Tell me who you are... Date d'inscription : 04/07/2016 Parchemins : 82 Points d'activité : 76 Avatar : Zhenya Katava Crédits : moi-même. Multicomptes : // Image : Âge : 19 ans. Année : 1ère année à Haveirson Cursus : Potion. Situation financière :
| Sujet: Adrasteia N. Raventhrone x Nevermore Jeu 28 Juil 2016 - 4:30 | |
| | Prénom Nom du personnage | Informations civiles Nom : Raventhrone. Prénom(s) : Adrasteia Nerium Signe astrologique Scorpion Âge actuel : 18 ans Origines : Sang-mêlé Année à Haveirson : 1ère année. | Informations Magiques Bois de baguette : Bois de pin Coeur de baguette : La plume de queue d'un oiseau-tonnerre Longueur & Souplesse : 27 centimètres et d'une souplesse congru. Animal Totem : Corbeau Animal de compagnie (facultatif) : Un corbeau du nom d'Atropos, qui se trouve malheureusement chez ses parents. . |
Études à Haveirson | Cursus choisi : Potion. | Métier envisagé : Créatrice de potion. |
Descriptions | Caractère de votre personnage
Agressive • Ambitieuse • Anxieuse • Arrogante • Artiste • Audacieuse • Aventurière • Capricieuse • Cérébrale • Colérique • Contemplative • Créative • Cultivée • Déterminée • Dévouée • Directe • Egocentrique • Envieuse • Espiègle • Excessive • Extravagante • Fêtarde • Fière • Fidèle en amour • Hautaine • Impulsive • indépendante • Indiscrète • Individualiste • Insolente • Instinctive • Jalouse • Joueuse • Juste • Loyal • Matérialiste • Méfiante • Mélancolique • Mystérieuse • Observatrice • Ouverte d’esprit • Passionnée • Pensive • Perfectionniste • Persévérante • Peureuse • Possessive • Rebelle • Responsable • Rêveuse • Rusée • Sarcastique • Spirituelle • Studieuse • Susceptible •
Femme d’émotions, femme de tourments et d’auto-aversion qui s’étouffe dans ses ambitieuses larmes de diamants miroitant sa confusion passionnelle. Femme instable, femme amère qui se console sous ses frasques et ses illusions, parcourant du bout de ses doigts les délicates pétales d’un cœur qui continue de pulser au rythme des tambours psychotiques de ses contemplations chimériques. Parce qu’elle n’est pas un ange aux ailes amputées, parce qu’elle n’est pas un démon aux cornes écorchées. Sa peau ne se délectera jamais d’un amour aux teintes séraphiques et sa tête ne se débarrassera jamais des mélodies névrosées qui font échos aux excoriations stridente qui marquent l’intérieur de son crâne. Trop près d’exploser, trop près d’imploser – et c’est dans ces myriades de démences qu’elle se montre sous les apparences d’un tout indubitablement inachevée, qu’elle se fait néant minutieusement détaillé, qu’elle se fait mort immortelle et vie éphémère.
Un cortex vortex qui recherche la perfection dans d’audacieuses mélancolies. L’observatrice contemple les merveilles d’un monde dont elle laure avec envie, qu’elle jalouse avec dévotion, apprenant du bout de ses doigts les complexités de la simplicité, peinant à trouver le juste milieu dans une âme aussi contradictoire que la sienne. Au fond, ce n’est pas tant sa curiosité excessive qui la pousse à libérer son côté aventurière, mais bien ses rêveries et son égocentrisme qui l’attire dans des valses aux craintes multiples simplement pour repousser ses propres limites. Des ambitions si hautes, pour tomber plus loin dans les abysses. Des appréhensions si profondes, pour voler plus près des astres boréals.
