Lost & Found [Libre]

13/06/2016

[Maxwell & Ambrose sont attendus, mais le topic est libre ensuite !]

Quand tu te réveilles ce matin-là, tu as tout simplement oublié. Tu t’imagines ouvrir les yeux sur la chambre de ton petit meublé au nord de Stockholm, mais c’est un lourd baldaquin boisé qui te renvoie ton regard. Pendant un court instant, cet endroit t’es inconnu, et la panique fait s’accélérer ton cœur. Et juste ensuite, tu te souviens.

T’as atterri dans cette Académie magique par un hasard qui s’apparente à un destin auquel tu refuses de croire. Tu te sens presque hanté par le fantôme de celui qui t’a attiré à Haveirson, sans pour autant l’être réellement. Il n’est pas là, pas vraiment. En dehors de ta tête, il n’a aucune substance. Cruelle ironie, dans un monde où les fantômes existent pourtant. Tu y travailles, tu as volé sa place. L’infirmerie t’appelle : pas de vacances pour toi, quand bien même y aurais-tu eu droit. L’Académie est un îlot isolé qui refuse de laisser partir ses habitants. Cette immense bâtisse s’était refermée sur toi comme un piège sur une proie, et malgré la hauteur au plafond vertigineuse, tu te sentais lentement devenir claustrophobe.

Tu chasses cette impression comme on lutte contre la poussière : un coup de chiffon que tu sais inutile et vain, puisque le lendemain, quelques heures plus tard dans le pire des cas, cette impression sera de retour. Après une douche rapide, tu passes une chemise blanche et un jean tout simple, avant de sortir.

Il n’est pas spécialement tôt, mais tu ne croises pas grand-monde dans les couloirs. Peut-être parce que tu ne fais pas de crochet par la cafétéria, toi qui ne mange pas le matin. Tu vas directement à l’infirmerie où tu te poses. Elle est déserte, situation que tu espères durer longtemps.

Hélas, c’est sans compter sur la faune locale qui est du genre maladroite. Tu n’as jamais aimé t’occuper des petits bobos, et tu pestes encore contre ce ‘destin’ qui te force désormais à exercer au niveau zéro de la médicomagie. Oh, tu ne te sens pas réellement inutile, juste… mal utilisé.

Tu soupires derrière ton bureau. Tu as écrit à Jess & Matti, les amis que tu as laissés derrière toi, à l’extérieur, mais tu n’as pas eu de réponse. Apparemment, aucune communication n’est possible. L’enfermement rend les murs plus épais, plus proches, menaçants. Tu déglutis, mal à l’aise, et tu sors ce qui ressemble à un caramel mou. Techniquement, c’en est un, avec un petit calmant en plus. T’es plus à ça près.

26/03/2016

Le corbeau se sentait inexorablement sombré. L'été gâché. Bientôt les cours reprendraient sans qu'il n'ai eu l'impression de profiter des vacances. Il n'avait pu se reposer dans la forêt... Il n'avait pu aller voir les chamans ou les druides... Il c'était retrouvé bloqué dans ce château à côtoyer le monde qu'il ne supportait que partiellement. Il avait essayer encore et encore de trouver une sortie, une solution. Son esprit s'embuait d'images, ce ne serait pas demain la fin.

Pour tromper l'ennui, le désespoir il avait décidé de plongé dans l'ivresse. Pas n'importe laquelle. Il avait commencé par relire tout ses livres puis une partie de la bibliothèque. En ayant assez de tout cela il c'était mis à faire du sport dans le château. Les séances de méditation c'étaient allongé tandis qu'il perdait le sommeil. Lui l'animal fou, lui le libre penseur cloîtré entre les murs épais du Comte.

Il n'avait pas vu sa mère depuis des semaines. Il espérait que sa folie du rangement ne l'avait pas poussé à se débarrasser de ses fétiches. Il n'avait pas pu assister a la pause du marbre funéraire des membres de sa famille. Persil devait tourner en rond dans la grande maison. Durant l'année il essaierait de le faire entrer en douce dans le château, le poilu lui manquait. Si le croisé avait été à ses côtés il aurait mieux vécu tout cela, il en était sur.

