Juliet Ivy - Boîte aux lettres

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Juliet Ivy - Boîte aux lettres 1809034679

Chère Juliet,

Hier soir aura malheureusement été trop court - nous avons à peine eu le temps de partager une valse, et la soirée était déjà finie ! C'est trop bête, je n'ai même pas eu l'occasion de prendre de tes nouvelles.

J'aimerais rattraper ce manquement si le coeur t'en dit. As-tu des moments libres dans ta journée demain ? Donne-moi tes dispositions, je me débrouillerai pour te trouver du temps. J'attends ton hibou avec impatience,

Amitiés,

Dwight

05/03/2009

"Ma belle,

Je me porte bien et toi? Comment te sens tu?
Je suis ravi d'apprendre que ta soirée n'ait pas fini en catastrophe ! Je me serait senti terriblement coupable de ne pas avoir été suffisamment là pour toi.

Je suis disponible quand tu veux. Je n'ai pas d'obligations particulières pour le moment, quand cela t'arranges. Tu me croiseras d'ici là à la salle commune je suppose.

Bien à toi,
Heath K."

Citation :: A l'attention de demoiselle Ivy,

Je me joindrai à vous deux avec grand plaisir, d'autant que nous n'avons pas eu l'occasion de converser depuis fort longtemps. J'espère que tout va pour le mieux de ton côté, mais nous aurons largement le temps d'y revenir en face à face.

Ou puis-je vous retrouver ? Et quand ?

Bien à toi,
Rowan P. Westminbrook

03/01/2007

Papa de Juliet a écrit:: Chère Juliet,

Je sais que cela fait bien longtemps que je ne t'ai pas envoyé de courrier et que je n'ai pas pris de tes nouvelles. Je m'en excuse. J'aimerais beaucoup renouer des liens avec toi.

J'ai appris que tu avais intégré la nouvelle Académie qui a ouvert ses portes au début de l'année. J'ai également appris que tu avais intégré l'équipe de Quidditch. Je suis fière de toi.

Voudrais-tu que nous nous voyions pendant les vacances de Noel ? Si tu n'as rien de prévu bien sûr.

Pour te féliciter et me faire pardonner je t'envois un serpent comme animal de compagnie. J'espère que mon cadeau te plaira.

Je t'embrasse,

Ton papa qui t'aime.

Il y a des jours comme cela où le regard peut fixer le soleil sans être aveuglé, je suis dans un de ces jours.
Je te vois, tu m'éblouis, tu me ravis, et je comprends ta beauté dans toute sa splendeur.

Anonyme.

Juliet,

Je te remercie pour ta lettre, tout comme pour ta patience et ta bienveillance à mon égard. J'ai le sentiment de ne mériter ni l'une ni l'autre, à te faire ainsi attendre en dépit de ma promesse de t'accorder à nouveau du temps, rien que pour nous deux. Je suis malheureusement débordé, et je ne te cacherai pas que quelque part, cela m'enchante; j'adore les missions qui me sont confiées, j'ai enfin le sentiment d'être réellement utile à quelque chose, d'avoir une tâche à accomplir ici bas. J'ai hâte de voir tous ces efforts fructifier, de bâtir ce monde tel que j'ai toujours voulu qu'il soit!
Naturellement, cela se fait à ton détriment. Je ne saurais dire à quel point tu me manques; j'ai beau te croiser régulièrement dans les couloirs ou dans notre salle commune, je pense à toi bien plus que je ne le devrais, et cela me trouble. Tout comme la confiance que tu me portes; je te promets de m'en montrer digne. Si je puis t'aider en quoi que ce soit concernant ton père, n'hésite pas à me demander. Pour ce qui est de ton serpent, si tu veux t'en débarrasser, je connais quelqu'un qui adore les reptiles, il serait ravi de s'en charger.
Je te parlerai de certaines choses, un jour, peut-être. J'aimerais le faire, mais je ne veux pas presser le temps; nous avons tant à découvrir l'un de l'autre.

Tu m'apprends donc que j'aurais un rival? Diantre, j'espère qu'il ne s'agit pas encore de Kolagann, je n'ai pas envie de me prendre une seconde raclée en duel! ;)
J'ignore si je suis l'auteur de cette mystérieuse lettre dont tu me parles, mais si je devais t'envoyer des billets doux, sans doute t'écrirais-je ceci:
Les heures que j'ai passées avec toi, je les revois comme une sorte de jardin parfumé, un pâle crépuscule, une fontaine qui chante...
Toi, et toi seule, me fais sentir que je suis vivant... si d'autres hommes ont vu des anges, moi je t'ai vue, et cela me suffit.

