Jamais plus de baiser comme tu viens de le faire, en tout cas pas pour le moment…

J'aime mois ce chapitre =X




- Visiter la capitale ? Ca me plait bien.
- Si je dois m’absenter, autant que j’y prenne plaisir.

La jeune fille sauta de joie rien qu’à l’idée de se qu’elle allait vivre, d’une vie de chien, elle allait passer à un rêve que tout le monde voulait conquérir. Personne ne niera qu’il refusera un tour du monde gratuit… Du moins pour la jeune femme. Marc retint Ally et lui dit :

- Reste tranquille… Je ne tiens pas à ce que les regards se posent sur nous. Je ne cours aucun risque ici hein ?
- Logiquement…
- Donc mettons nous sur nos gardes.
- Dans l’avion tu m’as dit que tu pratiquais des sports de combat… C’est bon je suis en sécurité.
- Je ne …

Il n’avait même pas terminé cette phrase qu’elle entra dans une boutique d’une marque assez chic. Marc imagina de suite le pire ; il baissa la tête et suivit l’ex prostituée, à cet instant on pouvait le dire. Lorsqu’elle regarda beaucoup de robe au prix légèrement salé, Marc lui dit à voie basse :

- Je ne suis qu’un bourgeois qui a deux millions sur son compte et qui ne touchera plus d’argent avant longtemps… Alors à mon retour en France j’aimerais avoir de l’argent…
- S’il te plait… Dit elle en faisant les yeux doux.
- Je peux faire le trajet seul…
- T’as pas drôle, faut oser des fois, mais c’est pas grave.
- Et bien vas y ose mais avec tes économie ! dit il avec un grand sourire sadique.

Entre les deux personne régnaient déjà une bonne ambiance, il fallait dire que Ally facilité les choses. Quelques instants plus tard, une jeune femme arriva, elle leur parla allemand et quelque chose coupa le souffle à Marc, ça coéquipière parlait extrêmement bien l’Allemand comme si c’était sa langue maternelle. Cette femme là devait cacher beaucoup de chose. Peut être une femme qui devait être d’une intelligence assez développée mais qui le cachait. Marc ne dit rien de plus comme si il comprenait chaque parole qu’elle disait. Ils marchèrent dans la ville, passant devant la porte de Brandebourg, marcha sur une grande place. Chaque pays à ses cultures différentes. Et Marc n’aimait pas trop la bière, c’était dommage lorsqu’ils commandèrent une choucroute. Marc dit par la suite :

- On dormira ici ce soir, un avion pars pour la Pologne demain.
- On ne reste pas plus longtemps ?
- Non, un tour du monde sera très long.
- En avion… Pourquoi ne pas le faire à pied ?
- Tu rigoles j’espère ?
- Alors au moins en train pour voir le paysage… On va dire que notre départ de Paris était pour une rapidité extrême et …
- C’est bon, en train j’ai compris.

Ils trouvèrent une auberge dans Berlin, Ally avait suppliait Marc de faire la fête dans le restaurant qui se situait en bas. Marc s’endormit pour se réveiller à deux heures du matin. Ally avait sûrement bu, comme elle régurgitait dans les W.C. Marc arriva et dit :

- Le calme et le respect des gens tu connais ?
- Ils offraient des tournées…

Marc leva les yeux au ciel, cette fille le surprenait beaucoup. Enfin quoi qu’il en soit, Marc avait des projets en tête, il voudrait visiter tout les pays du monde, mais il savait que c’était infaisable. A sept heure du matin, il se réveilla, il vu Ally à coté de lui dans le lit… Il n’avait rien fais avec, lui il pouvait en être certain. Cette fille semblait envahissante, mais ce n’était pas grave, il enfila une veste et alla dans une boulangerie. Il alla prendre des croissants, qu’il eu du mal à trouver d’ailleurs et passa par la gare. Heureusement que le service savait parler anglais et que lui aussi. Il prit deux billets de train en direction de la Pologne direction Varsovie. Les capitales à visiter c’étaient le plus important. En rentrant en direction de l’hôtel, il remarqua qu’un homme assez louche le suivait, ce qui c’était passé la veille le rendait sûrement peut être un peu paranoïaque… Lorsque Ally se réveilla au alentour de onze heures, elle prit un croissant et commença à ouvrir la porte, Marc la questionna :

- Où tu vas ? Tu sais, on n’est pas ensemble, mais me prévenir serait comme même sympa…
- Je veux goûter un petit déjeuner Allemand, je sais ce que sait, mais jamais goûter… Dit elle la bouche pleine.