Quitte à être coupé du monde il ne lisait plus le journal. Il avait arrêter de se raser. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas eu une conversation avec un vrai être humain également. Non, l'été il l'avait passé cloîtré dans ses appartements. Les visions c'étaient amplifié, trop d'âmes erraient autour de lui. Il avait envie de forêt, d'herbe, de montagne, de solitude... Contre ce mal qu'était le don il n'avait qu'une solution, péter un plomb. Le don qui n'en faisait qu'à sa tête, ne lui envoyant que des images de sa soeur aujourd'hui disparu. Cette rage qui l'habitait n'était pas uniquement la sienne il le savait. Il savait également qu'il avait trop encaisser ces derniers temps.

Une bière. Deux bières. Whiskey, pétards, plantes verte. La veille au soir ou plutôt tard dans la nuit il avait céder à l'une des voix dans sa tête. De nouvelles rencontres ? une vague positive suivrait la déferlante du feu qui brûlait. Il se cogna l'orteil dans un meuble, ce fut la goutte de trop. Soudain tout avait commencer à voler dans ses appartements. Il avait entreprit de passer ses nerfs sur l'intégralité de son mobilier. Tout y était passer. Sa chaise, son bureau, son lit... Sa marqueterie fut mise en pièce. Haletant il fit un pas en arrière, admirant son oeuvre. Il avait le regard vaseux de l'homme ayant trop bu et ses mouvements semblaient incertains. Soudain son propre reflet. Son poing partit et traversa littéralement le haut miroir. Son corps malmené par ses excès des dernières semaines suivit le rythme, toute la puissance dont il disposait encore avait été utilisé. Un hurlement dans le soleil levant. Il y avait un mur derrière le miroir, ses phalanges n’apprécièrent pas cette rencontre soudaine. Comme un imbécile, sans réfléchir il retira la main ce qui ne fit qu'agrandir la plaie béante sur son avant bras.

Enfin la marée refluait. Il serra les dents et tenta de bouger les doigts. Il reteint un second cris métamorphoser en grognement sauvage.

Que faire ? Il expira à fond, utilisa sa main encore valide pour faire un point de compression au dessous du coude. Soudain il avait regagné de la lucidité, sa tête semblait sur le point d'exploser. Le retour de la cuite... Il inspira de nouveau à fond, expira et osa un regard sur son bras. Grimaces. Ce n'était pas beau à voir, il apercevait quelques éclats de verre qu'il n'oserait enlever seul. Sa vue se brouilla. Il ne savait si c'était l'alcool qu'il avait ingérer ou le sang qu'il perdait. Les limbes de l'alcool refluèrent lui laissant voir la meilleure solution en l'instant ; aller à l'infirmerie.

Ouvrir la porte. Refermer la porte. Son pantalon. Attraper un t-shirt, faire un bandage de fortune, serrer avec les dents le nœud, s'aider de l'autre main. Marcher jusqu'à l'infirmerie se trouvant à l'autre extrémité. S'apercevoir qu'on est déjà le matin.

Une porte. Il ne prit pas la peine de reprendre constance. Il savait qu'il était encore bourré. Il savait aussi faire peine à voir. Son collègue allait le prendre pour un fou, un dégénérer pouvant faire peur au jeune. Une profonde inspiration. Il entra en poussant la porte de son épaule.

"Bonjour, serait-il possible d'avoir quelques soins de si bon matin ?"

Sa voix semblait enrailler. Fatiguer. Son odeur corporel semblait être le bourbon. Un sdf plutôt qu'un enseignant. Un sourire fatigué sur les lèvres. Bien qu'en piteux état il avait retrouvé sa sérénité et était près à affronter le regard d'autres humains.