Dwight

Douce Juliet,

Ton hibou, tes mots étaient beaux... si beaux! Depuis la fin du festival, je n'ai eu de cesse de penser à toi. J'ai eu si peur... Me pardonneras-tu jamais ma rudesse à ton encontre?
Et pourtant oui tu me pardonnes, puisque tu m'écris une lettre si tendre!
Je serai ravi de t'emmener avec moi dans une de mes missions; tu es une sorcière d'un talent époustouflant et au grand coeur, quel mage serait donc assez sot pour dédaigner ton aide? Naturellement, je ne te ferai jamais rien faire contre ton gré, voilà pourquoi je t'en parlerai avant de t'embarquer dans quoi que ce soit, d'autant plus que ça peut parfois être dangereux. Tu m'es bien trop chère pour que je prenne le risque de te perdre.

Je n'ai jamais autant ressenti ce besoin de trouver les mots qu'il faudrait, ceux qui correspondraient parfaitement à ce que je ressens pour toi. Je me demande seulement s'ils existent… Je comprends plus que jamais cette chanson de Trystan Chalumeau, quand il dit "je t'inventerai des mots insensés que tu comprendras…" Oui, tu comprendras, ma douce, que tu es un cadeau pour moi, un cadeau de cœur. Mes journées ont beau être remplies, tu es dans toutes mes pensées.

Depuis tous ces mois, je réalise à quel point ce que je ressens pour toi est profond et vrai. Je désire que notre relation vive! Tout simplement. Je nous vois ensemble, car nous sommes faits l'un pour l'autre. Je vois notre lien avec des choses simples, douces, rares et fortes : car c'est tout ce que tu es.

Je ne ferai pas la liste de tout ce que j'aime en toi : tu pourrais prendre cela pour de la flatterie et ne pas me croire ! J'éviterai aussi d'écrire l'éventail de nos centres d'intérêt communs et de nos caractères qui semblent si bien aller ensemble. Et puis… Je te chéris tout entière. Sans détours, sans barrières, sans détails, sans réticences.

Je ne calcule rien –la ruse n'est pas mon fort- mais j'imagine avec bonheur les mois qui viennent, et je vois et je rêve. Alors je vais terminer ce mot sur quelques autres paroles de la chanson "moi je t'offrirai des perles de pluie venues de pays où il ne pleut pas…" Je te les offre, ma douce, aujourd'hui.

Avec toute ma dévotion,

Dwight.

Sujet: Re: Juliet Ivy - Boîte aux lettres Mar 20 Oct 2015 - 16:28

Citation :: À l'attention de demoiselle Ivy,

Depuis notre dernière entrevue, je n'ai guère eu l'occasion de te croiser en privé et de t'accorder du temps. J'en suis profondément désolé. Sincèrement.

Cela dit, je me permets de te contacter aujourd'hui pour prendre de tes nouvelles. J'espère que tu ne me tiendras pas rigueur de mon impertinence, mais j'ai ouïe dire un grand nombre de choses à ton égard. Je m'en inquiète, Juliet.

Je te prie de me répondre dès que possible.

Bien à toi,
Rowan P. Westminbrook.

Sujet: Re: Juliet Ivy - Boîte aux lettres Mar 20 Oct 2015 - 20:32

Citation :: À l'attention de demoiselle Ivy,

Je suis ravi de recevoir si promptement une réponse de ta main. Je t’en remercie, autant que je comprends ta prise de distance.

As-tu un lieu spécifique en tête, pour une entrevue loin des regards indiscrets ?

Bien à toi,
Rowan P. Westminbrook.

Sujet: Re: Juliet Ivy - Boîte aux lettres Jeu 22 Oct 2015 - 19:27

Citation :: À l'attention de demoiselle Ivy,

Si je peux me permettre un conseil avisé, nous devrions plutôt nous retrouver à l’extérieur du château. De ce fait, les bois me semblent être un lieu davantage disposé à accueillir notre entrevue. Même si nous allons devoir veiller à ne croiser personne.

