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 Hiding Somewhere in the Night ~ PV. Flora Carrow

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MessageSujet: Hiding Somewhere in the Night ~ PV. Flora Carrow   Hiding Somewhere in the Night ~ PV.  Flora Carrow EmptyJeu 18 Fév 2016 - 5:39


Hiding Somewhere In The Night
27 mars 1997
ft. Flora Carrow


C’était une soirée plus que tranquille au château ; les feux étaient éteints depuis un moment déjà et le soleil avait cédé sa place à la noirceur depuis près de deux heures maintenant. Les sages élèves s’étaient déjà glissés au lit et les plus dissipés traînaient encore dans leur salle commune. Les professeurs allaient bientôt entamer leurs premières rondes nocturnes à travers les couloirs et les derniers étudiants étourdis tentaient de retrouver leur maison discrètement, priant le ciel pour ne pas tomber nez à nez avec un enseignant. Oui, vraiment, cette nuit s’annonçait des plus paisibles, autant pour le corps enseignant de Poudlard que pour ses élèves.

Pourtant, cachée dans la salle de bains des préfets depuis une bonne heure déjà, Aldabella Prendergast était bien résolue à ne pas suivre ce mouvement de quiétude. Elle était arrivée là, panier sous le bras, un peu avant vingt-heures et avait installé la pièce en fonction de ses plans pour la soirée. Posés au sol se trouvaient une multitude de coussins entassés les uns sur les autres, tout près de deux épaisses couvertures étendues en toute leur longueur. Juste à côté, placé sur une pile de grimoires se trouvait un plateau garni de plusieurs brochettes de fruits. Et, cachée derrière la table de fortune se trouvait une bouteille de Mousseux, impatiente d’être ouverte.

L’immense baignoire était toujours entièrement vide lorsque la Gryffondor quitta la pièce, sans un seul bruit. Elle était plus qu'avisée que cette petite escapade nocturne pourrait lui coûter cher en retenue mais se disait que c’était pour une bonne cause. Après tout, les occasions de se détendre se faisaient de plus en plus rares et si le prix à payer pour passer un peu de bon temps était une soirée avec Rusard, alors c’était avec plaisir qu’Aldabella acceptait cette dette. Et après tout, ce n’était pas comme si elle n’avait aucune expérience en matière d’escapades nocturnes !

En entrouvrant la porte de la salle de bain, la Gryffondor jeta un coup d’oeil de chaque côté du couloir avant de s’y engager précautionneusement, illuminée par un léger Lumos. Elle ne craignait pas les retenues, certes, mais il était hors de question que sa petite soirée soit écourtée par cause d’imprudence de sa part. D’un pas sourd mais relativement rapide, elle prit la direction de la classe de métamorphose, espérant de tout son coeur que son amie s’y trouverait aussi. Après tout, c’était pour Flora qu’elle prenait autant de risques ce soir.

Et c’est avec soulagement qu’elle constata que la jeune Carrow se trouvait belle et bien au point de rendez-vous, équipée comme elle le lui avait demandé. En s’approchant de son amie, elle abaissa sa baguette pour éviter de l’aveugler et lui offrit un sourire plus que complice.

— Contente que tu aies pu venir, chuchota t-elle, le malice dans sa voix basse. Mais il ne faut pas traîner ici trop longtemps, les professeurs vont commencer leur tournée et je n’ai pas vraiment envie que notre petite… activité se termine ainsi. Allez, viens.

Guidant son amie à travers les couloirs de l’étage, Aldabella s’arrêtait souvent pour vérifier que la voie était toujours libre. Sortir après le couvre-feu était toujours une tâche plutôt laborieuse, surtout depuis le renforcement de sécurité du château. Heureusement pour elles, les deux jeunes filles arrivèrent à destination sans aucun véritable ennui.

