[Libre] An early morning in the late summer

31-41-51

Le réveil indiquait 5h46 lorsque Susan ouvrit les yeux. Les premiers rayons de soleil filtraient à travers les rideaux, l'empêchant dès lors de dérober sans scrupule quelques minutes de sommeil supplémentaires. Réprimant un soupir, elle s'extirpa des draps et de sa léthargie : une nouvelle journée l'attendait. Son regard se porta tout naturellement sur la lettre reçue hier, ses nouveaux ordres de mission. Celle-ci reposait sur une table basse, au sommet d'un tas de factures, de pages de magazines arrachées et de romans policiers. Une pyramide instable, dont une partie s'était ecroulée sur le sol.

Le reste de l'appartement, un trois-pièces cuisine/salle de bains/chambre, n'était guère en meilleur état. Des affaires traînaient un peu partout, vêtements, chaussures, accessoires féminins... Un désordre organisé qui plaisait à Susan, et qu'elle n'arrangerait pour rien au monde. Personne d'autre qu'elle ne venait jamais ici de toute façon. Même le Ministère ne connaissait pas cette adresse, car elle utilisait une boite postale, avec un nom d'emprunt. C'était son nid, son cocon, son refuge...

Ses étirements terminés, elle se leva et se dirigea tout d'abord vers sa chaîne Hi-fi. The Doors, Queen, Eagles, Aerosmith, Guns N Roses, les albums s'empilaient les uns sur les autres. Jamais elle ne remercierait assez son oncle, Philipp, de s'être occupé de son éducation musicale. Sans tergiverser, elle appuya sur le bouton Play, et la musique résonna quelques secondes plus tard dans la bâtisse ( https://youtu.be/pZ_ymBHEfhg?t=43m9s ) tandis qu'elle ouvrait les placards de la cuisine, à la recherche d'un petit-déjeuner.

Bientôt munie d'un bol débordant de lait et de céréales, le sourire aux lèvres, elle s'arrêta devant une fenêtre pour observer la rue en contrebas. A presque 6h du matin, Cambridge s'éveillait. Avec son architecture travaillée, ses bâtiments prestigieux, ses rues pavées et son style parfois bohème, Susan aimait la ville où elle s'était installée, il y a sept ans de ça. Elle vivait auparavant à Londres, en banlieue, mais s'était lassée de la capitale, aspirant à une tranquillité qu'elle avait trouvée ici, en retrait du centre.

Se détournant de la vue, elle continua sa déambulation jusqu'au coin de l'appartement réservé à son travail. Plutôt morbide, l'endroit rappelait les films d'espionnage, et pour cause : de nombreuses photos étaient collées au mur, en arc-de-cercle au-dessus d'un bureau où trônait une lampe pliable. Certaines barrées d'une croix rouge, d'autres reliées par des ficelles de différentes couleurs. Tous des Mangemorts, en fuite après la chute de Voldemort. L'histoire se répétait.

Enfournant une autre cuillère pleine dans sa bouche, Susan balaya des yeux le bureau en lui-même, mâchant lentement. Un alignement de perruques - longues ou courtes, lisses ou bouclées, brunes ou blondes -, des lentilles de couleurs – marrons, vertes ou grises -, des paires de lunettes - de soleil ou sans correction -, mais aussi des papiers falsifiés, passeports, assurances, il y avait de quoi se forger de nombreuses identités. C'était là ses outils d'Auror, que la magie ne pouvait trahir, aussi pointue soit-elle.

Son maigre repas terminé, elle nettoya le bol d'un Recurvite et se dirigea vers son dressing. La plupart de ses matinées étaient consacrées au sport, et celle-ci ne ferait pas exception. Ôtant short et t-shirt, elle enfila un jogging, un sweat délavé, ainsi que des baskets. Le reflet du miroir sur sa droite, fixé à la porte du meuble, lui renvoyait l'image d'une jolie femme, mais qui dort trop peu et mange juste assez. Elle décida de ne pas s'y attarder. Après avoir vérifié que tous les enchantements de son appartement étaient encore effectifs - Salveo Maleficia, Repello Moldum et Cave Inimicum -, et un tour par la salle de bains, elle transplana sans autre forme de procès, vers un lieu qu'elle appréciait particulièrement pour son jogging, les sentiers de randonnée d'Avalon.

