Tell me who you are...
| Sujet: Charlotte Edith Estell Sam 9 Jan 2016 - 19:04 | |
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Charlotte E. Estell Etat Civil | Nom : Estell Prénom(s) : Charlotte Edith Date de naissance : 24 novembre 1962, 34 ans. Origine : Moldue (pas seulement d'origine, elle est moldue), Anglaise. Matière enseignée/métier : Sociologie Animal de compagnie : Un Berger Belge Tervueren de trois ans, répondant au nom de Elessar |
Descriptions PhysiquePersonne de corpulence normale, au visage encadré de longs cheveux roux et éclairés par des yeux bruns, je suis de type caucasien et mesure environ un mètre 70. Si vous m'avez vue dans la cour de Haveirson, le premier mars aux alentours de 17h, vêtue d'un pull à col roulé blanc, d'un jeans bleu et de bottines en cuir bruns à talons, merci de ne pas appeler police-secours, je me rendais simplement à un entretien d'embauche.
Dans des circonstances plus détendues, je me contente d'un style vestimentaire plus casual, souvent avec des lunettes de soleil que je porte essentiellement pour l'esthétique. J'ai un tatouage sur les côtes droites, mais il ne vous appartient pas encore de savoir quel motif il représente. J'aime porter du vernis, mais je n'en mets que pour les grandes occasions, car je n'ai jamais le temps de le poser. Je déteste les bijoux, à l'exception d'une bague armure Vivienne Westwood en argent dont je ne me sépare jamais. CaractèreMe décrire en quelques mots est assez simple en réalité : je suis une idéaliste, calme et observatrice. J'aime partager mon savoir, mais ne juge jamais nécessaire de l'imposer aux autres, car j'ai conscience que mon idéal n'est pas forcément partagé. Ainsi, j'ai parfois l'air de douter de mes convictions, mais il n'en est rien : je propose la discussion, mais je ne trouve pas utile de défendre ma position corps et âme. Qui êtes-vous pour douter de mon engagement ? Je ne prends aucune décision à la légère, ni sans l'avoir pesée par une longue réflexion et même des recherches, si cela s'avère nécessaire.
Mon calme apparent cache cependant une forme de passion pour mon domaine : je m'y dévoue depuis l’entame de mes études, il y a presque dix ans. Conseillère de campagne, chercheuse, professeur, critique, j'ai porté beaucoup de casquettes et relever de nouveaux défis ne me fait pas peur. Je sais reconnaître mes lacunes et j'ai conscience d'avoir toujours de nombreuses choses à apprendre. D'ailleurs, je ne me laisse que rarement distraire de ma tâche, car l'apprentissage n'a ni dimanche, ni heure du coucher. Je ne rechigne pas à travailler jusque tard dans la nuit si c'est nécessaire, besoin que j'ai toujours eu du mal à concilier avec une vie de famille.