De son trône la jeune femme aux cheveux d'ébène s'efforce de briser les murs de pierres érigés de par l'aristocratie dans un monde aux idéologies arrêtées. Parce que si l'on veut survivre dans de telles hypocrisies, il faut se faire violence, il faut se faire patient en foulant les terres immobiles d'un univers arriéré. Sa propre guerre, sa propre dynastie, ses propres portes de l'enfer aux dorures célestes et envoûtantes qui brûlent sans remords la paume de ses mains. Des aspirations qui s'élèvent jusqu'aux cieux, qui s'affaissent jusqu'aux fins fond d'un abysse viscérale, tourmentant l'intérieur de son crâne. Parce que la brune tient ses démons en laisse, parce que la brune se fait fit de ses anges, s'écorchant la peau des genoux à vouloir ramper vers un avenir que l'on lui reproche d'aspirer. La grandeur est une notion que l'on attribue à la valeur du sang, lui crachant au visage de mesquines répliques aussi dévalorisantes que sournoises. Et pourtant elle se fait jalouse, elle se fait cupide et envieuse, puisqu'il en est ainsi depuis sa tendre jeunesse. On tente de lui faire comprendre où est sa place et quelles sont les limites de son existence. Seulement, Adrasteia se morfond d'une incompréhension qui brave les tempêtes d'un racisme universel, d'une in-considération aberrante qui s'accentue de par les frasques d'un peuple qu'elle se tue à revendiquer les prestiges. Elle s'obstine à hurler ses talents d'une fierté qui lui est propre parce qu'elle, la sang-mêlé, ne laissera pas son avenir se décomposer en observant les hommes aux sang-bleu se délecter de positions vertigineuses de par les mérites d'ancêtres aux éloges rocambolesques.
Pourtant la femme au sang-sordide s'essouffle à tant s'époumoner. Elle se fatigue à trop faire l'excessive, à s'offusquer d'une malédiction qui lui taillade la psyché sans trop savoir que faire. La disgracieuse se fait morose et dans un second souffle elle immerge un peu plus instable, un peu plus précaire. Et elle avance d'un pas boiteux tandis que l'injustice miroite au creux de ses prunelles d'un regard désinvolte. Elle perd la tête, elle se déplume le cœur à trouver sa place. Elle se terre sous des livres et s'isole parmi les plantes aussi fanée que son sang, ne laissant que les épines pour meurtrir ses propres valeurs. Nemesis de ses propres lésions, elle se brûle le bout des doigts à trop vouloir toucher les étoiles. La femme légion qui se fait volage, qui se fait sauvage d'une infortune importune. Elle est futée, mais pas assez pour ne pas se laisser tomber dans ses propres hystéries. L’anxiété se fait si oppressante qu’elle peine à ne pas laisser les traces de ses ongles frénétiques contre sa peau hâlée. Finalement, c’est avec déconcertement que l’on peut observer l’individualiste se perdre dans ses convictions. Elle se fait plus calme, plus secrète sans pour autant atrophier la rigidité des femmes du nord.
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Votre personnage ces derniers mois |
Septième année
Que des ‘' si ‘' et des ‘' si seulement ‘', venant s'entremêler aux ‘' elle n'aurait jamais dû ‘' qui tarissaient avec acharnement les dernières lueurs de son âme.
Si seulement elle avait écouté les conseils de ses professeurs lorsqu'ils lui avaient déclaré que ce jeune homme ne lui apporterait que des ennuis.
Si seulement elle avait utilisé sa tête dès leur première rencontre.
Si seulement il ne l'avait pas autant émue de ses yeux aux couleurs névrosées, qui semblaient faire écho aux appels de ses propres aliénations.
Elle n'aurait jamais dû le laisser capturer sa tête de ses promesses infernales, apaisant ses anxiétés de par ses murmures aussi sinueux que tortueux.
Elle n'aurait jamais dû louanger ses soupires et glorifier ses sourires.
S'il avait fait les bons choix.
S'il n'avait pas assassiné sa psyché.
Si elle n'avait pas voué sa loyauté à la tromperie d'un homme dont les fourberies avaient pourtant orné les pages d'une histoire qu'ils avaient si horriblement romancé.
Et lorsqu'ils s'étaient dressés contre le reste du monde, affolés devant la prestance de la croisée des chemins, il avait relevé sa tête fièrement pour lui montrer qu'elle ne devait pas avoir peur. Et lorsqu'ils avaient hurlés à s'en étouffer la raison, elle s'était tenue droite et majestueuse pour lui montrer qu'elle était aussi brave qu'il l'avait prié. Et lorsque les murs du château avaient éclaté sous l'impact d'une suprématie pétrifiante, il n'avait pas hésité pour lever sa baguette bien droite devant lui pour lui montrer qu'il n'avait jamais été autrement qu'une utopie dont les toxines avaient chiméré sournoisement ses songes.