[ dites moi si ça conviens ]

22/07/2016

Ambrose c’était lever assez de bonne heure pour ne pas faire changement. Il avait bien l’intentions de reprendre les cours comme il l’avait toujours fait et c’êtait pour son bien. Les cours à Poudlard avait pris une éternité avant qu’ils ne prennent fin. Mais, maintenant il était désormais à Haverson et il en était bien content. Étais-ce seulement le fait que parce que son cousins etait la? Ou bien què Théo était la? Non, c’était plutôt là sensations qu’ilmavait qu’il pouvait désormais se faire de nouveaux amis. Il descendit prendre alors son petit déjeuner maintenant qu’il était habiller. C’était une bonne chose qu’il puisse déjeuner à l’heure qu’il voulait. A l’hotel où il demeurait, il ne pouvait pas déjeuner à l’heure qu’il voulait et cela le rendait triste. Car le connaissait il se lever très tôt.

Alors qu’il retrouvait ses amis de la confrérie d’Abraxan, y compris Théo qui était désormais obliger de se lever tôt pour aller à ses cous, il s’assied à la grande table et commença à déjeuner. Le café de l’université était encore meilleure que celui de l’hôtel. Étais-ce normal? Probablement. Tout le monde savait qu’Ambrose était un adorateur du café. Il pouvait en boire trois le matin sans exagération. Mais, ce matin la alors que le courrier arrivait dans la salle de buffet pour les déjeuner, il ne remarqua pas què quelqu’un Vera non pas un mais, deux liquide dans son café. Une fois lcourrier déposer, Ambrose fit un sourir. Il n’y avait rien pour lui mis à part un journal. Ambrose pris alors une généreuse gorgée de café et commença à feuilleter son journal. Il commença à y voir embrouiller dans les lettre et referma immédiatement le journal.

C’est alors qu’il se retira de table et pris là directions de la sortie. Un peu d’étourdissement. C’était normal après tout le café qu’il avait bu non? Hmm il en doutait fort bien. Il commença à marcher les marche et rendus à une certaine hauteur, il regarda tout en bas. Il fallit basculer par dessus la rampe d’escalier mais se retint bon de ne pas tomber. C’est alors qu’il fit comme dans une de ces scène de film moldus qu’il avait vu.

Ambrose – je suis le roooooi du moooooondeee!’’ Il devait le dire tout simplement. Pourquoi? Il en avait le goût. Plusieurs tête se retournèrent lorsque ce dernier avait dit cette phrase. Mais ces dernier continuera leur chemin en poursuite d’un nouveau rêve. A la poursuite d’une nouvelle chose qu’il recherchait. Ambrose haussa les épaules et redescendit alors les marche tranquillement. Il n’était pas pressé de les descendre. Mais, il mot le pied sur quelque chose. Quelque chose qui le fit tomber et alors il glissa sur cette chose. Completement stupide mais, il attéri trop en plus de cela le pied en premier au sol. La douleur fut tel qu’il entendit un craquement dans ses os. Il tenta de se relever mais, sans succès. La douleur lui arracha un crois tel qu’il n’en avait jamais fait depuis très longtemps.

Quelque dizaine de minutes plus tard, quelqu’un l’avait intercepter dans l’escalier et l’avait transporter directement à l’infirmerie. Mais quel merde. Il avait mal à sa jambe en ce moment. La douleur était insupportable.

Ambrose – Heuh... Est-ce que quelqu’un pourrait me donner un bonbon? ‘’Un bonbon... Mais que venait-il de dire la? Il n’était pas dans son état normal et cela se voyait forcément.

HRP:

20/08/2016

Théo qui était tranquille avec Alyson à trainer sans rien faire de particulier fut interpeler part son meilleur ami Skyler, en effets celui-ci était venu trouvé Théo pour lui demander un service et quel service ; Il avait demandé à Théo d’aller voir Ambrose a l’infirmerie car celui-ci avait bus à son insu un philtre de confusion et une potion de babillage.
Théo qui refusa de voir Ambrose en dehors de son groupe d’amis se retenu de soupirais face à la demande de Skyler mais à peine eut il le temps d’imaginait refusé la demande de son meilleur ami que celui-ci le supplia presque car lui ne pouvais aller voir son cousin, ce fut en grognant presque que Théo partie vers l’infirmerie après avoir dit à sa meilleure amie qu’il revenait vite.

