(M) Duncan Rhys Westminbrook (Reeve Carney - Négociable) [LIBRE]

Duncan est le deuxième né de Judith Druella Rosier et de Theodore Philip Westminbrook. Il n'a jamais eu l'occasion de côtoyer son père: ce dernier a rendu l'âme à la suite d'un altercation houleuse dans l'allée des embrumes (en lien avec les exactions d'un certain Christopher). A la suite de ce décès, Judith a décidé que ses enfants grandiraient loin de l’Angleterre et de ses drames, et s’est donc installée en Norvège.

Arrivé à l'âge d'intégrer Poudlard, une école de magie dans laquelle sa sœur persistait à étudier, la mère de Duncan réitéra sa volonté de tenir son fils éloigné de l'Angleterre. Il n'eut pas d'autres choix que de rejoindre l'institut Durmstrang. Il y découvrit toutes les nuances de la magie, et se passionna particulièrement pour celle dite « noire ».

Pendant son adolescence, il eut l'occasion de rencontrer son oncle et ses enfants lors de brèves entrevues. Il regrette de ne pas avoir pu les fréquenter de façon plus assidue.

Le jeune homme s'intéressa de plus en plus à sa scolarité pour correspondre à l'élève idéal tel que souhaité par Karkaroff, son directeur qu’il prend peu à peu comme modèle. Dans ses dernières années au sein de Durmstrang, il excellait dans les matières requérant l'usage de la magie offensive; où tout ce qui impliquait des compétences de duel. De combat. De détermination.

En septième année, le symbole de Grinderwald finit par attirer son attention, et il passe plusieurs années à tenter de découvrir ce dont il s’agit – sans grand succès, à part peut-être que cela a un rapport avec les Reliques de la Mort.

Une fois sorti du système éducatif sorcier, le jeune homme décida à s'instruire en sortilèges et finit néanmoins par quérir l'aide d'un ancien Mangemort - peu regardant sur l'étiquette que l'on apposait aux individus - pour s'ouvrir à de nouvelles considérations.

Duncan continua à poursuivre cette étude du symbole de Grindewald jusqu'à fin 1996. Lasse et colérique, il décida de remettre de tels travaux à plus tard; autre chose attirait désormais toute son attention. Avec le retour officiel de Voldemort, et la disparition supposée de l’Élu Potter, de nombreux articles voyaient le jour sur les origines du mal et la première guerre des sorciers. L'un d'eux, traitant de l'existence d'une magie ancienne et puissante, lui donna son nouvel objectif: étudier et créer de nouveaux sortilèges usant d'un tel pouvoir. L'Amour.

En mars 1997, plusieurs événements viennent pourtant bousculer son quotidien décalé du monde: la mort de sa mère, emportée par un cancer, et l'appel à l'aide de son cousin. Rowan. A force de se perdre dans son travail, il en avait oublié ses proches. Ni une ni deux, il part à la rescousse de ce qu'il reste de sa famille... Et c'est peu dire qu'ils ont besoin de lui.

Duncan est le deuxième né de Judith Druella Rosier et de Theodore Philip Westminbrook. Il n'a jamais eu l'occasion de côtoyer son père: ce dernier a rendu l'âme à la suite d'un altercation houleuse dans l'allée des embrumes (en lien avec les exactions d'un certain Christopher), alors que son fils n'avait pas encore quitté le confort de la matrice maternelle.

Cet événement ayant grandement affecté sa génitrice, les premiers souvenirs de sa vie se sont cristallisés sous le ciel pâle et froid de Norvège. Et non pas de l'Angleterre. C'est dans ce pays du grand Nord que le jeune Duncan a effectué ses premiers pas et sortilèges. Sous l’œil bienveillant de sa mère et de sa sœur ainée, Deirdre.