Tu serais surprise de découvrir à quel point les gens ont tendance à aller courir par temps de pluie. Alors, de la neige ?

Une heure et un jour ?

Bien à toi,
Rowan P. Westminbrook.

Sujet: Re: Juliet Ivy - Boîte aux lettres Ven 23 Oct 2015 - 10:40

Citation :: À l'attention de demoiselle Ivy,

Je crains que mon samedi soit dédié à toute autre chose. Est-ce que la même heure, déplacée deux jours avant la date initiale, te conviendrait ? Exceptionnellement, mon après-midi est libérée.

Nos camarades s’inquiéteront moins d’une absence de notre part en pleine journée plutôt que le soir.

Bien à toi,
Rowan P. Westminbrook.

03/01/2007

Un flocon dans la nuque

Intrigue personnelle : Anton Costello

Chère sorcière, cher sorcier,

Dans ces temps sombres qui nous accablent, où trouver le salut si ce n’est dans ce sang si brillant, si puissant qui coule dans nos veines ? Il semblait jusque alors si apte à nous fournir un point de ralliement, un moyen de faire front contre les menaces qui se dressent au devant de notre communauté. Le futur s’annonce sombre pour chacun d’entre nous, mais nous devons garder espoir que ce ne soit qu’une étape. Seule une prise de position inébranlable et commune contre la souillure des traîtres pourra faire renaître la brillance du statut de sorcier. Les moldus ne sont en réalité pas la véritable source de la déchéance. Pire opprobre encore s’abat sur les fricoteurs et les malhonnêtes. Ceux qui, dans les ombres de leur intimité, se glissent sous les draps d’êtres moindres qui ne devraient que nous servir.

Nul ne doit oublier que la vermine ne s’élève pas si on ne cherche pas à la convaincre de sa propre valeur et de sa propre importance. Il est donc nécessaire, mes sœurs, mes frères, de dénicher ceux qui veulent nous précipiter vers la chute. Ils se cachent parmi nous, convaincus qu’une simple baguette magique peut faire illusion et détourner le regard de leur crime. Je vous en appelle à la prudence envers ceux dont le sang est souillé et qui ne cherchent pas à laver la traîtrise de leurs parents ! Pire encore, défions nous de ceux qui mentent sur leurs origines ! Il convient de les mettre à l’épreuve, de veiller à leur véritable attachement pour notre noble Cause !

La famille Costello a trahi la communauté sorcière. Par ses crimes de bâtardise et de mensonge, elle a trahi toute la communauté sorcière. Aloysius Costello protège un fils bâtard au sang sale, le dénommé Anton, qui cherche à faire valoir une origine qui n’est pas la sienne. Amenons-le à quémander pardon, ou à payer. Il est mon ennemi, le vôtre, le nôtre.

Missive de fin février 1997 a écrit:: A l'attention de demoiselle Ivy,

Je me permets de te contacter à la suite des directives du Maître. Nous avons commencé à réfléchir dessus avec Freya Nightingale : nous comptons empoisonner les parchemins que nous enverrons à Anton Costello. Il me semble que cette première étape est la plus facile à mettre en œuvre.
De plus, je pense que tes talents pourraient nous être appréciables. Peux-tu prendre contact avec Freya, et lui soumettre d'autres idées quant à notre mission ? Comme nous partageons la même confrérie, nous aurons l'occasion d'en converser discrètement.

Bien à toi,
Rowan P. Westminbrook

12/08/2005

Chères étudiantes, chers étudiants, chers membres du personnel de l'Académie Haveirson,

Les événements tragiques des dernières semaines et les tensions observées et vécues dans le Monde de la Magie et le monde moldu viennent confirmer l'importance, la pertinence et le caractère indispensable de votre présence sur mon domaine. Sachez que vous y êtes à l'abri.

Je souhaite d'ailleurs humblement que vos proches soient également en sécurité et aient été épargnés par les effusions violentes des derniers mois. Dans un esprit de convivialité, de rassemblement, de réconfort et de sincérité, je souhaite en ce jour vous inviter à un banquet, qui se tiendra dans la salle de bal samedi le 8 mars à partir de 20h. Il s'agira du moment pour moi de faire personnellement connaissance avec vous et de vous offrir mes meilleurs voeux pour l'arrivée prochaine de la saison du renouveau.

À très bientôt,

Le Comte.