Quieta non movere | Libre

HRP - Précision:

Le 26 mai 1997,

En prévision des examens à venir, l'ancien Serpentard avait décidé de dédier un peu de son temps d'étude à la quiétude bondée et extatique de la bibliothèque. À travers les ouvrages de droit sorcier et la diligence de la sémantique espagnole, son esprit s'extirpait des problèmes écrasants à venir ; ceux qu'il se refusait à considérer dignement, au risque de se laisser corrompre par quelques cauchemars affolants.

Sa conscience avisée préférait définitivement travailler ; s'occuper et s'éteindre dans la masse considérable de ses enseignements. Il lui faudrait être dans les meilleurs, pour pouvoir espérer prétendre à une réorientation acceptable. Quoi que l'échec potentiel – se voir refuser l'accès à une deuxième année de politique plutôt que de relations magiques internationales – n'entraverait en rien ses ambitions.

Ni les siennes, ni celles de sa sœur de cœur.

D'un geste nonchalant, Rowan délaissa l'opuscule de linguistique pour en revenir à un autre, traitant des concepts méditatifs – un excellent conseil de la part de messire Wenlock. Il devait peaufiner, perpétuellement, la mise en application de leurs échanges sur l'occlumancie ; et ce n'était qu'un moyen de plus d'agrémenter son esprit d'une protection rutilante.

Bardé de défenses liées à son empathie et l'amour incommensurable qu'il éprouvait pour ses proches. À cette réflexion, la silhouette gracile d'une certaine slave vint danser au coin de ses yeux pâles. Chaque chose en son temps. Il devait d'aborder se concentrer sur son étude.

Quieta non movere × ft. Rowan + Libre

Ce matin n'était surement pas un bon jour pour moi. Je n'arrivais à me concentrer sur ce travail concernant une jurisprudence qui pourtant me semblait des plus basiques. J'étais pour ce faire partie sur cette fameuse "Common Law" anglaise mais les bruits on commencé à me parvenir et à m'exaspérer. Il faut que je trouve un endroit calme si je veux poursuivre ce travail qui nécessite de la concentration. Je soupirais me levais et pris l'essentiel des affaires dont j'avais besoin. Marcher me détendra d'autant plus que je me rendrait à la bibliothèque, elle doit être calme à l'heure qu'il est lorsque je vois le ... tintamarre ? que mes camarades abraxan font ... Suis-je au bon endroit ? Je soupire alors, il est vrai que je suis peut-être l'une des rares à ne penser qu'aux études.

La bibliothèque est peut-être l'une des pièces dont j'ai retenu avec efficacité le lieu. Comme les salles de cours mais c'est un détail cela. Je rentre alors dans la salle et détaille les lieux. Calme, posé en sommes parfait ! Je pourrais étudier ici en toutes quiétudes me semble-t-il. Je soupire et me dirigea vers l'allée relatant les livres de droits. Je pris alors quelques livres relatant de ce que j'avais utilité, plus de livre m'aidera sans aucun doute à remplir ce dont j'avais besoin. Après tout j'ai souvenir que le professeur ne demandais pas énormément d'effort juste remplir un ou deux parchemins. Et avec une matière ainsi ? C'était ma foi très facile même de trop ... Le droit est si changeant et si vaste. Surtout en Jurisprudence.

Je m'installais alors non loin d'un jeune homme assez calme. J'étalais alors mes affaires et ouvrit quelques ouvrages aux endroits approprié et releva la tête. Tiens, ce jeune homme ... Il me semblait familier ... J'avais beau réfléchir mais je ne pensais pas qu'il était dans ma confrérie donc impossible de l'avoir rencontré dans la salle commune de celle-ci. Je regardais alors mon parchemin où quelques lignes furent posées. C'était impoli de dévisager quelqu'un c'est un fait. Je soupirais alors tentant de me rappeler de cette rencontre. Peut-être que ... Peut-être ! Autant lui poser la question directement mais surtout avec politesse vu qu'il a l'air occupé. Je me redressais alors et le regardais. D'une voix posée je l’interpellais alors.

" Veuillez pardonner mon impolitesse sire. Cependant une question me taraude. Nous serions nous déjà rencontré ? Ne voyez dans ces paroles aucun mal. "

Une seule chose me venait en tête au moment de ma question. La curiosité est un vilain défaut ... Soit, cependant il me semble réellement l'avoir déjà vu et rencontré dans un lointain souvenir de mon passé. J'espère ne pas me tromper sinon j'aurais l'air bien bête !

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Code de langue : Anglais et français

La fin de l’année approchait. Et qui dit fin de l’année, disait également examens afin de passer en année suivante. Alors, tels les oiseaux, sentant les courbes solaires sur leurs plumes dépourvues de toutes gouttes d’eau, Elena parcourait de ses longs doigts les différents livres qu’elle pourrait être susceptible d’emporter dans sa chambre, pouvant ainsi en prêter quelques-uns à sa colocataire Novenka.

