Les plantes se décrivent. La vie aussi... [Libre]

Aujourd'hui était un jour de week-end et même un samedi de février. Neville avait profité du bal de Saint Valentin et depuis il sentait de bonne humeur.

"Toi tu sens bon !!" s'exclama-t-il en reniflant une rose posée au milieu d'autres dans un vase posé sur une table de la serre numéro 1. Neville avait décidé d'aller dans les serres chercher une fleur pour faire une potion. Seulement Neville ne savait pas ce qu'il fallait comme végétal. Il tournait et tournait le problème quand il remarqua un vase noir avec des roses roses mises dedans et d'autres encore posées sur le bois de la table.

"Drôle d'idée de laisser ça comme ça."

Il attrappa l'avant-dernière fleur et la glissa dans le vase parmi ses congénères. Il en fit de même avec la dernière tout en la sentant.

"Qui a pu laisser ça en plan ?"

Neville ne voyait ni n'entendait personne dans la serre. Pourtant il y avait peu que les roses avaient été coupées. Neville était un expert en botanique même s'il était encore loin d'égaler le niveau de Pomona Chourave, professeur de Botanique et directrice de la maison Poufsouffle.

Neville allait ressortir dehors puisqu'il n'avait pas trouvé la plante nécessaire pour sa potion ttue-loup. Il savait qu'il fallait une aconit mais n'en voyait pas dans cette serre-là.

"Bon tant pis. Je demanderais à Madame Chourave de m'en trouver une plus tard."

Neville allait sortir quand il marcha sur un truc bizarre. Il se baissa pour voir et vit un carnet assez usé par les âges avec une couverture de cuir. Il le ramassa et le posa sur la table du côté droit.

"Mais... Mais... Mais..."

Il venait de voir le nom de l'objet et n'en crut pas ses yeux. C'était écrit "Jédusor".

"Qu'est-ce que ça fait ici ? C'est à un ancien préfet de Poudlard ça."

Neville n'était pas le plus curieux des élèves de l'école écossaise mais il vit aussi qu'un marque page fait d'un bout de simple parchemin était glissé entre les pages. Il l'ouvrit à la première et y lu :

"Tom Jedusor - Orphelinat - 31 décembre 1926 / 1938"

Neville tourna la seconde page et lu la date 19**. Les chiffres de la fin avaient été effacés et rendus illisibles.

"Tom Jedusor est un enfant solitaire et sans ami. Aujourd'hui encore, il a refusé de manger son déjeuner à midi."

Neville lut la phrase suivante mais elle n'indiquait rien de spéciale.

"Ce garçon sera dur à adopter selon moi et mes collègue d'ici."

Le gryffondor pris le carnet avec lui. Il se disait que cela devait avoir de l'importance et ne voulait pas qu'il tombe entre de mauvaises mains. Neville le glissa dans la poche de sa robe de sorcier. Sa poche droite où il dépassait un peu.

Le gryffondor sortit dans la cour devant les serres quand il entandit du bruit. Mais il ne voyait encore personne alentour.

L'effervescence de Poudlard après les festivités de la Saint-Valentin lui faisait froid dans le dos : comment tous ces adolescents pouvaient-ils se montrer frivoles selon des prétextes fallacieux ? Hestia, en dépit de toute la bonne volonté dont elle pouvait faire preuve, ne parvenait pas à se sentir à l'aise dans la débandade ambiante. Les cœurs tracés du bout des doigts, autant que les chocolats offerts et les compliments pleins de fausses promesses, lui donnaient littéralement envie de prendre la poudre de cheminette.

La serre était alors une excellente option pour quérir un brin de quiétude. Loin de l'agitation, des ronds de jambe et, surtout, de Flora. Encore plus imbuvable en cette période rose et dégoulinante de mièvrerie.