Elle n’avait pas peur du danger, et même si elle paraissait vulgaire et assez déplaisante, elle avait son charme… Il devait se trouver des vêtements de change tout de même, il sortit à son tour avant de laisser un mot sur la table.

Il se trouva en plein Berlin, il fit plusieurs magasins pour femme et pour homme. Il avait trouvé plusieurs vêtements de qualité qui lui avaient coûté une vraie fortune. Il faisait une chaleur étouffante dans la capitale, il passa dans un parc, qui était apparemment très connu, mais il ne connaissait pas avant, c’était le parc de Tiergarten. Il rentra dans la chambre d’hôtel et il dit enthousiaste :

- Je suis revenu… J’ai quelque chose pour toi !
- COMMENT OSES TU ?
- Quoi ? dit Marc d’un ton désabusé…
- Faire du shopping sans moi, ce n’est pas possible…
- Je voulais te faire plaisir…
- Si t’as pris une taille au dessus de se que je fais, je sens que c’est pas les autres bouffons qui vont te tuer mais moi !
- C’est très distinguer pour une fille de dire ça…

Ally regarda les emplettes faites par Marc, elle lui sauta au coup lorsqu’elle vit la robe qu’elle voulait et surtout à sa juste taille. Elle lui demanda :

- T’as osé regarder mon pantalon pour ma taille ?
- Non tu as presque les même hanches que…
- Rien à faire c’est très bien comme ça.

Elle savait couper la parole aux bons moments cette femme. Il sourit et il lui dit :

- Le train est à dix neufs heures… On peut visiter un château si tu veux…
- Non c’est barbant… Je veux je sais pas quoi…
- Donc on va visiter un château.

Elle enfila la robe et demanda à Marc de refermer la fermeture, il remarqua par ailleurs un lézard, celui ci grimpé en direction des épaules, bien sur il devait faire une dizaine de centimètre pas plus, c’était un très beau tatouage, discret et bien fait.

Une fois arrivait devant le château de Charlottenburg les deux compagnons entrèrent. Ils prirent une simple visite, c’était Ally qui avait parlé et Marc qui lui voulait une visite guidé avec des explications… Ne jamais faire confiance à une femme . Ils allèrent dans le parc, cette fois ci tout le monde regardait Ally avec élégance, elle prit des flatteries avec plaisir, contrairement à l’avion, on en voyait plus qu’elle. C’était peut être mieux comme ça. Une fois le château quitté, ils allèrent à la gare et montèrent dans le train en direction de Varsovie. Cette fois ci ils avaient deux bagages, c’était amplement suffisant.

Toujours le même homme, qui prit son téléphone et toujours cette même voie au bout :

- Varsovie arrivait là bas à dix huit heure cinquante.
- Des hommes sont dans le train à l’heure qu’il est.

Il était vingt trois heures, un grand silence régnait dans le train, les deux passagers dormaient profondément. Lorsque la porte s’ouvrit brusquement. Ils se réveillèrent tout les deux, et trois hommes apparurent dans le wagon. Marc dit :

- Vous vous êtes sûrement trompés non ?
- Non ! Dirent ils en cœur.
- A merde ! C’est eux… Dit Ally effrayait

Marc se leva brusquement, un des hommes tenta de lui mettre un coup de poing, qui aurait pu le mettre au tapis, il réussit à l’esquivé en se baissant, et en remontant il le frappa un grand coup dans le foie. L’homme tomba à terre, un endroit qui était fatale, mais Marc savait qu’il allait se relever bientôt. Les deux hommes arrivèrent sur Marc, lui donnant plusieurs coups de poings, il se débattait du mieux qu’il pouvait, un coup de talon parti dans l’une des rotules d’un des deux hommes. Celle ci se cassa et il laissa échapper un long crie. Ce qui avait du sûrement réveiller des passagers à bord du train. Marc et le dernier homme se retrouvèrent à terre, l’homme se retrouva dans une position dominante et étrangla Marc et le frappa au sol. Ally se leva, prit une valise et frappa avec le coin de celle ci sur le crâne de l’homme. Il fut assommé sur le coup. Elle eut un sourire et dit :

- Je suis désolée. Elle s’assit et mis sa main sur le front.
- On les ligote avant que les cris lancent des soupçons.