Les divers cuirs dont certains, se dégradaient sous les mains avides de savoir, ou plus patientes des érudits, pliaient sous celles de l’Abraxane, qui en extirpa deux de leurs rangées. L’un traitait sur les méthodes de désinfection magique avancées, tandis que le second parlait des plantes utiles en médicomagie. À vrai dire, ce serait plus le premier ouvrage qui servirait à la brune. Le second n’était là que pour le plaisir, au plus un peu de documentation.

Au détour d’un rayon, soudain, comme par enchantement, deux silhouettes apparurent sur la gauche d’une étagère d’acajou. L’une appartenait au descendant des Westimbrook, que l’ancienne verte et argent avait eut le loisir de côtoyer, alors que l’autre, plus frêle remontait le long d’un corps de femme inconnue à la sang-mêlé. Voulant tout d’abord rester dans l’ombre, se lui fut impossible quand les yeux céruléens du sang-pur se déposèrent sur sa personne. Elena avait toujours eut une capacité d’adaptation surprenante. Elle avait un comportement assez versatile en fonctions des personnes avec qui elle passait du temps. Par exemple, en la présence de Rowan, l’ancienne Serpentarde se montrait courtoise, et polie du mieux qu’elle le pouvait. Et quand on est polie, on salue ses interlocuteurs.

-Messires Westimbrook, j’espère que vous vous portez bien. Miss, je n’ai pas encore eut l’honneur de faire votre connaissance, mais, étant donné ma présence peu opportune, je me devais de vous saluer.

Heureusement pour la sorcière, les nombreux voyages qu’avaient pendant les vacances, organisés sa mère, avait pour destination la France. Au fur et à mesure, il se précisait, et s’améliorait à chaque utilisation. Du moins, c’était l’avis extérieur.

-Si j’interromps une quelconque discussion, je m’en excuse et je m’en irais, sans vous déranger davantage.

Avec une lenteur maîtrisée à la perfection, l'ancien Serpentard porta ses doigts au traité dédié à la méditation. Sans une seule esquisse d'émotion, il se mit à parcourir les premières pages de l'ouvrage ; une caresse rugueuse et définitivement familière. Accompagnant un sentiment aux entrelacs lointains et éthérés, tel un rappel éternel de toutes les obligations qui couraient sur la réussite ou non de son apprentissage.

Instinctivement, ses pensées s'éclipsèrent de la réalité au profit de quelques songes doucereux et bardés d’inquiétude. Les traits de ses sœurs, déformés par la rudesse de ses ambitions – nécessaires, néanmoins, à leur folle survie – s'animèrent en sa conscience avisée. Ce qu'ils escomptaient mener au-devant du monde, risquait de leur coûter bien plus que le prix d'un désaveu.

Ils allaient trahir.

Les lèvres du jeune homme se pincèrent ; énoncé de la sorte, ses plans apparaissaient dangereux et outrageants. Or, il ne s'agissait guère de tromper ses alliés, mais plutôt de se dresser contre la décrépitude cruelle d'une aristocratie vacillante. Ils n'avaient pas le choix. Ni lui, ni Daphné. Pas plus Deirdre, d'ailleurs. Réussir ou périr ; la victoire ne s'achetait pas avec des demi-mesures dans l'écrin mordoré de leur naissance.

D'un mouvement nonchalant, Rowan se décida à quitter le sommaire du fascinant opuscule. Son index chercha alors la page tant attendue du premier chapitre, avant de s'immobiliser sous l'impression nouvelle et insistante de sa vigilance. Une voix s'éleva, au même moment, vers sa droite ; s'adressant, selon toute vraisemblance, à sa personne. Une information singulière.

Délaissant son ouvrage pour une interlocutrice à la chevelure d'or blanc, il y porta ses yeux pâles et inquisiteurs. Un émoi déconcertant sembla frôler, soudainement, les rouages implacables de ses pensées : la jeune femme dégageait quelque chose qui ne lui était assurément pas inconnu. Néanmoins, sur l'instant, l'héritier sa trouva bien incapable d'en discerner l'origine. Imagination fallacieuse ? Mémoire étriquée ?

À sa décharge, les derniers événements vécus ne tendaient guère à lui assurer une réflexion saine et perspicace. Tout du moins, dès lors qu'elle quittait le registre de la logique, de la cohérence et de la nécessité impérieuse de survivre. Bon sang. L'ancien Serpentard pourrait se croire touché par quelques hallucinations languissantes, si sa camarade ne lui confirmait pas ses impressions aussi brutalement. Ils se connaissaient donc.