En quittant les sous-sols de l'école, la jeune fille avait néanmoins indiqué à ses pairs qu'elle allait s'affairer à quelques travaux manuels. Nulle précision supplémentaire : tous savaient que les bons soins de la petite Carrow se portaient sur les précieuses plantes de Chourave. Qu'importe la saison et le temps.

Son chat sur les talons, elle avait gagné la bordure des serres avec un enthousiasme gracile. Néanmoins sobre et avisé ; rien ne devait émaner de trop, au risque d'être interprété comme une euphorie déplacée et indigne. De celles que l'on se refuse à voir, d'ordinaire, sur une demoiselle de haut rang.

Une fois sur place, Hestia avisa Moustache de la suivre sans esclandre, dans la discrétion la plus reposée et la plus aimable possible ; afin de ne déranger personne. Par manque de chance, la petite créature de poils blancs s'égaya de quelques créatures invisibles – avaient-elles seulement existé ? – à proximité d'une étagère de pots en terre cuite. Sous la dynamique féline, les plus instables vacillèrent et s'écrasèrent sur le sol en un fracas terrible. « Mince, Moustache ! »

L'adolescente se précipita au chevet des morceaux épars et auburns, l'air affligée. De ses doigts fins et albâtres, elle récupéra les éclats. Dans un long soupir – encore, quelle 'maladroite' – elle s'échina à rejoindre la serre principale. Sur le chemin, ses iris pâles se posèrent sur une silhouette qu'elle connaissait de nom et de faits – Neville Londubat. Un camarade de sa promotion. « Bonjour Neville. » Elle réalisa soudain que les désobligeances de son chat pouvaient avoir gêné le Gryffondor. « Je suis vraiment confuse pour le bruit... »

Le bruit que Neville avait entendu venait d'un chat qui se promenait dehors après voir fait tomber un objet d'après ce qu'avait entendu le gryffondor. Il vit alors la propriétaire du chat et reconnut une des jumelles Carrow.

"Bonjour Hestia."

Il l'avait reconnu grâce à la couleur de sa cravate. Une cravate jaune et noire de poufsouffle. Neville mit sa main droite dans la poche où se trouvait le carnet afin que sa camarade de sixième année ne voit pas l'objet. Il ajouta juste en réponse aux dernières paroles de la jeune fille :

"Tu ne me déranges pas. J'allais rentrer au château. Je n'ai pas trouvé d'aconit pour m'entraîner à la potion Tue-Loup. Je demanderais plus tard au professeur Chourave de m'en passer une."

Neville demanda :

"Et toi que viens tu faire là ? Je peux t'aider si tu veux. J'adore la botanique et je crois que je suis doué pour ça..."

Seulement le jeune homme ne savait pas si la jeune poufsouffle accepterait et avait même besoin d'aide. Il avait dit cela plus par politesse que par réelle envie de l'aider. Neville voulait surtout aller trouver sa directrice de maison, Minerva Mac Gonnagall afin de lui remettre le carnet de Jedusor.

"Je me demande bien pourquoi Dumbledore laisse traîner ça dans les serres..." se dit-il dans sa tête.

Le gryffondor n'osait pas trop partir rapidement. Il avait peur de paraître soupçonneux s'il s'en allait tout de suite et puisqu'il ne voulait surtout pas attirer l'attention sur lui, il décida de rester encore un petit peu avec Hestia.

La salutation de son camarade lui tira un léger sourire, gravé d'une sympathie évidente. D'une approbation pleine et entière. Neville était un garçon appréciable – un adepte de la botanique sous l'égide du Lion – qui lui paraissait devenir de jour en jour meilleur. Tant pour lui-même que pour les autres. « Oh, au château ? » L'interrogation avait échappé à sa conscience ; plus par surprise que par désaveu.

Qui sait si le Gryffondor ne voulait pas quérir un peu de repos après un travail éprouvant du côté des serres ? Il serait malavisé de juger la chose. Qu'elle qu'en soit la raison.