Dès l'enfance, il faisait montre d'un grand intérêt pour l'emploi de la magie - même s'il devait s'abstenir d'en faire usage compte tenu de son manque total de maîtrise en la matière. Il avait aussi tendance à être très actif; ses professeurs particuliers se plaignaient souvent du fait qu'il était incapable de tenir en place plus de dix minutes. Cette phase pour le moins déroutante sembla s'atténuer lorsqu'il eu l'occasion de s'adonner à des pratiques sportives.

Arrivé à l'âge d'intégrer Poudlard, une école de magie dans laquelle sa sœur persistait à étudier, la mère de Duncan réitéra sa volonté de tenir son fils éloigné de l'Angleterre. Il n'eut pas d'autres choix que de rejoindre l'institut Durmstrang, alors sous l'égide du terrible Igor Karkaroff. Il y découvrit toutes les nuances de la magie, et se passionna particulièrement pour celle dite « noire ».

Pendant son adolescence, il eut l'occasion de rencontrer son oncle et ses enfants lors de brèves entrevues. S'attachant malgré lui à ce bout de famille lointain, qu'une entité de plus en plus contestée s'échinait à l'en priver pour des raisons obscures. La relation entre Duncan et sa mère commença alors à s'effriter, petit à petit, tournant souvent en de violentes disputes et des mois de silence éprouvés. Quant à Deirdre, elle persévérait à protéger son cadet des conséquences de ses humeurs, dès lors qu'elle pouvait intervenir.

Le jeune homme s'intéressa de plus en plus à sa scolarité, passant un nombre incalculable d'heures à étudier et à s'entraîner pour correspondre à l'élève idéal tel que souhaité par Karkaroff. Ce directeur froid et distant, d'un pragmatisme défiant toute bienséance, devint dans l'imaginaire de Duncan un père. Un modèle. En suivant cette nouvelle voie, l'adolescent commença à changer: il cessa d'être un pleurnichard dépendant et fragile. Ses muscles s'affirmèrent. Sa taille aussi. Ses objectifs ne chancelaient plus.

Dans ses dernières années au sein de Durmstrang, il excellait dans les matières requérant l'usage de la magie offensive; où tout ce qui impliquait des compétences de duel. De combat. De détermination.

Une fois sorti du système éducatif sorcier, le jeune homme décida à s'instruire en sortilèges par sa propre initiative. Il finit néanmoins par quérir l'aide d'un ancien mangemort - peu regardant sur l'étiquette que l'on apposait aux individus - pour compléter ses connaissances et s'ouvrir à de nouvelles considérations. Au cours d'un travail portant sur la construction d'un sortilège complexe, une vieille image revint à ses yeux. Un symbole, gravé à jamais dans la pierre de l'établissement, que l'on attribuait généralement à Grindelwald.

Il passa toutes les années suivantes à tenter de résoudre ce terrible mystère, sans grand succès: les personnes interrogées se refusaient à lui donner les détails suffisants à sa recherche. Certes, il avait deviné qu'il s'agissait d'une représentation des Reliques de la Mort... Mais que pouvait-il faire avec ce seul élément ?

Duncan continua à poursuivre cette étude jusqu'à fin 1996. Las et colérique, il décida de remettre de tels travaux à plus tard; autre chose attirait désormais toute son attention. Avec le retour officiel de Voldemort, et la disparition supposée de l’Élu Potter, de nombreux articles voyaient le jour sur les origines du mal et la première guerre des sorciers. L'un d'eux, traitant de l'existence d'une magie ancienne et puissante, lui donna son nouvel objectif: étudier et créer de nouveaux sortilèges usant d'un tel pouvoir. L'Amour.

En mars 1997, plusieurs événements viennent pourtant bousculer son quotidien décalé du monde: la mort de sa mère, emportée par un cancer, et l'appel à l'aide de son cousin. Rowan. A force de se perdre dans son travail, il en avait oublié ses proches. Ni une ni deux, il part à la rescousse de ce qu'il reste de sa famille... Et c'est peu dire qu'ils ont besoin de lui.