Théo marcha d’un pas rapide en direction de l’infirmerie dans l’intention de rapidement avoir des nouvelles d’Ambrose pour Skyler et repartir rapidement de là-bas, depuis qu’il c’était expliquer Théo fuyait la présence du jeune grec qui le mettait mal à l’aise certes il fessait des efforts envers lui pour son meilleur ami mais sans plus après tout rien ne lier le jeune homme à Théo.

Quand il arriva à l’infirmerie dans un premier temps il regarda au tour de lui et ne remarqua le jeune grec toute suite il commençais à ce demandé si Skyler c’était pas trompé, mais après quelque minute à regarder autour de lui son regard tomba sur Ambrose et il fut surpris de le voir dans un êta pareil qu’avait-il pus lui arrivais en dehors de cette potion ?
Théo après l’avoir observé quelque seconde ce décida a s’avançais jusqu’à lui et lui offrit un sourire un peu forçais il n’était vraiment pas à l’aise ici et surtout au côté du jeune homme se fut gêné qu’il prit la parole.

« Salut…Skyler m’a demandé de venir voir comment tu allés car il n’a pas pu venir lui-même. Tu vas bien ? »

Théo détourna le regard pour ne pas croisé le regard d’Ambrose depuis l’histoire dans les écuries Théo préférais de loin de pas se retrouvé seul avec lui.

Hors RP::

13/06/2016

Tu pensais que cette journée allait être aussi morne et ennuyeuse que d’habitude, mais quelques dizaines de minutes seulement après ton arrivée dans l’infirmerie, tu vois débarquer un de tes collègues. Tu n’as pas cherché à faire ami-ami avec le reste de la classe enseignante d’Haveirson, par asociabilité naturelle, ou juste parce que tu ne voulais pas partager des souvenirs qui te seraient désormais douloureux. Tu préférais te la jouer loup solitaire, sans mauvais jeu de mots. Depuis la… depuis ton arrivée dans l’Académie, tu comprenais bien mieux ton frère jumeau et son goût soudain pour le silence radio et les affaires en solo. Être atteint de lycanthropie, ça vous changeait un homme. Un suicide aussi.

En voyant ton collègue que tu ne connaissais que de visage approcher de ton bureau, tu cherches déjà à savoir ce qui l’amène. La première raison est assez évidente : son bras en écharpe saigne. La mine terrible de l’homme t’intrigue trop pour que tu puisses prendre la peine de réfléchir à une réponse. Tu te lèves, et tu empoignes ta baguette et tu montres un lit à ton patient.

— Asseyez-vous.

Les os et la chair se réparent facilement, et tu n’as pas trop perdu dans le domaine de la bobologie. En quelques minutes, ce professeur de tu-sais-pas-quoi qui empeste l’alcool est guéri. Enfin, physiquement. Tu te demandes vaguement ce qu’il se passe dans sa vie pour qu’il en arrive à se mettre dans un état pareil, mais tu demandes pas. T’hésites, et l’arrivée d’un second patient fait office de diversion.

Il a l’air en sale état lui aussi, et l’urgence passe du professeur à l’étudiant, même si le premier a l’air de s’être tapé la murge du siècle pendant sa nuit blanche.

— Restez ici s’il-vous-plaît. Vous pouvez vous allonger si vous voulez. Vous en avez besoin.

Tu te tournes ensuite vers l’escorte de ton second patient, d’autres étudiants comme lui, et tu leur demandes de l’alloger sur un autre lit. Dans un geste mécanique et un peu brusque, tu tires le rideau avant de te pencher sur lui.

— Vous pouvez attendre plus loin.

La même absence d’intonation, le même ton monocorde et la même voix grave et rauque alors que tu ordonnes calmement aux étudiants de te laisser le champ libre. Ton patient n’a pas l’esprit clair et tu ne comprends pas ce qu’il te dit, ce qui te fait penser à un second problème au-delà de la douleur physique. Cette fois, tu ne sais pas exactement ce qui cloche, alors tu prends un peu plus de temps. Il faut que tu saches exactement où est le souci, et pour ça tu dois prendre le temps. Rien de douloureux, il y a un sort pour ça. Tu demandes juste au jeune homme de bien vouloir patienter sans bouger… Même si tu sais que c’est plus facile à dire qu’à faire.