« Mince... » Ce mot, simple et fragile à la fois, ponctua son écoute bienveillante. « Je suis navrée que ta recherche se trouve être si peu fructueuse. » L'aconit ? « Cela dit, il me semble avoir vu monsieur Slughorn repartir avec un bouquet de Tue-loup hier, en fin d'après-midi. » Une hésitation s'insinua dans sa voix. « Tu pourrais peut-être lui en mander ? » Après tout, si l'entraînement avait été donné par l'enseignant lui-même, il y avait des chances qu'il en détienne en réserve... Tout du moins, c'est ce que la jeune fille considéra.

« Je viens choyer les plantes de la serre principale. Elles ont certainement besoin d'un peu de chaleur humaine, en plus de tout le reste, en ce moment. » Elle inclina le visage dans un remerciement silencieux. « Si tu veux m'accompagner, j'accepte volontiers. » Tu es de bonne compagnie ; Hestia se refusa pourtant à le dire pour ne pas indisposer son interlocuteur. Tout en s'offrant l'opportunité d'y penser.

Mieux valait mille fois Neville que Flora.

D'un pas lent, l'adolescente se dirigea vers un dépôt alloué aux débris de l'endroit. Elle y déposa cérémonieusement les morceaux de pots brisés. Puis, lança un vif regard vers son compagnon de déplacement ; sans un mot de plus ni une conversation embarrassante. Ils parleraient seulement de ce qu'il voudrait. Rien de plus ni de moins. L'intrusion, surtout orale, ne lui convenait que peu dans ses relations sociales.

Demander à Slughorn ? Serait-ce une bonne idée ou pas ? Il ne savait pas si leur nouveau professeur de potion allait accepter de lui donner une aconit ou pas. Neville préférait demander à Madame Chourave qui était de nature plus acceuillante que le professeur de potions.

"J'envisagerais ça si le professeur Chourave ne peut pas m'aider."

Neville suivit Hestia dans les serres pour profiter de sa camarade de poufsouffle. En plus, elle adorait aussi la botanique comme lui. Ca serait cool de passer un moment en sa compagnie. Bien que le gryffondor pensait toujours au carnet dans sa poche droite. Il trouverait bien un moment pour apporter sa fameuse trouvaille à sa directrice de maison, Minerva Mc Gonagall.

"Je suis bien de ton avis. Si on en prend bien soin, les plantes nous le rendre bien en étant en bonne santé. Je le fait aussi de temps en temps."

Il repensait à son Mimbulus Mimbletonia, sa chère plante qu'on lui avait offert en cinquième année. Depuis Neville n'arrêtait pas de s'en occuper comme si c'était son propre petit bébé sorcier. Il trouvait que le contact des végétaux avaient un effet appaisant sur lui en tout cas.

Quand ils passèrent devant le vase de roses sur la table en bois, le jeune homme dit alors :

"J'ai fini d'arranger ces pauvres petites roses qui attendaient qu'on les mettent tous dans ce beau vase. Je me demande bien qui a pu laisser de jolies fleurs comme ça..."

Il aimait passer du temps avec Hestia mais cela ne lui arrivait que trop peu de fois dans l'année. Même pas de quoi compter plus que les doigts d'une seule main depuis le début de l'année. Et encore leurs conversation se limitaient parfois aux cours ou aux salutations d'usage et rien d'autre.

Neville savait au fond de lui qu'il aimait bien sa camarade mais d'une façon purement amicale. Son amour se portait vers une "Folie" de Serdaigle. Neville trouvait Luna comme la petite amie envisageable. Il devait être un des seuls garçons de l'école à penser cela.

La réponse ne tarda guère à arriver, laissant l’adolescente silencieuse. Quoi que légèrement pensive. Et confuse. L’affirmation portée par son camarade lui rappelait à quel point leur nouvel enseignant de potion était difficile à appréhender – et, que dire, à apprécier tant toute sa bonhomie naturelle l’effrayait terriblement. Il avait l’air d’être trop aimable pour que ce soit réel, sans compter ses malicieuses approches et ses compliments lancinants.

