Devoirs de potion - sujet temporaire

18/12/2005

Voici la liste des devoirs de potions rendus ainsi que la liste des élèves qui doivent rendre le devoir:

J'attends impérativement les devoirs des élèves suivants:
Citation :
- Neville Londubat
- Ona O’Sullivan
~~- Angel Johnson~~
- Blaise Zabini
~~- Harmony K. Sharen~~
- Daphné Greengrass
- Bella Bowman
- Aaron N. Powell
- Cyril Evans
- Morange Tiller
- Yvain Gallant
- Rachel Austin
- Luc Yriarte
- Stela Bianca

Si je ne reçois pas vos réalisations dans les délais, je serais hélas dans l'obligation de retirer des points à votre maison.

Pour les élèves suivants, le devoir est facultatif, compte tenu de leur niveau:
Citation :
- Dorian Gates
- Gareth Davis
- Gwendoline Fuller
- Shamee Fuller

18/12/2005

Dissertations :

Harmony Sharen a écrit:: Dans ce devoir, nous allons nous pencher sur les effets de la potion de ratatinage et sa composition. On prépare la potion de ratatinage en hachant une de pognée racines de marguerite, en coupant une chenille en tranches régulières et en mélangeant ces ingrédients à une rate de narval ou un foie de rat, des cuisses de grenouille et du jus de sangsue. La potion prend une couleur vert clair et on doit la laisser infuser cinq minutes avant de l’utiliser.
Comme son nom l’indique, cette potion permet de réduire la taille des objets. A première vue, on peut considérer qu’un sortilège de ratatinage remplit la même fonction dans un geste bien plus simple à effectuer qu’une telle concoction. Toutefois, nous allons montrer dans ce devoir en quoi cette potion montre un intérêt non négligeable comparé à un basique “Reducio”.
Tout d’abord, elle possède une deuxième fonction. En effet, elle inverse le vieillissement d’un sujet vivant. Cette double utilité est intéressante et singulière.
Dans un premier temps, nous verrons la fonction de réduction d’un objet, son intérêt et son explication. Dans un second temps, nous nous intéresserons à la fonction de rajeunissement d’un sujet vivant.

A priori, on pourrait se demander pourquoi utiliser une potion nécessitant un temps de préparation plutôt qu’un sortilège de ratatinage dont l’exécution est immédiate, pour réduire la taille d’un objet. Deux raisons principales peuvent être dégagées.
Tout d’abord, nous évoquerons le principe fondamental de la science des potions. Les potions sont préparées en avance et en tant que telles, n’ont pas le même rôle qu’un sortilège improvisé. Les potions servent dans des situations prévues, conçues et imaginées à l’avance. En ce sens, elles offrent une stabilité dans le temps et l’espace plus importantes que les sorts. Par exemple, il est très facile d’user d’un contre-sort, tel que le sort d’Engorgement pour augmenter à nouveau la taille de l’objet. L’utilisation d’une potion de ratatinage a, au contraire, un but de réduction durable de l’objet.
Deuxièmement, l’intérêt de l’utilisation d’une potion plutôt que d’un sortilège est la précision plus fine qu’offre la première. En effet, le dosage de la potion permet de jouer sur les effets. S’il est possible pour un bon sorcier de maîtriser la réduction en jetant le sort, cela ne sera jamais aussi précis que le dosage exact de la potion de ratatinage, en fonction des effets recherchés.
C’est pour ces deux raisons que l’usage de la potion de ratatinage peut très bien être préféré à celui d’un sort de ratatinage. L’utilisation de ce sort est facilement écartée quand on considère la deuxième fonction, plus singulière, de la potion de ratatinage.

Par ailleurs, la deuxième fonction de la potion de ratatinage en fait un outil étonnant. Alors que le sort de ratatinage n’opère aucune différence entre sujet vivant ou non, la potion du même nom a des effets différents dessus, se rapprochant de la métamorphose. En effet, la potion de ratatinage inverse le processus de vieillissement d’un animal ou d’une plante. Un petit animal adulte retournera à son état d’enfant avec trois gouttes de potion.
On peut suggérer que c’est le jus de sangsue, aussi présent dans le Polynectar, combiné au foie de rat ou à la rate de narval qui permet ce résultat. En effet, ces organes ont un rôle dans la métabolisation des cellules sanguines respectivement au stade foetal et embryonnaire, ce qui, combiné aux autres ingrédients, rend l’inversement du vieillissement possible, par la production de nouvelles cellules, plus jeunes. Le jus de sangsue est un ingrédient courant dans les potions métamorphiques, comme le Polynectar sus-mentionné.
La potion est donc très intéressante en médicomagie pour contrer certains effets du vieillissement. En cas de tumeur, elle permet de revenir à la cellule originelle et d’éviter sa mutation cancéreuse. Par ailleurs, il est tentant de vouloir l’utiliser pour maintenir à l’état infantile permanent des petits animaux de compagnie, voire même de l’utiliser pour maintenir une jeunesse éternelle.
Toutefois, comme la deuxième loi sur la métamorphose nous l’indique “toute chose créée par magie ne dure pas”. On peut considérer que cette loi s’applique aussi aux effets des potions, dès lors, l’inversement du vieillissement ne saurait maintenir le sujet dans l’état rajeuni. Il n’est cependant pas exclus que la prise régulière de la potion maintienne le phénomène en marche, de la même manière que les potions prises en cas de maladie chronique.
En conclusion, nous noterons que la singularité de cette potion tient à son double-effet, selon le sujet prenant la potion. Pour un sujet non vivant, une matière première ou un objet manufacturé, elle réduit sa taille de manière plus durable et précise que le sort homonyme. Pour un sujet vivant, elle inverse le processus de vieillissement, touchant alors au domaine de la métamorphose et posant donc des questions similaires sur la portée de son usage.
Cette dualité peut être expliquée par l’interaction entre la potion et le sujet visé, plus particulièrement, sur le rôle du jus de sangsue dans cette interaction.

Angel Johnson a écrit:: LA POTION DE RATATINAGE

I - EFFET

La potion de Ratatinage a pour effet de rajeunir quiconque buvant ce breuvage, elle inverse le processus de vieillissements. Prenons un exemple basique. Si l’on utilise cette potion sur un crapaud, ce dernier se transformera instantanément en un têtard. C’est aussi une potion magique qui permet de faire rétrécir les objets. Attention à la moindre erreur commise durant la préparation, la potion peut devenir un véritable poison. Il n’est donc pas utile de préciser que les étapes doivent être suivis minutieusement pour la bonne réussite de la potion.

II - INGREDIENTS

Pour faire cette potion, il nous faut les ingrédients suivants :

Des racines de marguerite
De la figue sèche et pelée
Des chenilles mortes
Une rate de narval ou un foie de rat
Dix centilitre de jus de sangsues
Deux cuisses de grenouilles.

Chaque ingrédient a évidemment sa particularité. Et s’il en manque ne serait-ce qu’une demie mesure, qu’on en ajoute trop ou encore si elle est mal préparée, la potion sera inévitablement ratée.

Prenons l’exemple des racines de marguerite. Il est très important de les couper soigneusement, les morceaux doivent être de taille égale et surtout pas trop gros. Sinon on peut être sur que la potion ne seras pas réussie.