Un quart d’heure passe : tu as vu ce qui n’allait pas et tu as réparé. Quelques côtes cassées et fêlées, et un sale coup au dos qui aurait pu se révéler très grave si on ne te l’avait pas amené directement.

— Vous devriez rester alité encore une heure ou deux, juste pour être sûr que tout est bien ressoudé là-dedans.

Tu sors de la pseudo-chambre que tu as faite avec les rideaux pour apporter les nouvelles à ceux qui ont porté l’étudiant jusqu’à l’infirmerie. Tout va bien, et c’est en grande partie grâce à eux. Tu t’apprêtes à retourner discuter avec Pr. Gueule de Bois quand une autre personne arrive. Tu ne lâches pas ton masque de froideur vaguement professionnelle quand tu le vois, t’attendant à un nouveau patient… mais il a l’air d’aller bien et va directement voir l’étudiant.

— S’il ne s’agite pas dans l’heure, ça devrait aller.

Tu t’es permis de répondre à sa place, juste pour être sûr, et cette fois tu vas vraiment retourner vers ton collègue.

— Un malheur ne vient jamais seul, j’ai eu une urgence… Hmm. Vos blessures. Vous n’êtes pas tombé. On peut en parler si vous voulez, mais si vous préférez quelque chose contre le mal de crâne, ça peut se faire aussi. Je vous prescrirais bien une douche et dix à douze heures de sommeil, aussi.

T’as tes petits remèdes anti-gueule de bois, développés quand t’étais encore étudiant. Une époque qui semble être désormais à des millions d’années. Tu soupires avant de pouvoir t’en empêcher, et ton regard se pose de nouveau sur le bras du professeur.

— Ça va, ça n’a pas l’air de bleuir.

T’en sais rien. Tu peux juste deviner, savoir vers quelle nuance de gris se situe le bleu ou le violet. Pour ça, les cadavres te manqueraient presque…

HRP:

26/03/2016

Un ordre doux. Maxwell obéi sans réfléchir. Il s’assoit sur le bord d'un lit, ses pieds cessent de communiquer avec le dallage glacée. Il sent le tissu coller à sa plaie, fusion détestable, l'arrachage en sera douloureux. Son bras le picote. Il ferme les yeux, sa langue pâteuse refuse d’obéir alors il se tait. Il re ouvre un œil, une douce lumière bleu enlace son bras. Il sent encore un picotement. Cellules par cellules la plaie se referme. La peau court et se rejoins, elle se reforme doucement. Il cesse de saigner. La plaie n'est plus. Le tissu de sa chemise es décollé de son bras, il n'y aura pas fusion finalement. Une autre onde de chaleur le parcours. Il ferme les yeux, savourant la sensation, l'apaisement qui frémit sous sa peau. Il grince soudain violemment des dents en sentant ses doigts reprendre leurs positions initial. Craquements détestable. Les fêlures se réparent, il les sent. Les os se collent et soudain il sait qu'il peut de nouveau articuler chacun de ses doigts violacé par l'accident précédent.

« Merci. »

Un mot simple, presque inaudible. Il n'a guère le temps d'en articuler d'autre que déjà un nouveau mouvement s'enclenche. Une porte qui s'ouvre, qui claque. Il sait qu'un autre vient de rentrer. Un élève sûrement. Il pause un regard verdâtre sur son collègue puis le suit du regard sans répondre tandis que l'autre s'en va vers son prochain patient. Il perçoit le baragouine ment du jeune. Maxwell se frotte les cheveux d'une main en reposant son regard sur l'autre. Il bouge doucement les doigts, puis un peu plus vite. Son poing se ferme, se r'ouvre. Il pli le coude et un fin sourire s'étire sur ses lèvres. Il a retrouvé toute sa mobilité, sans douleurs. Merveille et délice que la magie.

Il écoute l'autre machiner. Il sent que la magie opère à côté. Il profite de ce moment de calme pour se frotter le visage dans les mains puis s'étirer. Il voit un peu flou mais la douleurs semble l'avoir fait redescendre en partie. Il sent le nuage de la fatigue l'envelopper, il retiens un rot, whisky... Maxwell se lève pour faire deux ou trois pas vers la chambre de l'élève – mettre son nez dans cette affaire – et sursaute en voyant son collègue réapparaître.