Devant la porte de la pièce, la rouge et or se tourna soudainement vers sa camarade et lui jeta un regard mystérieux, presque froid. Bloquant l’entrée avec ses bras, elle plongea ses yeux dans ceux de son amie.

— Tu t’apprêtes à présent de vivre la plus grande aventure de toute ton existence, murmura t-elle d’un ton énigmatique empreint d’ironie. Pour la première et seule fois de ta vie, tu auras la chance de découvrir… la Salle de Bain des Préfets.

Un sourire trahissant son air faussement sérieux, Aldabella continua son discours avec passion comme si, vraiment, la pièce renfermait un énorme secret.

— Es-tu bien certaine d’être assez forte pour sortir vivante de cette périlleuse aventure ?


Dernière édition par Aldabella Prendergast le Sam 11 Juin 2016 - 5:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Hiding Somewhere in the Night ~ PV. Flora Carrow   Hiding Somewhere in the Night ~ PV.  Flora Carrow EmptyMer 9 Mar 2016 - 14:05

Une invitation bien mystérieuse que celle qui lui avait été envoyée par Aldabella ! Méticuleusement rédigée sur un papier à lettre onctueux et lisse, orné de gravures de fleurs, Flora l'avait glissé dans le sac de toile qu'elle portait sur l'épaule - avec quelques numéros de Sorcière Hebdo, sa trousse de cosmétique, lourde de fards, de pinceaux délicats, de poudres parfumées et de rouges à lèvres ; et un maillot de bain (!)..Conformément à ce qui lui avait été indiqué.

(De quoi vous divertir, de quoi vous faire une beauté et, principalement, portez une tenue propice à la baignade. Vous n'en saurez pas plus. Venez seule. Une formule définitivement sibylline ! Mais respectée avec minutie.)

Souriante et désinvolte. Car la période était (presque !) celle des congés scolaires, lorsque se concentrer en cours devient vraiment difficile et qu'elle assistait avec bienveillance et curiosité aux effervescentes scènes de rangement de ses camarades de dortoirs, qui s'escrimaient à fermer leurs lourdes malles, enflées de vêtements et de lourds grimoires. Cette année-là, pour la première fois, s'imposait  la question suivante : ses camarades allaient-ils revenir ? Chacun d'entre eux ? Dans le contexte, tellement grave, tellement dangereux de la « guerre » ? Plus que jamais, Poudlard était une alcôve - un refuge, qui semblait tenir tout-à-fait protégés ses élèves du monde extérieur. Et de ses dangers.

(...N'est-ce pas? N'y étaient-ils pas en sécurité ? Flora en était convaincue, quoique la nuée d'aurors qu'elle se souvenait avoir rencontré sur son chemin, lors de sa précédente sortie à Pré-Au-Lard, en compagnie de Daphné, l'avait un peu intimidé. Difficile de se soustraire à leur regard impartial, ou même d'ignorer leurs mises diligentes, leur uniforme soigné.)

Dans le dédale obscur du château elle se tenait docile et patiente, devant la porte close de la salle de métamorphose. Oh, c'était un peu dangereux, et, définitivement, elle craignait les remontrances de Rusard ; mais elle portait à Aldabella une confiance insondable, et ce fut effectivement son visage délicat qui se dessinait au travers de la lumière qu'une baguette forait dans la pénombre ;  elle lui souriait alors avec ravissement, alors.

« Très bien, je te suis ! », acquiesça-t-elle à voix basse, intriguée et puis complice de ce curieux (et tellement mystérieux !) projet.

Elle en avait une idée, bien sûr ; car elle y avait bien entendu réfléchi. Mais surtout, elle se trouvait impatiente.  Et si son froncement de sourcil impérieux l'étonna, le ton cérémonieux dans la voix d'Aldabella l'amusa ; machinalement, elle porta sa main à ses lèvres, soucieuse de ne pas déchirer d'un rire le silence du couloir plongé dans la quiétude du couvre-feu.