Hestia détestait sincèrement les réunions de Slughorn ; quant au professeur, il provoquait en elle davantage de hantise que du mépris. Par chance, Flora captait toute l’attention nécessaire. Enfin. Pas assez pour négliger la présence de sa quiète jumelle aux yeux salement avisés ; mais c’était déjà un bon début pour avoir la paix.

Elle finit par articuler dans un souffle court : « Oui, c’est le mieux. » Passer plutôt par Chourave. Pourquoi n’y avait-elle pas songé immédiatement ? Un ‘triste enfant qui ne sait jamais rien’ bourdonna dans ses oreilles.

Les quelques gestes qu’elle effectua ensuite lui permirent de se vider l’esprit. Suffisamment pour que la gêne précédente s’estompa derrière une esquisse de joie aussitôt tempérée par l’éducation aristocratique ; sourire, mais pas trop. Du bout des lèvres, à peine visible à la commissure de l’ourlet rose pâle, tout en se devant d’être réel. Le corps devenait alors une sorte de marionnette étrange, dans laquelle chaque nuance de mouvement, chaque suggestion, pouvait faire la différence entre une fille de bonne famille... Et les autres.

« Tu es très doux avec elles. » La constatation, simple et calme, n’invitait à aucun supposition indécente. Hestia concédait seulement à formuler la réalité des choses : grand dieu, jamais de mensonges dans sa bouche ! Ce ne serait pas digne. Et, de tout Poudlard, Neville était l’un des meilleurs – si ce n’est LE meilleur – élève en botanique. Un exemple à suivre. Un modèle.

Au blason des courageux. Le lion triomphant. Pas comme Elle.

« Elles te le rendent bien, de ce que j’ai vu. Tu es vraiment très doué. » D’un pas lent, l’adolescente vint gagner la proximité de son camarade lorsqu’il s’arrêta auprès d’un vase de roses. Du coin de l’œil, elle veilla néanmoins à l’attitude joueuse de Moustache. Un accident pouvait si vite arriver ; et perdre son seul compagnon à quatre pattes serait un supplice. Cette idée lui serra instinctivement le cœur. « Je me le demande également. »

Elle s’arracha à son trouble passager pour porter ses iris pâles vers les pétales rougeoyantes. « Tu penses qu’il peut s’agir d’un élève ? » Et dire qu’elle avait tout fait pour esquiver la Saint Valentin et ses joyeusetés pour... Tomber sur un artefact potentiel de ladite festivité. « … Ou d’un professeur ? » Tant que ce n’était pas Rogue.

Neville était bien heureux de la réponse de sa camarade jaune et noir. C'est vrai que le professeur Chourave était plus avenante et facile d'aborder et puis qui mieux qu'elle s'y connaissait en plante ? Personne. Neville remis son projet à plus tard. Il aimait la botanique mais là, il préférait aider sa camarade et savoir quoi faire de ce carnet au fond de sa poche droite.

"Merci." fut tout ce que le gryffondor de sixième année trouva à dire face aux compliments d'Hestia.

C'est vrai que Neville aimaient les plantes peut-être parce qu'au début de son apprentissage ici, il avait eu beaucoup de mal à se faire des amis. Neville n'était plus le même qu'après sa répartition chez les lions courageux. Il était devenu plus ouvert et sûr de lui et avait même réussi à se faire des amis sincères et très proches de lui comme le non moins célèbre Harry Potter.

Hestia regardait le vase donc Neville avait terminé la composition de fleurs. Rien de bien difficile en somme. Arranger des roses dans un vase avec de l'eau même les fleuristes moldus savaient le faire et sans magie. Il était bien content aussi de voir que le vase intriguait son amie.

"Je ne sais pas. J'ai trouvé les fleurs à moité mises dans le vase à moitié sur la table de bois. On dirait que la personne est partie précipitament."