Pour la figue, elle doit être sèche et bien pelée. Mais surtout, il ne faut pas qu’il ne reste qu’un petit bout au final, sinon cela fausse complètement la préparation.
Concernant les chenilles mortes, il s’agit là du dernier ingrédient à ajouter. En effet cela cuit plus vite que le reste. Aussi si nous l’ajoutons dès le début, elles risquent de trop cuire et de ne plus être bonnes à la fin de la préparation.

Pour ce qui est de la rate de narval ou du foie de rate, il faut faire attention à n’en mettre qu’UN. Dans le cas contraire, la potion prend une couleur orangée et devient toxique.

Enfin les cuisses de grenouilles, sont, je pense, à l’origine de la couleur final de la potion. A savoir le vert clair.

III – HISTOIRE

La potion de ratatinage a fait son apparition dans un peu village sorcier il y a longtemps. Un sorcier dénommé Samuel Plunkett, persécuté par son visage décida, le jour de son anniversaire, de déverser cette potion dans le puit. Les villageois ont alors commencé à rétrécir après avoir bu l’eau contaminée. Le sorcier passa alors sa journée à s’amuser à les chasser et les écraser avec des chaussures cloutées.

Zygmunt Budge, un autre sorcier, adepte des potions, qui rêve de devenir le Maitre des Potions, a créé, un peu plus tard sa propre version de la potion de ratatinage.
Aujourd’hui cette potion d’une difficulté modérée, est enseignée aux apprentis sorciers durant leur scolarité.

IV – ANTIDOTE

Il existe un antidote pour contrer les effets de la potion de Ratatinage. Une fois l’antidote administré, la personne, créature ou objet reprend son apparence initiale. Cependant il faut préciser que cette potion est très complexe à réaliser. C’est pourquoi il vaut mieux y réfléchir à deux fois avant d’ingurgiter ce breuvage.

Cela dit, d’autres potions dites plus classiques peuvent être utilisées dans certains cas, notamment selon l’effet produit par la potion de ratatinage :

S’il s’agit d’un rajeunissement (ce qui est le cas quand la potion est réussie et lorsqu’elle a été donnée à des personnes ou animaux), on peut utiliser une potion de vieillissement pour contrer les effets.
Lorsque la potion a été utilisée sur un objet et que l’effet est un rétrécissement, on peut utiliser la potion d’enflure pour redonner la taille réelle.
Enfin, si la potion de ratatinage a été ratée et que le sujet en est empoisonné, on peut utiliser un bézoard.

V – CONCLUSION

Pour conclure, nous vous pouvons dire que cette potion n’est en soit pas très compliqué à réaliser. Cependant chaque ingrédient doit être correctement préparé, et chaque étape doit être correctement réalisée. En effet, les effets indésirables, en cas d’erreur, peuvent être fatals. Enfin même si l’antidote principal est compliqué à faire, on peut toujours trouver d’autres solutions annexes pour contrer la potion et ses différents effets.

Neville Londubat a écrit:: Neville Londubat

Potion de Ratatinage (Professeur Slughorn)
La potion de ratatinage sert à rétrécir des gens ou des créatures magiques ou encore des animaux. Il faut l’ingurgiter et donc les objets inertes tels que les meubles, les horloges ou un crayons n’auront subis aucun effet.

Le sort « Réducto » fait un peu la même chose mais sur les objets aussi.

Alors pourquoi choisir cette potion ?

Tout d’abord, il faut la préparer donc le sorcier devra avoir un plan en tête quand à son utilisation ultérieure et ne devra pas être pressé de s’en servir. Ensuite, la potion doit être bue donc elle est plus sûre que « Réducto » puisque « Ratatinage » est directement en contact avec les organes de la personne visée.

Cependant, cette potion comme toute potion est inutile en combat. Un combat est sur le coup donc le sorcier n’aurait pas le temps, les ingrédients et les accessoires à sa disposition. Il ne pourra pas faire cette potion tout en se défendant de ses adversaires.

Cette potion est inutile aussi lorsqu’on se fait attaquée par des méchants et que l’on est sur son balai en train de voler. Imaginez un sorcier dans les air entrain de faire chauffer son chaudron dans le ciel. Impossible.

Par contre, la potion est plus utile que « Réducto » car ce dernier sort réside dans les paroles prononcées et dépend également de la baguette et de son emploi.

Je pense que « Réducto » est très bien lors de combats ou duels et que « Ratatinage » est bien si l’on a le temps de la prépararer et qu’on a élaboré un plan de combat à l’avance pour savoir comment et sur qui user de la Potion de Ratatinage.

Ona O’Sullivan a écrit:: Non : Ona O’Sullivan

Sujet : Dissertation « Potion de Ratatinage »
Professeur : Horace Slughorn

La potion de ratatinage est une potion enseignée aux sorciers. Ce qui veut dire qu’elle est autorisée pas comme les sorts impardonnables que sont Le Sortilège Impérium, Le Sortilège Endoloris et Le Sortilège de Mort.

La potion de ratatinage sert à des gens car il faut la boire ce qu’un objet est incapable de faire. Mais il faut bien la préparer parce qu’elle peut être mortelle sinon. Je ne connais pas encore l’antidote puisque le professeur Slughorn ne nous en a pas encore parlé mais je pense qu’il existe un contresort à tout sortilège qui n’est pas impardonnable.

Après l’absorption du breuvage, l’être humain sorcier ou moldu ainsi que créature magique puisque la potion marche sur tout être capable de boire, il faut savoir si le sorcier garde tous ses pouvoirs ou si ces pouvoirs sont proportionnels à sa taille nouvellement acquise.

En gros, la potion de ratatinage est une bonne potion mais qui n’a pas l’air d’être la plus utilisée par le monde sorcier.

Cyril Evans a écrit:: La potion de ratatinage est un exercice habituellement abordé en troisième année. Malgré son nom enfantin et son apprentissage dans la première partie du cursus de l’apprenti-sorcier, elle ne peut être considérée comme anecdotique. Sa préparation est particulièrement délicate, même si les ingrédients communs qui entrent dans sa composition ne le laisse pas présager pour un oeil peu attentif. On peut ensuite la considérer sur trois plans ; son intérêt dans la vie quotidienne, ses utilisations historiques et enfin, la nécessité de l’intégrer dans le cursus de Poudlard.

Premièrement, la potion de ratatinage trouve son utilité première dans les métiers liés à la faune magique. L’ingestion de cette solution par une créature brutale et de grande taille peut permettre sa manipulation tout en limitant les risques encourus par le soigneur. Ainsi, même si des créatures particulièrement puissantes comme les dragons ou les hippogriffes ne sont pas affectés, d’autres comme les sombrals ou les niffleurs deviennent bien plus gérables. On peut également citer cette potion dans le quotidien des éleveurs. Malgré la levée du Secret, le transport de troupeaux composés de créatures magiques restent toujours extrêmement délicat vis à vis des Moldus. Rendre un groupe d’animaux à la fois plus jeunes et plus petits n’exige plus un dispositif de sécurité et de camouflage aussi important.