Mal au crâne. Aux cheveux. Le cœur qui a le mal de terre. Et un début de charabia par Mr-j'ai-pas-d'émotions.

« Mon reflet m'a agressé ! C'était pas le jour alors j'lui ai mit une mandale, manque de bol il est plus fort que moi ! »

Okey... Maxwell tu watt ? Non, simplement il était encore bourré et d'un coup son état de nerf lui semblait puéril. L'envie de raconter des âneries étaient irrépressible. Il n'avait pas chuchoté mais pas hurler non plus.

« Et je pense qu'un remède contre le mal de crâne ne se refuse pas ! Et je vous en remercie par avance. »

Maxwell sait déjà que dès que Magnus sera retourner chercher le remède il se faufilera voir lequel des petites merveilles a fait une chute en même temps que lui. Il sent que c'est important, ou peut être drôle.

22/07/2016

Ambrose remarqua que ça ne pris pas grand temps avant que quelqu'un réponde à sa demande. Travaillait-il ici? C'était bien probable et il était probablement un des Médicomage de cet université. En un instant et un coup de baguette, Ambrose fut remis sur pied. Enfin c'est ce qu'il pensait. Cela prit un quart d'heure en réalité avant que tout ne soit guéri. Voilà pourquoi le Médichomage voulait qu'il reste allongé dans le lit et qu'il ne voulait pas qu'il se lève. Étais-ce une raison de plus qu'il endure autant de souffrance? Peut-être. Quoi qu'Ambrose n'avait plus aussi mal que lorsqu'il était arrivé à l'infirmerie mais, tout de même. Il souffrait encore de sa chute. Il regarda alors le Médichomage partir vers un autre patient. Pendant ce temps, il entraperçu quelqu'un regarder…. Ou enfin tenter de regarder à travers son rideau. Ho de la visite? Il ne s'y attendait pas du tout. Ou alors c'était un patient que le Médicomage voyait en même temps que lui. Mais, comme Ambrose s'y attendait d'un seul coup, une tête apparus alors à travers du rideau et Ambrose fut très surpris de voir qui était apparus de derrière le rideau. C'était nul autre que Théo. Il était très heureux de le revoir car, il ne l'avait pas revus depuis les écuries et cela lui manquait énormément de ne pas le voir.

Ambrose – Ho mon chou à la crème tu sais que je t'aime!'' Quoi? Il était vraiment en trains de raconter n'importe quoi. Ambrose n'était pas du tout dans son état normal et cela pouvait se voir assez facilement. Mais, il regarda Théo avec un regard qui voulait tout dire. Un regard d'amour. Il voulait se lever mais, il se rappela la consigne que lui avait donné le médicomage un peu plus tôt. Celle de ne pas se lever avant une heure ou deux. La tentation de se lever était pourtant bien présente mais, il se retenu pour rester coucher dans son lit de l'infirmerie.

Ambrose – Je suis le rooooi du mooooonde….'' Et maintenant il se mettait à raconter n'importe quoi et en plus à faire des solo de parole qu'il avait déjà dite. Mais, quand-est-ce qu'il allait s'arrêter? Il regarda alors le soleil filtrer par la fenêtre et trouva ce dernier magnifique. Ce qui était une chose tout à fait normal d'ailleurs. C'était une si belle journée qu'Ambrose avait le goût d'en profiter mais, il était maintenant cloué au lit dans cette infirmerie avec Théo. Ce qui n'était pas pour lui déplaire d'ailleurs.

Ambrose – Ho Théo tu me passerais un peu de jus de bonbon? J'ai une soif terrible...''

20/08/2016

Alors que cela fessait déjà quelque minute que Théo fixait Ambrose le jeune homme se demandé si celui-ci ne c’était pas vraiment fait plus de mal de ce que lui avait dit son meilleur ami, Théo s’approcha un peu plus de du lit d’Ambrose et alla pour parler mais celui-ci pris déjà la parole.

