Gwenhael Millar || Terminée

Gwenhael n’est pas ce qu’on pourrait qualifier de top modèle mais n’est pas à plaindre non plus, entendons-nous. Du haut de son mètre soixante six, elle affiche une silhouette bien dessinée et surtout des proportions avantageuses. Ni trop, ni pas assez, il y a des rondeurs là où il faut… parfois un peu aussi où il ne faudrait pas. Mais si l’on fait fit de son corps et que l’on regarde son visage, ce que l’on remarque en premier chez Gwen ce sont ses yeux, de grands yeux d’un bleu océan, tellement clair que l’on pourrait presque se noyer littéralement dedans. Une bouche légèrement pulpeuse et rosée et un petit nez, rendant son visage harmonieux. Tombant en de légères vagues sur ses épaules, de longs et fins cheveux bruns. Mais ne vous fiez pas à la première rencontre, Gwen sait prendre soin d’elle à partir du moment où elle en a le temps. Ne vous étonnez pas de la voir un matin décoiffée ou pas maquillée, cela voudra juste dire que son réveil n’a pas sonné !!!

Concernant ses tenues vestimentaires,  la jeune fille s’habille plutôt simplement mais en prenant toujours soin de porter quelque chose qui fera la différence !! Une manière de dire que même en étant simple, il y a toujours LE détail !! Une robe, un jeans, un débardeur, elle porte tout sans penser à la vision qu’auront les autres d’elle !!

Niveau caractère, Gwenhael est très facile à cerner. Étant un tout petit peu lunatique, il faudra savoir comment l’aborder en regardant sa manière d’être. Mauvais jours : Visage fermé, moue boudeuse ou indifférente, répliques sèches, il vous sera très compliqué de rentrer en contact avec elle si elle ne le veut pas. Il vous faudra vous armez de patience et de courage pour réussir à lui arracher un mot « gentil » quand elle est de cette humeur. A contrario, dans ses bons jours, c’est une jeune fille charmante, pleine de vie et tellement enthousiaste qu’elle pourrait presque vous taper sur le système. Elle est persévérante, têtue, curieuse, déterminée, passionnée.

En amitié comme en amour, Gwen est fidèle. Vous pourrez toujours compter sur elle pour tout problème ou simplement pour être là. Quand elle vous aime, ce n’est pas qu’un peu, elle se donnerait corps et âme pour les personnes chères à son cœur. Mais attention au revers de la médaille, si par malheur vous venez à lui briser le cœur, cachez-vous ou ne vous avisez plus de lui adresser la parole parce que si elle vous trouve ou que vous la cherchez, elle ne donnerait pas cher de votre peau…

Je suis Gwenhael Millar, née un 10 Janvier 1974 et ceci est mon histoire…

Non en fait, j’ai eu une vie totalement simple, que l’on pourrait même presque qualifiée de banale mais j’en suis et en serai toujours fière !! Je suis effectivement née le 10 Janvier 1974 à l’hôpital Ste-Mangouste d’un père moldu, Rick Millar, et d’une mère sorcière de sang-pur, Valérie Blackwell. Tout deux s’aimaient à la folie et après plusieurs années de vie commune, décidèrent d’avoir leur premier enfant. Ils habitaient une petite maisonnette dans la région londonienne et ce fut dans cet environnement que je grandis. Mon père travaillait dans le domaine du jeu vidéo et je devins une grande accro des consoles, jeux en tout genre. Ma mère, écrivaine pour une rubrique du journal magique concernant les arts me transmis son insatiable appétit pour les arts. Mon enfance se passait tranquillement sans anicroches. Je m’amusais avec tout et me découvris à l’âge de 5 ans, une vraie passion pour la peinture. A partir de ce moment, je ne quittais plus mes pinceaux, mes consoles portables, mes livres et tout ce qui pouvait faire scintiller mes yeux de bonheur !!! J’avais soif d’apprendre !!! Mes pouvoirs magiques je ne les ai découverts que tardivement. Une fois déclenchés, ma mère se fit un vrai plaisir de m’enseigner quelques bases, des sorts basiques mais utiles en cas de besoin. Si les enfants moldus avaient droit à des contes de fées le soir avant de dormir, ma mère me fit les récits de Poudlard, cet immense château – école où elle avait elle-même passé sa scolarité étant jeune. Ce fut une enfance joyeuse et pleine de bonheur que je vécu jusqu’au jour où mon père tomba gravement malade. Un microbe assez virulent, il du passer plusieurs mois à l’hôpital, faire une batterie d’examen, des prises de sang, et j’en passe. Il s’est battu avec courage et après ces quelques mois plus difficiles que les autres, on lui trouvait un traitement. Expérimental mais il avait fonctionné. J’étais admirative du corps médical qui l’avait soigné, qui avait tout fait pour qu’il rentre à la maison. Et ce fut à partir de ce moment-là que je sus que je voulais, moi aussi sauver des gens.