Néanmoins, la potion de ratatinage n’a pas toujours été vouée à une utilisation si positive. Son inventeur, Zygmunt Budge s’est inspiré d’une légende sorcière, qui même si elle n’est pas avérée, semble être considérée comme l’ancêtre de la potion de ratatinage : Un mage du passé a donc utilisé une décoction semblable pour exercer une vengeance particulièrement malsaine sur un village de moldu. Après les avoir tous rendus minuscules, il les a chassés avec ses bottes cloutées. L’intérêt d’une telle démarche reste cependant à prouver. La potion telle que nous la connaissons aujourd’hui n’est certes plus aussi puissante et il est bon d’espérer que la recette originelle a été perdue.

Enfin, la question essentielle reste la raison pour laquelle la potion de ratatinage est enseignée à Poudlard. On peut espérer que le but n’est pas d’ouvrir l’esprit des élèves quant aux armes potentielles qu’ils ont dans leur quotidien. De nos jours, il est cependant utile de faire usage de cette potion pour faciliter certaines tâches ménagères ou jardinières, telles que arracher les mauvaises herbes. Les méthodes moldues sont malheureusement peu adaptées pour un résultat facile et respectueux de notre environnement. Ainsi, même pour les élèves qui ne se destinent pas à la magizoologie, l’apprentissage de la potion de ratatinage garde tout son utilité.

En conclusion, on peut dire que la recette n’est pas à mettre dans toutes les mains, et il est heureux qu’elle soit aussi difficile à réaliser pour déployer sa pleine puissance. Les élèves en botanique et en soins aux créatures magiques vont lui trouver un intérêt tout particulier, ainsi que tout ceux qui souhaitent transporter facilement et discrètement un animal magique. On pourrait aussi imaginer vendre cette potion en animalerie. Si l’utilisation de la potion de ratatinage sur les chavolants pour les garder chavolantons à tout jamais n’est probablement pas éthique, elle limiterait fort probablement les abandons des créatures une fois devenues adultes.

Yvain Gallant a écrit:: La potion de ratatinage, aussi abordée sous le titre de ‘solution’, est une réalisation dont l’effet le plus connu et le plus attendu, est celui de la réduction de la taille des objets exposés à son contenu. De fait, elle fait partie du registre des mixtures de caractère commun, dont l’usage n’est toujours pas réglementé quant à son utilisation dans le cadre privé et professionnel.

Toutefois, cette potion peut se révéler très utile dès lors qu’on l’utilise dans un autre but que celui originalement recherché. Elle agit ainsi à l’encontre du processus de la potion de vieillissement, permettant de diminuer voire d’altérer complètement les effets dévastateurs d’un tel philtre. Les travaux de Edgar Potaufeu, publiés au début des années quatre-vingt, laissent même supposer qu’en mélangeant la solution de ratatinage à deux gouttes d’Amortentia, l’on pourrait user de la mixture obtenue comme un diurétique particulièrement efficace.

À une échelle cutanée, ladite préparation de ratatinage se trouve même usitée par les médicomagies, étant donné son efficacité contre les verrues et les pustules. Selon l’ouvrage de Hakk Nay, petites méthodes pour éradiquer les bourgeons disgracieux de vos visages, une mesure suffirait à faire rapetisser des boutons encombrants, pour ceux que les onguents et cataplasmes indisposent.

Cela dit, il faut toujours vérifier la teneur en jus de sangsue par centilitre, au risque de se découvrir une plaie béante à la place de l’effroyable comédon de la veille.

Tous ces exemples mettent en lumière l’incroyable adaptabilité d’une telle mixture. Par ailleurs, c’est ce qui explique l’intensification de son usage sur le marché du para-médical et des cosmétiques.

18/12/2005

Réalisation des potions de ratatinage :

Harmony Sharen a écrit:: Le 2 janvier, après son cours de défense contre les Forces du Mal, Harmony se dirigea vers les cachots. Non pas pour se reposer dans la salle commune, mais pour rejoindre la salle de cours de Potions. Le professeur Slughorn laissait une plage horaire quotidienne aux élèves pour préparer le devoir de rentrée qu’il leur avait demandé.
Une fois arrivée dans la pièce sombre et froide, Harmony déposa son sac au pied d’une chaise et son manuel sur la paillasse.
Page 456. “La potion de ratatinage permet de réduire considérablement la taille des objets. Sur les sujets vivants, elle inverse radicalement le processus de vieillissement.” Cette double caractéristique avait quelque chose de génial et d’intrigant à la fois. L’un des devoirs consistait justement à rédiger une dissertation sur la potion. Harmony décida de s’intéresser de plus près à cet aspect multiforme. Dans son esprit, les idées fusaient déjà.

Elle était ici pour réaliser la concoction elle-même, toutefois, pour ne rien perdre des remarques que l’exercice pourrait lui inspirer, elle sortit un papier de brouillon, qu’elle déposa à côté de son chaudron.
Puis elle rassembla les ingrédients indiqués. Racines de marguerite, figue séchée, jus de sangsue, cuisses de grenouille, une chenille et… une rate de narval. Quand Harmony avait discuté de son devoir avec Aston, son aîné lui avait conseillé d’utiliser du foie de rat. En effet, le professeur Rogue conseillait le rat plutôt que le narval. Cela tenait selon lui au dosage plus délicat de la rate.
Après quelques recherches, Harmony avait décidé de suivre ses conseils. La rate utilisée dans cette potion l’était davantage du fait de son rôle dans la métabolisation du sang au stade embryonnaire, que de son rôle immunitaire. Or, comme la rate d’un animal adulte servait à détruire les cellules sanguines, les effets pouvaient être contradictoires. Le résultat en était souvent une potion trop puissante, écrabouillant davantage que ratatinant et encore pire dans le cas de l’utilisation sur un être vivant. La composition avec de la rate de narval était préférée en médicomagie, mais pour une utilisation commune, le foie était une option plus sûre.

Une fois tous les ingrédients disposés sur la paillasse, Harmony alluma le feu sous son chaudron. Elle noua son tablier et s’appliqua à hacher finement et en parts égales les racines de marguerite. Puis elle pela la figue délicatement et l’ajouta dans le chaudron. Un doux fumet s’en dégageait, jusqu’à ce qu’elle y verse les morceaux gluants et visqueux de chenille. Elle fit tourner la mixture trois fois dans le sens anti-horaire avant d’ajouter le foie de rat entier. Comme il n’était pas très grand, il valait mieux ne pas le couper, au risque qu’il cuise trop fort et s’assèche avant d’être correctement mélangé avec le reste.

La potion prit une jolie couleur vert clair et la jeune fille semblait satisfaite. Elle annota son papier de quelques réflexions après avoir coupé le feu, en attendant que le liquide infuse. La jeune Serpentarde était toujours très soigneuse, et dans cette matière, l’apanage de sa maison, elle se refusait à montrer une quelconque faiblesse. Il en allait de sa dignité. De plus, elle cherchait à se montrer exceptionnellement douée - quand bien il ne s’agissait que de travail - devant le professeur Slughorn, dans l’espoir qu’il l’invite un jour aux réunions de son club. Elle rêvait de ces soirées mondaines et y trouvait un attrait certainement dérisoire au vu de leur réelle importance.