22/07/2016

Ambrose avait décider de se lever tôt ce matin. En fait beaucoup trop tôt à son gout. Même pour les moldus peut-être. Il n’y avait personne de debout pour lui tenir compagnie dans son luxueux hôtel lorsqu’il se leva. En même temps vus l’heure, c’était normal. Il était 4h du matin et les rayons du soleil ne se pointait pas encore. Il y eut un petit bruit derrière lui lorsqu’il marcha dans les couloirs de l’hotel. Il,eut peur que çe fut un gardiens de nuit mais, ce ne fut pas le,cas. En fait c’étsit un couple de jeune fêtard qui venait de rentrer d’une soirée assez tardive pour justement probablement finir leur soirée dans leur chambre. Ils étaient tous les deux en trains de s’embrasser et Ambrose soupira en les voyant faire. La demoiselle le vit et lui fit un clin d’oeil mais, Ambrose s’exclipsa immédiatement au dernier instant. Il ne voulait pas être le témoins d’une scène de ménage à trois. Il se retira dans sa chambre alors que nombre de couple était alors probablement en trains de dormir pour pouvoir mieux se reposer pour le lendemain matin et reprendre la route. Pour sa part, sa chambre était vide et il le regrettait bien.

Il ne s’endormait pas mais, il fit un effort toût de même pour tenter de retourner dans son lit et tenter de s’endormir. C’étsit ridicule d’avoir une heure pour déjeuner en fsit. Il ne devrait même pas y avoir d’heure pour le petit déjeuner. À cause de toût cela Ambrose était obliger d’attendre au moins une bonne heure dans son lit. Où il attendait, ou bien il tentait de dormir. Ce qui n’étsit pas pret d’arriver pour l’instant. Une heure et demi plus tard, il n’avait toujours pas fermer l’oeil çe qui était toût pour le décourager d’ailleurs. Entendre le Tic Tac d’une horloge bien moldus et entendre quelque sons què çe soit qu’il m’avait vraiment pas l’habitude d’entendre. Était-il en trains de devenir insomniaque? Il n’en savait absolument rien. Pourtant il n’était pas un habituer de l’insomnie. Il avait plutot l’hanitude de bien dormir. Il était maintenant le temps de se lever et de s’habiller convenablement une fois pour tout. Il ne déjeunerais pas à l’hotel. Certe il aurait bien aimer revoir Zahara mais, elle,était rarement au petit déjeuner et cela était un inconvénient. Il n’allait que prendre un petit café et allait prendre un déjeuner plus tard au village d’Avalon. Son café fut servit dans un gobelet en carton et il sourit un serveur malgré le fait qu’il était endormis. Il alla directement dans sa chambre pour être plus discret et transplanna directement au magnifique village d’Avalon. Sa destinations n’était pas le village en fait mais, plutôt les Sentier. Le café avait suivis le transplaner avec brillo. C’est alors qu’il commença à faire son petit jogging matinal. Mais la première chose qu’il vit où enfin qu’il sentis fut la chaleur du café sur lui. Merde. On lui avait rentrer dedans. Mais, qui? Il ne savait pas et il était tomber par terre et ses vêtement était tremper de café. C’était malin ça. En plus de ne pas avoir de café il était maintenant tremper.

31-41-51

L'aurore avait succédé à l'aube, et à l'aurore le jour. De la nuit d'été ne subsistaient que des lueurs éphémères dans le ciel, une palette de rose et de jaune bientôt chassée par l'astre ascendant. Ses rayons caressaient la cime des arbres aux feuilles brunissantes alors que l'automne approchait. L'air étais frais et pur, revigorant. Le vent soufflait, assez fort pour s'insinuer entre les branches et remuer les plus souples d'entre elles, diffusant une apaisante rumeur. Cà et là, des oiseaux pépiaient, qui s'échangeaient les notes d'une musique dont l'harmonie, bien réelle, n'appartenait qu'à eux. Leur chant animait la forêt la plus proche d'Avalon, et accompagnait ses hôtes qui, déjà, l'arpentaient de long en large. Seulement aujourd'hui, il y avait une intrus.