Le cadre privé n'est donc pas le domaine dans lequel je cherche mon bonheur. Je ne souhaite pas d'enfants, car je ne vois pas encore arriver l'utopie où je souhaiterai vivre, et où je voudrais les voir grandir. Nombreuses sont mes relations qui se sont brisées sur cet obstacle, car je n'ai jamais eu l'intention de mettre mes convictions de côté pour faire le bonheur d'un autre. Je préfère évoluer dans un partage libre et respecté, ainsi je continue mon engagement auprès des réfugiés politiques dans une association. Chaque samedi après-midi, nous passons quatre heures autour de l'enseignement de l'anglais et de la culture britannique… Oh, j'ai un peu la rage, par conséquent. Je déteste l'immobilisme et la critique facile. Goûts
J'aime danser en pyjama dans mon salon, le dimanche matin. Surtout sur Radiohead, mais j'ai des goûts musicaux assez versatiles. Je préfère la cuisine libanaise, mais je suis une piètre cuisinière, alors j'ai développé la technique « mille et un sandwichs pour frigo presque vides » et je dois avouer que je m'en contente plutôt bien. Je passe volontiers mes après-midi de congé à lire, et je n'ai jamais quitté mes amours d'adolescence. Je découvre encore et toujours de nouveaux auteurs, mais je suis complètement acquise à la fantasy et aux œuvres utopiques. À l'école, je détestais la physique, mais j'ai toujours adoré la biologie que j'aurais sans doute étudié si j'avais été meilleure là-dedans. Mes rapprochements avec le monde magique m'ont notamment fait découvrir des formes de vie complètement nouvelles que je trouve véritablement fascinantes. J'aime regarder le sport à la télévision, surtout le tennis parce que je suis une fan de la première heure de Pete Sampras. Malheureusement, je n'ai jamais réussi à taper dans une balle moi-même, alors je fais du jogging de temps à autres. Sinon… Il n'y a pas beaucoup de choses que je déteste. L'hypocrisie, le jugement facile, les artichauts. Les jours trop chauds, aussi, mais dieu soit loué, ça n'arrive pas souvent en Grande-Bretagne. J'ai la phobie du vol, également, mais je n'ai étrangement pas le vertige. | | Rêves et ambitions
J'ai ce désir un peu étrange et malsain sans doute de pouvoir interviewer un de ceux qu'on appelle les « mangemorts ». J'ai conscience que ça n'arrivera jamais ou que, au mieux, ce sera dans le cadre d'une accusation. Néanmoins, un peu comme on peut éprouver de la fascination pour les psychopathes ou les tueurs en série, je ne rechignerais pas devant grand-chose pour découvrir les motivations d'un de ces criminels. J'ai également l'ambition de trouver ma place dans cette académie magique où je vais tenter de poser mes valises. J'espère que cela ne sera pas en vain, mais je crois en la possibilité de découvrir chez mes futurs étudiants de nombreuses similitudes avec ceux auxquels j'ai enseigné par le passé. Cependant, je dois avouer que je considérerai avoir vraiment réussi ma vie me jour où je réussirai une pâte à scones. |
Informations complémentaires Ancienne maison : D'après ce que j'ai appris, je crois que j'aurais été ébahie par le courage des Gryffondor, que j'aurais eu un respect immense pour l'ambition des Serpentard, mais que j'aurais préféré passer ma scolarité entre Serdaigle et Poufsouffle. Une énigme de plus, une. Baguette : Je possède un magnifique stylo Mont-Blanc bleu nuit décoré de veinules rouges. C'est probablement, parmi mes possessions, ce qui se rapproche le plus d'une baguette magique. Histoire Ce que je me suis dit quand j'ai appris l'existence des sorciers ? J'ai trouvé ça terrible, vraiment. J'ai passé mon enfance à vivre par procuration les aventures de héros étranges aux pouvoirs terrifiants, car je me réfugiais volontiers dans les romans. Je souhaitais de tout mon cœur échapper à ma vie banale et à un monde gris, et sans fantaisie. Lire n'était pas seulement une échappatoire. Chaque page tournée me renforçait un peu dans ma conviction qu'une société différente était possible. Si l'homme peut la penser pour la mettre sur le papier, alors pourquoi ne peut-il pas la vivre ?
Mes professeurs me taxaient ainsi d'être lunatique et désintéressée. Certains pensaient même que je ne devais pas être très intelligente pour ressentir si brutalement le besoin de m'évader. Au fond, c'était normal, je n'étais qu'une jeune fille, probablement trop occupée à rêver à un univers de princesses et de contes de fées pour réaliser à quel point notre monde est sérieux. Je dois avouer que je n'ai jamais essayé de leur donner tort. Toutes ces questions d'éducation, d'économie, les choses importantes des adultes… Cela me passait très loin au dessus de la tête. Je préférais réfléchir soigneusement à mon utopie et attendre patiemment que mon heure soit venue de la mettre en place.