Cinq minutes plus tard, Harmony déposa un gros noeud papillon vert anis sur sa paillasse. L’accessoire, ridicule, devait servir de test. Elle versa trois gouttes du mélange sur le tissu et le noeud rapetissa au point de ne plus mesurer qu’un centimètre. Elle fit de même ensuite avec une hyacinthe en pot qui retourna aussitôt à l’état de bulbe.
Satisfaite, Harmony rangea les ingrédients supplémentaires qu’elle avait préparés au cas où le premier essai était un échec, puis versa avec une grande concentration le liquide dans un flacon de verre.
Ainsi, elle tablait sur une bonne note pour commencer l’année !

Stela Bianca a écrit:: La jeune fille avait bien tout notée pour le devoir. Elle n'était pas sûre d'y arrivée, mais était au moins sûre d'avoir ce qu'il fallait!!! Elle occupait la salle de cours qui, une chance, était vide. Elle sortie de son sac son cahier qui contenait la liste.

Devoir du cours de Potion – La potion de Ratatinage.

Les ingrédients nécessaires :

• Une poignée de racine de marguerite.
• Une figue séchée et pelée.
• Une chenille.
• Une rate de narval
• Dix centilitres de jus de sangsue.
• Deux cuisses de grenouilles.

Objets nécessaires :

•Un chaudron en étain de taille standard.
•Des gants en peau de dragon.
•Deux pinces et un couteau.
•Un tablier anti-brûlures.
•Le livre infusion et potions magiques de Bartholoméus Muche.
•Un flacon de verre.

Malgré les gants et le tablier, elle avait, tout de même réussie à ce bruler le pied gauche durant la préparation...
Apres avoir chauffée une quinzaine dd minute la potion avait une couleur indigo, Stela était, quasiment, sûre que c'était ainsi qu'elle devait être. Elle savait que si elle loupait la potion, celle-ci passerait de potion à poison. Ce qui pourrait valoir une très mauvaise note, chose que la jeune fille préférait éviter... Elle récapitulait, racines, figues, chenilles, ... Tout y était, les proportions avaient été respectées. Donc, une fois tout rangé, elle mit tout sur papier. Elle ne savait ce qui était le plus dur. La potion, ou de tout écrire en utilisant les mots appropriés...

Angel Johnson a écrit:: Et voilà, les vacances étaient bel et bien terminées. L’attaque du banquet avait quelque peu bouleversé les élèves mais petit à petit ils s’en remettaient. Angel qui avait perdu son amie Alicia dans cette attaque, avait eu encore plus de mal que les autres. Elle aussi avait quelques cicatrices sur son visage, et d’après l’infirmière Mme Pomfresh, il lui fallait encore quelques mois pour que ceux-là disparaissent. Bref malgré tout, ses évènements marquants n’empêchaient pas les professeurs de reprendre leur cours, comme à leur habitude et leur donner des devoirs. Et ce fut le cas du Professeur Slughorn. Ce dernier ne leur donna pas un, mais deux devoirs à faire. Le premier étant une potion de Ratatinage à préparer et lui remettre et le deuxième, un parchemin sur leur réflexion sur cette même potion. Super ! Tant qu’à faire autant s’y mettre tout de suite et le finir pour être tranquille non ? C’est ce que décida de faire la Préfète des Serpentards.

Il était donc 16h30, lorsqu’Angel termina ses cours. Elle se dit qu’elle devait faire son devoir de Potion avant que la flemme l’emporte. Aussi, sans même aller dans sa salle commune, elle se dirigea vers la salle de classe des Potions. Heureusement pour elle, la salle était vide. Elle serait donc plus concentrée. Elle posa son sac sur une chaise, en sorti son manuel d’infusion et potions magiques de Bartholoméus Muche et l’ouvrit à la page traitant de la potion de Ratatinage. Elle prit ensuite son chaudron en étain (taille standard) et le posa sur la table devant elle. Elle avait ensuite besoin de quoi se protéger. N’étant pas une adepte des Potions, rare étaient les fois où elle réussissait une potion sans dégâts. Elle prit donc ses gants en peau de dragon et les posa à côté du chaudron, avant de prendre un tablier anti-brulure et le mettre tout de suite sur elle. Elle avait déjà des coupures suite à l’attaque du banquet, il ne manquerait plus que des brulures à cause d’une mauvaise manipulation ! Et le pire dans tout cela, c’était qu’elle en était bien capable. Il ne manquait plus que les objets nécessaires à la préparation de la potion. Pour cela elle regarda sur le manuel où c’était préciser. Elle avait donc besoin de deux pinces, un couteau et un flacon de verre. Elle réunit tout ceci et les posa près des gants et du chaudron.

Il fallait passer aux ingrédients maintenant. Pour cela, elle se rappela que le professeur Slughorn avait indiqué dans sa note, accrochée au panneau d’affichage que les élèves pouvaient trouver les ingrédients à leur place habituelle, dans leur placard. Bien. Elle attrapa un bout de parchemin dans son sac et sorti une plume pour y griffoner les ingrédients nécessaires, comme indiqué dans le livre :
Angel a écrit:
- Une poignée de racine de marguerite
- Une figue séchée et pelée
- Une chenille.
- Une rate de narval
- Dix centilitres de jus de sangsue.
- Deux cuisses de grenouilles.

Elle se dirigea ensuite vers le placard et récupéra ce dont elle avait besoin. Une fois revenue à sa place, elle regarda le tout et soupira. Tout était prêt. Il n’y avait plus qu’à…

-Allez c’est parti !

Se dit-elle à haute voix pour se donner le courage et la force nécessaire à attaquer cette préparation. Elle se pencha donc sur son manuel pour lire la première étape : Couper les racines de marguerite. Elle prit donc le couteau et se mit à découper les racines, soigneusement, les hachant en faisant attention à ce que chaque morceau soit de taille égale et pas trop gros. Jusque-là ça allait ! Une fois cela fait, elle nettoya son couteau et posa les morceaux de racines découpés à coté pour passer à l’étape suivante : Peler la figue sèche. Bon pour cette étape elle n’avait rien à faire puisque la figue qu’elle avait été déjà pelée et séchée. Etape suivante : Découper la chenille en tranche. Beurk. Avec un air de dégout elle reprit son couteau et attrapa la chenille morte et visqueuse. Elle en avait des hauts le cœur tellement c’était déguelasse. Elle le coupa plus hâtivement et moins soigneusement que les racines. Tampis si cela changeait le résultat, mais rien que toucher cette matière visqueuse, ça la dégoutait. Elle fit donc cette étape au plus vite. Une fois terminé, elle se nettoya les mains et son couteau, en les lavant dans l’évier qui n’était pas loin de sa table. Plusieurs fois, pour bien enlever les taches qui persistaient.

Maintenant que tous les ingrédients étaient prêts à l’emploi. Elle récupéra un pilon et un mortier dans le placard et revint à sa place. Elle mit ensuite le chaudron à chauffer à feu vif Elle devait le laisser chauffer cinq bonnes minutes à feu vif avant de passer au feu moyen, dix minutes. Pendant que le chaudron chauffait, elle jeta les morceaux de racines de marguerite dans le mortier et utilisa le pilon pour les écraser, au mieux.