Sur un chemin envahi par la végétation, dessiné par les allées et venues fortuites des animaux sauvages, Susan se frayait un chemin. Son souffle, quoi que rapide, était régulier malgré l'intensité de son exercice. Avec une agilité certaine, elle sautait par-dessus des racines qui percaient le sol, se baissait pour éviter des branches, contournait des ronces et nids d'orties. Un parcours d'obstacles improvisé, au naturel, jusqu'à ce qu'elle retrouve un sentier plus praticable, emprunté à l'occasion par des randonneurs. Là, elle put accélérer encore, pour atteindre son allure de course habituelle, plutôt soutenue.

Avec la natation, l'escalade et occasionnellement le canoë-kayak, la course à pied faisait parti de ces sports qu'elle pratiquait régulièrement, et qui avait le double avantage de vider son esprit, en plus de la garder en forme. Dans ces moments, Susan ne pensait à rien ; pas à ses problèmes, et surtout pas à son boulot, avec lequel elle entretenait une relation pour le moins... compliquée. Elle n'en changerait pour rien au monde, bien sûr. La preuve en étant qu'elle servait toujours – 16 ans maintenant – quand nombre de ses collègues démissionnaient. Mais elle aimerait, rien qu'une fois, s'accorder un peu de répit. Chose impossible – sinon difficile – lorsqu'il s'agissait de traquer des mages noirs. Entre récolte d'informations, filature et interception, un Auror trouvait rarement le repos, surtout en ce moment.

Devant elle, le sentier se scindait en deux voies : une courbe bordait la forêt, et l'autre menait au village, qui à cette heure-ci s'éveillait. C'est cette dernière que Susan emprunta, avec l'idée de s'offrir un chocolat avant de retourner chez elle, pour ensuite se rendre au Ministère, où elle ne doutait pas qu'une pile de travail l'attendait. C'était du moins son intention, jusqu'à ce qu'un homme n'apparaisse, juste en face d'elle. Lancée à toute vitesse, elle n'avait aucune chance de l'éviter, ni même de ralentir, et le percuta de plein fouet. Le gobelet qu'il tenait s'envola, décrivant une boucle majestueuse avant que son couvercle ne saute et que le contenu se répande sur eux, une cascade d'un liquide brûlant.

- MERDE !

Susan était furieuse. La violence de l'impact l'avait jetée à terre après une double pirouette, atterrissant douloureusement sur les fesses. Son haut était aussi tâché que celui du coupable, qu'elle dévisageait avec peu d'aménité, et il s'en dégageait une forte odeur de café.

- Vous ne pouvez pas faire attention où vous transplanez ?!

Elle se leva en maugréant, et sortit sa baguette. Rien qu'un instant, on aurait pu croire qu'elle s'apprêtait à attaquer. Avant qu'elle ne pointe son propre torse pour lancer un Tergeo. Sortilège de récurage. Toutes traces de l'incident disparues, elle regarda à nouveau l'homme. Il était jeune, beaucoup plus jeune qu'elle. Probablement un étudiant de l'Académie d'Haveirson. Et comme elle, il imaginait sûrement un autre début à cette matinée. Ses traits se détendirent. L'éclat était passé. Elle lui tendit une main secourable.

- Rien de cassé... ?

22/07/2016

La chute fut telle qu'Ambrose en tomba et que son café s'envola dans les airs. Il vit presque la scène aux ralentis tellement ça devait être magnifique en fait à voir aux ralentis. Mais, il ne voulait pas la revoir justement dans sa tête. Il entendait les petits oiseaux chanter et le vent souffler dans les feuilles à cet instant. Rien ne pouvait être plus désagréable que d'entendre une petite musique en arrière plan en plus que de revoir la scène que l'on venait tout juste de vivre. C'est alors qu'il ouvris les yeux et vit la personne qui était devant lui. Elle était plus vieille que lui ça c'était sur et certains. Mais, que faisait-elle dans les sentier d'Avalon à une heure pareil? Il n'en savait que trop rien en fait mais, il ne voulait pas le savoir non plus. Tout ce qu'il voulait c'était de récupérer son café en ce moment même. Son café qui était répendu sur ses vêtements d'ailleurs qui lui brûlaient la peau. La dame semblait pester contre lui pour avoir transplaner au mauvais endroit. Mais, comment aurait-il pu savoir qu'elle se trouvait exactement là à ce moment si? Il n'en savait rien lui-même. Finalement, elle lui demanda s'il n'avait rien de casser et lui tendait la main. Ambrose ne refusa pas la main de la personne et s'aida à se relever.