A peine eut il finit de parler que Théo tourna la tête à droite est à gauche en fessant attention à ce que personne n’ait entendu le jeune homme, on pouvait même apercevoir quelque rougeur sur les joues de Théo signe qu’il se trouvé gêné a cet instant. Malgré qu’il sût qu’Ambrose était sous l’effet d’une potion Théo avait senti son cœur raté un battement à son ‘je t’aime ‘ Merlin mais il est fou-pensa le jeune homme, Théo ne comprenais pas pourquoi il avait ressenti cette sensation au mots doux du jeune grec il ne l’aimais pas sans son esprit c’était comme sa mais on aurait dit que son cœur disait autre chose.

Il reprit ses esprits quand il vus qu’Ambrose commençais à s’agitait dans un réflexe non contrôlé il s’approcha encore plus de lui et lui posa une main sur son épaule tout en lui parlent avec douceur.

« Merlin j’espère que tu te souviendras de que tu viens de me dire car compte sur moi pour le dire a Sky, avec un peux de chance il me lâchera la grappe. et puis je pourrais certainement en jouer contre toi tien. »

Il ne voulait pas être méchant mais il aimer taquiner le jeune grec depuis leurs retrouvailles Théo ne pouvais s’empêcher de le taquiner même s’il ne lui parlé jamais de leur nuit ensemble.

« Calme toi Ambrose, reste tranquille s’il te plait ou je t’attache à ce lit ! oui tu es le roi des imbéciles plutôt non mais sérieux tu aurais pas pu surveiller ta boisson non ? Je jure sur Merlin que si je retrouve le petit con qui a fait sa je lui botte le cu! »

Théo poussa un soupire d’agacement il ne voulait pas venir le voir mais il n’avait pas eu le choix, mais maintenant qu’il était là son corps fut parcouru de frison quand il l’avait touché le jeune homme voulais fuir loin de cette sensation étrange, il se sentait fatiguer c’est pour cela qu’il prit place au côté du jeune grec dans le lit sans faire attention à son geste.
Quand Ambrose lui demanda un jus de bonbon le jeune homme ne comprit pas toute suite puis il se mis à sourire doucement et fit une rapide caresse sur les cheveux du jeune homme tout en attrapant de son autre main un peu d’eau qu’il lui tendit.

« Je n’ai pas ce que tu me demandes, mais je de l’eau cela tira parfaitement Ambrose Chou »

Théo avait dit sur un ton moqueur et ironique en fessant référence quand Ambrose l’avait appelé chou quand il était arrivé, le jeune homme ferma les yeux tout en tenant le jeune grec part la main pour ne pas qu’il ait l’idée de ce sauvé de l’infirmerie dans son êta.

13/06/2016

L’étudiant que tu viens de soigner ne va clairement pas bien, au delà de ses blessures physiques. Tout en écoutant ton collègue, le professeur Crowley, tu tends une oreille, recueillant au vol des informations qui pourraient t’aider à le remettre totalement sur pied, ce qui semble être loin d’être le cas. Imperturbable, tu arrives aussi à gérer une conversation avec Maxwell, qui t’annonce de façon détournée qu’il s’est mis une murge et s’en est pris à son miroir. Qu’est-ce qu’ils ont tous avec les miroirs, sérieusement ? La pensée te fait mal, pourtant tu réussis à sourire, secouant légèrement la tête.

— Je vous déconseille de vous en prendre à lui à l’avenir… Vous n’avez pas un autre défouloir ? Je vais voir ce que j’ai.

Tu te lèves pour rejoindre la pharmacie, toujours attentif à ce qu’il se passe du côté des étudiants, que tu n’as pas oublié. Les anti-migraineux sont en bonne place dans l’armoire, mais ta main se tend vers une étagère un peu plus reculée. Tu ne sais pas exactement ce qu’a pris Maxwell — hormis le fait qu’il en a sûrement trop pris, gros — mais tu as ta petite potion miracle, étonnamment inefficace quand le mal de crâne est d’origine plus ‘naturelle’. Tu refermes les portes du meubles et tu reviens sur tes pas pour tendre la petite fiole opaque à ton collègue.

— Deux gouttes dans un verre d’eau, et ça devrait aller mieux. Perso, je couple ça à du café, mais faut pas être cardiaque.