Une fois la quinzaine de minutes passées, elle mit ses racines de marguerite écrasées dans le chaudron et écrasa ensuite la figue séchée et pelée. Elle l’ajouta à son tour dans le chaudron. Angel attrapa ensuite la rate de narval et l’ajouta dans le chaudron. Une fumée blanche en sorti, dans une sorte d’explosion de fumée. La préfète se demanda alors si elle n’avait pas fait une erreur. Elle relut son manuel et vérifia qu’elle n’avait pas manqué une étape. Mais non elle avait fait exactement ce qui était écrit. Une fois la fumée dissipée, rien de surprenant. On entendait toujours le petit crépitement régulier qui sortait du chaudron. Pas d’odeur étranges… bon la fumée, ça devait être normale alors. Elle reprit sa lecture pour voir qu’elle devait verser maintenant dix centilitres de jus de sangsue. Ce qu’elle fit donc. La potion commença à prendre une couleur noire encre. Oula…. Elle devait ensuite ajouter les deux cuisses de grenouille. Le liquide noir vira alors sur une couleur plutôt verte foncé… Surement dû aux cuisses.. Bon ça se rapprochait un peu plus de l’aspect final attendu… Elle était sur la bonne voie. Du moins elle l’espérait ! Elle mélangea le tout avec sa baguette avant d’ajouter le dernier ingrédient : la chenille découpée en morceau. Une nouvelle explosion de fumée. Verte cette fois. Angel se demanda encore une fois si cela était normal. Il ne restait plus qu’à laisser le tout mijoter et infuser pendant une bonne trentaine de minutes à feux doux. Elle baissa donc le feu et laissa ainsi.

Elle prit tous les ustensiles utilisés durant la préparation et alla les laver à l’évier avant de les ranger. Elle rangea aussi le reste des ingrédients non utilisés, là où elle les avait trouvés dans le placard. Elle regarda ensuite sa montre pour voir que cela faisait déjà quarante minutes que la potion infusait.

- Et merde ! Les trente minutes sont déjà passées !

Dit-elle en se précipitant à sa place, elle espérait que ce petit retard ne fausse pas le résultat. Elle prit une pipette et son flacon en verre et mit quelques gouttes de sa potion devant. Elle leva ensuite le flacon au-dessus de ses yeux. La potion avait un aspect liquide (c’était bon signe) et une couleur vert foncée… Il était écrit dans le livre que la potion finale devait être verte clair… Peut-être que c’était normal et que sa potion s’éclaircirait en refroidissant ? Ou alors elle s’était trompée quelque part … De toute façon elle avait fait de son mieux, elle verrait bien sa note ! Elle prit la fiole remplie de la potion qu’elle venait de préparer et y colla une étiquette en écrivant dessus : Potion de ratissage, Angel Johnson. Elle n’avait plus qu’à rédiger son parchemin et remettre le tout au professeur Slughorn. Elle se mit donc à la rédaction de son essai….

Neville Londubat a écrit:: Neville avait décidé de se rendre le plus tôt possible dans les cachots afin de préparer le devoir du professeur Slughorn. Ils devaient presque tous faire la Potion de Ratatinage, accessible aux élèves à partir de leur troisième année.

Le gryffondor avait apporté son livre « Infusion et Potions Magiques », une paire de gant en peau de dragon, son chaudron, un mortier et son pilon, un flacon en verre pour y verser sa potion une fois finie, un tablier pour ne pas se brûler, des pinces et un couteau. Le tout rangé dans le chaudron pour faciliter le transport de son matériel.

Le gryffondor ouvrit son livre à la bonne page et commença à s’atteler à la concoction de la dite-potion. Il posa son mortier sur la table en bois. Il alla chercher une figue sèche qu’il écrasa du plat de son couteau puis la versa dans le mortier où il l’écrasa avec son pilon. Après avoir obtenu une fine poudre de couleur figue, Neville continua de lire son livre.

« Il faut mettre tout ça dans le chaudron… »

Il posa son chaudron sur la table au-dessus de l’endroit prévu pour l’allumage et sortit sa baguette magique. Il lança « Aguamenti » et quand l’eau fut au bon niveau dans le récipient selon neville celui –ci arrêta le sort. Neville ajouta cinq poignées de figues dans le chaudron.

« Incendio » lança Neville sous son chaudron.

Neville lut qu’il fallait chauffer la figue en poudre et l’eau pendant vinq-cinq secondes. Il le fit à basse température du mieux qu’il put.

« Voyons la suite… Racines de marguerite. »

L’ingrédient fut rapidement dans le mortier après avoir été découpé en petits morceaux le plus fin possible. Le gryffondor versa quatre mesures après avoir remis ses gants en peau de Dragon. Il préférait les mettre car les ingrédients quels qu’ils soient pouvaient être néfastes voire peut-être mortels s’ils étaient touchés à mains nues.

Le sixième année en était arrivé au moment de la chenille qui était écrasée dans le mortier. Il en pris une poignée, mains gantées et la versa dans l’eau et la poudre de figue. Neville remua le tout à l’aide de sa baguette magique.

« Le livre dit ensuite qu’il faut 10 centilitres de jus de sangsue. »

Il trouva un flacon dans l’une des armoires de la salle de potion et mesura la dose exacte avec un verre gradueur trouvé dans une autre armoire, pleine de matériel. Il remua six fois dans le sens contraire à une montre fonctionnant puis arrêta son geste avant le septième coup de baguette.

« C’est bientôt fini. C’est vachement dur et là, je n’ai même pas Hermione pour m’aider. »

Neville repensa à sa troisième année où sa meilleure amie avait dû l’aider et avait par conséquense fait perdre des points à Gryffondor.

Neville ajouta la rate de Narval dans son mortier et l’écrasa, elle-aussi comme les autres ingrédients avant, à l’aide de son pilon.

« La rate dans le chaudron c’est fait. Mélanger cinq fois le tout dans le sens des aiguilles d’une horloge, c’est fait. Chauffer le résultat pendant 10 secondes à haute température… »

Neville se concentra, après avoir mis son tablier, car il ne voulait pas rater ce dernier geste. Dix secondes qui pouvaient tout changer. Cela était trop court et en même temps trop long pour quelqu’un dans le cas de Neville. Il lança le même sort qu’auparavant et quand la température monta bien vite très haute, Neville stoppa le sort. Il ne savait même pas qu’il avait fait environs onze secondes.

Le sixième année laissa infuser sa potion dans son chaudron et par la même occasion il laissait la potion refroidir un peu.

Au bout de presqu’un un quart d’heure, la potion devint enfin d’un vert assez foncé et neville attrapa son flacon de verre et le posa à côté du chaudron.

« Je verse avec quoi ? »
Neville ne voulait pas tremper le flacon directement dans le chaudron au cas-où la potion ratatinerait le récipient en verre. Il alla donc fouiller dans les armoires de la pièce et découvrit une petite louche en métal. Il s’en servit pour remplir presque aux trois quarts le flacon de verre et y colla une étiquette avec son nom et celui de la potion.

Ona O’Sullivan a écrit:: Il était encore très tôt après la fin des cours. Ona, serdaigle de quatrième année à Poudlard, se rendait d’un pas las et peu décidé dans les cachots. Elle emportait tout son matériel dans son chaudron qu’elle avait un peu de mal à porter aujourd’hui.

Il fallait dire qu’elle n’était pas enthousiaste de faire le devoir demandé par le Professeur Slughorn. Elle devait préparer une fiole de Potion de Ratatinage et ensuite disserter dessus.

« Enfin !! » lâcha-t-elle quand elle posa son chaudron standard sur un bureau au milieu de la salle de classe.

