Petite rigolade!

Dylan entendit un « bonne nuit » de la part de Hélène et elle l’embrassa. Dylan lui dit aussi bonne nuit, mais elle s’était endormit avant lui. Après dix minutes à la regarder dormir, qu’il finit par lui aussi s’endormir.

Le lendemain.

Il devait être 8 heures ou 9 heures lorsque Dylan se réveilla, il avait entendit un bruit sourd. Quelqu’un était entré dans la pièce. Il observa l’homme devant eux, tenant une arme dans ses mains, il devait rentrer de travailler et n’avait pas encore vue Dylan et Hélène. Dylan se tourna vers Hélène, la bougea un peu pour qu’elle se réveille. Et en chuchotant, il lui dit.

Dylan : Hélène réveille-toi, y’a le proprio de la cabane qui est là.

Effectivement, l’homme s’était fait un thé probablement pour se reposer, il avait enlevé son armure étrange et était maintenant en bedaine, il n’avait toujours pas remarquer la présence des deux adolescents. Il devait être sûrement aveugle celui-là. L’homme qui n’avait plus d’armure sur lui était quand même assez gros, voyant de la peau retroussée qui débordait plein son pantalon : l’homme était gras. Dylan fit un regard dégoûté en regardant l’homme, sa s’en était un qui devait rester célibataire toute sa vie.

Hélène dormait si bien, que même les premiers rayons du soleil ne la gênait même pas dans son sommeil. La jeune fille, allongée sur le côté, contre le mur, dormait toujours comme un bébé. Dylan la poussa un peu pour qu'elle se réveille. La jeune fille, un peu bredouille, ouvrit les yeux avec difficulté. Elle était encore un peu dans les nuages. Elle se redressa, soupira un peu et s'étira. Elle regarda Dylan, sa main au dessus des yeux pour se protéger du soleil aveuglant. Celui ci lui dit clairement que le propriétaire de la cabane était revenu. Hélène soupira, elle s'apprêta à se lever, mais lorsqu'elle vit le visage du gros bonhomme, elle se pétrifia. C'était le même homme qu'elle avait vu avec Justin. Le même ! Ce fou dangeureux qui les avait courssés pour essayer de leur faire passer un sale quart d'heure. Hélène ne bougea plus, respirant de manière à faire le moins de bruit. Elle tenta d'ouvrir la fenêtre, juste au dessus de sa tête. La poignée un peu vieille, finit par céder. La fenêtre fût donc libre, et Hélène tenta de l'ouvrir afin qu'elle parte au plus vite avec Dylan. Le gros monsieur, aveugle comme une taupe, ne les avait même pas encore remarqué.

Dylan voyait bien que Hélène était encore fatigué et elle essaya d’ouvrir la fenêtre. Il jeta un coup d’œil à l’homme derrière eux, Hélène était pétrifiée, peut-être le connaissait-elle, qui sait. Elle ne voulait pas faire de bruit, elle essayait même de calmer sa respiration, Dylan comprit aussi alors il essaya de faire moins de bruit possible. Mais lorsque la poigné céda un petit tac se fit entendre, le gros ne prit même pas la peine de se retourner pour voir ce qui se passait. En plus d’être aveugle, il devait être sourd. Dylan fit signe à Hélène de passer en premier, courtoisies chez lui, c’était rare, il voulait mieux sauver la peau de Hélène pour commencer, il serait capable de se défendre.

Dylan la laissa passer. Fiouu, serieux c'était plûtot un réveil auquel la Serpentard n'aurait jamais pensé. Revoir ce gros tas de lard c'était assez éffrayant. La dernière fois, Hélène et Justin lui avait échappé de peu. Bref, la Serpentard, assez mince heureusement, passa sans difficultées par la fenêtre. Vive les régimes =). Elle se retourna, tendant une main à Dylan afin de l'aider. Mais un de ses bracelet cogna contre le carreau. Hélène se pétrifia, regardant le gros tas de lard. Celui ci s'était retourné, et son gros oeil jaune perçant fixa celui d'Hélène.

Dylan regardait Hélène passée, elle était assez mince pour passer tout seul. Elle tendit sa main pour aider Dylan a passé, mais un de ses bracelets cogna la fenêtre et la, l’homme gros se tourna vers Dylan et Hélène. Dylan voulu prendre sa baguette, mais malheureusement il l’avait mis dans son sac qui était à l’entrer de la cabane.

Dylan : Hélène ta baguette. J’ai une idée.

Lorsqu’il eut la baguette en main, il se tourna vers le tas de lard et pointa la baguette sur lui.

Dylan : Stupéfix.

Mais l’homme résista, c’était n’importe quoi, il devait se protéger avec la graisse ou peut-être l’autre était un sorcier et se protégeait. Il n’avait pas le temps de chercher un autre sortilège que l’homme arriva à la hauteur de Dylan pour le prendre par le collet, tenait un couteau dans l'autre main.