Marc et Ally prirent des morceaux de ficelle des rideaux et découpèrent des morceaux, ils leur bouchèrent la bouche et leur lièrent les mains et pieds. Quelques minutes après, le wagon s’ouvrit et le chauffeur du train dit :

- Des passagers dormaient… Et des cris les ont réveillé.

Marc fit semblant de dormir, il avait certaine partie du visage rouge, l’arcade saignait assez abondamment, mais c’était plus de peur que de mal. Ally se leva et alla vers la porte et elle dit :

- Désolée, j’ai mordu un peu trop fort. Dit elle en se mordant la lèvre inférieure.

Une fois les paroles finit, elle ferma la porte, sans attendre une réaction du chaffeur du train, elle sorti un morceau de coton pour enelver du sang sur le visage de son compagnon de voyage. Du coton qu’elle avait osé piquer à l’hôtel. Marc dit d’un air assez choqué :

- Tu as encore un peu de pudeur toi ?
- Je ne sais pas… Au pire lui on le reverra plus du tout…

Les hommes quand à eux étaient sous les sièges bien à l’abri des regards indiscrets tous évanouis. Mais ils allaient sûrement se réveiller à la fin du trajet ou peut être même avant. Avant de se rendormir du moins il essaya Marc dit :

- Referme ta chemise maintenant que le chauffeur est partit… Veux tu ? Il faudra s’armer… Poursuivit il

Marc ne pouvait pas fermé les yeux, il passa à tout ce qu’il pouvait lui arriver à présent. Il voulait rester éveillé et après ce qui venait de lui arriver qui voudrait dormir ? Il avait des maux de ventre de peur… Il sentit soudain une main passée à sa nuque, et la voie d’Ally dit :

- Il faut dormir…

Elle appuya à un endroit dans la nuque de Marc et celui ci s’endormit immédiatement…

JE LOVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVE!
C'est trop bien!!! Continue!

Chapitre V : Une traque à l’homme commence.

Un homme au visage fermé, assis dans un large fauteuil et dans un coin sombre, finit par dire :

- Des nouvelles ?
- Non… Dit un homme baissant la tête.

Un coup de feu retentit, un homme tomba à terre et ceux d’à coté eux avaient quelques éclaboussures de sang sur le visage et leur vêtement. L’homme poursuivit :

- Chaque fois que je serais déçu… Vous aurez le même sort. Sortez ! Vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Trois hommes partirent. L’un des deux dit :

- On les retrouve vite, on prend de l’avance, on va les attendre en Russie. Si on suit leur chemin, ils passeront par là, on aurait sûrement la confirmation dans quelques jours.

Pendant ce temps là, Marc et Ally arrivèrent à Varsovie, une ville plutôt sympathique, il faisait là aussi très chaud. Marc en profita pour enlever sa veste et déboutonner un peu sa chemise. Il se souvenait très bien ce qu’il c’était passé dans le train, et trois hommes devaient être en train de se débattre pour défaire leurs liens. Un cri aigu retentit alors dans le train, une bonne femme d’un âge assez vieux dit :

- Oh mon dieu ! Il y a des hommes ligotaient ! Ils sont morts vite de l’aide …

Les cris de la jeune femme continuèrent, bien sur ils n’étaient pas morts, mais Marc et Ally eux étaient partis en courant le plus vite possible. Il savait qu’ils auraient eux des ennuies et ils espéraient qu’ils n’en auraient pas avec la justice. Ils arrivèrent en plein cœur de la ville, celle ci était plutôt bien. Le jour allé bientôt se coucher, ils fallaient qu’ils trouvent un endroit pour dormir. Varsovie était une ville aux couleurs très joyeuse malgré ce qu’il se soit passé ici pendant la seconde guerre mondiale. Les gens semblaient ouverts et sympathique. Ally vit une affiche et dit :

- Tiens… Une soirée française. Il y a que certaine personne qui sont acceptées, on y va ?
- On y fait juste un tour, pour voir à quoi ça ressemble.