Elle sortit tout son matériel et l’étala sur la table en bois.

« Voyons ce que dit le manuel… »

Elle vit qu’il fallait commencer par la figue sèche puis la marguerite. Elle trouva ce dont elle avait besoin dans les bocaux en verre et se servit.

« Une figue. C’est fait »

Elle venait de jeter le fruit dans son mortier et l’écrasait du mieux qu’elle put. C’est-à-dire avec peu d’entrain. Elle essayait tout de même de rendre sa décoction la plus parfait possible. Cela allait être difficile car ce n’est que la seconde fois qu’elle devait en préparer. La première fois en cours, elle n’avait pas réussi à la terminer à temps car elle avait pris trop de soin à chaque étape.

« Aguamenti » lança-t-elle grâce à sa baguette de frêne.

Une fois son chaudron rempli comme elle le voulut, Ona ajouta la figue en poudre dans l’eau puis pris une cuillère en bois d’un des placards de la salle et touilla six fois dans le sens des aiguilles d’une montre.

« La suite… La suite… »

La serdaigle lança « Incendio » en vérifiant que le sort soit assez bas car elle voulait chauffer peu pendant vingt-cinq minutes, lut-elle. Pendant ce temps très court, elle eut juste le temps de jeter les quelques racines de marguerites dans son mortier.

« Oups !! » lâcha Ona.

Elle avait failli faire chauffer le mélange un peu plus longtemps mais réussi de justesse à arrêter le feu sous le chaudron. Elle put donc écraser les racines et les verser dans le récipient en métal.

« Une chenille ? »

Ona était étonnée car elle n’était pas vraiment à l’aise avec les insectes qui rampaient on ne savait jamais où. C’est pourquoi, elle revêtit ses gants en peau de dragon et piocha une chenille bien more dans l’armoire des insectes de la classe.

« Voilà.» dit –elle après avoir écrasée et jeté sa chenille où ce qu’il en restait, dans son chaudron.

« Un p’tit coup de baguette et hop passons à la deuxième étape pendant que ça refroidit… »

Ona poursuivit donc la lecture de son manuel de potions. Du jus de sangsue ? Elle ne savait pas comment en avoir. Elle trouva quatre sangsue dans un bocal en verre et à l’aide de ses mains gantées, elle les ramena jusque dans son mortier. Ona défit ses gants et écrasa les animaux avec son pilon.

« Aguamenti » lança-t-elle pour faire apparaître de l’eau.

Elle arrêta ce sort au bout de même pas cinq secondes car son mortier était petit et elle jugeait qu’il ne fallait pas mettre trop d’eau au risque de dénaturer le jus de sangsue qu’elle s’empressa de verser dans son chaudron.

« Un, deux, trois, quatre, cinq et six. » comptait Ona pour ne pas faire d’erreur.

Il avait fallu remuer tout cela dans le sens inverse d’une horloge donnant l’heure. Ce qu’Ona réussit parfaitement. Elle regarda la suite de la recette et là, il fallait une rate de Narval, un animal marin qu’Ona n’avait encore jamais aperçut en liberté.

La rate fut prise dans l’un des pots de formol d’une étagère en bois de la pièce. Ona ayant bien évidement revêtue ses gants. La rate semblait vouloir glisser des mains de la jeune fille tant l’organe était mouillé de formol. Ona serrait donc minutieusement la rate afin de ne pas l’abîmer.

« Toi, la rate, tu vas dans le pilon. » dit-elle pour se détendre.

Ona trouvait que cela était aussi compliqué que faire une recette d’un plat moldu sauf que l’effet de sa préparation allait être encore mieux. Encore fallait-il que la quatrième année la réussisse.

La rate écrasée en une sorte de pâte qui ne ressemblait à rien fini elle aussi dans le bain d’ingrédiens du chaudron. La serdaigle en ajouta quatre poignées, mains toujours gantées.
Elle mélangea le tout cinq fois, cinq fois qu’elle avait aussi compté à voix haute. Mélanger dans le tout dans le sens des aiguilles d’une horloge.

« Encore !! »

Ona était un peu fatiguée mais elle voyait qu’il ne restait plus beaucoup de manipulation pour arriver à la fin.

« Incendio » lança-t-elle un peu plus fort puisque la recette demandait « Haute Température ».

Les dix secondes notées dans son bouquins arrivèrent très vite et donc Ona stoppa son sort et laissa refroidir sa potion tout en se détendant du stress causé par ce devoir de préparation.

« J’espère que ça ira. C’est un joli vert foncé. J’dirai que c’est proche du vert caca d’oie… »
Au bout d’un certain temps, la potion ne fumait plus et était assez refroidie pour qu’Ona la verse dans la fiole de verre à l’aide de la cuillère en bois qu’elle avait utilisé un peu plus tôt.
Le flacon de verre était rempli et fermé, étiquetté « Ona O’sullivan –Ratatinage » et près à être évalué par le professeur Slughorn.

Cyril Evans a écrit:: Jeudi, 16h30.
Cyril vient d’écourter sa promenade dans le parc pour enfin se lancer dans la réalisation de sa potion de ratatinage. Il a repoussé l’échéance pendant plusieurs jours, avant de se décider à prendre son courage à deux mains. Il déteste les potions, et sait d’avance qu’il n’obtiendra pas une bonne note. Ses résultats sont certes remontés depuis le remplacement de Rogue par Slughorn… Mais l’impartialité du professeur ne peut pas compenser le manque de talent cruel de l’élève. Le Gryffondor trouve sa seule motivation pour cet art trop délicat, dans l’intérêt qu’il représente pour une autre matière : les Soins aux Créatures Magiques. Depuis que Hagrid l’autorise à l’assister occasionnellement en dehors des cours, l’adolescent commence à comprendre l’importance de pouvoir réaliser ses propres décoctions. Et surtout, de ne pas faire d’erreur dans le mélange.

Assis seul dans la salle de classe, à côté de son chaudron qui arrive doucement à la bonne température, il finit de préparer ses ingrédients. Ses chenilles coupées en lamelles sont rangées proprement — du moins, autant qu’il en est capable — a côté de sa figue pelée et de ses rates de narval. Les racines de mandragore s’entassent en un petit tas peu ordonné à côté des flacons de jus de sangsue et de citron. Avec une grande inspiration, il regarde l’heure et laisse tomber ses cinq premières chenilles dans le chaudron. Ou était-ce quatre ? L’adolescent affiche une mine perplexe alors que son regard passe de sa table à son chaudron. Sérieusement, comment est ce qu’on reconnaît quatre de cinq chenilles, quand elles sont coupées en lamelles ?

La potion chauffe doucement à côté de lui et prend une couleur rouge peu convaincante. Il la caractériserait plutôt d’orange foncé, mais le livre ne dit rien sur les nuances, alors il jete la figue au milieu du liquide tremblotante après l’avoir secouée un peu entre ses mains. Les explications du livre ont beau se vouloir précise, qu’est ce que ça peut bien vouloir dire “secouer la figue jusqu’à ce qu’elle soit prête ?”. A défaut d’être sur, il préfère l’y ajouter trop tôt que trop tard, et étouffe un bâillement devant la couleur jaune orangée que prend soudainement sa potion. Jusque là, ça ne se passe pas trop mal.