À la grande surprise de mon entourage, j'ai commencé des études de politique à 19 ans, après une scolarité dans la moyenne. Mes parents avaient depuis longtemps pris le parti de me laisser vivre, mes professeurs se réjouissaient de mes rares prises de parole, et même si souvent, ils reconnaissaient la pertinence de mes propos, ils ne se faisaient pas d'illusions. Mes interventions restaient rares et discrètes. Je ne brillais certes pas, mais j'apprenais pour construire mon avenir.
Mon choix d'étude, donc, a complètement surpris mon entourage, mais ils ne furent pas les seuls. J'ai réalisé après quelques semaines que j'étais peut-être l'idéaliste qu'on désignait toujours avec un sourire un peu contrit et un soupir désabusé. Je n'étais pas vraiment préparée à ces travers calculateurs, ces désirs de contrôle et cette puissante arrogance doublée de la conviction d'être meilleur que les autres. La politique n'était pas cette res publica dont je me réjouissais tant, mais une volonté amère de diriger.
J'ai tenu un an sous les quolibets et les critiques, les accusations d'être une utopiste, et de ne rien comprendre aux réalités de notre société. Je me suis alors tournée vers la sociologie et la communication, car j'ai espéré y trouver une véritable porte de sortie, un moyen d'influencer le monde qui m'entourait. J'y ai non seulement trouvé ce qui me manquait en politique, mais également de quoi combler le vide affreux et angoissant que j'apercevais toujours au loin, dans mon futur. J'ai compris l'humain, et ce faisant, je me suis décodée moi-même.
Pour la première fois en vingt ans, j'ai brillé. Mes longues années de silence et d'observation discrète ont aiguisé un don certain pour mon nouveau domaine. Je survolais cours et travaux, découvrant ma capacité à être ferme et à défendre mes idées et mes interprétations. J'ai grandi à travers mes études, devenant une femme nouvelle née d'une intuition et des regards déçus de mes parents.Je me suis créée de toutes pièces sur base de ce qu'on me reprochait : l'utopie.
J'ai quitté l'université en 1987, année où j'ai participé à de nombreux projets politiques, revenant à mes premières amours. Forte d'un caractère reforgé et d'un savoir à faire valoir, j'ai notamment joué les petites mains pour la campagne de Kinnock durant l'élection générale au Royaume-Uni. Dix ans se sont écoulés sur le même modèle : défendre des idéaux avec un savoir, des moyens et un partage de mes compétences.
Apprendre l'existence des sorciers ne m'a ainsi pas effrayée, car je n'y ai vu qu'une opportunité de plus. Je travaillais sur un projet de recherche financé par le gouvernement quand l'annonce est tombée dans les médias, et j'ai immédiatement été appelée pour rediriger mes efforts. Après tout, quelle différence entre analyser la compréhension et les dérapages entre les Britanniques et divers réfugiés politiques et ces mêmes problèmes, entre les Britanniques et une population underground dont personne ne soupçonnait l'existence ? Comment ne pas se passionner pour une tel retournement de situation ? Parmi mes confrères revenait souvent une blague : qui serait le premier à travailler sur les communications avec une peuplade extra-terrestre. Je n'ai jamais gagné ces paris-là, parce que j'ai une peur bleue des voyages en avion, alors que dire de quitter la Terre ? L'arrivée des sorciers m'a remise sur le devant de la scène, car je me suis dévouée corps et âme à les comprendre afin d'aider les miens dans la transition. Vers une société nouvelle. Vers cette utopie fantaisiste dont j'avais si souvent rêvé, et pour laquelle j'avais si souvent été moquée. Formulaire pour être candidat à un poste de professeur : Remplissez le formulaire ci-dessus : UNIQUEMENT pour être PROFESSEURMatière souhaitée : Sociologie et études des moldus (je réfléchis encore à une tournure moins dichotomique pour l'intitulé) Exemple de RP (entretien d'embauche ou exemple de cours) : - Entretien:
Parfaitement installée dans mon canapé, vêtue d'un pyjama gris orné de grandes fleurs bleu-marine, je savourais un chocolat chaud tout en me laissant bercer par la télévision dont j'avais réglé le volume au minimum. À travers la fenêtre de mon salon, je ne voyais que les nuages sombres et chargés de pluie qui traversaient péniblement le ciel de cette fin février. Il n'était que quatorze heures, mais j'avais rêvé de ce moment depuis des jours. Du moins, jusqu'à ce que le téléphone ne sonne. Je poussai un soupir lourd de déception avant de m'étendre jusqu'au combiné.