Marc et Ally trouvèrent un hôtel assez luxueux, après ce qu’ils venaient de vivre du confort ne serait pas de refus. Les deux personnes se mirent sur leur trente pour paraître les plus classes de la soirée. Ally dit par la suite :

- Je mit fais bien au métier de bourge…
- Arrête ! Dit Marc d’un ton assez agacé.
- C’est bon, je te taquine. Dit elle avec un petit sourire.
- Alors on ne reste pas longtemps…
- Je suis qui pour toi ?
- Et bien une amie… [i]Dit il gêné.
[i]- Non pour la soirée je voulais dire… Contente de l’apprendre.
- Et bien ma fiancée. Ca paraîtra moins suspect. Tu ne touches à aucun verre d’alcool.
- Compris.
Vingt et une heure, les deux faux fiancés arrivèrent devant un bâtiment impressionnant, au couleur rouge assez foncé et un toit bleu turquoise. Ils rentrèrent tout les deux devant lorsque Marc avait décliné son identité, il fut accepter avec plaisir. Ally dit par la suite :

- Pourquoi faire une soirée ici ?
- Regarde la décoration et tu comprendras…


Les plafonds étaient blancs, avec accroché des lustre somptueux, ils devaient être d’une valeur inestimable, les lumières faisaient des réverbération qui projeter tout sur le sol. Ca donné un drôle d’effet mais agréable à la vu. Les murs tant qu’à eux étaient recouvert d’une toile rouge et des tableaux étaient fixé dessus. Des tableaux de toute les sorte. Des serveurs passaient avec des plateaux, avec des verres de champagnes mirent en pyramide, une secousse un peu trop forte et tous les verres tombaient. Ally prit une coupelle et Marc lui dit :

- Tu oublies vite les consignes…
- Juste un.

Marc cherchait des hommes qu’il aurait pu reconnaître, il ne vit personne. Il y avait des hommes très connus dans la salle, mais à vrai dire Marc ne les connaissait pas. Marc vit l’homme qui l’avait suivit à Berlin, celui ci disparut une fois qu’un serveur passa devant lui. Marc devenait fou, il commença à s’avancer vers l’endroit où il l’avait vu et il vu qu’un homme sortait par la sortie de secours, Ally le suivit d’assez loin. Marc quand à lui commença à courir, bousculant involontairement un serveur qui renversa tout les verres sur un chef d’entreprise très connu, celui ci lança des jurons envers le serveur et Marc, mais peut importé. Marc sortit à son tour par la porte de secours et vit l’homme qui entamait une course à pied. Courant à tout allure Marc suivit l’homme, celui ci se dirigea vers une ruelle sombre. Marc entra à son tour dans la ruelle. Il avait rattrapé une belle marge, c’était un cul de sac, aucune porte… Il ne pouvait pas être bien loin, Marc se retourna et vit un homme qui tenait un vieux tuyau de canalisation, il tenta de frapper Marc à plusieurs reprises, celui ci prit un couvercle de poubelle pour s’en servir comme bouclier. Marc tomba sous un violent coup de barre de fer qu’il avait prit heureusement sur son « bouclier ». Il vit une bouteille par terre, il l’attrapa discrètement, l’homme lâcha la barre de fer, et il s’approcha de Marc, il saisit la bouteille, la brisa sur le sol et la planta dans la gorge de l’homme. Celui ci se mit les mains sur la gorge sachant que c’était finis, le temps d’appeler les secours… Il plongea sa main dans sa veste et il sortit une arme d’un assez gros calibre. Il lâcha l’arme, cracha du sang, et il tomba à terre, Marc souffla un bon coup… Il regarda dans sa veste, il trouva un portefeuille, et un téléphone portable. Celui ci était éteint, Marc regarda dans le porte feuille il n’avait pas de carte d’identité... Rien. Marc ramassa l’arme ça pourrait lui servir, il desserra son nœud papillon, il entendit des voies crier son nom, il sorti de la ruelle et Ally couru vers lui. Elle lui sauta au coup, en larme première fois qu’il la voyait dans cet état… Marc dit :