Cyril rajoute un peu de bois sous son chaudron, puis ramène ses genoux contre son torse. La potion doit frémir jusqu’à devenir mauve, et même s’il se dit que la faire bouillir un coup accélérerait le processus, il prend pour une fois son mal en patience. Ne pas avoir un professeur ou un Serpentard moqueur qui fait des commentaires narquois dans son dos lui facilite la vie. Pour un peu, il trouverait même ça reposant de concocter son petit mélange bizarre. Peut-être que c’est ça, la clé ? Travailler dans le calme ? Il étouffe un rire. Vu les élèves qui partagent sa classe, ça n’est pas prêt d’arriver.

Quand il reporte enfin son regard sur son chaudron — ses yeux s’étaient perdus dans la contemplation d’une toile d’araignée — il constate qu’elle a enfin pris une couleur mauve profond. Il en est lui-même surpris, et doit vérifier trois fois dans son livre qu’il a bien atteint l’étape suivante. Tout ça se déroule trop bien. Il ajoute alors les rates et les racines de marguerite ensemble et observe son mélange avec un intérêt grandissant alors que celui-ci prend une teinte jaunâtre. Le Gryffondor sent une sorte de satisfaction grandissante le faire frémir, mais les minutes passent, et sa potion reste désespérément dans cette couleur moutarde qui ne veut pas devenir verte.

Tanpis. Les potions, c’est pas pour lui, même avec toute la précision dont il est capable, quelque chose finit par mal tourner sans qu’il comprenne ce qu’il a bien pu faire de travers. D’un seul geste, il ajoute la dernière figue et les cuisses de grenouilles alors que sa potion se met à bouillonner tout en prenant une drôle de couleur à mi-chemin entre le jaune et le mauve. Comme elle est sensée devenir rose, Cyril trouve ce résultat suffisamment concluant pour ajouter la dernière chenille en lamelles et baisse doucement l’intensité de son feu avant que le drôle de liquide ne déborde. Peu à peu, le clapotement se calme et le liquide se met à frémir doucement, lâchant une bulle occasionnelle, tout en virant à un vert presque translucide.

Une intuition au fond de sa tête lui dit que ce résultat ne peut pas être ce qu’il aurait du attendre. Un vert aussi transparent ne peut pas correspondre à “la délicate teinte vert forêt” indiquée dans la dernière étape de son livre. Et il est persuadé qu’une potion aussi délicate à utiliser ne peut pas avoir une consistance aussi visqueuse. Cependant, il n’a plus le temps de recommencer, il verse alors un échantillon de son travail dans un flacon avant de prendre le chemin du bureau de Slughorn.

“Au moins, elle est verte.” Est ainsi la meilleure phrase de conclusion pour son effort.

Yvain Gallant a écrit:: Ses doigts glissèrent vers les ingrédients nécessaires à la préparation, s’occupant à les trier avec une précaution vive et calculée. De tous les enseignements offerts par Poudlard, seules deux matières lui permettaient d’avoir espoir en l’avenir tant il s’y sentait comme un poisson dans l’eau : la défense contre les forces du mal et l’étude des potions. Et, en l’occurrence, Yvain se mouvait avec une aisance rare entre la recette et le chaudron d’étain qu’il utilisait pour l’occasion.

Bon. Tout était là, disposé sous ses yeux dans l’ordre méticuleux qu’il comptait suivre scrupuleusement. Selon lui, la fabrication d’une telle mixture s’apparentait à une science stricte, quoi que légèrement ingénieuse sur des réalisations plus complexes, qui impliquait un procédé à respecter avec la plus grande vigilance.

D’autant plus dans le cas présent. Une mauvaise préparation rendait non seulement le breuvage infecte, mais également dangereux pour la santé. Il le savait. D’où ses gestes étrangement mesurés, lui d’habitude si survolté et dynamique.

Inspirer. Expirer. Et on se lance.

Le septième année vérifia le niveau de l’eau dans le chaudron, et l’ajusta à la mesure attendue avant de s’occuper des figues sèches. Il écrasa ses dernières dans le mortier, appuyant fermement sur le pilon pour en retirer le plus de jus possible. Après quoi, il agrémenta son eau avec le dosage prescrit dans le manuel. Sans perdre de temps, il enchaîna sur les gestes plus techniques de son travail : remuer la potion dans le bon sens, tout en vérifiant le respect des températures. Bon. Pas d’erreur pour le moment.

Il profita d’un instant de pause pour nettoyer ses ustensiles.

Yvain découpa ensuite les racines des marguerites en petits morceaux. De la même manière, il s’occupa d’éclater les chenilles dans le mortier propre afin d’en obtenir une pâte à l’odeur piquante et désagréable. Il glissa ces éléments dans sa réalisation, avec la même précaution des débuts.

Une partie bien plus délicate s’annonçait maintenant. Il allait falloir être rapide et précis. « Bonne merde, hein, comme dirait l’autre. » Furent les seuls mots que le jeune homme articula à l’attention de lui-même. Une sorte d’encouragement.

Sans s’emmêler les baguettes, le Serpentard ajouta les mesures exactes de jus de sangsues, avant de s’atteler à remuer le mélange dans le sens inverse de la première fois. Quatre tour. Pas un de plus. Il souffla, rassuré. Rien n’avait dérapé. Pas de divagation pour autant.

Il lava encore le mortier et le pilon, usant de ceux-ci pour écraser la rate de narval. Il ajouta la moitié de cette dernière à sa composition. Bonne couleur. Bonne odeur. Il ne restait que les deux cuisses de grenouilles.

Tout en suivant les recommandations de l’ouvrage, Yvain trancha en fine lamelles l’élément final de la potion. Suffisamment émincé pour se détendre complètement dans la chaleur doucereuse de sa préparation si rondement menée. Un tour à gauche avec la spatule. Quelques secondes à haute température.

Terminé. Il éteignit le feu et se pencha au-dessus du chaudron.
Ça lui semblait bon, compte tenu du fait qu’il avait suivit la recette de A à Z sans se risquer à des fantaisies irréalistes. Il ne lui restait plus qu’à attendre le verdict de son enseignant.

Aaron N. Powell a écrit:: Comme toujours, Aaron était à la traîne. Avec les fêtes et le Nouvel An, Il en avait totalement oublié ce devoir de potion qu'avait donné le professeur Slughorn, concernant cette fameuse potion de Ratatinage. Il rejoignit donc en hâte les sous-sols du château, et poussa la porte de la salle de potion. A sa plus grande surprise, elle était totalement vide. Au moins, il ne dérangerait personne et ne le serait pas non plus. 17h30. Bon, il avait déjà lu la "recette" et l'avait rapidement étudiée et analysée, donc il ne la découvrait pas. Le Poufsouffle retroussa ses manches, se lava rapidement les mains, et se mit immédiatement au travail.

Pour commencer, l'adolescent posa le chaudron sur un feu doux, et ouvrit le bouquin de potion de Bartholoméus Muche à la page correspondante. Il étala tous les ingrédients et les instruments sur la table, et enfila ses gants en peau de dragon ainsi que son tablier anti-brûlure. Les coudes posés sur la table, il lut la première étape. "Verser délicatement 10 centilitres de jus de sangsue dans le chaudron, préchauffé à feu doux sans ralentir. Laisser poser 15 minutes."