« Charlotte Estell à l'appareil. » « Madame Estell, ici Roger Hedge. Je vous renouvelle mes félicitations pour votre présentation de ce matin. Le gouvernement a beaucoup apprécié votre compte-rendu à la fois détaillé et si clair. C'est pourquoi nous souhaitons vous embaucher pour un nouveau travail... » « Je vous écoute. » « Enfin, il ne s'agirait pas de nous exactement… Vous avez entendu parler de l'académie Haveirson, je suppose ? L'université magique. » « Hmm. » « Et bien, il leur manque encore des enseignants et les contacts que nous avons pu avoir avec leur représentant sous-entende que… Ils auraient bien besoin de quelqu'un tel que vous. Pour enseigner aux étudiants en politique et diplomatie, ainsi que pour faire quelques conférences sur notre société. Ceux qu'ils appellent 'molpu' » « Les moldus, vous voulez dire. Bien, mais je pensais qu'ils n'engageaient que des professeurs sorciers, dans cette académie ? Est-ce que quelqu'un ne disposant pas de pouvoirs magiques y a jamais mis les pieds ? » « Je n'ai réponse à aucune de ces questions, mais si vous acceptez, vous avez déjà un entretien d'embauche le premier mars, à onze heures précises. » « Mais… C'est demain ! » « Est-ce que vous acceptez ? » « Ça ne coûte rien d'aller voir jusque là, je suppose... » « Bien, je vous rappelle incessamment sous peu pour vous donner de plus amples détails. »
21 heures plus tard.
L'entretien téléphonique me tourne encore et encore dans la tête, alors que je traverse la cour de cet imposant château. Je me félicite d'être partie avec une heure d'avance, car j'ai eu un mal fou à trouver le bon endroit. Forcément, quand on n'utilise pas une vulgaire route pour se déplacer, on n'a pas besoin de planter des panneaux pour indiquer le chemin de ses institutions. J'étouffe un bâillement, le regard volage sur ces étudiants qui ne me semble en rien détonner de mon quotidien. Je ne vois ni baguette, ni chapeau pointu, ni animal étrange. La plupart de ces jeunes gens doivent avoir grandi à notre contact, dans le secret, et je ne conçois même pas comment ils peuvent être considérés comme une menace.
Les cinq heures de route m'ont épuisée, mais heureusement, j'aime conduire dans les campagnes britanniques où la circulation est si sereine. Ici, rien n'est comparable avec la trépidante vie londonienne, et je me surprends à déjà faire des plans quant à une vie entre ces murs. Hors de question d'abandonner complètement mes activités dans la capitale, mais après cinq ans passés aux mêmes postes, je suis prête à un peu de changement.
Arrivé devant le secrétariat – ou ce qui en fait office – je frappe sereinement à la porte après m'être collé un sourire avenant sur le visage. À peine ai-je effleuré le bois que, déjà, le battant s'ouvre devant moi pour me laisser entrer.
« Bonjour madame Estell, je suis ravi que vous ayez fait ce long chemin jusqu'à notre académie. Installez vous, je vous en prie. »
L'homme me désigne un large fauteuil de cuir dans lequel je m'assieds avec déplaisir. Après une si longue route, j'aurais préféré continuer à me délier les jambes. D'un coup de baguette magique, il fait alors apparaître devant moi un assortiment de thé et de café, dans lequel j'hésite un peu à me servir. Tout cela me semble trop commode.