A l’âge de 11 ans, un hibou arriva, signe qu’il était temps que je commence ma vie en tant qu’étudiante de Poudlard. J’avais de grands projets, j’étais ambitieuse. Durant la répartition, je pensais que j’allais faire de grandes choses, ici à Poudlard. A commencer par passer le choipeaux magique… Serpentard a-t-il annoncé. La mauvaise image des serpents me fit faire la moue mais je me rappelais des mots d’ordres de chaques maisons, et chez les serpentards, l’ambition.  Je prouverai à tous ce que je valais !!! Ma scolarité se passa sans problème, j’étudiais, je m’amusais, je me faisais des amis dans chaques maisons. Je m’obligeais à avoir de bonnes notes, pas questions d’entrer à Ste-Mangouste sans des notes pratiquement excellentes, je voulais éradiquer les maladies incurables, et il fallait pour cela la presque perfection !!! Mes buses étaient facile et les Aspics… un peu moins mais néanmoins je réussis avec des O et des E dans presque toutes les matières.

Je gardais contacte avec ma famille, ils étaient au courant de tous ce qui se passait dans le château et je me languissais les vacances pour leur raconter mes péripéties. C’était vraiment une vie géniale. Simple mais parfaite pour moi. Evidemment, lorsque j’eu terminé mes études à Poudlard, je pris le chemin des pays en développement, ceux plus touché que les autres aux maladies. Je fis quelques stages, j’appris beaucoup et je persévérais, ce n’était pas facile tous les jours mais je m’accrochais, je ne baissais jamais les bras, j’étais déterminée !!! Lorsque je rentrais à Londres, ma mère me tendit une lettre, c’était une missive annonçant l’ouverture d’une académie, l’académie Haveirson et comble du bonheur, elle proposait un cursus pour devenir guérisseur…
Sans attendre, je ne défaisais même pas mes valises et partais direction Haveirson… Je ne savais pas ce qui m’attendais là-bas mais mon rêve y continuait !!!

Question 1. Tu te lèves le matin et il te reste très peu de temps avant ton cours de sortilèges. Tu arrive en cours avec quel genre de tête ?

a) Je fais un effort pour ne pas avoir l’air trop débraillé et je me coiffe un minimum.
b) J’en ai rien à foutre, j’aurai la tête que j’ai !
c) Hein quoi ? J’ai un cours de sortilèges ce matin ?

Question 2. Tu es dans un cours de sortilèges et t'arrives pas à faire correctement le dernier sort que tu as appris. Tu fais quoi ?

a) Je m'exerce jusqu'à ce que j'y parvienne et je demande de l'aide s'il le faut.
b) Je balance ma baguette à l'autre bout de la pièce sous le coup de la frustration.
c) Je m'exerce par moi-même jusqu'à ce que je j'y parvienne parfaitement.

Question 3. Un autre étudiant a un peu trop bu et se retrouve en train d'insulter la personne que tu aimes le plus au monde. Tu réagis comment?

a) Je le raccompagne à sa chambre parce que je sais qu'il a trop bu et regretteras ses paroles demain matin.
b) Je m'énerve et lui balance direct ses quatre vérités.
c) Ça dépend des conséquences que je pourrais avoir si je réplique ou non.

Question 4. Sur ton chemin vers le village d’Avalon, une vieille dame trébuche et tombe devant toi. Tu fais quoi ?

a) Je me précipite à son secours au risque de me tordre moi-même la cheville dans l’espoir de l’empêcher de se faire trop mal.
b) Je garde mon calme et je l’aide à se relever avant de m’informer auprès d’elle pour voir si tout va bien.
c) Si je suis d’humeur, je l’aide à se relever et je trace mon chemin sans m'attarder plus que de raison.