Aaron suivit les instructions à la lettre, sans essayer de faire dans l'originalité pour cette fois. Il attrapa le flacon de verre, et versa doucement son contenu dans la bassine. Aussitôt de la fumer s'en échappa, et les larmes commencèrent à monter. Il toussa, mais ne ralentit pas la cadence pour autant, ayant assez peur de ce qui pourrait se produire. Il se contenta de s'éloigner légèrement de l'objet, et termina de remplir le chaudron avec le liquide. Une fois la première séance de tortures terminée, il fixa ensuite la pendule accrochée au fond de la classe. 17h46. Il reprit sa lecture. "Découper des racines de marguerite en dés. Répéter l'opération avec une figue séchée et pelée. Mélanger les deux ingrédients, puis verser le contenu tout en mélangeant dans le sens des aiguilles d'une montre ou dans le sens inverse des aiguilles d'une montre."

Le jeune homme attrapa le couteau fourni avec sa main gauche ainsi que les fameuses racines et la figue, et commença son travail. Ce fut assez rapide, Aaron avait l'habitude de cuisiner avec sa mère et était devenu assez agile dans le maniement du couteau de cuisine. 18h01. Il était pile dans les temps. Il se rapprocha de nouveau du récipient, et observa le liquide qui avait pris une couleur jaunâtre. Tout en commençant à remuer, il attrapa son mélange et l'ajoutait au fur et à mesure. Rien de spécial ne se produit et il put terminer son étape sans encombres. Il trouvait l'exercice plutôt facile, ce qui l'inquiétait un peu. Il se pencha à nouveau au dessus du livre magique, et était déjà dégoûté rien qu'en pensant à ce qui allait suivre. "Arracher la tête de la chenille qui doit encore être vivante, puis mettre la partie du corps en question dans la solution. Remuer toujours dans le même sens."

Cela faisait presque 5 minutes que Aaron se mordait la lèvre, tout en observant la bête se tortiller. Même si l'insecte en question était une chenille, il ne pouvait tout bonnement pas faire ça. Lui arracher la tête. Alors qu'elle était vivante. Celui qui avait inventé cette potion était totalement barge. Elle n'avait rien fait cette pauvre bête !
Après un long moment de réflexion, et même s'il n'approuvait pas cette méthode, il attrapa la chenille à l'aide des deux pinces, une sur la tête, et l'autre... de l'autre côté, et ferma les yeux tout en détournant la tête. Il tira d'un coup sec, et l'insecte arrêta de gesticuler d'un seul coup. Le Poufsouffle se détestait. Là, à cet instant précis. Une expression de dégoût sur le visage, il laissa tomber la petite tête dans le chaudron, et passa à la suivante sans s'attarder, cherchant à tout prix à penser à autre chose qu'à ça. "Augmenter le feu. Découper la rate en quatre morceaux. Ajouter un morceau toutes les 5 minutes à la solution. Attendre 10 minutes, puis ajouter les deux cuisses de grenouille entières. Laisser mijoter 20 minutes. Votre potion est terminée, et doit désormais avoir une couleur rouge."

L'adolescent ne se fit pas prier, et attrapa la rate qu'il découpa rapidement. Il réunit les derniers ingrédients, et commença à ajouter les bouts de rate, après avoir augmenter la température. Dès le premier ajout de rate, le liquide bouillant se mit à gicler de partout, d'où le tablier anti-brûlure évidemment. Malgré la protection, Aaron réussit à se brûler, ce qui fit apparaître une jolie grimace sur le visage de l'adolescent ainsi qu'une marque rougit sur son bras gauche. Pendant les 5 minutes de répits, il le passa sous l'eau, jurant dans sa tête. Il réitéra l'opération 3 fois, en s'écartant à chaque fois et sans plus de dégâts, à son plus grand soulagement. Après 10 minutes, Il ajouta les deux cuisses, guettant le moindre signe d'une attaque potentielle, et referma le chaudron.

Il se laissa tomber sur une chaise, épuisé, retirant lentement ses gants et son tablier. 18h48. Il n'avait jamais fait plus juste. Il retira sa potion du feu et la versa délicatement dans un flacon de verre. Quelques minutes plus tard, le professeur Slughorn ouvrait la porte, certainement venu pour verrouiller la salle. Aaron le salua, et lui tendit le récipient, un grand sourire aux lèvres, fier comme un hippogriffe.

Sujet: Re: Devoirs de potion - sujet temporaire Ven 2 Oct 2015 - 0:26

Les délais ayant été dépassés, j'ai MAJ les deux précédents messages avec les derniers MP reçus. A ce titre, Aaron compte bel et bien rendre la dissertation, mais avec du retard.

Quant à la liste des devoirs envoyés, je vous laisse constater la participation des membres ci-dessous.

Citation :: - ~~Neville Londubat~~ (Dissertation + RP préparation rendus)
- ~~Ona O’Sullivan~~ (Dissertation + RP préparation rendus)
- ~~Angel Johnson~~ (Dissertation + RP préparation rendus)
- Blaise Zabini
- ~~Harmony K. Sharen~~ (Dissertation + RP préparation rendus)
- Daphné Greengrass
- Bella Bowman
- ~~Aaron N. Powell~~ (RP préparation rendu)
- ~~Cyril Evans~~ (Dissertation + RP préparation rendus)
- Morange Tiller
- ~~Yvain Gallant~~ (Dissertation + RP préparation rendus)
- Rachel Austin
- Luc Yriarte
- ~~Stela Bianca~~ (RP préparation rendu)

Il n'y a eu aucune réponse en ce qui concerne les participations facultatives.

Sujet: Re: Devoirs de potion - sujet temporaire Ven 2 Oct 2015 - 23:29

Ci-joint les points retirés aux différents élèves pour le retard.

Citation :: - Blaise Zabini ( -10 points Serpentard )
- Daphné Greengrass ( -10 points Serpentard )
- Bella Bowman ( -10 points Poufsouffle )
- Aaron N. Powell ( -5 points Poufsouffle )
- Morange Tiller ( -10 points Serdaigle )
- Rachel Austin ( -10 points Serdaigle )
- Luc Yriarte ( -10 points Poufsouffle)
- Stela Bianca ( -5 points Serdaigle)

Soit:
20 points en moins à Serpentard.
25 points en moins à Serdaigle.
25 points en moins à Poufsouffle.

24/02/2007

Ci-joint, les notes attribuées à chaque élève et les points qu'ils font ainsi gagner à leur maison.

Dissertation :

Citation :: Harmony Sharen : O
Angel Johnson : E
Neville Londubat : A
Ona O'Sullivan : A
Cyril Evans : E
Yvain Gallant : A

Réalisation :

Citation :: Harmony Sharen : E
Stela Bianca : A
Angel Johnson : E
Neville Londubat : E
Ona O'Sullivan : E
Yvain Gallant : E
Aaron Powell : O
Cyril Evans : E

Gryffondor : + 35
Serpentard : +60
Serdaigle : +20
Poufsouffle : +15

TOTAL DES POINTS (gains grâce aux devoirs rendus / pertes à cause des devoirs non rendus)
Gryffondor : + 35
Serpentard : +40
Serdaigle : -5
Poufsouffle : -10

18/12/2005

Olala mais avez avez noté sévère ! Mdr