Il enfouit la main dans sa poche droite. Là dans sa robe de sorcier au fond de l'endroit se tenait toujours le carnet à la couverture de cuir. Neville était rassuré et en même temps il espérait que la poufsouffle ne verrait pas le haut de l'objet qui dépassait de sa poche. Il avait peur qu'elle ne l'accuse de l'avoir volé lui-même.

"Je me demande si la personne ne serait pas simplement partie aux toilettes..."

Ce fut tout ce qu'il trouva à dire. En somme rien de bien spectaculaire. Le mystère demeurait toujours. Qui avait volé ce carnet. Car oui Neville doutait qu'un objet comme celui-ci ait un rapport avec la botanique. Du peu qu'il avait lu, ça ne parlait pas de plante mais d'un "certain" Tom Jedusor. Neville avait déjà entendu ce nom dans l'école. Ce nom lui semblait lourd de secrets et de malheur mais n'arrivait pas à savoir pourquoi.

"Il me semble que j'ai déjà vu ce nom écrit quelque part dans le château..." se dit-il à lui même mais impossible pour le moment de s'en souvenir.

Neville décida de mettre cette réflexion de côté. N'était-il pas venu juste pour se relaxer au contact des végétaux si majestueux pour lui dans la serre ? Pas tout à fait mais sa recherche d'aconit pouvait aussi attendre selon lui. Il était gryffondor pas serdaigle. Les études, Neville prenait ça au sérieux mais pas au point d'y passer des heures en recherches assidues comme sa meilleure amie Hermione Granger.

Au remerciement simple et concis, lâché avec douceur par son camarade, l’adolescente esquissa un léger signe de la main. Celui qui, du bout des doigts, invitait à considérer la chose comme étant peu digne d’intérêt et d’exaltation. Il ne s’agissait que de la vérité ; ni plus ni moins. D’une pureté qu’une grâce inappropriée – quoi que naturelle – risquait de rendre caduque par sa seule existence.

Hestia ne cherchait pas à plaire, ni à contenter – ces éclats appartenaient aux lèvres de sa supposée jumelle – ce qui rendait, à ses yeux, toute observation plus pertinente et plus vraie. Plus importante.

D’un geste lent et prudent, l’élève de Poufsouffle avait tendu ses doigts graciles vers une pétale rougeoyante. La caressant. Le velours délicat de la plante avait alors ravivé l’étincelle de tendresse qui gisait habituellement, inerte, au fond de ses iris pâles et fuyantes. Trop honteuse d’exister – que dirait-on d’un tel manque de retenue et de nonchalance chez une aristocrate ? – et de trahir sa soudaine humanité. Douloureuse. Naïvement empathique.

Un trait de caractère autrement mieux considéré chez Flora ; la parfaite héritière au phrasé captivant et à l’innocence plus brûlante que le feu lui-même. On pouvait lui pardonner cet écart malheureux ; hélas, pas à son portrait défiguré.

« Mince... » L’adolescente s’était brièvement mordue les lèvres, avant de s’aviser qu’il était davantage censé de les pincer. Plus respectable. « C’est... Vraiment très étrange. » Son regard lâcha le vase au profit des alentours ; pourtant, aucune silhouette ne s’y animait en dehors des leurs. Ils étaient définitivement seuls. « J’ai du mal à comprendre que l’on puisse abandonner ainsi des roses. »

Au coin de la serre principale, l’ombre de Moustache attira quelques secondes l’attention de Hestia. La petite créature s’amusait à rouler et sautiller sur la terre sombre, très loin de songer aux préoccupations austères et vives de sa maîtresse. « Je n’ai croisé personne en arrivant, Neville. » Ses yeux azuréens se dirigèrent vers ceux de son camarade. « Je... Je trouve cette situation inquiétante. »

Et alors qu’elle s’échinait à se rassurer, un bruit épouvantable et fracassant vint briser la quiétude bientôt printanière des lieux.