« La salle de bain des préfets ? » Répéta-t-elle, feignant le plus sincère des éblouissements ; oh, elle avait entendu parler de l'endroit ! Il s'y racontait même des choses. Des rumeurs, dont elle s'était enquis  sans toutefois en faire part à quiconque - pouvait-on réellement y trouver une piscine ?... Ou bien était-elle vraiment trop naïve ? Elle était certaine d'une chose : y accéder était un privilège.

« Je ne sais pas trop, Bella  », confia-t-elle, hésitante. Machinalement, elle enroulait autour de son doigt une mèche de cheveux opaline ; mais son sourire réjoui trahissait pourtant son jeu de théâtre, le rôle consciencieux de l'ingénue précautionneuse - la princesse empruntée et prudente  : « Puis-je compter sur toi pour me protéger ? », s'enquit-elle en posant sur elle un regard amusé.
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MessageSujet: Re: Hiding Somewhere in the Night ~ PV. Flora Carrow   Hiding Somewhere in the Night ~ PV.  Flora Carrow EmptySam 11 Juin 2016 - 6:48


Hiding Somewhere In The Night
27 mars 1997

O
h, Flora. Elle avait bien grandi depuis son arrivée à Poudlard ; ses onze ans étaient plutôt loin à présent, mais pourtant, lorsqu’elle enroulait une mèche de ses cheveux platinés autour de ses doigts fins, la jeune fille retrouvait ses traits d’enfant. Son air candide, son sourire chaleureux, son regard espiègle, sa posture gracieuse, sa chevelure dorée ; petite, Aldabella avait été impressionnée,  presque intimidée, même, par la jeune Carrow qui possédait déjà l’air noble propre aux aristocrates. Encore aujourd’hui, la beauté unique et éclatante de la Rouge la surprenait toujours, sans pour autant la complexer comme autrefois.
Si l’idée lui passait d’enchanter une glace et d’y réciter : « Miroir magique au mur, qui a beauté parfaite et pure ?», il répondrait Flora, définitivement. Car c’était elle, la princesse, la demoiselle en détresse ; celle qui représentait la grâce et l’élégance. Aldabella, elle, s’était toujours trouvée quelconque, jolie, à la limite. Mais ce n’était pas plus mal ; elle serait le chevalier servant qui accourt aux besoin de sa gente dame et la protégerait au prix de son sang. Et la nature n’offrait pas le don de la magnificence aux vulgaires cavalières.

La préfète plaqua dramatiquement sa main contre sa poitrine, secoua ses cheveux et s’élança dans un monologue emplit de passion et d’exagération, le regard alternant entre le ciel et le visage de son amie.

— Je ferais don de mon corps, de mon âme et de mon sang pour vous sauver des dangers infernaux de la vie. Ô, très chère Flora, ma tendre, ma douce, faites moi honneur de votre confiance et je vous promets de vous épargnez toutes les souffrances de ce monde, à commencer par les mystères se cachant dans cette pièce.

Elle guetta chaque recoin du couloir pour s’assurer qu’elles étaient bien seules, puis ouvrit la porte d’un grand coup de pied. Puis, baguette en main, elle pivota et refit face à Flora, avant de lui tendre son bras et de la gratifier d’un immense sourire.

— Si sa Majesté est prête, continua t-elle de son ton théâtral, ses appartements pour la soirée n’attendent qu’elle. Et n’ayez crainte ; je ne vous abandonnerai pas, vous n’aurez aucun soucis à vous faire ce soir.

Puis, elle l'entraîna à l’intérieur. Le soleil avait été remercié pour la nuit et, lorsque Aldabella ferma la porte de la salle, celle-ci n’était que faiblement éclairée par la lueur de la lune. Prévoyante, la jeune fille avait réfléchi à ce petit problème et s’y était préparée ; un simple mouvement de baguette et les deux amies se retrouvaient maintenant enveloppées d’une lumière dorée et chaleureuse. Partout dans la pièce, la Gryffondor avait installé de gracieuses chandelles, sans oublier le lustre qui pendait juste au dessus de la piscine. Puis, grâce à une nouvelle formule, elle insonorisa l’espace, dans l’espoir qu’aucun professeur de viendrait vérifier si un élève faisait trempette à des heures tardives. Mais si le son était nul, pourquoi un enseignant perdrait-il son temps à examiner un lieu qui semble désert ?