Inquiet, tu te tournes de nouveau vers les deux étudiants. Tu ne peux plus les laisser seuls maintenant que tu comprends un peu mieux ce qu’il s’est passé.

— Excusez-moi.

Avec ces paroles, tu te lèves et abandonnes le Pr. Crowley pour te diriger vers les deux jeunes hommes.

— D’après ce que j’ai compris, il n’est pas tout à fait dans son état normal…

Putain ce que tu peux être con. Évidemment qu’il n’est pas dans son état normal, vu les conneries qu’il débite ! Tu jettes un coup d’œil un peu nerveux à celui qui s’appelle Théo, avant de repartir chercher une autre potion. Utiliser un sort serait trop dangereux, en partie parce que tu n’es pas sûr de comment Ambrose s’est retrouvé dans cet état. En partie seulement. Tu es aussi débutant dans ce genre de médicomagie, et dans ta situation… Un accident est vite arrivé.

Tu reviens avec une très fine fiole, relevant plus de l’ampoule, contenant un liquide jaunâtre. Après en avoir retiré le bouchon, tu la tends à Ambrose.

— Bois tout, ça devrait te rendre tes esprits.

À croire qu’aujourd’hui était la fête de la Tête-à-l’Envers ! Tiens, ça faisait longtemps que tu n’y avais pas participé…

26/03/2016

Maxwell ne répondit rien. Il était trop occupé à se sortir des limbes de la défonce. Il sentait les énergies de son corps ne faire qu'un avec le sol, avec le lit. Il profite de l'absence de Magnus pour se faufiler vers les deux étudiants et entendre cette histoire de jus de bonbon. Hum ! C'est pas bête, avec une liqueur ça doit être exquis... Il a les yeux dans le vague un instant puis son crâne comprend les indications de Magnus. Il fait un oui de la tête, s'empare de la fiole et retourne chercher le verre d'eau qui est posé à côté de son lit.

Il n'a qu'un instant à se battre avec la dite fiole avant de réussir à l'ouvrir. Il verse une goutte, deux gouttes, trois gouttes... Oulah ! Il redresse la fiole violemment. Hum... Il prend le temps d'avaler le contenu du verre.

« Fistule et Corriza ! »

Un juron, c'est po bon ! Il fait claquer plusieurs fois sa langue afin de chasser le goût acre de sa bouche avant de retourner vers son collègue et les jeunes.

« Oh un café c'est une chic idée ! Je vais cependant attendre que les palpitations dont je suis victime ce calme avant cela. »

Il rend la fiole à Magnus puis s’intéresse aux autres élèves. Son cœur cogne dans ses oreilles sans qu'il n'y prête attention. Il a encore le temps de savourer la chaleur de l'état second avant que le breuvage ne le sorte de son coton. Il fait une petite moue d'enfant sage le temps que Magnus est là puis reprend dans ses semis divagations.

« Vous êtes trop mignonnes à vous tenir la main ! T'en fais pas tu le perdras pas tout de suite, au contraire là tu te l'es attaché ! »

Roi de la connerie ? Hum peut être. Il était encore loin d'avoir retrouvé son sang-froid, son altruisme et sa bonne éducation. Maxwell avait plus à voir avec un jeune étudiant qu'un enseignant à cet instant.

« Et je pense que le jus de bonbon c'est une super idée ! Surtout venant d'un collègue de bobos du matin ! Par contre faudrait que ça soit au moins à 40° ! »

Il tangue un peu, cligne des yeux et semble revenir un peu plus vers la sobriété. Il attrape une chaise qui traînait là et se laisse tomber dessus non loin du lit des garçons. Il lève les yeux vers Magnus qui revient avec sa fiole. Encore une ? Ah non, ce n'est pas pour lui. Il se tait conscient d'avoir raconter des bêtises et contemple de nouveau sa main redevenue valide. Il se donne constance en réalité, tentant désespérément d'oublier qu'il est ridicule avec sa presque gueule de bois, sa descente de champi et ses fringues pleine de sang à discuter création d'alcool avec un autre embrouillé du matin.