Ambrose – Non je ne crois pas avoir rien de casser… Je suis… vraiment désolé d'avoir transplanner au mauvais moment et au mauvais endroit. Mais, en même temps je ne pouvais pas savoir que vous étiez en trains de courir dans les sentier d'Avalon. Pour ma part cela vient de gâcher mon premier café de la journée.'' Et oui, il n'avait même pas pris la peine de prendre un petit café avant de venir courir ici et c'était un triste constat qu'il faisait. Maintenant qu'il était debout, il pris sa baguette qui était dans sa poche pour faire un petit sortilège de Tergeo sur lui-même. . Comme la personne n'avait même pas pris la peine de le nettoyer avec son sortilège préalablement utiliser, il prit l'initiative de l'utiliser sur lui-même aussi. Il se frotta la tête comme s'il avait mal à la tête mais, ce n'était pas le cas. En fait il était plutôt fatigué qu'autre chose et il avait faim en plus. Il devait manger quelque chose pour avoir des idées plus clairs et avoir quelque chose dans l'estomac.

Ambrose – Ho je suis vraiment désolé. Je ne me suis pas présenté. Je suis Ambrose. Ambrose Malia. Et je suis pour le moins…. Pas sous ma meilleure forme. '' Il était pitoyable en fait. Il en disait trop et ne voulait pas passer pour un énorme con qui ne savait pas vivre. En plus d'avoir renversé son café sur cette dame, il passait maintenant pour quelqu'un qui n'avait pas d'argent. C'était de mieux en mieux.

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La seule raison pour laquelle Susan ne l'avait pas Tergeo, c'est que pointer sa baguette vers quelqu'un, même avec les meilleures intentions du monde, pouvait être mal interprété. Souvent à raison, d'ailleurs. Question d'expérience. Non pas qu'elle redoute quelqu'un d'au moins 10 ans son cadet, se sachant même capable de le maîtriser sans trop de difficultés, mais elle préférait éviter un malentendu, surtout après une telle première rencontre. Le jeune homme avait accepté son aide, avant de lui présenter des excuses qui n'avaient pas lieu d'être. Car comme il le disait si bien, les chances de croiser quelqu'un aux abords d'Avalon à cette heure-ci étaient minces, sinon nulles. Susan se passa une main dans les cheveux, l'autre venant se reposer sur sa hanche tandis qu'elle pincait les lèvres.

- Ce n'est pas votre faute. J'ignorais qu'il existait quelqu'un d'aussi matinal que moi, surtout durant les vacances d'été, sinon j'aurais fait plus attention.

En mentionnant les vacances, elle supposait encore une fois qu'il étudiait à l'Académie. Il n'était pas rare pour les élèves de séjourner à l'hôtel Moonlight durant l'été, un établissement abordable, surplombant l'une des deux plages de l'île et qui offrait par la-même une vue saisissante sur la mer, pour peu que l'on paye un peu plus. Le reste du village n'était pas en reste d'activités, avec le Morrigan's Perch pour les amateurs de bières, le Dark Knight pour les clubbers, l'Avalona pour les amoureux, ou encore la bibliothèque pour les érudits ou la rue commercante pour les adeptes du shopping. En somme, Avalon était un lieu de villégiature idéal, que le dénommé Ambrose – puisqu'il venait de se présenter – avait semble-t-il choisi pour ce mois d'août.

- Susan Welden.