- J’ai tué quelqu’un…

Rentré à l’hôtel, Marc prit une douche, il y resta presque deux heures à l’intérieur, une fois sortie, Ally le guida dans le lit, avoir tué une personne même en étant en ligitime défense avait tué Marc. Elle s’agenouilla au lit ou Marc était couché. Elle passa sa main sur le torse du jeune homme et lui dit :

- Tu as fais se qu’il fallait faire…

Elle lui déposa un baisé sur le front et elle partie à son tour se doucher. Pendant ce temps retour à Paris, un deuxième coup de feu retentit suite au appel donné au mouchard qui ne répondais pas…

Merci a vous deux <3



Marc se réveilla, comment avait il pu dormir ? Il retrouva encore une fois Ally dans le même lit, mais ça n’avait pas d’importance, celle ci se réveilla en même temps que lui, elle posa sa main sur sa joue et se redressa pour regarder l’homme qui était à côté d’elle, elle demanda vraiment intriguée :

- Comment tu savais que c’était un des hommes qui nous poursuivais ?
- Je l’avais déjà aperçu à Berlin, et une fois qu’il a prit fuite j’ai compris.

Elle se lav par la suite ordonnant à Marc de rester encore un peu au lit, il ne refusa pas deux fois. Il attendit patiemment et Ally elle commanda un petit déjeuner que quelqu’un allait monter dans la chambre. Dix minutes plus tard, quelqu’un frappa à la porte, Marc eu se réflexe de prendre en main l’arme de l’homme qui devait encore être dans une marre de sang à l’heure qu’il est dans une ruelle sombre. Maintenant il devait faire confiance qu’en une seule personne : Ally. Même si l’idée le dérangeait encore un peu ne sachant pas vraiment pourquoi. Ally entra avec un plateau en main, celui ci était composé de croissant, de divers boissons (jus d’orange, café et chocolat chaud). Ally se servit sur le lit, Marc regarda son portefeuille qui était encore sur la table de chevet, il demanda à Ally :

- Tu as fais quoi pour payer ?
- Non, j’ai appris à me servir dans les poches des clients, quand les clients ont une tête à ne pas payer beaucoup, tu te sers…
- Tu as appris ça toi ?
- T’es encore loin de tes surprises…
- Et t’as réussi à dégoûter combien ? Dit Marc d’un ton assez gêné.
- Autour de six cents euros… Dit elle avec un petit sourire aux lèvres…

Marc fit les gros yeux et replongea un morceau de croissant dans son chocolat chaud. Ca dépannerait déjà quelques frais pour le voyage qui allait venir. Ne pensant à rien d’autre et surtout essayant d’oublier ce qui venait de se passé la veille. Il regarda Ally manger et une fois le déjeuné finis, il ne fut pas au bout de ses surprises, Ally déposa le plateau sur le sol. Il s’approcha de Marc et lui dit :

- Oublie tout… J’ai pris un avion en direction de Moscou, l’avion est préférable maintenant, il part demain à neuf heures, j’ai pris le plus rapide…
- Bonne initiative !

Il s’approcha de lui encore un peu plus et elle déposa un léger baiser sur les lèvres de Marc, il dit par la suite :

- Je ne crois pas que se soit …

Elle ne laissa même pas le temps de finir qu’elle fut monter sur lui pour l’embrasser encore plus fougueusement, elle murmura :

[- Il faut se détendre des fois…
Marc repoussa Ally délicatement et il dit :

- Je suis désolé…

Il sortit de la chambre et se rhabilla, il mit dans sa valise le pistolet et il la cacha dans des vêtements, Ally dit assez fermement :

- Tu crois vraiment qu’ils ne vont rien voir ?
- Tout s’achètent…
- Bien sur, un homme est mort dans une ruelle, ils en ont retrouvés trois dans un train… Tu crois que ça ne va pas être surveillé ? Tu t met le doigt dans l’œil…

