[INSÉREZ un titre intéressant ici] (TERMINEe)

Je suis quelqu'un de plutôt normal en soit. Enfin, je crois. Je n'aime pas me décrire, je ne trouve jamais de qualificatifs assez.. Qualificatifs. Oui oh hein.. Je dis ce que je veux, tu me poses la question. Si tu voulais parler et ou ou commenter, tu n'avais qu'à l'écrire toi même. C'est bon ? Tu as finis de critiquer tout ce que je pense ? Attends.. Je suis vraiment en train d'engueuler ma conscience, ça s'arrange pas.
BREF. Je possède une silhouette assez svelte mais néanmoins marquée d'une musculature au naturel sec. Je crois pouvoir dire sans prétention que je peux plaire. Je crois. Enfin, toujours est-il que j'ai la peau plus ou moins halée, sans réelle marque d'imperfections. Loin d'être un mannequin, je pense, je n'ai pas eu à souffrir énormément des colères de l'adolescence. Mon visage est plutôt sobre, je n'ai pas de barbe, pas de marque, pas de tatouage ni de strabisme. A la rigueur, une mâchoire droite mais je ne peux pas vraiment dire qu'elle jure avec un autre aspect. Mes cheveux comme mes yeux arborent une couleur chocolatée plutôt tendre que j'ai tendance à apprécier. Je n'aime pas me voir comme un être parfait, mais je me dis que au moins, je porte ma couleur préférée au quotidien.

Je ne suis pas quelqu'un de simple dans ma façon de penser. Je suis tout et rien à la fois. J'ai donner des maux de crânes à tout ceux qui ont essayé de se trouver un chemin dans les méandres de mon esprits. Je suis à la fois calme mais sanguin, excentrique et pudique. Je ne sais pas d'où me vient cette ambivalence ayant déjà mis le choixpeau à mal lors de mon arrivée à Poudlard. Seule mon envie de connaissance m'ayant réellement attirée vers Serdaigle. Depuis que ma mémoire se rappelle, je ne me souviens pas avoir une fois manqué une promesse. Je peux parfois être menteur, parfois pernicieux et manipulateur mais, contrairement à un pervers littéraire. Je suis comme un monstre tentant de se faire gentil. Je ne fais jamais ça par plaisir pur. Je n'aime pas que l'on touche à ceux que j'aime. Prêt à les défendre corps et âme, quand bien même ils seraient en torts. Peu de gens m'apprécient de par mon habitude à rester mystérieux et atypique dans ma façon d'être. Je chérie alors forcement plus ceux qui osent voir au dessus. J'aime la solitude, je sais me débrouiller seul et je l'ai même toujours fais. Déjà, à Poudlard, les gens me laissaient tranquille et de côté, effrayés de ma logique aussi bien magique que rhétorique. Je ne suis pas pour autant quelqu'un de foncièrement méchant. Je suis juste moi, avec mes blessures, mes peines et mes chagrins. Juste un sorcier normal dans une société qui ne l'est plus. Je continue d'avancer, de faire avancer, d'aider sans le montrer. Même si au fond, alors que je fais tout pour que l'on s'écarte de moi.. J'aimerais qu'on m'apprécie.