Dylan : N’importe quoi! Bloque-Jambe.

Au moins, c’était le seul sortilège qui réussi sur lui. Il lâcha Dylan qui tomba sur le sol. Le tas de graisse essayait de se déprendre, pris au piège par le sortilège lancé par Dylan, celui-ci courut reprendre son sac et sortit de la fenêtre, sans penser à prendre la porte. Il redonna la baguette à Hélène.

Dylan : Il avait l’air à te connaître.

Il prit la main de Hélène et se mit à courir.

Hélène détourna rapidement le regard du gros monsieur. Elle fixa du regard Dylan, lui prêta sa baguette. Très précieuse pour elle, bois de rose et poil de licorne. Sa mère la lui avait offerte lors de sa deuxième année. Des motifs argents ornaient l'extrémitée de celle-ci, qui par bonheur, était garanties plusieurs années youhouu n__n.
Au stupefix de Dylan, le gros géant rigola. Le sort n'avait pas marché. Hélène était agacée, énnervée et surtout très agitée. D'ailleurs, quand l'espèce de psycopathe s'approcha de Dylan, couteau à la main, Hélène avança sa jambe et li foutue un coup de pied en plein visage. Le gros homme recula de quelques pas, puis se prit un bloque-jambes. Hélène lui rigola au nez sans crainte. Un nez vraiment très noir. Elle attrapa Dylan par la main , rangea sa baguette. Le garçon grimpa et se retrouva, tout comme elle, dehord. Hélène donna un coup de pied dans la fenêtre qui se brisa en mille éclats, provoquant une rage atroce chez le vieil homme bizzard, qui s'empressa de grogner et de tenter de sortir par la fênetre, à son tour. Manque de pô, gras comme il était, il n'eut pas la même chance que les deux ados. Tout en courant, Hélène répondit à Dylan. Effectivement, elle avait déjà eut le malheur de croiser ce tarré.

~ Oui. Avec Justin, on lui avait volé des choses et on avait saccagé sa cabane. Je ne savais pas qu'il en avait construit une autre ... Vu que l'autre, on l'a cramée si j'me souviens bien.

Dylan courait avec Hélène, il trouvait sa quand même amusant de voir le gros se plaindre et lorsque Hélène lui dit qu’elle l’avait vue la première fois avec Justin et qu’elle ignorait qu’il avait reconstruit sa cabane, dans un sens Dylan s’en aurait douté, mais il n’avait pas pensé à ce que Hélène lui avait dit à propos de mettre le feu. Lorsqu’ils furent assez éloignés de la forêt, Dylan arrêta, essouffler, il vint prendre la taille de Hélène pour y déposer un beau baiser. Il souriait, il trouvait que ce réveille avait été très agité.

Dylan : Je crois que c’était assez logique qu’il la reconstruise. Mais pour la cause, on aurait pu la flamber avec lui.

Lui dit-il un sourire sur ses lèvres. Sa aurait pu être une proposition, mais maintenant, il était rendu trop loin. Et l’homme ne serait pas de bonne humeur de les revoirs. Quoi que Dylan riait maintenant de lui ainsi que Hélène.

Dylan : Il n’a pas encore appris à verrouiller ces portes lui.

Fiouu, qu'elle aventure ! La serpentard était éssouflée. Elle n'avait pas l'habitude de se tapper des joggings le matin, et n'avait d'ailleurs, aucunes envie de courrir. Mais là, elle était quand même obligée, même en ayant la tête dans l'cul et l'cul dans l'brouillard. u__n, d'un côté, c'était ça, ou se faire égorger par le tas de graisse. D'ailleurs, Hélène n'aimait pas trop rester par là, on ne savait jamais si le grand homme les poursuivaient. Après tout, c'était ce qu'il s'était passé la dernière fois, avec Justin.

~ Bon, faut qu'on retrouve Poudlard rapidement, ce tarré serait capable de nous coursser . . .

Dylan était essouffler, c’était peut-être le moment d’arrêter de fumer… Nan, jamais il n’allait faire sa, à moins qu’il ait attrapé une maladie moldu comme le cancer. Il sourit à Hélène lorsqu’elle lui disait qu’il fallait continuer leur chemin si jamais le gros tas de graisse les avait suivit. Elle avait raison, il voulait juste reprendre un peu de souffle. Il entendit un bruit dans les feuilles. Une branche se cassa et un grognement sourd se fit entendre.

Dylan : Hey Hélène, tu as beaucoup raison ! Courrons.

Dit-il lorsqu’il vit la tête du gros tas de lard parmi les branches. Dylan prit la main de Hélène et se mit à courir.