Marc sortit l’arme et la mit à la poubelle ne voulant rien ajouter de plus, sinon ils savaient que la situation allée s’empirer. Ils passèrent la journée dans l’hôtel, sortant quelques minutes pour prendre l’air dans la ville de Varsovie. Ils dînèrent ensemble dans un restaurant assez luxueux, et le soir venu, Marc alla dans la chambre. Ally elle resta dans le salon sur le canapé. Tout deux ne fermèrent pas les yeux, Marc regrettant d’avoir repoussé Ally lorsqu’elle avait tenté de le détendre. Et Ally, elle regrettait d’avoir essayé quelque chose. Marc se leva et il ouvrit la porte, il vit Ally se recoucher, ne savant pas vraiment ce qu’elle avait fait, il prit un verre d’eau qu’il bu assez rapidement. Il murmura avant de retourner dans la chambre :

- Ne soit pas stupide, viens !

Ally arriva quelques minutes plus tard, elle se coucha près de Marc. Celui ci embrassa à nouveau Ally, avant de se retourner et d’éteindre la lumière. Il sentit les mains de la jeune femme passer autour de son corps pour le saisir, il lui déposa un baisé dans la nuque et parvint à s’endormir assez vite.

Le lendemain, à huit heures, ils furent déjà à l’aéroport. Ils commencèrent à passer dans l’endroit qui servait aux passagers de passer. Ils virent de agents de police, avec à leur coté … Les trois hommes du train. Marc fit signe à Ally, elle avait déjà repéraient ces hommes. Marc dit :

- On ne passera jamais…
- Si attends moi là j’ai une idée !

Marc entendit quelques instants plus tard un coup de feu suivit d’hurlements de panique, les deux policiers fondèrent vers l’endroit ainsi que beaucoup d’agents de sécurité. Ally revint en courant et pris la main de Marc pour passer… Les deux agents assez étourdit regardaient se qu’il se passait là bas… Les trois hommes tant qu’à eux les virent, mais ils étaient mis dans une pièce vitrée, le temps qu’ils sortent, Ally et Marc avaient pu passer et les agents de sécurité refusèrent de laisser passer les trois hommes. Marc dit :

- On a de la chance… Beaucoup même.
- Te plains pas ! dit Ally essoufflé.

YOUPI! LA SUITE LA SUITE!
C'est trop trop super!

La fin un peu finis à la va vite =P je la modifierais peut être demain ^^ la jsuis crevé xD

Chapitre VII : Des surprises inattendues.

Le vol se passa à merveille, les deux compagnons c’était endormi assez facilement. Ils étaient tout les deux épuisés, c’était vraiment bizarre à avouer, mais faire un tour du monde c’était très…Fatiguant ils en avaient eu pour plusieurs heures d’avion. Ils étaient arrivés tard dans la soirée, à vrai dire il était presque une heure du matin. Ils avaient eux aussi du mal à trouver un hôtel. Au bout de trente minutes de marche, ils ne virent qu’un hôtel d’ouvert… Un hôtel somptueux, et Marc pensa de suite que son portefeuille allait en prendre un coup. Ally fut assez enthousiaste, l’accueil se fut très classe, ce qui encourageait déjà Marc à prendre une bonne chambre. Une fois arrivé au guichet assez épuisés, l’homme qui tenait un cahier des réservations dit en russe « complet » bien sur Marc et Ally devait faire une tête assez impressionnant, Marc dit en anglais :

- Je ne comprends pas le Russe…
- C’est complet ! dit l’homme avec un vieille accent anglais.
- Plus aucune chambre ? dit Marc avec insistance.

L’homme examina un peu plus Marc, un grand sourire s’élargit sur son visage. L’homme dit en anglais :

- Votre identité s’il vous plait !
- Marc Beleg et …
- AHH mais il reste une chambre venez, venez !


Marc ne comprit pas sur le coup… Il restait bouche bée, mais il continua de suivre l’homme… Il dit en marchant d’un pas rapide fier de lui :

- Il nous reste une chambre présidentielle ou pour les invités de marque, et vous en faite partie !

A vrai dire Marc se trouvait bon en anglais, mais malgré l’accent pourri de l’homme, il parlait bien… Et marque avait compris chambre présidentielle… Une fois arrivait au quatrième étage, une petite pièce apparut en face des quatre hommes, en vérité un homme portait les bagages. L’homme entra un code et la porte s’ouvrit il dit :

- Le code est le zéro ; deux ; deux ; sept ; neuf ; deux !
- Vous me le répéterez s’il…
- Bien sur !