Si.
Et ce nombre sept qui venaient encore une fois fracassé sa stabilité précaire et chancelante qu'elle avait finalement réussit à établir durant ces longues années d'école. S-e-p-t, serpentant de sa souveraineté qui lui intimait encore ses maléfices alors qu'elle avait débuté sa septième année avec cette mauvaise impression qu'une fatalité planait au-dessus de sa tête. Et pourtant ses craintes s'étaient atténuées alors qu'il avait délicatement effleuré sa vésanie de par les teintes corruptrices de sa voix. Il était là, toujours et encore là, sans les ‘' si seulement ‘', sans les remords qui déchiraient ses songes alors qu'elle se remémorait son dernier sourire. Parce qu'ils avaient été si rarissimes depuis que la première neige avait tombée. Puis il avait finalement dévoilé ses dents dans un sourire franc lorsque les corps avaient percuté le sol aussi subitement que les sorts avaient été jetés. Il avait gloussé malgré lui, glissant ses bras contre son corps alors qu'il lui chantonnait faiblement des mélodies qui avaient joué quelques minutes plutôt pour accentuer le banquet festif du temps des fêtes.
Puis la situation s'était détériorée. Elle ne comptait plus les rendez-vous manqués, ni le nombre de soirée qu'elle avait passée à caresser les reliures des livres de la bibliothèque sans trop savoir où il s'était exilé. Les insultes fusaient aussi vicieusement que les excuses et les menaces qui s'entrechoquaient aux serments désespérés. La petite vipère se faisait couleuvre, ondulant au rythme désaxé d'un homme qu'elle déifiait entre deux sanglots, se réconfortant sous les attentions qu'il lui prodiguait alors qu'il venait de lui fracasser la tête contre le mur de la salle commune. Parce que ce n'était qu'une mauvaise passe, n'est-ce pas ? Parce qu'elle ne passerait pas toute sa vie à tourner les pages de livres qui comblaient son absence, il reviendrait lorsqu'il serait prêt. Elle comprenait … elle comprenait.
Elle …
Comprenait.
Elle … il comprenait …
Ils …
Il ne comprenait pas. Elle ne comprenait plus.
Les mois s'allongeaient, les secondes s'éternisaient alors qu'il se tenait bien droit à ses côtés, pestant de ses paroles qui venaient ternir un peu plus ses espoirs. Et si elle s'était abritée sous un mutisme aux allures léthargiques, la brune continuait fidèlement d'onduler derrière son ami, simplement parce que c'était la seule chose qu'il lui restait encore. Elle, l'espiègle nymphe au sang souillé qui n'avait jamais courbé le dos. Jusqu'à ce qu'il n'y ait personne à imiter, plus de mirage à refléter au creux de ses prunelles argentées qui ternissaient devant les inepties de faux espoirs. La Nemesis se contentait grossièrement d'imploser ses crises à coup de tête contre le piano de la salle de musique, délirant de ses mélodies qui débordaient dans sa tête d'artiste aliénée. Ce n'était pourtant pas suffisant pour venir assassiner son carnet de notes exemplaires, n'éprouvant toutefois aucune joie quant à la réussite de ses examens sans aucune difficulté.
La bataille de Poudlard :
Dès l'instant où les murs de l'académie avaient vibré de sa fatalité, la jeune femme s'était empressée pour rejoindre son allié, hoquetant face à la menace d'un monarque désireux de laisser sa marque. Et si la chance lui avait souri alors qu'il s'apprêtait à passer à l'acte, elle ne pouvait pas en dire autant pour le reste des élèves qui avaient subi nombreuses pertes. Sa main avait désespérément agrippé celle de son jeune frère qui avait hurlé son prénom dans la foulée et ils avaient évacués l'école sous l'affolement de leurs cœurs qui subissaient les répercussions des attaques. Sans perdre de temps, ils avaient rejoint la sécurité des terres slaves pour retrouver leur parent qui les attendaient depuis quelques jours déjà.