« Et bien... » Une damoiselle blonde au phrasé sentencieux. Une semblable, sans aucun doute possible. Le visage profondément cerclé par un sérieux de rigueur et de détermination ; comparable à quelques réminiscence de sa jeunesse. « Je dois vous avouer que l'interrogation se manifeste également de mon côté. » Et il était infiniment frustrant, de ne pas parvenir à mettre le doigt sur le potentiel souvenir rattaché à de tels détails. « Si vous souhaitez éclaircir autant que moi la situation, voulez-vous bien m'énoncer vos patronymes ? »

Rowan s'apprêtait à préciser sa pensée, lorsqu'une ombre glissa dans son champ de vision ; mademoiselle McWood. Première du nom. La silhouette courtoise gagna sa proximité avec douceur, lui tirant une salutation usuelle et respectueuse. « Mademoiselle McWood. » Cette appellation sonnait toujours avec singularité dans son palais. « J'en espère de même pour vous. N'ayez aucune crainte à nous rejoindre ; nous semblons tous disposés à étudier pour nos épreuves de fin d'année. » D'un geste maniéré, il invita sa cadette à prendre place sur leur table.

La voix de l’aristocrate était humble, bien qu’elle reflétât une très légère, mais certaine âpreté. Etait-ce une faute qu’avait commise l’aînée des Mcwood, où était-ce encore pour cause, la cadette qui par ses frivoles habitudes, avait une fois de plus fait parlé d’elle ? Personnellement, cela ne gênait pas Elena que sa sœur se fasse aussi mauvaise réputation que possible, tant qu’elle n’en payait pas le prix ensuite.
Ce qui était le cas. Cela avait commencé avec Azphel, une sorte de rencard, si l’on pouvait l’appeler ainsi. Cela se continuait avec Anton Costello. Elena, contrairement à Alycia, ne le connaissait pas vraiment. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’il était le petit ami de Mia. Et maintenant, il fallait penser que cela se rependait comme la peste. Le nom Mcwood était maudit.

Répondant à la proposition de son aîné, l’ancienne verte et argent s’asseya sur une des chaises posées devant le meuble principale. Ce fut à ce moment, bien qu’elle vienne d’arriver, que choisit la jeune femme blonde pour s’en aller. Peut-être était-ce l’arrivée inopportune de la sang-mêlé qui avait jeté un froid ? L’idée restait plausible.
-Miss, je me permets, de vous souhaiter une agréable continuation. J’espère que nous aurons le plaisir de nous revoir.
A présent, il ne restait plus que le descendant Westminbrook, accompagné de quelques ouvrages, ainsi que l’infante Mcwood, dont la gêne d’avoir certainement importuné les deux personnes était au plus haute. Pourquoi avait-elle eu l’idée d’intervenir ? Personne n’avait quémandé sa présence après tout. Stupide fille. Souhaitant bien faire, ou engager une discussion dans le silence qui s’était installé, Elena se lança :

-Messires Rowan, veuillez excuser mon manque de tact. Nous ne nous étions que peu revues depuis nos années à Poudlard. Ceci est juste pour nous permettre d’en découvrir un peu plus l’un sur l’autre si vous êtes d’accord. Je n’ai pas eut ouï de ce que vous aviez choisi comme orientation ici.

Voilà. Engagement de sujet. Il fallait juste espérer que Rowan ne trouverait pas le tournant de l’entretien absurde et y met un terme, même si la brune doutait qu’il le fasse. Ça ne lui ressemblerait pas. Si ?

Et, alors qu'il s'attendait à pouvoir enfin éclaircir cette sensation singulière – infiniment familière – la blonde jeune femme quitta leur proximité pour d'autres prérogatives. Les iris pâles et troublées du jeune aristocrate, suivirent la silhouette de sa précédente interlocutrice jusqu'à sa disparition derrière une étagère. L'affaire était éminemment déconcertante – et son esprit resta focalisé un instant sur la chose, sans parvenir à s'en défaire concrètement.

Puis, se désolant de son incapacité à se remémorer un visage si délicat, Rowan s'extirpa de ses pensées pour converser avec l'aînée McWood. Empreinte de délicatesse, elle s'était jointe à sa tablée – et semblait désormais vouloir relancer leurs échanges.