Malgré que l’homme couper la parole en pensant bien faire, Marc le trouva drôle. Une fois le tour de l’appartement fait, l’homme dit :

- Alors ça vous convient ? Les paiements se font quand vous voulez, vous aurez bien sur une remise, je contacterais Monsieur Anderson de votre arrivé. Pendant ce temps profitez bien de ce séjour en compagnie de votre charmante femme… Dit il en haussant deux fois les sourcils avec un regard et un sourire pervers…
- C’est gentil… Vous me répétez le code s’il…
- Oui, zéro… deux… deux… sept… neuf… deux.

Marc l’avait pris en note sur un bout de papier et les deux hommes partirent après avoir eu leur pourboire… Ils étaient aussi heureux. Mais Marc et Ally arrêtèrent d’essayer de déchiffre complètement les phrases, puisqu’ils parlaient en Russes à présent. Ils étaient aussi heureux que les personnes qui allaient couchés dedans. Ally dit :

- Et bien … Monsieur Beleg est vénéré par les Russes ?
- A vrai dire, j’avais oublié, du moins je pensais qu’on m’avait oublié… J’ai réussi à entretenir des liens commerciaux très soutenus Et pis une de leur usine à réussi à ouvrir leur porte en France en parti grâce à moi… Pour une fois qu’une entreprise veut venir en France… Je n’allais pas refuser.
- Waouh… Dit Ally d’un air vraiment impressionnée.

Marc se coucha immédiatement, le vol avait été épuisant tendit qu’Ally elle, profitée d’une jacuzzi. Elle s’endormit dedans, pour se réveiller vers le milieu de la nuit. Ce n’était pas vraiment le genre d’endroit pour dormir malgré qu’on y soit vraiment à son aise. Le lendemain, une petit déjeuné avait été posé sur un plateau en face de leur lit… Marc hallucina, soit ils étaient vraiment discrets, soit il avait eu le sommeil vraiment lourd. Quoi qu’il en soit Marc prit un peu plus le temps de regarder l’appartement, les murs étaient légèrement dorés, il y avait des tableaux avec des cadres en or… Marc se demanda si c’était de l’or massif, même si ça l’aurait vraiment étonné. Les meubles étaient d’une brillance remarquable… Enfin la grande classe. Le petit déjeuné finis, les deux jeunes compagnons décidèrent d’aller sortir un peu. Une fois arriver dans le grand hall, un homme couru après eux, Marc reconnu vite Mr Anderson… Première fois qu’un homme d’affaire courait après lui … Mr Anderson parlait très bien français ce qui facilité la tâche il dit à Marc :

- Bienvenu à Moscou ! Je ne croyais jamais vous voir ici ! Quelle belle surprise, permettais moi de vous faire visiter la ville, en privé bien sur. Je suis vraiment navré pour votre entreprise…
- Et bien ce serait avec plaisir ! Dit Marc souriant il dit à Ally en chuchotant, te la joue classe…
- Je faisais du théâtre avant, dit elle avec un grand sourire.

Une visite guidée avec un homme d’une grande importance pour la capitale n’était pas à refuser. Ils passèrent tout d’abord devant le merveilleux musée de Tretiakov, un musée ou un homme avait fais don de sa collection. Depuis le temps, il y avait d’autre œuvre qui avait été installé. C’était très beau à voir, Mr Anderson avait insisté pour qu’ils visitent, mais Marc n’avait pas vraiment le temps. Pendant que leurs destinations étaient pour le théâtre de Blochoï, Marc dit :

- J’aimerais que ma visite reste discrète à vrai dire… J’ai quelques ennuis.
- Ah bon ? Je voulais faire une grande fête pour vous, dit il en éclatant de rire, si j’ai tout ses bijoux, cette limousine, l’un des appartements les plus grand de Russie c’est grâce à vous… Quel genre de problème avait vous ?
- C’est assez personnel…
- Vous êtes en sécurité… Ne vous inquiétez pas. Cette ville est presque la mienne maintenant on retrouve une fourmi dans la ville en une heure si on veux. JE suis très ami avec la police vous savez…
- C’est très rassurant mais…
- Pas de mais avec moi, vous viendrez à cette fête.