Ma vie n'est pas un long fleuve tranquille mais ce n'est pas non plus un roman de gare où rien ne se asse comme prévu et que le héro était en fait l'élu. Je suis juste une simple personne sans passé ni réel présent. Juste un sorcier dans une masse. Une individualité perdu dans un tout. Poétique hein ? La mise en abîme..
Bref.
Je ne pas vous dire mon passé, mon origine, mes parents ni même mon nom originel. Pour la simple et bonne raison que je n'en ai pas. J'ai été récupéré errant dans les rues de Londres sans dialogue cohérent ni compréhension du monde qui m'entourait. Âgé d'environs une dizaine d'année, j'ai fini par me retrouvé sur le chemin de traverse, surement par instinct et ai fini par perdre connaissance dans les bras d'un commerçant. Mr Jones, propriétaire d'une malheureuse échoppe tenant à peine debout. Malgré son manque d'argent, il décida de mettre ses dernières économies dans mon avenir et me fit entrer, une année après, à Poudlard, sous son nom. Je crois bien qu'il est mort pendant cette année. Je n'ai pas spécialement été heurté. Juste peut-être peiné. Je n'ai jamais eu le sentiment d'être proche de quiconque comme quiconque n'a jamais été proche de moi. Pauvre élève perdu de Serdaigle, je n'ai été, durant ma première année, que l'inconnu au nom de pierre et au passé jeté aux Oubliettes. Quoi qu'il en soit, n'ayant plus de famille réelle ni de lieu où aller. Je fini plus où moins par vivre là où j'étudiais. Les livres devenait de meilleurs connaissances que les sociales. En l'espace d'une année, je suis passé du stade d'inconnu sans intérêt ni compétence. Une personne même incapable de connaitre son histoire. Jusqu'à l'élève le plus doué dans sa catégorie. Niant les contacts humains et vouant mon intérêt à l'étude de la magie, je fini par devenir la coqueluche du professeur de sortilèges, m'ouvrant encore un peu plus les porte d'un monde qui me séduisait déjà. Gravissant une à une les classes comme une simple formalité, je n'eu aucun problème à asseoir ma réputation. Même si je n'en tirait aucun vulgaire orgueil, je dois bien avouer qu'il est agréable d'être remarqué pour ce que l'on sait faire. Je ne vous parlerais pas de mes années à Poudlard, pour la simple et bonne raison que je n'en ai pas envie. J'ai simplement vécu, appris. Sans relâche et sans coupure, expliquant encore un peu plus mon détachement des autres qui, au final, se retourna contre moi. Devenant la personne mystérieuse et abstraite, électron libre que personne n'ose approcher afin de ne pas perturber une règle factice qu'ils n'osent remettre en compte.
Avec l'appui du Professeur Flitwick, je suis parvenu à accéder à un cursus bien singulier à Haveirson. Mes notes et mes capacités me permettant allègrement de rejoindre celui-ci. J'entame déjà ma deuxième année. Le temps semble passer à la fois vite et lentement. Comme si j'étais trop détaché des choses. Parfois, je me dis qu'il faudrait que je retourne vers les autres. Mais je crois qu'au fond de moi, j'ai peur de le faire. Je ne suis qu'un nom, personne ne m'a jamais parler. Je revis mon passé au quotidien, sans passé ni présent, je ne suis personne vu que personne ne me considère. C'est étrange comme sensation, mais je finirais surement par m'y habituer.
Après tout, je ne suis là que pour faire avancer la beauté de la magie et sa puissance. Pas pour être aimer.. C'est triste.

Nous vous demandons de répondre à ces quatre questions qui permettront de mieux cerner la personnalité de votre personnage et d'aider le Choixpeau à mieux vous répartir. Il vous faut répondre à toutes les questions pour que votre fiche soit validée et vous ne pouvez choisir qu'une seule réponse par question. Si vous doutez ou si aucune des trois réponses ne colle à votre personnage, choisissez celle qui est la plus près de sa personnalité. Indiquez votre réponse en la mettant en caractère gras, ou d'une quelconque façon en évidence.

Question 1. Votre famille souhaite vous unir avec l’héritier/e d’une autre grande famille sorcière, mais vous n’êtes pas d’accord avec cette union.

a) Vous leur annoncez calmement que vous refusez et, quitte à être déshérité, vous quittez le domicile familial.
b) Vous les envoyez bouler sans aucune finesse. Ils ont trop regardé « Amour, Gloire et Magie » !
c) Vous leur faite rapidement comprendre qu’il serait à leur avantage de changer d’avis.  

Question 2. Parmi les citations suivantes, laquelle parle le plus à votre personnage ?

a) « D’autres choses peuvent nous changer, mais nous commençons et finissons avec la famille » - Anthony Brant
b) « Ce que nous faisons pour nous-même disparaît avec nous. Ce que nous faisons pour les autres et le monde est immortel et demeure » - Albert Pike
c) « Une question parfois me laisse perplexe : est-ce moi ou les autres qui sont fous ? » - Albert Einstein

Question 3. Si votre patronus se trouvait parmi les animaux suivants, lequel serait-ce ?

a) Une loutre
b) Un renard
c) Un chien

Question 4. Si ton personnage était une histoire d’amour, il serait :

a) Un conte de fée passionné basé sur le prendre soin et le fait d’être toujours là l’un pour l’autre
b) Une relation d’amour libre basée sur le respect de l’individualité de chacun
c) Une relation ayant demandé beaucoup d’Apprivoisement et basée sur la confiance

Question 5. Ton personnage a été trahi par une personne en qui il avait totalement confiance. Il décide :

a) De se réfugier dans sa solitude, sa nostalgie et sa contemplation. Le vent finira bien par balayer les souvenirs qu'il a partagés avec cette personne.
b) De tourner la page, de l’ignorer et de continuer d’avancer. Elle ne méritait pas sa confiance.
c) De directement se pointer chez elle pour lui en parler entre quatre yeux, histoire de mieux comprendre son geste… ou de se vider le cœur.