Succession familiale :
C'est aux abords d'une majorité enfin obtenue que la brune pouvait enfin laisser glisser ses fins doigts sur le cuir d'un livre abordant les couleurs délavées de sa famille, pouvant enfin débuter l'apprentissage d'une magie qui la narguait depuis sa tendre enfance. La préparation avait été longue et pénible, mais l'attente de ses dix-sept ans lui avait semblé insurmontable. Ce n'était pas pour autant que le reste serait des plus facile dans l'optique où la dernière personne ayant perfectionné la pyromancie étant sa grand-mère qui s'était éteinte alors qu'elle n'était qu'une enfant. C'est sans trop s'attarder aux détails qu'Adrasteia avait poser ses vulgaires mains sur sa succession avant de retourner en Grande-Bretagne, poussant la porte de sa nouvelle institution le cœur lourd, l'esprit embrumé et l'âme confuse.
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Répartition à Haveirson | Questionnaire de personnalité Merci d'indiquer les réponses les plus appropriées à votre personnage à chaque question en la soulignant (une seule réponse par question).
Q1. Vos projets pour ce soir tombe à l'eau. Vous : A. Vous sortez faire une petite promenade au clair de lune. B. Vous passez votre soirée à réviser vos cours ou à vous entraîner. C. Vous improvisez et allez vous amuser en ville, faisant la tournée des pubs et dansant jusqu'à tard dans la nuit.
Q2. Vous avez un devoir à rendre la semaine prochaine. A. Vous vous y mettez tout de suite, ne laissant place à aucune distraction avant que le travail ne soit achevé et parfait. B. La semaine prochaine ? Oh ça va j'ai le temps ! C. Vous vous y mettez lorsque vous en avez l'occasion, non sans vous laisser distraire par quelques rêveries.
Q3. La cafétéria se remplit rapidement en début de soirée et l’ambiance est à la fête. Entouré de vos camarades, vous : A. Racontez la fameuse histoire qui vous est arrivée étant jeune et que les autres ne se lassent pas d’entendre. B. En profitez pour observer vos camarades, écouter les derniers potins, poser des questions indiscrètes pour en savoir le plus possible sur tout le monde. C. Vous assurez que tout le monde passe un bon moment et si vous repérez quelqu’un qui ne parait pas bien, vous vous portez à son secours pour le divertir et lui remonter le moral. D. Partez dans vos rêveries et finissez par quitter la pièce car il y a trop de gens et trop de bruit pour votre bon plaisir. E. Finissez par vous engager dans un débat si intéressant que tout le monde autour vous observe pour savoir qui aura le dernier mot. F. Vous tenez un peu plus en retrait, mais vous riez aux blagues des autres et en racontez vous aussi quelques-unes.
Q4. Si votre personnage était une histoire d’amour, il serait : A. Un conte de fée passionné basé sur le prendre soin et le fait d’être toujours là l’un pour l’autre. B. Une relation d’amour libre basée sur le respect de l’individualité de chacun. C. Une relation ayant demandé beaucoup d’apprivoisement et basée sur la confiance.
Q5. Votre meilleur-e ami-e fait quelque chose que vous ne cautionnez pas. A. Vous tentez de comprendre son choix et le-a laissez faire, même si vous savez que c'est une erreur. B. Vous lui démontrez par A + B qu'il-elle a tort et vous faites tout pour le-a convaincre de vous écoutez. C. Vous vous disputez avec lui-elle, en espérant que l'avis d'un-e ami-e suffise à le-a convaincre de ne pas aller plus loin.
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| Qui êtes-vous hors du jeu ? Prénom ou pseudo : mie Double(s) compte(s) : nope ! Âge IRL : J'ai déjà dis, pas besoin de me faire sentir vieille toutes les cinq minutes . |
- Fichiers joints
- Traits de caractere - feuille de personnage (1).xls
- Vous n'avez pas la permission de télécharger les fichiers joints.
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Dernière édition par Adrasteia N. Raventhrone le Mar 23 Aoû 2016 - 3:57, édité 6 fois |
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Tell me who you are... Date d'inscription : 04/07/2016 Parchemins : 82 Points d'activité : 76 Avatar : Zhenya Katava Crédits : moi-même. Multicomptes : // Image : Âge : 19 ans. Année : 1ère année à Haveirson Cursus : Potion. Situation financière :
| Sujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x Nevermore Jeu 28 Juil 2016 - 13:25 | |
| j'essaiiiiiiiiiie |
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Tell me who you are... Date d'inscription : 25/11/2005 Parchemins : 1230 Points d'activité : 52
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| Sujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x Nevermore | |
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