Lorsqu’elle eut enfin terminé ses tâches, Aldabella s’écrasa sur certains coussins qu’elle avait installés en poussant un long soupire satisfait, avant de relever les yeux vers sa meilleure amie qui découvrait l’endroit.

— Alors princesse, ça te plaît ? demanda-t-elle, se doutant bien de la réponse. J’actionnerai la baignoire lorsque tu en auras envie ! J’ai aussi apporté de quoi manger, mais comme je crois avoir remarqué que tu surveilles ton alimentation -nous y reviendrons, d'ailleurs-, je n’ai fais que des brochettes de fruits variés. Ah ! J’ai aussi trouvé une bouteille de Mousseux aux cuisines… Dénicher une liqueur m’a été impossible, mais les Elfes ont bien voulu coopérer un minimum en m’offrant cette bouteille.  C’est non-alcoolisé, mais nous ferons avec.Les avantages d’être préfète, disent-ils ! J’ai aussi suffisamment de couvertures et de coussins pour dormir convenablement lorsque la fatigue nous rattrapera !

Il était plus qu’évident par son expression et le ton de sa voix qu’Aldabella était enchantée à l’idée de passer une telle soirée avec Flora ; la première depuis longtemps. Le dortoir était toujours occupé, tout comme la salle commune, et la Prendergast passait la majorité de ses soirées à étudier. Ne plus accorder autant de temps qu’autrefois à son amitié si précieuse lui serrait le coeur, mais elle avait des responsabilités, maintenant. Des devoirs lourd, tellement lourds à accomplir. Mais il était hors de question pour elle de perdre cette amie si chère et elle espérait sincèrement que cette nuit ferait oublier à l’héritière Carrow, ne serait-ce qu’un minimum, son absence beaucoup trop présente à son goût.

— Sinon, je crois bien t’avoir demandé d’apporter des divertissements aussi ! poursuivit-elle. Ne me révèle pas tout ton butin, gardes un peu de mystère, toi aussi. Mais je te propose de sélectionner notre première activité, et tu as le choix entre l’une de tes trouvailles ou quelque chose que j’ai installé moi-même.

Cette nuit, Aldabella avait fait le choix de n’être qu’un personnage secondaire, rien qu’une présence qui accomplirait tous les désirs de la protagoniste de la soirée. Flora Carrow était une princesse, sa petite princesse, et elle était bien décidée à la traiter ainsi.


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MessageSujet: Re: Hiding Somewhere in the Night ~ PV. Flora Carrow   Hiding Somewhere in the Night ~ PV.  Flora Carrow EmptyVen 8 Juil 2016 - 15:45

Elle étouffait son rire amusé dans la paume de sa main, soucieuse de ne pas déchirer le silence paisible des couloirs noyés d'ombre. De l'autre, elle saisissait avec aisance le bras que lui offrait Aldabella. Elles étaient amies depuis tant de temps, à présent, et d'une façon si indefectible, qu'il lui semblait que la présence d'Aldabella était plus naturelle que son absence ; elles s'endormaient ensemble, au sein des dortoirs duveteux de la maison Gryffondor, élevé en une haute tour à la façon du breuil secret d'un aigle, pour s'éveiller aux mêmes heures, dans la confusion des capes, des chemises d'uniformes et le parfum sucrés des produits capillaires.