Marc n’eut pas vraiment le temps de répondre, car ils étaient arrivés devant le théâtre. Marc n’écouta pas trop les explications, en allant à cette fête, il attirerait les ennuis. Mr Anderson, Marc et Ally allèrent dans le parc, suivit de loin par des hommes armaient, bien sur ils restaient discrets. Mais pendant ce temps, dans un tour situé à quelque mettre de ça, un sniper avec des tranquillisants, dont le canon était pointé sur nos deux compagnons, l’homme qui tenait l’arme dit :

- Il est intouchable… Ramène la voiture on ne pourra pas le prendre !
- NON ! Tu te prendras la balle qui est dans le canon du boss dans ce cas ! L’homme qui venait de parler se saisit de l’arme et il regarda… Il baissa l’arme avant de dire, MERDE ! Il donna un violent coup de poing dans le mur.

Retour au parc, les trois personnes discutaient sans s’arrêter, midi sonna, Mr Anderson avait un repas très important, il avait supplié Marc de venir à cette fête. Et il avait accepté avec beaucoup de remord. Ils rentrèrent à l’hôtel en limousine, dans leur chambre des tenues étaient déposées soigneusement sur leur lit. Une robe très belle d’une marque très chère était pour Ally, et pour Marc, un costume très élégant et très cher aussi. La fête avait lieu dans l’hôtel même. Une fois le repas finit, ils partirent tout les deux dans Moscou, sans trop s’éloigner de l’hôtel. Le soir approchait, les deux amis étaient très stressés. Une fois arrivé en bas, ils virent qu’il y avait beaucoup de monde… Le même homme qui tenait le guichet arriva vers eux et dit toujours en anglais :

- Bienvenu, amusez vous bien… Vous êtes très élégante Madame Beleg !
- En vérité je ne suis ni sa femme ni sa fiancée ! dit elle avec un sourire amusé.

L’homme resta bouche bée. Il se remit à sa place. La soirée suivit son cours, il ne se passait rien de bien intéressant à vrai dire, Ally était parti faire un tour et elle ne pu s’empêcher de piquer un peu de monnaie… Elle avait soif et elle n’avait pas de monnaie Russe sur elle. Elle prit deux verres de vodka, elle voulait faire une petite blague à Marc. Il s’approcha de lui et elle dit :

- Pas de monnaie, j’ai pris deux verres d’eau au guichet là bas… Je te trouvais assez tendu… Bois vite ça va te détendre.
- Mais des hommes passent… Enfin bref c’est gentil.

Il amena vite le verre à sa bouche et voulu le boire cul sec, il n’avait même pas prit la peine de se méfier de ce qu’il y avait dans le verre. Sa gorge commença à le brûler, il toussa discrètement, il prit le verre d’Ally, qui lui tendit inconsciemment et il retomba dans le même piège. Une grosse envie de tout régurgiter. Il fit signe à Mr Anderson qu’il revenait vite. Il sortit dehors prendre l’air, au passage l’homme du guichet avait involontairement touché les fesses d’Ally. Elle laissa passé, une erreur pouvait arriver. Une fois dehors, il prit une profonde inspiration… Ally était un peu gênée par ce qu’elle venait de faire, elle dit :

- Le deuxième c’était inconsciemment…

Marc ne pu dire un mot, il se sentait vraiment mal, un homme couru vers les deux jeunes personnes, il sortit une arme et dit :

- De la part de….

Un coup de feu retentit, un sniper placé sur le toit pour la protection venait de tirer. Marc fut éclaboussé de sang, Ally couru vers la salle pour prévenir Mr Anderson, le même homme lui toucha encore les fesses, elle se retourna le visage sombre, elle s’approcha de lui et lui colla une droite, l’homme se trouva à terre et ne se releva pas :

- C’ETAIT PAS LE MOMENT !

Elle prévenu Mr Anderson qui accouru vers Marc, la fête se termina. Marc était ivre mort, il disait n’importe quoi. Il n’était vraiment pas habitué à l’alcool et voilà qu’il avait bu deux grands verres de vodka. Il ne s’aperçu pas de se qu’il venait de se passer… Heureusement pour lui…