Ses doigts glissèrent distraitement sur la couverture de l'ouvrage détenu, tout en écoutant soigneusement les allégations de l'Abraxan. « N'ayez aucune crainte, demoiselle McWood. Nous sommes présentement installés dans une bibliothèque. Et aucunement dans un banquet de l'aristocratie. » Son regard s'immobilisa un court moment sur les traits de sa camarade. « Et bien, Poudlard est en effet une époque lointaine, tant pour vous que pour moi. »

Et, à quelques égards fallacieux, de pareilles observations étaient encore trop douces. « Je suis inscrit, pour l'année que nous finissons présentement, en un cursus ouvert sur le monde. Les relations magiques internationales, pour mettre un nom plus précis sur ma formation. » Une décision autrefois suivie avec zèle, quant aux espoirs de son géniteur. Une direction désormais moins intéressante et valorisante à ses yeux ; ses projets se faisaient autres pour la rentrée prochaine. Tout du moins, pour les rares élus qui avaient été prévenus par ses soins de la chose. « Et vous, demoiselle McWood ? Quelles sont les nouvelles de vos études ici-bas ? »

Les iris céruléenes de l’homme, faisant bien plus que son jeune âge ne laissait en aucun cas passer les émotions qu’il pourrait ressentir. Ses gestes et son ton avaient certainement dut être travaillés jours après jour pour atteindre la parfaite expression de ce que désirait l’aristocrate. Si la descendante n’avait pas cette capacité, elle pouvait au moins user de mots pour parvenir à converser avec un quelconque intérêt. La figure Westminbrook était connue, bien assez pour que mêmes les sorciers n’ayant pas encore fait leurs rentrées à Haveirson ou même Poudlard la connaisse.

Certains la craignaient, d’autres, plus rares la vénéraient. Du moins, c’était ce que l’apprentie médicomage pouvait remarquer en observant la personne en face d’elle. Bien qu’elle ait à présent conscience de ses origines, et du réseau qui l’entourait selon sa conduite, selon ses aptitudes, Elena n’était pas encore totalement à l’aise avec cela.
Elle était l’aînée d’une famille de sang-pur, et bien qu’elle ne le soit que par adultère, elle devrait futurement en assumer les conséquences. On disait que toutes les familles de sang-pur étaient apparentées. Si c’était vrai, Rowan était-il comme une sorte de cousin éloigné pour la fille de Dimitri ? La question valait la peine d’être étudiée, et une autre fois, l’ancienne verte et argent n’hésiterait pas à faire des recherches.

Ainsi donc, le descendant des Westimbrook suivait un cursus sur les relations magiques dans le monde si l’Abraxane avait bien compris. Remarque, cela lui ressemblait. La sorcière sang-mêlé, quant à elle, fut agréablement surprise de la dévotion de l’homme quant à ses paroles, désireuses de connaître les études de sa camarade, même si elles n’étaient que superficielles.

-Eh bien, je suis actuellement en études pour devenir médicomage. Je dois avouer que mes compétences ne sont pas excellentes, mais j’essaye de m’accrocher. Vos études sont-elles aussi compliquées Rowan ?

HRP:

Elle l'observait avec une distraction singulière – ou était-elle tout simplement songeuse ? À tel point qu'il s'étonna de l'entendre répondre avec exactitude aux interrogations précautionneusement posées. « Médicomagie ? Il s'agit d'une optique indéniablement intéressante et porteuse. » Et il esquissait alors un sourire déconcertant. À la limite de l'affable et du mystère ; sans toutefois se laisser complètement gagner par l'un ou l'autre.

En vérité, une telle matière avait attiré son intérêt par le passé. Plusieurs fois. Ne suivait-il pas, après tout, un enseignement tout particulier en compagnie de messire Fitzsimmons ? Certes, il s'était soigneusement éloigné d'une pareille optique en se concentrant sur les combats à venir. Mais le soin magique aux personnes n'en restait pas moins un travail louable.

Profondément humain. Nul doute que demoiselle Elena s'en trouvait forcément apparentée.

« En effet, elles sont alambiquées. Hélas, je doute que ce soit pour des difficultés similaires. Là ou vos études portent sur des effets concrets du corps et de la magie, les miennes se tissent davantage dans l'esprit et la langue » Il se tut brièvement, pour la détailler avec la nonchalance aristocratique qui le caractérisait tant. Appréhender ; deviner ; anticiper au possible autrui.

Un léger tintement le rappela néanmoins à la réalité. Ses iris céruléennes se portèrent vers les baies. Le temps passait avec une vélocité déconcertante ; et il allait manquer un rendez-vous à ce rythme. « Pardonnez-moi, demoiselle McWood. » Rowan rassembla ses affaires, non sans incliner le visage pour accompagner ses excuses. « Il me semble que j'ai une entrevue sur la poursuite de mon cursus, d'ici peu. Et sans votre arrivée, je n'ose imaginer ma surprise en y arrivant avec du retard. »

Il se leva en un mouvement mesuré, l'esprit déjà concentré sur la tâche suivante. « Il me faut vous quitter, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur. Nous aurons d'autres occasions de converser en cette bibliothèque, n'est-ce pas ? » Il s'agissait de s'excuser, évidemment – tout en promettant à son interlocutrice d'autres séances de la sorte.

« Je vous souhaite d'agréables révisions. » Une nouvelle fois, il s'inclina ; puis, porté par son devoir, il la quitta avec une diligence propre aux héritiers de la pourpre.