Cela avait été moins le cas, depuis quelques temps, où Aldabella passait davantage de temps à la bibliothèque, ou même dans la salle commune, penchée sur ses ouvrages d'un air attentif, animée par une volonté farouche et indicible qui enfiévrait son regard ; elle avait déjà disparue lorsque Flora s'extirpait du sommeil, l'esprit confus et un peu gourd ; et ses draps demeuraient méticuleusement tirés passés 23h, quand la fille Carrow, les yeux brûlants et les os douloureux à travailler sa posture droite, la gorge brûlée par les allergies, se glissait sous la courtepointe pourpre de son propre lit.

(Aldabella avait toujours été une élève travailleuse, studieuse et très responsable - mais n'était-ce pas « dangereux » ? un peu "excessif" ? s'inquiétait-elle, fardant sa tourmente d'un sourire enjoué.)

« Oh ! Des soucis, dites-vous ? Vous savez bien que je ne m'en fais jamais, en votre compagnie.  » assura-t-elle avant de poser les yeux sur l'endroit.

La salle de bain des préfets était un trésor d'élégance : dans la lumière dorée des chandelles, il y moirait le marbre blanc, les drapés de lin opalescent et les pierreries consciencieusement façonnées. Née dans la pourpre, elle avait connaissance des architectures compliquées des résidences aristocrates, de leurs épaisses colonnes taillées dans la pierre de Botticino, mate et crémeuse, et dans le travertin rapporté d'Italie ; des remplages ciselés en arabesques qui tissaient en toiles de fer leurs hautes fenêtres étroites, et des tapis duveteux où l'on avait tissé de l'or. Pourtant, elle n'avait jamais cessé de s'émerveiller pour les jolies choses, d'une façon parfois emprunte de naïveté - car la famille Carrow, elle, n'était pas riche : et son manoir dépérissant, détérioré par le temps, par les pluies anglaises, cinglantes et acides, qui rongeaient le bois et l'ardoise, déformaient d'humidité les parquets abîmés, mordu par des colonies de mites grouillantes et secrètes, enfoncées dans les placards, dissimulées dans les flancs même de la demeure. L'endroit, alors, lui sembla magnifique - il s'agissait là d'une alcôve dorée, enfouie dans l'élégance austère de Poudlard.

« C'est magnifique, Bella ! Vraiment

Elle s'était détournée vers son amie, affaissée sur un épais amas de coussins, sonnée à la façon de celle que la lumière éblouit, après avoir passé trop de temps dans une salle obscure. Sagement, elle ne touchait à rien, se penchant occasionnellement sur un miroir où sur l'impressionnant tableau de sirène qui tapissait l'un des murs en repoussant derrière son oreille une mèche opaline de sa chevelure. Aldabella énonçait gaiement son labeur, et il semblait que l'entreprise ne lui ai demandé aucun effort, malgré les responsabilités pesantes et l'emploi du temps saturé qui incombaient à la préfète de Gryffondor.

« Tu - oh, tu n'aurais pas du te donner tant de mal. Merci beaucoup, Bella ; c'est tellement adorable. Et je sais comme il est difficile pour toi de trouver du temps, en ce moment », dit-elle, le souffle un peu haché, comme c'était le cas lorsqu'elle se trouvait étonnée, ou troublée ; cela s'appliquait ici, alors qu'elle se trouvait étourdie par l'attention, gracieusement chargée de choisir leur première activité.

« C'est beaucoup de responsabilité, tu sais ! Peut-être pouvons nous ouvrir cette bouteille, je suppose - et parler un peu ! J'aimerai savoir comment tu te portes ; n'avons-nous pas beaucoup à nous dire ? » Elle souriait avec enthousiasme, en la rejoignant finalement à proximité des coussins, y déposant précautionneusement son sac. La Gazette du Sorcier avait fait mention d'une relation entre la fille Prendergast et l'héritier Malefoy, après tout - et quoiqu'elle ne sut quoi en penser, il lui semblait que la brève dissimulait une anecdote amusante ; pourtant, il s'agissait moins de se divertir que de s'enquérir du moral de son amie.
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