Elle avait considéré, l'espace d'un instant, la possibilité de mentir sur son identité. Une sorte de test, car elle n'avait pas revêtu de nouvelle apparence depuis un moment, traversant l'une de ces périodes qui la confinait au Bureau des Aurors, loin du terrain et de toute filature. Mais si son hypothèse se révélait exacte, que Ambrose suivait des cours à Haveirson, ils pourraient très bien être amenés à se croiser de nouveau à l'avenir, au milieu d'un cercle de personnes élargi. Hors jouer un rôle se compliquait un peu plus avec chaque nouvel intervenant. D'autant qu'aujourd'hui, elle ne portait aucun accessoire, et pas une once de maquillage. Il n'y avait que Susan, avec son jogging, sa veste délavée et ses cheveux, attachés en une queue de cheval.

- Je vous offrirais bien un autre café, mais... je n'ai pas un sou.

C'était vrai. En tant que sorcière, elle partait rarement courir avec ses clefs, son argent et ses papiers, sauf si elle avait prévu de rencontrer quelqu'un par la suite. Ce qui n'était pas le cas aujourd'hui, et rendait cette situation un peu plus embarrassante qu'elle ne l'était déjà. Mais des deux, c'était elle l'aînée, et considérant ceci, trouver une solution lui incombait. Après quelques secondes à peser le pour et le contre, Susan se décida :

- Retrouvez-moi au Parker's Coffee dans dix minutes.

Le temps qu'Ambrose ne réagisse, elle avait disparue dans le bruit de craquement caractéristique d'un transplanage.

22/07/2016

''- Ce n'est pas votre faute. J'ignorais qu'il existait quelqu'un d'aussi matinal que moi, surtout durant les vacances d'été, sinon j'aurais fait plus attention.''

C'était vrai que les gens matinales était souvent les meilleures pour les rencontre. Pourquoi? Parce qu'on risquait de moins en rencontre. Mais, Ambrose ne se doutait pas une seconde qu'il allait rencontrer Susan dans les sentier d'Avalon ce qui était une chose assez inhabituelle pour lui d'ailleurs puisqu'il était quelqu'un qui se promenait seul. Enfin en général. Mais, la rencontre de quelqu'un qui était aussi matinal que lui était d'autant plus palpitante qu'il ne l'aurait espérer. Théo n'était pas du genre matinal et Ambrose le savait très bien. Depuis qu'il passait ses nuits avec lui il était au courent de pas mal de choses. Mais, cela allait durer combien de temps? Jusqu'à la fin des vacances? Non, Ambrose ne voulait pas que cela se termine comme ça. C'était trop triste pour être vrai.Pour l'instant il était trop endormi pour pensée à quoi que ce soit d'autre sur leur relation. Mais, lorsqu'il aurait pris son petit café de la journée, il serait beaucoup mieux. Tiens en parlant de tout ça… Susan venait de lui proposer un café. Du genre de Ambrose qui venait de lui dire une pensée qui pouvait refléter '' Je viens de perdre un café mais, je n'ai pas un sous sur moi…'' Étais-ce le genre d'Ambrose?

Non, il avait son argent sur lui mais, il trouvait la proposition de Susan très touchante de le retrouver au Parke's Coffee. Il ne connaissait pas ce café et cela allait lui permettre de faire un peu plus connaissance avec Susan. Ce qui était en autre chose une bonne chose. Puisqu'Ambrose n'avait pas beaucoup d'amis en autre. Et il venait tout juste de connaître Susan Welden. Étais-ce vraiment son nom? Pourquoi aurait-elle avantage à lui mentir? Il n'en savait rien. Ambrose croyait que c'était son vrai nom.

Ambrose n'eut pas le temps de prononcer un mot que Susan avait déjà transplanner sur place. Il haussa les épaules et commença à marcher doucement en directions du café qu'elle lui avait indiqué. C'était une manière ou une autre de prendre un peu l'air et de se réveiller. Mais, rien ne semblait réveiller Ambrose pour l'instant. Il étant endormis comme jamais. Le vent soufflait dans les arbres et les oiseaux chantaient. C'était peut-être une belle journée qui s'annonçait finalement. Il n'en savait que trop rien. Enfin pour l'instant le soleil était présent. C'est ce qui comptait.