« Tout le plaisir est pour moi, ce n'est pas tout le jour qu'on se voit proposer un poste si… étonnant. » « Votre parcours, si atypique pour notre académie, et votre ouverture d'esprit pour notre communauté font de vous une candidate toute désignée pour ce poste, pourtant. Je suis même surpris que vous ne vous y soyez pas attendue. » « Puis-je savoir quel est ce poste, exactement ? Et quelles sont vos méthodes ? » « Nous visons l'excellence qui a fait la renommée de toutes les autres universités de ce pays, madame Estell. Nous donnons à nos enseignants toute licence de créer leurs cours comme ils le souhaitent, pour autant que votre méthode respecte notre règlement intérieur. Vos disposerez d'amphithéâtre ou de salles de classe plus intimistes, et des cours extra-muros sont envisageables sous certaines conditions. » « Hmm, je vois. Question de sécurité, j'imagine. Et quelle est la position du corps enseignant face à notre communauté ? Tous les sorciers ne voient pas d'un bon œil la levée du Secret... » « Nos enseignants sont priés de garder pour eux leurs opinions politiques et de veiller au respect de tous leurs collègues. Nous ne tolérerons donc pas de discrimination à votre égard. »
J'acquiesce, l'œil sombre néanmoins, ce qui n'échappe pas à mon interlocuteur. Sa réponse ne me surprend guère – quelle autre rhétorique aurait-il pu me servir – mais ne me rassure pas vraiment. Voyant mes hésitations, il reprend rapidement.
« Je vais être honnête avec vous, nous peinons terriblement à trouver un professeur adapté à nos étudiants. Les plus éminents politiciens sorciers n'ont nulle connaissance de la politique non-sorcière, ce domaine risque pourtant d'être vital dans le futur de nos étudiants. Vous aurez un collègue sorcier qui a longtemps travaillé dans la politique sorcière et ses interactions discrètes avec le monde non-magique. Nous vous demandons de donner des cours mêlant politique, sociologie et communication, afin de faire comprendre à nos étudiants les rouages de votre société. »
Je hoche la tête, toujours peu convaincue mais effroyablement titillée par son discours. Il est tout de même flatteur d'être demandé avec tant de ferveur pour un poste aussi précis, et travailler dans une université magique sera une expérience sans précédent pour mes recherches. Une véritable plongée au cœur de mon sujet d'étude.
« Bien, j'accepte. »
« Vous serez payée au même barème que vos collègues, c'est à dire 1400 livres par mois. Vous pourrez les toucher en argent non-sorcier ou sorcier, à votre meilleure convenance. Ce salaire est certes bas pour un enseignant universitaire, mais vous disposerez également d'appartements et d'un accès entièrement libre à notre cafétéria. »
J'acquiesce une nouvelle fois, amusée par ses tournures soigneuses. J'ai suffisamment entendu le mot moldu pour ne plus vraiment m'en offusquer. Si le terme a été péjoratif un jour, j'ai plutôt tendance à penser qu'il est à présent si courant qu'il ne revêt plus aucune connotation. De toute façon, je ne me fais pas beaucoup d'espoir pour ma survie dans cette cage aux lions luxueuses si je ne suis pas capable d'affronter sans sourciller les boutades et indélicatesses d'un public qu'il me faudra probablement dompter.
Hors-Jeu Un prénom ? Vous le savez déjà :D ! Votre âge : 22 ans Qui est sur votre avatar ? Jessica Chastain Comment avez-vous trouvé le forum ? On me l'a conseillé. Avez-vous lu le topic dédié aux nouveaux joueurs ? Heuu... Non ? Règlement : Pour connaître les règles du forum, pour les respecter et ainsi pour vous garantir une bonne expérience de jeu avec nous, nous vous demandons de lire le règlement en suivant ce lien et d'inscrire ici votre engagement à le suivre. Je m'engage à suivre le règlement de MMHP et à accepter les conséquences qui résulteront du non-respect de ce dernier, s'il y a lieu. J'inscrirai ici mon pseudo pour prouver cet engagement : Charlotte E. Estell
Dernière édition par Charlotte E. Estell le Sam 9 Jan 2016 - 23:37, édité 16 fois |
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